Le groupe coopératif Cristal Union, basé à Villette-sur-Aube, annonce l’arrivée de William Huet au poste de directeur agricole, en remplacement de Bruno Labilloy. Ce changement s’inscrit dans une volonté de continuité stratégique au sein d’un groupe qui génère un chiffre d’affaires de 2,65 Md€ et emploie 2.000 salariés. En charge des relations avec les planteurs de betteraves, William Huet aura pour mission d’accompagner la filière face aux enjeux de durabilité, de rentabilité et d’innovation agricole. Son rôle sera central pour maintenir la compétitivité du groupe, notamment dans les secteurs du sucre, de l’alcool et du bioéthanol.
Éric Potié prend la tête de Terroirs et Vignerons de Champagne
L’union coopérative Terroirs et Vignerons de Champagne, acteur de poids du vignoble champenois, annonce la nomination d’Éric Potié à sa présidence, succédant à Véronique Blin. Cette structure fédère près de 80 coopératives viticoles et réalise un chiffre d’affaires de 284 M€. La nouvelle gouvernance entend renforcer la valorisation des productions, optimiser la distribution et soutenir les projets de développement durable dans la filière. Cette nomination marque une volonté d’adaptation stratégique face aux évolutions du marché des vins de Champagne, entre montée en gamme, exportation et transition écologique.
Le groupe Bridge restructure ses Ehpad dans le Haut-Rhin
Face à un rapport critique de la Cour des comptes, le groupe Bridge Résidences Holding, opérateur d’Ehpad, engage un plan de transformation de ses établissements alsaciens situés à Horbourg-Wihr, Kembs et Lutterbach (Haut-Rhin). Pilotée par Delphine Mainguy, la restructuration prévoit 5 millions d’euros de travaux, un renforcement des équipes médicales, et le remboursement des dettes contractées auprès de la Collectivité européenne d’Alsace (220.000 euros). Grâce à ces efforts, le taux d’occupation moyen est remonté à 88 %, marquant un début de redressement pour ces structures, désormais sous surveillance renforcée, mais dans une dynamique de redéploiement.
Reprise stratégique de Geismar à Colmar
L’entreprise Geismar, spécialisée dans les équipements pour la pose et l’entretien des voies ferrées, a été reprise début mai par un consortium international composé de [Megarock] (Chine), [Sandton Capital Partners] (États-Unis) et le holding français Verdoso. Cette opération intervient à la suite de la liquidation de l’entreprise, basée à Colmar. Le nouveau montage capitalistique vise à préserver les savoir-faire industriels et les emplois locaux tout en relançant l’activité à l’international. Cette reprise permettra également d’injecter les investissements nécessaires à l’innovation technologique, afin de repositionner Geismar comme un acteur compétitif sur le marché ferroviaire mondial.
Rikutec diversifie son offre avec une micro-station
La société Rikutec France, implantée à Drulingen dans le Bas-Rhin, étoffe sa gamme de solutions environnementales avec le lancement d’une micro-station d’épuration individuelle. Cette innovation technique vise à répondre aux besoins croissants des particuliers et des collectivités en matière de traitement des eaux usées dans les zones non raccordées au tout-à-l’égout. Forte d’un chiffre d’affaires de 36 M€ et de 100 salariés, l’entreprise s’appuie sur son expertise en rotomoulage et en plasturgie pour proposer des équipements durables, faciles à installer et conformes aux normes en vigueur. Ce nouveau produit confirme la volonté de Rikutec de s’imposer sur le marché de l’assainissement autonome.
Deux nouveaux silos à sel à La Bresse pour l’hiver
Le Département des Vosges modernise ses équipements de viabilité hivernale avec la mise en place de deux silos à sel à La Bresse, implantés route de Cornimont. Cette infrastructure vise à sécuriser les interventions sur les routes de montagne et à améliorer la logistique de stockage et de distribution du sel. En anticipant les conditions hivernales rigoureuses, cette opération vise à optimiser les délais d’intervention et à renforcer la sécurité des agents sur le terrain. Elle illustre l’engagement des collectivités à moderniser leurs installations pour faire face aux aléas climatiques et garantir une continuité de service sur les routes départementales.
Verso Energy projette une raffinerie d’e-carburant à Chavelot
La société parisienne Verso Energy ambitionne de créer une raffinerie d’e-carburant aérien à Chavelot (Vosges), représentant un investissement de 1,4 milliard d’euros. Ce projet s’appuierait sur le captage de CO₂ émis par le site industriel de Norske Skog à Golbey. Après une phase de concertation publique favorable, l’initiative entre désormais dans une phase d’étude approfondie. Si elle aboutit, l’installation participerait à la décarbonation du secteur aérien, en produisant du e-SAF (Sustainable Aviation Fuel) à partir de sources renouvelables et de captage de carbone. Ce projet structurant pourrait générer des retombées économiques majeures pour le territoire vosgien.
KFC ouvre un nouvel établissement à Saint-Dié
L’enseigne de restauration rapide KFC poursuit son développement territorial avec l’ouverture d’un second restaurant dans les Vosges, à Saint-Dié-des-Vosges. Cette implantation s’inscrit dans une stratégie de maillage territorial renforcé, répondant à une demande croissante en restauration rapide dans les zones périurbaines. Le groupe, dont le siège est situé à Courbevoie et qui emploie plus de 15.000 personnes en France, continue de diversifier ses emplacements pour capter une clientèle familiale et mobile. Cette nouvelle unité vise également à dynamiser l’emploi local par le recrutement d’une quinzaine de collaborateurs, tout en consolidant la notoriété de la marque dans le Grand Est.
Fives Nordon accompagnera les futurs EPR2
La société Fives Nordon, basée à Nancy, a été sélectionnée par EDF pour fournir des équipements chaudronnés destinés aux six réacteurs nucléaires EPR2 en projet. Ce contrat stratégique s’inscrit dans le cadre du programme de relance du nucléaire civil français et témoigne de l’expertise industrielle de l’entreprise, forte de 900 salariés et d’un chiffre d’affaires annuel de 120 M€. Les premières livraisons sont programmées à court terme, avec une cadence qui s’étendra jusqu’en 2038. Spécialiste reconnu dans les équipements complexes pour les secteurs de l’énergie et de la pétrochimie, Fives Nordon renforce ainsi son positionnement sur les grands projets structurants et s’ancre comme un maillon essentiel de la filière nucléaire.
Cap sur le réemploi pour Metropack à Reims
À l’occasion de son 20e anniversaire, l’entreprise Metropack, spécialisée dans les essais d’emballages industriels, finalise l’extension de son site rémois de 1.000 m². Ce développement accompagne une stratégie de repositionnement axée sur le réemploi, en réponse aux nouvelles attentes réglementaires et environnementales du secteur de l’emballage. L’entreprise, qui réalise un chiffre d’affaires de 3,5 M€, souhaite élargir ses compétences au service de solutions circulaires, intégrant la conception et la vérification de contenants réutilisables. Cette nouvelle orientation s’inscrit dans une logique d’économie circulaire, avec pour objectif de réduire l’empreinte carbone des chaînes logistiques de ses clients industriels. Metropack anticipe ainsi une hausse de la demande en solutions de test adaptées aux emballages réemployables, dans un contexte de pression croissante sur les emballages à usage unique.
Glossaire du Référencement SEO & SEA : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire Référencement SEO & SEA pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier du Référencement SEO & SEA . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (de 10x content à Zero-Click Search) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
Dans les domaines du référencement naturel (SEO) et du référencement payant (SEA), la maîtrise du vocabulaire technique est une condition essentielle à la bonne compréhension des enjeux, des méthodes et des outils. Ce langage spécialisé permet aux professionnels du marketing digital, aux développeurs, aux annonceurs comme aux rédacteurs web de structurer leurs actions, d’analyser les performances et de collaborer efficacement. Ignorer certains termes ou les employer de manière approximative peut conduire à des erreurs stratégiques ou à des malentendus préjudiciables entre équipes ou prestataires.
En SEO, le vocabulaire englobe des notions comme balise Title, meta description, backlink, maillage interne, crawling ou autorité de domaine. Ces termes techniques sont le socle des optimisations on-site et off-site qui conditionnent le positionnement d’un site dans les résultats organiques des moteurs de recherche. En SEA, la terminologie fait appel à des expressions telles que coût par clic (CPC), score de qualité, taux de clic (CTR) ou Ad Rank, qui sont fondamentales pour paramétrer, suivre et ajuster les campagnes publicitaires sur les plateformes comme Google Ads.
Comprendre ce lexique permet également de dialoguer efficacement avec les interfaces et outils spécialisés (Google Search Console, SEMrush, Google Ads, etc.) et de produire des rapports lisibles pour les clients ou la direction. Par ailleurs, dans un environnement numérique en constante évolution, où les algorithmes et les pratiques évoluent rapidement, une veille terminologique est indispensable pour rester performant et conforme aux bonnes pratiques.
10x content (contenu x10) : Le contenu 10x désigne une stratégie éditoriale visant à produire des pages dont la qualité, l’originalité, la valeur ajoutée et l’expérience utilisateur surpassent au moins dix fois celles des résultats actuellement en tête des SERP. Ce contenu vise l’excellence afin de capter durablement le positionnement.
200 response (Réponse 200) : Le code de statut HTTP 200 est une réponse normale indiquant que la requête du client a été traitée avec succès et que la ressource demandée est accessible. Il est essentiel dans l’analyse de la santé technique d’un site web, notamment pour le crawl, le monitoring et le reporting SEO.
301 redirect (Redirection 301) : Une redirection 301 est un mécanisme permanent qui indique aux moteurs de recherche qu’une page a été déplacée de manière définitive vers une nouvelle URL. Elle transfère également l’autorité (link juice) de l’ancienne page à la nouvelle, et joue un rôle majeur dans la préservation du SEO.
302 redirect (Redirection 302) : Contrairement à la redirection 301, la redirection 302 est temporaire. Elle signale aux moteurs de recherche que la page a été déplacée provisoirement. Elle n’est pas censée transférer la valeur SEO, car le retour à l’ancienne URL est envisagé. Elle peut être mal interprétée si utilisée à tort.
304 not modified (Code 304) : Le code HTTP 304 indique que la ressource demandée n’a pas été modifiée depuis la dernière consultation. Il permet d’utiliser une version en cache du site, optimisant ainsi les performances de chargement pour l’utilisateur et la consommation du budget de crawl pour les moteurs de recherche.
404 error (Erreur 404) : L’erreur 404 est générée lorsqu’une page n’existe pas ou plus sur le serveur. Elle empêche l’accès à une ressource attendue. En SEO, de nombreuses erreurs 404 peuvent nuire à l’expérience utilisateur et au crawl, nécessitant des redirections ou une gestion via une page personnalisée.
410 gone (Code 410) : Le code HTTP 410 signale qu’une page a été supprimée définitivement et que sa nouvelle adresse est inconnue. Contrairement au 404, ce code informe explicitement les moteurs que la ressource n’est plus disponible, ce qui favorise une désindexation plus rapide de la page concernée.
Accelerated Mobile Pages (AMP) : AMP est une technologie développée par Google pour améliorer la vitesse de chargement des pages web sur mobile. Elle repose sur un sous-ensemble de HTML, des scripts limités et un système de cache. Ce format favorise une meilleure expérience utilisateur sur mobile, ce qui peut indirectement améliorer le référencement.
Ad Rank : L’Ad Rank est une métrique déterminante dans la position des annonces payantes sur les pages de résultats des moteurs de recherche. Il prend en compte le montant de l’enchère, la qualité de l’annonce, le seuil minimal requis et l’efficacité des extensions utilisées. Une note élevée améliore la visibilité tout en réduisant potentiellement le coût par clic.
Affiliation : Le système d’affiliation repose sur un partenariat entre une marque et un éditeur de site qui diffuse des publicités ou des liens vers l’offre de l’annonceur. L’affilié perçoit une rémunération en fonction des résultats générés, généralement au clic ou à l’action (achat, inscription), ce qui en fait un levier de performance.
Ahrefsbot : Ahrefsbot est le robot d’exploration utilisé par Ahrefs, une plateforme d’analyse SEO. Ce crawler explore le web à grande échelle pour collecter des données sur les backlinks, les pages, les domaines référents et autres signaux utiles à l’analyse de la visibilité organique et du netlinking.
Algorithme : En SEO, un algorithme désigne un ensemble de règles informatiques utilisées par les moteurs de recherche pour évaluer, trier et hiérarchiser les pages web. Ces programmes automatisés analysent la pertinence, la qualité, la popularité et la structure technique d’un site pour déterminer son positionnement dans les résultats de recherche.
Alt text (Texte alternatif) : Le texte alternatif est un attribut HTML permettant de décrire le contenu d’une image. Il est essentiel à l’accessibilité pour les personnes malvoyantes, et sert également de signal sémantique aux moteurs de recherche qui ne peuvent interpréter directement les images. Il contribue au SEO des images.
AMP : AMP simplifie le code HTML d’une page afin d’en accélérer l’affichage sur mobile. En réduisant le temps de chargement, il permet d’améliorer l’expérience de navigation, ce qui peut réduire le taux de rebond et accroître la visibilité dans les résultats de recherche mobile, dans une logique mobile-first.
Analytics : Les analytics sont des données statistiques permettant d’analyser les performances d’un site web. À travers des outils spécialisés, il est possible de suivre les visites, le comportement des utilisateurs, les taux de rebond, la conversion, le trafic par canal, etc. Ces informations aident à ajuster les stratégies digitales de manière objective et mesurable.
Anchor text (Texte d’ancre) : Le texte d’ancre est la portion visible et cliquable d’un lien hypertexte. Il informe les moteurs de recherche sur le contenu de la page cible. Un bon choix d’ancre contribue au référencement en renforçant la pertinence sémantique des liens internes ou externes pointant vers une page.
Ancre de texte : L’ancre de texte est la portion de texte cliquable d’un lien hypertexte. Elle doit être formulée avec précision, en intégrant idéalement un mot-clé pertinent en rapport avec la page cible. Une ancre bien choisie favorise à la fois l’expérience utilisateur et l’efficacité du maillage interne ou externe pour le SEO.
Article spinning (Rotation d’article) : L’article spinning est une méthode automatisée visant à créer plusieurs variantes d’un même article à partir d’un contenu source. Fréquemment considérée comme spammy, elle est sanctionnée par les moteurs de recherche lorsqu’elle dégrade la qualité éditoriale ou vise à manipuler artificiellement le SEO.
Article syndication (Syndication d’article) : La syndication d’article consiste à republier un contenu original sur d’autres sites partenaires. Bien que légitime dans une optique de diffusion élargie, elle doit être rigoureusement balisée (balise canonique ou lien vers l’article original) pour éviter les effets négatifs liés au contenu dupliqué.
Attribut HTML : L’attribut HTML permet de définir plusieurs versions d’une image pour qu’un navigateur sélectionne automatiquement la plus adaptée selon la taille ou la résolution de l’écran. Cela améliore la performance de chargement et optimise l’expérience utilisateur sur tous types de périphériques.
Authority Score : L’authority score est un indicateur qui mesure la fiabilité et la notoriété d’un site web aux yeux des moteurs de recherche. Il se base principalement sur la qualité et la quantité des liens entrants (backlinks). Ce score influence fortement la capacité d’un site à bien se positionner dans les résultats organiques.
Auto-generated content (Contenu autogénéré) : Le contenu autogénéré est créé automatiquement par des scripts ou logiciels, sans intervention humaine. Cette pratique est pénalisée si elle vise à tromper les moteurs en générant du contenu de faible qualité. À l’inverse, elle peut être acceptable si elle respecte des normes éditoriales strictes.
Backlinks (Liens entrants) : Un backlink est un lien hypertexte provenant d’un site tiers vers votre site. Il constitue un des piliers du référencement naturel, influençant fortement l’autorité perçue d’un domaine. Plus un site reçoit de backlinks qualitatifs et contextualisés, plus ses chances de bon positionnement augmentent.
Balise alt : La balise alt est un attribut HTML utilisé pour décrire le contenu d’une image. Elle permet d’optimiser l’accessibilité du site, notamment pour les malvoyants, mais aussi le référencement des images sur les moteurs de recherche. Elle sert également de texte de substitution si l’image ne se charge pas.
Balise title : La balise title est un élément HTML qui définit le titre d’une page web. Visible dans les onglets du navigateur et dans les résultats de recherche, elle joue un rôle crucial dans le SEO. Bien rédigée, elle attire les clics et contribue à une meilleure indexation par les moteurs.
Balises meta : Les balises meta sont des éléments HTML non visibles à l’écran, mais cruciaux pour le référencement. Elles fournissent des informations aux moteurs de recherche, comme la meta description, qui influence le taux de clics dans les SERP. Bien rédigées, ces balises participent à la visibilité et à l’optimisation du contenu en ligne.
BARD : BARD est une architecture de génération de langage utilisant des décodeurs bidirectionnels. Elle améliore la qualité des réponses produites par les intelligences artificielles dans les systèmes conversationnels. En analysant le contexte passé et futur des mots, BARD offre des dialogues plus naturels et des interactions plus fluides dans les assistants vocaux.
Benchmark : Le benchmark est une analyse comparative qui permet d’évaluer la performance d’un site ou d’une stratégie SEO en la confrontant à celle de ses concurrents. Il sert à identifier les forces et faiblesses concurrentielles, à définir les mots-clés stratégiques et à repérer les meilleures pratiques pour optimiser sa propre visibilité en ligne.
BERT : BERT est un algorithme d’intelligence artificielle développé par Google pour mieux interpréter le langage naturel. Il analyse le contexte global d’une phrase, et non plus uniquement les mots isolés. Cela permet une compréhension plus fine des intentions de recherche des utilisateurs et une amélioration de la pertinence des résultats affichés.
BERT vs. TF-IDF : BERT est un modèle basé sur l’apprentissage profond qui comprend le sens global d’un texte, tandis que TF-IDF mesure la fréquence relative d’un mot dans un document. BERT permet un classement sémantique plus intelligent, alors que TF-IDF reste une méthode statistique plus limitée, utilisée pour l’analyse de mots-clés.
Bidding : Le bidding désigne le processus par lequel un annonceur établit le montant maximal qu’il est prêt à payer pour un clic (CPC) ou mille impressions (CPM). Il s’agit d’un mécanisme fondamental en publicité en ligne, influençant directement l’exposition des annonces et la rentabilité des campagnes en fonction de la concurrence.
Bing Webmaster Tools : Les outils Bing Webmaster permettent aux propriétaires de sites de suivre et d’optimiser leur visibilité sur Bing. Ce service gratuit propose des indicateurs de performance, d’indexation, de crawl et des suggestions d’optimisation, proches de ceux offerts par Google Search Console, mais pour l’écosystème Microsoft.
Bingbot : Bingbot est le robot d’exploration officiel du moteur de recherche Bing. Il parcourt le web pour indexer les pages, en suivant les liens et les instructions des fichiers robots.txt. Comprendre le comportement de Bingbot aide à optimiser son site pour être mieux référencé sur Bing.
Black Hat : Le Black Hat SEO regroupe l’ensemble des techniques contraires aux consignes des moteurs de recherche, visant à manipuler les algorithmes pour améliorer rapidement le classement. Ces pratiques incluent le cloaking, le spam de mots-clés ou l’achat massif de liens, et peuvent entraîner des pénalités sévères, voire un déréférencement total.
Black hat / White hat : Les techniques black hat consistent à manipuler les algorithmes des moteurs pour obtenir des résultats rapides, souvent au mépris des règles. À l’inverse, les stratégies white hat respectent les bonnes pratiques SEO. Les premières peuvent entraîner des sanctions, tandis que les secondes assurent une croissance durable du référencement naturel.
Black-hat SEO : Le Black-hat SEO regroupe l’ensemble des techniques de référencement qui violent les consignes des moteurs de recherche. Ces pratiques incluent le cloaking, le spam de liens, le keyword stuffing ou les fermes à liens. Elles exposent les sites à des pénalités manuelles ou algorithmiques sévères.
Blog : Un blog est un espace éditorial permettant de publier des articles réguliers autour d’une thématique précise. Il peut être rattaché à un site marchand ou informatif. Il favorise le référencement naturel en produisant du contenu actualisé, long et riche sémantiquement. Le blog participe aussi à la stratégie d’acquisition et de fidélisation.
Bot : Un bot est un programme automatisé utilisé par les moteurs de recherche pour explorer et indexer les pages web. Googlebot, par exemple, parcourt le contenu pour l’ajouter à l’index de Google. Les bots sont essentiels au référencement, mais peuvent aussi être utilisés à des fins malveillantes (scraping, spam…).
Bounce rate (Taux de rebond) : Le taux de rebond mesure la proportion de visiteurs qui quittent un site après avoir consulté une seule page, sans interaction supplémentaire. Un taux élevé peut indiquer un contenu inadapté, une mauvaise expérience utilisateur ou un mauvais ciblage. Il est un indicateur indirect de qualité SEO.
Brand Content : Le Brand Content désigne les contenus créés par une marque dans une optique de valorisation de son identité, ses valeurs ou son expertise. Contrairement à la publicité traditionnelle, il mise sur l’éditorialisation pour renforcer la relation client, améliorer la notoriété de la marque et stimuler l’engagement de l’audience.
Branded keywords (Mots-clés de marque) : Les mots-clés de marque désignent les requêtes incluant un nom d’entreprise, de produit ou de service associé à une entité spécifique. Ces requêtes traduisent une intention de recherche orientée vers une marque identifiée, indiquant généralement une forte intention de conversion ou une fidélité utilisateur élevée.
Breadcrumb navigation (Fil d’Ariane) : La navigation par fil d’Ariane est une structure de liens internes permettant à l’utilisateur de visualiser son emplacement dans l’architecture du site. Elle favorise la navigation, améliore l’expérience utilisateur et renforce le maillage interne, tout en fournissant des signaux structurants aux moteurs pour mieux indexer les pages.
Bridge page (Page passerelle) : Les pages passerelles sont conçues pour se positionner sur un mot-clé précis, puis rediriger le visiteur vers une autre page ou site. Leur usage est sanctionné si elles sont utilisées à des fins de manipulation du référencement, notamment si elles apportent peu ou pas de valeur au contenu global.
Broken link (Lien mort) : Un lien mort est un hyperlien pointant vers une page ou ressource qui n’existe plus. En SEO, ces liens nuisent à l’expérience utilisateur, à l’autorité du site et à l’efficacité du maillage interne. Leur détection et leur correction font partie des bonnes pratiques d’entretien technique du site.
Cached page (Page en cache) : Une page en cache correspond à la version enregistrée par un moteur de recherche lors de son dernier crawl. Cette copie est utilisée pour afficher rapidement les résultats et accéder à la page si le serveur d’origine est inaccessible. Elle est aussi utile pour analyser ce que voit le moteur.
Calendrier éditorial : Le calendrier éditorial est un outil de planification stratégique des contenus à publier. Il permet d’organiser les publications selon les objectifs de communication, les événements marketing et les attentes du public cible. Il est essentiel pour maintenir une régularité éditoriale, optimiser le SEO et coordonner les actions sur les différents canaux.
Call-to-action : Un call-to-action (CTA) est un élément incitant à l’action, souvent représenté sous forme de bouton ou de lien accrocheur. Il guide l’utilisateur vers un objectif défini : inscription, achat, téléchargement… Sa rédaction et sa conception visuelle jouent un rôle central dans l’amélioration du taux de conversion d’un site web.
Cannibalisme : Le cannibalisme SEO survient lorsque plusieurs pages d’un site ciblent les mêmes mots-clés, provoquant une concurrence interne. Cela peut nuire au bon positionnement global, car les moteurs de recherche peinent à identifier la page la plus pertinente. Un audit régulier permet d’éviter ce phénomène par une rationalisation des contenus.
Canonical tag (Balise canonique) : La balise canonique est un élément HTML qui indique aux moteurs de recherche la version principale d’une page web lorsque plusieurs pages présentent un contenu similaire. Elle permet d’éviter les problèmes de contenu dupliqué et d’optimiser la répartition de l’autorité SEO sur la version de référence.
Canonical URL (URL canonique) : L’URL canonique est l’adresse web désignée comme version principale d’un contenu lorsqu’il existe plusieurs variantes. Elle guide les moteurs dans l’indexation en consolidant les signaux de pertinence sur une seule page, ce qui favorise la visibilité et limite la dilution du PageRank ou des signaux de classement.
Champ sémantique : Le champ sémantique désigne l’ensemble des mots et expressions liés à un mot-clé principal. Il enrichit le contenu en apportant des variantes lexicales et contextuelles. Utiliser un champ sémantique bien construit améliore la compréhension par les moteurs de recherche, renforce la pertinence thématique et favorise un meilleur positionnement.
Chatbot : Un chatbot est un assistant conversationnel automatisé, intégré à un site ou une application, capable de dialoguer avec les visiteurs en temps réel. Il répond aux questions fréquentes, oriente la navigation et facilite la relation client. Grâce à l’intelligence artificielle, il améliore l’expérience utilisateur tout en déchargeant le support humain.
ChatGPT : ChatGPT est un modèle conversationnel développé par OpenAI basé sur l’intelligence artificielle. Il comprend les requêtes textuelles, génère des réponses contextualisées et peut être utilisé pour automatiser la relation client, produire du contenu ou assister à la rédaction. Sa puissance repose sur l’analyse fine du langage naturel via des algorithmes d’apprentissage profond.
Cloaking : Le cloaking est une technique SEO interdite qui consiste à présenter un contenu différent aux moteurs de recherche et aux utilisateurs. Elle est utilisée pour tromper l’algorithme en affichant des mots-clés optimisés uniquement aux crawlers. Cette pratique de Black Hat peut entraîner une pénalisation ou un bannissement du site concerné.
CMS (Content Management System) : Un CMS est une plateforme permettant de créer, gérer et publier du contenu sur le web sans connaissances poussées en programmation. WordPress, Joomla ou Prestashop sont des exemples de CMS. Ils permettent un contrôle simplifié de l’architecture du site, tout en facilitant l’optimisation SEO et la gestion multi-auteurs.
Co-citation : La co-citation intervient lorsqu’un site est mentionné par deux autres sources sans qu’un lien direct soit établi. Les moteurs utilisent cette corrélation sémantique pour établir des relations entre contenus ou entités. Elle renforce la crédibilité d’un site par son association contextuelle à des sources reconnues.
Co-occurrence : La co-occurrence désigne la présence simultanée de mots-clés ou de termes sémantiquement liés dans des pages web traitant du même sujet. Les moteurs de recherche utilisent cette information pour évaluer la pertinence thématique d’un contenu et mieux le classer dans les résultats pour des requêtes connexes.
Cocon sémantique : Le cocon sémantique est une stratégie de structuration de contenus web basée sur une hiérarchie logique et thématique. Elle relie des pages autour d’un mot-clé principal par des liens internes optimisés. L’objectif est de renforcer la pertinence du site pour les moteurs de recherche tout en améliorant l’expérience utilisateur.
Community manager : Le community manager est responsable de la gestion de la présence d’une entreprise sur les réseaux sociaux. Il publie du contenu, interagit avec la communauté, surveille la réputation en ligne et analyse les performances. Son rôle est stratégique pour fédérer une audience, développer l’engagement et diffuser l’image de marque.
Computer-generated content (Contenu généré par ordinateur) : Ce contenu est produit par un logiciel ou une IA, avec ou sans intervention humaine. Son efficacité SEO dépend de sa qualité, de sa pertinence et de son originalité. Un contenu trop automatisé ou mal structuré peut être pénalisé s’il est jugé peu utile ou purement artificiel par les moteurs.
Content Delivery Network (CDN) : Un CDN est un réseau de serveurs répartis géographiquement qui délivre le contenu d’un site depuis le serveur le plus proche de l’utilisateur. Il réduit les temps de chargement, améliore la performance SEO, sécurise le trafic et absorbe les pics de charge, tout en optimisant l’expérience utilisateur globale.
Content hub (Plateforme de contenu) : Un content hub est une architecture de contenus interconnectés centrés sur une thématique précise. Elle regroupe des pages piliers et des contenus satellites qui se renforcent mutuellement par un maillage interne cohérent. Cette structure favorise la profondeur sémantique et le positionnement sur un ensemble de mots-clés connexes.
Content marketing : Le content marketing est une approche qui consiste à produire du contenu utile et pertinent pour attirer, informer et fidéliser une audience cible. Il s’intègre dans une stratégie d’inbound marketing et peut prendre la forme d’articles de blog, de livres blancs, de vidéos, de podcasts ou de publications sociales.
Contenu dupliqué : Le contenu dupliqué désigne des textes identiques ou très similaires présents sur plusieurs pages d’un même site ou sur différents sites. Cette pratique nuit au référencement naturel, car les moteurs privilégient l’originalité. Pour éviter les sanctions, chaque page doit proposer un contenu unique, informatif et structuré.
Conversion : La conversion correspond à l’action accomplie par un internaute après une interaction avec un site : achat, inscription, téléchargement… Elle mesure l’efficacité d’un tunnel de conversion. Le taux de conversion est un indicateur clé pour évaluer la performance d’un site ou d’une campagne marketing et adapter la stratégie digitale.
Cookie : Un cookie est un fichier texte déposé sur l’appareil d’un utilisateur lors de sa navigation. Il permet de stocker des informations sur ses préférences ou comportements. Les cookies sont utilisés pour le suivi statistique, le ciblage publicitaire ou la personnalisation de l’expérience utilisateur. Leur utilisation est réglementée par le RGPD.
Copywriting : Le copywriting est une technique de rédaction persuasive visant à inciter le lecteur à agir. Utilisé dans la publicité, les pages de vente, les emails ou les appels à l’action, il repose sur l’usage d’arguments psychologiques et d’un langage adapté à la cible. Un bon copywriting optimise le taux de conversion.
Core Update (Google) : Un Core Update est une mise à jour majeure de l’algorithme de Google qui impacte le classement des pages web dans les résultats de recherche. Elle vise à améliorer la pertinence des contenus affichés selon l’intention de recherche. Ces mises à jour peuvent entraîner des fluctuations importantes dans le SEO.
Core Web Vitals (Signaux Web Essentiels) : Les Core Web Vitals sont des indicateurs de performance UX introduits par Google. Ils mesurent la vitesse de chargement (LCP), l’interactivité (FID), et la stabilité visuelle (CLS) d’une page. Ces critères sont intégrés au classement SEO et reflètent l’importance croissante de l’expérience utilisateur dans l’algorithme.
Cornerstone content (Contenu cornerstone) : Le contenu cornerstone désigne les pages les plus importantes d’un site, souvent longues, structurées et riches en informations. Elles traitent en profondeur d’un thème central et servent de référence pour le maillage interne. Ces contenus sont pensés pour générer du trafic qualifié sur le long terme.
Courte traîne : Une expression de courte traîne se compose de un à trois mots-clés génériques. Elle génère un fort volume de recherche mais une forte concurrence, et capte un trafic peu qualifié. Ces mots-clés sont utiles pour la notoriété, mais doivent être associés à des expressions de longue traîne pour la conversion.
CPA (Coût par acquisition) : Le CPA représente le montant moyen dépensé pour acquérir un client ou générer une conversion via une campagne publicitaire. Il permet d’évaluer la rentabilité d’un investissement marketing. Un CPA faible signifie un bon retour sur investissement. Il s’utilise dans le suivi de performance des canaux d’acquisition.
CPC (Coût par clic) : Le CPC est le prix payé par un annonceur chaque fois qu’un utilisateur clique sur une publicité en ligne. C’est un mode de tarification courant dans les campagnes Google Ads ou Facebook Ads. Optimiser le CPC permet de réduire les coûts tout en maintenant le trafic qualifié.
CPM (Coût pour mille) : Le CPM est un indicateur publicitaire qui correspond au coût pour 1 000 impressions d’une publicité. Il est utilisé pour évaluer l’efficacité d’une campagne en termes de visibilité. C’est une méthode privilégiée pour les campagnes de notoriété ou les bannières affichées sur des sites partenaires.
Crawl : Le crawl désigne le processus d’exploration d’un site web par les robots des moteurs de recherche. Ces crawlers parcourent les pages pour analyser leur contenu et décider de leur indexation. L’accessibilité des pages, leur structure et leur rapidité influencent la qualité du crawl et donc le référencement.
Crawl budget (Budget de crawl) : Le budget de crawl correspond à la quantité de ressources qu’un moteur de recherche est prêt à consacrer à l’exploration d’un site. Il dépend de la popularité, de la structure technique et de la fréquence de mise à jour du site. Une bonne gestion optimise l’indexation des pages essentielles.
Crawlability (Explorabilité) : L’explorabilité désigne la capacité des robots d’exploration à accéder et parcourir le contenu d’un site web. Elle est influencée par la structure du site, les fichiers robots.txt, les balises meta et les erreurs techniques. Une bonne crawlabilité est indispensable pour assurer une indexation complète et efficace.
Crawler (Explorateur) : Un crawler est un bot utilisé par les moteurs de recherche pour parcourir le web, suivre les liens, analyser le contenu et collecter des données pour l’indexation. Le comportement du crawler influe sur le budget de crawl, l’ordre d’exploration des pages et leur prise en compte dans le classement.
CSS (Cascading Style Sheets) : Le CSS est un langage informatique utilisé pour gérer la présentation visuelle d’un site web. Il agit sur la mise en page, les couleurs, les polices et la structure responsive. Bien utilisé, il améliore l’expérience utilisateur et participe à l’optimisation SEO en réduisant le temps de chargement des pages.
CTA (Call-to-Action) : Le CTA est un élément cliquable (souvent un bouton) qui incite l’utilisateur à effectuer une action précise : s’abonner, acheter, télécharger. Placé de façon stratégique sur une page, le CTA doit être visuellement distinct, bien formulé et en cohérence avec les objectifs de conversion du site.
CTR (Click-Through Rate) : Le CTR, ou taux de clics, est un indicateur de performance qui mesure la proportion d’utilisateurs ayant cliqué sur une annonce par rapport au nombre total d’impressions. Il reflète la pertinence et l’attractivité du message publicitaire, et constitue un critère important dans l’évaluation du Quality Score.
DA (Domain Authority) : Le Domain Authority est un indicateur développé par Moz pour estimer la probabilité qu’un site se classe bien dans les moteurs de recherche. Noté sur 100, il prend en compte la quantité et la qualité des backlinks. Plus le score est élevé, plus le site est perçu comme fiable.
Densité : La densité de mots-clés indique la fréquence d’apparition d’un mot-clé dans un texte par rapport au total de mots. Bien qu’elle ne soit plus un critère décisif, une densité équilibrée reste importante pour le SEO. Une sur-optimisation peut être perçue comme du keyword stuffing et entraîner des pénalités.
Déréférencement : Le déréférencement est une procédure permettant de demander aux moteurs de recherche de supprimer un contenu spécifique de leurs résultats. Il est souvent utilisé pour protéger la réputation ou la vie privée. Le contenu n’est pas supprimé du site source, mais il devient invisible via certaines requêtes ciblées.
Digital Experience Platform (DXP) : Une DXP est un ensemble de solutions technologiques permettant de centraliser les contenus, les données utilisateurs et les canaux digitaux pour offrir une expérience personnalisée. Elle s’inscrit dans une démarche de transformation numérique et permet aux entreprises de diffuser des expériences cohérentes sur l’ensemble de leurs points de contact numériques.
Display Network : Le Display Network est un ensemble de sites partenaires sur lesquels Google diffuse des annonces visuelles (bannières, vidéos, rich media). Il permet d’élargir la portée des campagnes en dehors des moteurs de recherche, en ciblant les internautes selon leurs centres d’intérêt, leur comportement ou leur historique de navigation.
Do-follow : L’attribut do-follow, intégré dans un lien HTML, indique aux moteurs de recherche qu’ils doivent suivre ce lien et transmettre son autorité (ou « jus de lien ») à la page cible. Ce type de lien contribue activement au référencement naturel en renforçant la popularité des pages vers lesquelles il pointe.
Dofollow link (Lien Dofollow) : Un lien Dofollow est un hyperlien classique qui transmet l’autorité d’une page vers une autre, selon le principe du PageRank. Il est pris en compte par les moteurs de recherche dans le calcul du positionnement. Contrairement au Nofollow, il permet d’améliorer la visibilité SEO de la page cible.
Domain Rating (DR) : Le Domain Rating est un indicateur de force de domaine proposé par certains outils SEO. Il mesure la qualité et la quantité des backlinks pointant vers un site web, sur une échelle de 0 à 100. Un DR élevé suggère une forte autorité du domaine dans son écosystème sémantique.
Données clickstream : Les données clickstream désignent l’ensemble des actions de navigation d’un utilisateur sur un site : clics, pages visitées, ordre de visite, durée de session. Ces données permettent d’analyser le comportement de l’internaute afin d’optimiser l’ergonomie, les parcours utilisateurs, les contenus proposés et les stratégies de conversion du site.
Données structurées : Les données structurées sont des balises HTML enrichies (souvent au format Schema.org) qui aident les moteurs à mieux interpréter le contenu d’une page. Elles permettent l’affichage d’extraits enrichis dans les résultats de recherche (étoiles, prix, FAQ…), améliorant ainsi la visibilité, le taux de clics et la compréhension sémantique.
Doorway page (Page satellite) : Une doorway page est une page optimisée pour un mot-clé spécifique et destinée à rediriger les visiteurs vers une autre page. Jugée manipulatrice, cette pratique est sanctionnée par Google lorsqu’elle ne fournit pas de valeur ajoutée directe ou si elle altère l’expérience utilisateur.
Doxing : Le doxing (ou doxxing) est une pratique malveillante consistant à collecter et divulguer publiquement des informations personnelles sensibles d’une personne sans son consentement. Très souvent utilisé dans un contexte de harcèlement en ligne, le doxing est passible de poursuites judiciaires pour atteinte à la vie privée et diffamation.
Duplicate content (Contenu dupliqué) : Le contenu dupliqué désigne un même texte ou une version très similaire présent sur plusieurs URLs. Cela pose des problèmes d’indexation et peut diluer la performance SEO. Les moteurs privilégient une version principale (canonique) pour éviter de répartir le PageRank entre plusieurs versions similaires.
Dwell time (Temps d’arrêt) : Le dwell time est le temps passé par un utilisateur sur une page web après avoir cliqué sur un résultat de recherche, avant de revenir à la SERP. Cet indicateur comportemental est interprété par les moteurs comme un signal de satisfaction ou d’insatisfaction par rapport à la pertinence du contenu.
Dynamic URL (URL dynamique) : Une URL dynamique contient des paramètres générés par des scripts, souvent reconnaissables par des symboles comme « ? », « = », ou « & ». Ces URLs peuvent poser des difficultés pour l’indexation si elles génèrent du contenu dupliqué ou trop de combinaisons inutiles. Leur réécriture peut améliorer le SEO.
Earned Media : L’earned media désigne la couverture médiatique gratuite obtenue sans publicité payante : mentions spontanées, partages, citations, articles ou commentaires. Il reflète la reconnaissance et la réputation d’une marque. Parce qu’il repose sur des tiers indépendants, il est considéré comme plus crédible que le paid media, mais plus difficile à contrôler.
EAT (Expertise, Authority, Trustworthiness) : EAT est un concept fondamental de Google pour évaluer la qualité des contenus. Il repose sur l’expertise de l’auteur, l’autorité du site et la confiance que celui-ci inspire. Ces critères influencent fortement le référencement, notamment dans les domaines sensibles comme la santé, la finance ou le droit (YMYL).
Editorial link (Lien éditorial) : Un lien éditorial est un lien naturel obtenu sans démarche commerciale ou manipulation. Il est intégré dans un contenu par un éditeur tiers pour signaler une source pertinente ou fiable. Ces liens sont les plus valorisés par les moteurs, car ils reflètent une reconnaissance authentique de la qualité du contenu.
Email outreach (Prise de contact par email) : L’email outreach est une stratégie de diffusion de contenu ou de prospection qui consiste à contacter des sites ou influenceurs pour proposer un partenariat ou un lien. En SEO, c’est un levier central d’acquisition de backlinks de qualité à condition d’être personnalisé, ciblé et exempt de pratique abusive.
Enfouissement de liens : L’enfouissement de liens est une stratégie d’e-réputation visant à reléguer les pages négatives dans les résultats inférieurs des SERP, en produisant des contenus positifs mieux optimisés. Elle ne supprime pas les contenus litigieux, mais les rend moins visibles, permettant à une marque ou à une personne de reprendre le contrôle de son image.
Entonnoir : L’entonnoir de conversion représente le parcours type d’un internaute avant une action finale (achat, contact, inscription). Il est généralement divisé en plusieurs étapes : découverte (TOFU), considération (MOFU), décision (BOFU). Analyser les points de friction dans cet entonnoir permet d’optimiser la conversion et d’orienter les contenus selon l’étape du client.
Entry page (Page d’entrée) : La page d’entrée est la première page qu’un utilisateur découvre en accédant à un site via les résultats de recherche. C’est un point de contact stratégique, qui doit combiner pertinence sémantique, optimisation SEO et qualité de l’expérience utilisateur pour maximiser l’engagement dès l’arrivée.
Erreur 404 : L’erreur 404 s’affiche lorsqu’un utilisateur tente d’accéder à une page inexistante ou supprimée. Elle nuit à l’expérience utilisateur et au référencement si elle est fréquente. Il est recommandé d’implémenter des redirections 301 ou de concevoir une page 404 personnalisée et utile pour orienter l’internaute vers d’autres contenus.
Evergreen content (Contenu evergreen) : Le contenu evergreen est conçu pour rester pertinent sur le long terme. Il répond à des besoins informationnels durables et n’est pas lié à l’actualité. Ce type de contenu est particulièrement précieux en SEO car il continue à générer du trafic et des backlinks de manière constante, sans nécessiter d’actualisation fréquente.
eXclusion : L’exclusion permet d’indiquer les sites, applications ou emplacements où les annonces ne doivent pas apparaître. Elle contribue à améliorer la qualité du trafic, éviter les environnements peu pertinents ou risqués, et optimiser l’affichage sur les canaux les plus performants et adaptés.
Expression de recherche : Une expression de recherche est une combinaison de mots utilisée par l’internaute pour formuler une requête dans un moteur de recherche. Elle peut être générique ou spécifique, courte ou en longue traîne. L’analyse des expressions recherchées permet d’aligner les contenus avec les intentions des utilisateurs et de renforcer le SEO.
Extensions d’Annonce : Les extensions d’annonce ajoutent des informations complémentaires à une publicité textuelle, telles que le numéro de téléphone, des liens de site, une localisation géographique ou des avis clients. Elles renforcent la visibilité de l’annonce, améliorent le taux de clics et peuvent contribuer à un meilleur Ad Rank.
External link (Lien externe) : Un lien externe est un hyperlien placé sur votre site et pointant vers un autre domaine. Il permet d’enrichir le contenu, de référencer des sources ou d’améliorer la crédibilité de vos pages. Un usage judicieux et modéré favorise la pertinence globale sans affaiblir l’autorité du site émetteur.
Faceted navigation (Navigation à facette) : La navigation à facette permet aux utilisateurs de filtrer les résultats selon différents critères (taille, prix, couleur, etc.). Elle est courante sur les sites e-commerce. Mal configurée, elle peut générer des milliers d’URLs dupliquées nuisibles pour le SEO. Une gestion technique rigoureuse est essentielle.
FAQ (Foire Aux Questions) : Une FAQ regroupe les questions les plus fréquemment posées par les visiteurs, accompagnées de leurs réponses. Intégrée à un site, elle améliore l’expérience utilisateur, réduit le nombre de demandes au service client, et constitue une opportunité d’optimisation SEO, notamment grâce aux données structurées qui favorisent l’affichage en position enrichie.
Featured snippet : Un featured snippet, ou extrait optimisé, est un encart enrichi mis en avant dans les résultats de recherche de Google. Il occupe la « position 0 » et affiche une réponse directe à une requête. Bien structuré, ce type de contenu permet d’augmenter fortement la visibilité et le trafic organique d’un site.
Ferme de liens : Une ferme de liens est un réseau artificiel de sites dont l’unique but est de créer un grand nombre de backlinks entre eux pour manipuler les résultats de recherche. Cette pratique de Black Hat SEO est fortement pénalisée par Google, car elle ne repose pas sur la qualité, mais sur la quantité.
Fiche produit : La fiche produit présente les caractéristiques, avantages et visuels d’un article commercialisé sur un site e-commerce. Bien structurée, elle joue un rôle crucial dans la conversion et le référencement. Elle doit inclure un contenu unique, une description claire, des balises optimisées, et des éléments de réassurance (avis, stock, livraison…).
FMOT (First Moment of Truth) : Le FMOT désigne le premier moment de vérité dans le parcours d’achat. C’est l’instant où le consommateur, attiré par un stimulus (publicité, recommandation), décide de rechercher des informations avant de passer à l’acte d’achat. En SEO, c’est le moment clé où la présence et le contenu du site doivent convaincre.
Frequency Capping : Le Frequency Capping permet de limiter le nombre de fois qu’un internaute voit la même publicité sur une période donnée. Cette technique évite la lassitude, améliore l’expérience utilisateur et préserve l’image de marque tout en maintenant un bon équilibre entre exposition et efficacité publicitaire.
Gated content (Contenu bloqué) : Le contenu bloqué n’est accessible qu’après soumission d’informations personnelles (email, entreprise, etc.). Il est utilisé dans les stratégies de génération de leads. En SEO, ce contenu est peu indexable, sauf si une version partielle ou une description textuelle est mise à disposition des robots d’exploration.
Gateway page (Page satellite) : Synonyme de doorway page, une gateway page est spécifiquement conçue pour se positionner sur des requêtes précises puis rediriger le trafic. Elle est souvent perçue comme artificielle si elle ne présente pas de contenu utile. Google pénalise ces pages lorsqu’elles nuisent à la qualité de l’expérience utilisateur.
Geotargeting : Le geotargeting est une méthode de ciblage permettant de diffuser des annonces en fonction de la localisation géographique des internautes. Il offre une personnalisation accrue des campagnes, notamment pour des offres locales ou saisonnières, et améliore la pertinence des messages selon la zone ciblée.
Google Alerts (Alertes Google) : Google Alerts est un service gratuit qui informe automatiquement lorsqu’un nouveau contenu correspond à une requête définie. Il permet de surveiller sa réputation, les mentions de marque ou les tendances SEO. Bien qu’indirect, cet outil participe à une veille stratégique utile pour le référencement.
Google algorithm (Algorithme Google) : L’algorithme de Google désigne l’ensemble des règles et critères utilisés pour classer les pages dans les résultats de recherche. Il repose sur plusieurs centaines de signaux, dont la pertinence du contenu, l’expérience utilisateur, les backlinks ou la performance technique. Des mises à jour régulières modifient ses priorités.
Google Analytics : Google Analytics est un outil de mesure d’audience gratuit proposé par Google. Il fournit des données précises sur le trafic, le comportement des visiteurs et les conversions. Son utilisation est essentielle pour analyser les performances SEO, comprendre les parcours utilisateurs et ajuster les stratégies de contenu ou de positionnement.
Google Answer Box : La Google Answer Box est un encart positionné en haut des SERP affichant une réponse concise à une requête. Elle est générée automatiquement par Google et peut s’appuyer sur un extrait de site, une définition ou une donnée calculée. Elle vise à fournir une réponse immédiate sans clic, typique des recherches zéro-clic.
Google autocomplete (Autocomplétion Google) : Fonctionnalité qui suggère des requêtes de recherche au fur et à mesure de la saisie dans la barre de recherche Google. Ces suggestions sont basées sur les recherches populaires, l’historique et les tendances. Elle constitue un outil stratégique pour identifier les intentions de recherche et affiner le ciblage SEO.
Google bombing (Bombardement Google) : Technique de manipulation visant à positionner un site sur une requête non pertinente en multipliant les liens externes avec un même texte d’ancrage. Bien qu’ancienne et aujourd’hui peu efficace, elle illustre les dérives du SEO black-hat. Google a renforcé ses algorithmes pour neutraliser ces tentatives.
Google Business Profile (Profil Google Business) : Fiche d’établissement gratuite affichée sur Google Maps et dans les résultats locaux. Elle centralise les informations clés (adresse, horaires, avis clients, services). Optimiser son profil Google Business est essentiel pour toute stratégie de SEO local, car il influence directement la visibilité dans le pack local.
Google Caffeine : Mise à jour majeure de l’index de Google en 2010, qui a permis un traitement plus rapide, plus efficace et en temps réel du contenu. Elle a transformé la manière dont Google explore et indexe les pages, en rendant l’indexation plus continue et moins segmentée par lots.
Google dance (Danse de Google) : Expression utilisée pour désigner les fluctuations temporaires du classement d’un site dans les résultats de recherche lors d’une mise à jour algorithmique ou de l’intégration d’un nouveau contenu. Cette phase instable précède souvent une stabilisation du positionnement selon l’analyse du moteur.
Google Hummingbird : Mise à jour déployée en 2013 qui a introduit une meilleure compréhension des requêtes complexes en s’appuyant sur la recherche sémantique. Elle a permis à Google de privilégier l’intention globale derrière une requête plutôt que de se limiter aux mots-clés stricts, favorisant ainsi des contenus de fond et contextuels.
Google Knowledge Graph : Base de données utilisée par Google pour enrichir ses résultats avec des faits, des entités, des relations entre objets. Il permet à Google d’afficher des encadrés de type knowledge panel dans la SERP et d’offrir des réponses directes à des requêtes informationnelles précises.
Google Knowledge Panel : Encart présent à droite dans la SERP qui présente des informations synthétiques sur une entité (entreprise, personne, lieu). Alimenté par le Knowledge Graph, il améliore la visibilité de marque et renforce la confiance des utilisateurs. Son affichage dépend de l’autorité de la source et des données structurées.
Google My Business : Ancien nom du service désormais appelé Google Business Profile. Il permet aux entreprises de gérer leur présence sur Google Maps et dans les recherches locales. Sa gestion est cruciale pour optimiser la visibilité locale, recueillir des avis, publier des actualités et interagir avec les clients.
Google Panda : Mise à jour algorithmique majeure introduite en 2011 visant à pénaliser les sites à faible qualité de contenu (sites de fermes de contenus, duplicate content, pages pauvres). Elle a réorienté le SEO vers la production de contenus originaux, utiles et bien structurés, tout en favorisant les sites qualitatifs.
Google penalty (Pénalité Google) : Action prise par Google pour rétrograder ou désindexer une page ou un site entier ne respectant pas ses directives. Elle peut être manuelle (suite à une intervention humaine) ou algorithmique. Les causes fréquentes incluent le spam, les liens artificiels ou le cloaking. Une demande de réexamen peut être soumise.
Google Penguin : Mise à jour lancée en 2012 pour lutter contre le spam de liens et les techniques de manipulation des backlinks. Elle a pour but de pénaliser les sites ayant recours à des liens artificiels ou sur-optimisés. Depuis 2016, Penguin fonctionne en temps réel dans le cœur de l’algorithme.
Google Pigeon : Mise à jour de 2014 visant à améliorer la pertinence des résultats de recherche locale. Elle a renforcé l’impact des signaux traditionnels du référencement (liens, autorité) dans les résultats locaux et resserré les liens entre les résultats organiques et cartographiques pour refléter la position géographique de l’utilisateur.
Google sandbox : Théorie selon laquelle Google appliquerait un filtre temporaire aux nouveaux sites, les empêchant de se classer dans les premiers résultats malgré un contenu optimisé. L’existence de cette période d’attente n’est pas officiellement confirmée, mais reste observée par de nombreux professionnels du SEO.
Google Search Console : Outil gratuit de Google destiné aux webmasters pour suivre l’indexation, les performances SEO et la couverture des pages. Il permet également de détecter les erreurs techniques, soumettre des sitemaps, suivre les requêtes de recherche et corriger des problèmes liés aux balises ou au mobile.
Google Top Heavy Update : Mise à jour déployée pour pénaliser les pages avec un excès de publicité au-dessus de la ligne de flottaison. Elle cible les pages où les publicités masquent le contenu principal, dégradant ainsi l’expérience utilisateur. Elle encourage une présentation plus claire et utile du contenu.
Google Trends : Google Trends est un outil gratuit qui permet de suivre l’évolution des recherches autour d’un mot-clé ou d’un sujet sur Google. Il offre des données comparatives dans le temps, selon les régions et la saisonnalité. C’est un outil de veille utile pour le SEO, le content marketing et le SEA.
Google Webmaster Guidelines (Guide des webmasters de Google) : Document officiel définissant les bonnes pratiques recommandées par Google pour favoriser l’indexation et le classement d’un site. Il couvre les aspects techniques, éditoriaux, structurels et éthiques. Le non-respect de ces directives peut entraîner des pénalités ou une désindexation partielle.
Google Webmaster Tools (Outils webmaster de Google) : Nom antérieur de la Google Search Console. Cette suite d’outils permettait déjà aux webmasters d’optimiser leur visibilité dans les résultats Google. Elle a évolué vers une interface plus moderne et plus complète dédiée au suivi SEO, aux performances et à la détection des anomalies.
Googlebot : Robot d’exploration de Google chargé de parcourir le web pour découvrir et indexer de nouveaux contenus. Il utilise des algorithmes pour prioriser les pages à explorer. L’optimisation du crawl passe par une bonne structure de site, l’usage des fichiers robots.txt, des sitemaps et une stratégie de maillage interne claire.
Grey-hat SEO (SEO gris) : Pratique de référencement se situant entre les méthodes autorisées (white-hat) et interdites (black-hat). Elle exploite des zones floues des directives de Google, comme l’automatisation ou certains échanges de liens. Si elle peut améliorer temporairement le positionnement, elle comporte un risque de pénalisation future en cas de changement d’algorithme.
Growth hacking : Le growth hacking désigne l’ensemble des techniques marketing agiles, souvent automatisées, visant à accélérer la croissance d’une entreprise à moindre coût. Il s’appuie sur la créativité, l’analyse de données, l’expérimentation et les leviers digitaux pour acquérir rapidement des utilisateurs, générer des conversions et renforcer la viralité d’une offre ou d’un produit.
Guest blogging (Blogging invité) : Stratégie de création de contenu où une personne rédige un article publié sur un site tiers, généralement pour obtenir un backlink. Lorsqu’il est bien réalisé, le guest blogging renforce l’autorité, améliore le SEO et favorise la visibilité. Il doit être qualitatif, contextuel et éviter les pratiques de spam.
Guestographic (Graphique invité) : Forme de guest blogging centrée sur l’infographie. Un site propose une infographie à un autre éditeur de contenu en échange d’un backlink, souvent accompagné d’un texte explicatif. Cette méthode permet de gagner des liens de qualité en combinant visuels informatifs et stratégie éditoriale maîtrisée.
H1 tag (Balise H1) : Balise HTML qui désigne le titre principal d’une page web. Elle est cruciale pour le référencement naturel, car elle indique aux moteurs le sujet central de la page. Une page ne doit comporter qu’une seule balise H1, claire, optimisée avec le mot-clé principal et distincte des autres niveaux de titres.
Header tags (Balises titres) : Balises HTML (H1 à H6) qui structurent les contenus d’une page. Elles hiérarchisent l’information, facilitent la lecture et guident les moteurs de recherche dans l’analyse du sujet. Un usage logique et cohérent des balises titres renforce l’accessibilité, la clarté et la pertinence d’une page pour le SEO.
Headline : La headline est la première ligne visible d’une annonce textuelle. Elle joue un rôle capital pour capter l’attention de l’utilisateur et inciter au clic. Une bonne headline doit intégrer des mots-clés pertinents, refléter l’intention de recherche et susciter une réponse immédiate ou une curiosité.
Hébergement web : Service permettant de stocker les fichiers d’un site sur un serveur accessible par internet. Il détermine la performance, la sécurité et la disponibilité du site. Les offres varient selon le trafic, le stockage, la gestion technique et les outils inclus (base de données, e-mail, SSL…).
Hilltop algorithm : Mise à jour algorithmique introduite par Google en 2003 visant à valoriser les pages considérées comme sources d’autorité dans leur domaine. Elle identifie les sites experts et fiables pour mieux classer les résultats pertinents. Cette mise à jour a été une des premières à intégrer la notion d’expertise contextuelle.
Holistic SEO (SEO holistique) : Approche complète du référencement naturel qui considère l’ensemble des leviers SEO : technique, contenu, expérience utilisateur, mobile, performance, accessibilité, etc. L’objectif est d’optimiser le site dans sa globalité plutôt que de se focaliser sur des tactiques isolées. Elle favorise une croissance durable et organique.
Hreflang : Attribut HTML utilisé pour signaler aux moteurs de recherche les versions linguistiques et géographiques alternatives d’une même page. Indispensable pour les sites multilingues, il permet d’éviter le contenu dupliqué international et garantit que les utilisateurs voient la version adaptée à leur langue ou à leur localisation.
HTML : Le HTML (HyperText Markup Language) est le langage de base utilisé pour structurer les pages web. Il définit les titres, paragraphes, liens, images et éléments interactifs. Couplé au CSS pour le style et au JavaScript pour l’interactivité, il joue un rôle central dans l’optimisation SEO via ses balises (title, meta, Hn…).
HTTPS : Protocole sécurisé qui chiffre les échanges entre un navigateur et un serveur web, remplaçant HTTP. Il protège les données sensibles et est devenu un critère de confiance pour les internautes. Google considère HTTPS comme un facteur de classement, renforçant l’importance de la sécurité dans le référencement naturel.
Impression : Une impression désigne le simple affichage d’une annonce à l’écran, indépendamment du fait qu’elle ait été cliquée ou non. Elle permet de mesurer la visibilité et la portée d’une campagne publicitaire, en particulier dans les stratégies de notoriété ou de branding.
Impressions : Les impressions représentent le nombre de fois qu’un contenu (annonce, publication, page) est affiché à l’écran d’un internaute. Cet indicateur mesure la visibilité mais pas nécessairement l’engagement. Il est utilisé dans les campagnes publicitaires et les analyses de performance des contenus diffusés sur le web ou les réseaux sociaux.
Inbound link (Lien entrant) : Lien hypertexte provenant d’un autre site et pointant vers une page de votre site. Aussi appelés backlinks, ils sont un indicateur fort de popularité et de pertinence pour les moteurs de recherche. Leur qualité, leur contexte et leur diversité influencent fortement le positionnement dans les SERP.
Inbound marketing : L’inbound marketing est une stratégie visant à attirer les clients à soi via du contenu de qualité (articles, vidéos, livres blancs). Contrairement à la publicité intrusive, il mise sur la création de valeur, le référencement naturel, les réseaux sociaux et le nurturing pour convertir progressivement les visiteurs en clients fidèles.
Index Mobile First : L’Index Mobile First est une approche adoptée par Google depuis 2018 qui privilégie la version mobile d’un site pour l’analyse et l’indexation. Un site non responsive ou mal optimisé sur mobile peut voir son classement affecté. Il est donc essentiel d’assurer une expérience mobile fluide et rapide.
Indexability (Indexabilité) : Capacité d’une page à être ajoutée à l’index d’un moteur de recherche. Même si une page est accessible (crawlable), elle peut être non indexable en raison de balises noindex, directives dans le fichier robots.txt ou d’erreurs techniques. L’indexabilité est essentielle pour apparaître dans les résultats de recherche.
Indexation : L’indexation est le processus par lequel les pages d’un site sont enregistrées dans les bases de données des moteurs de recherche après leur exploration. Une page indexée devient éligible à l’affichage dans les SERP. Une bonne stratégie d’indexation repose sur une structure claire, un sitemap optimisé et l’absence d’erreurs techniques.
Informational query (Requête informationnelle) : Requête d’un utilisateur cherchant une information, sans intention immédiate d’achat ou d’action transactionnelle. Elle guide la création de contenu éditorial comme des guides, articles, tutoriels. Le SEO de ces requêtes repose sur la pertinence, la clarté et l’exhaustivité des réponses fournies par la page ciblée.
Intelligence artificielle : L’intelligence artificielle (IA) regroupe les technologies capables de simuler l’intelligence humaine. En SEO, elle est utilisée pour comprendre les intentions de recherche, générer du contenu, automatiser les campagnes marketing ou personnaliser les parcours utilisateurs. Les algorithmes comme BERT en sont un exemple appliqué à l’analyse linguistique.
Intention de recherche : L’intention de recherche reflète le besoin réel derrière une requête utilisateur. Elle peut être informative, navigationnelle, transactionnelle ou commerciale. Comprendre cette intention permet de créer un contenu pertinent et de mieux répondre aux attentes des internautes, ce qui améliore le taux de clic et le positionnement SEO.
Internal link (Lien interne) : Lien reliant deux pages d’un même site web. Il sert à organiser la navigation, répartir l’autorité (link juice) et guider les robots d’indexation. Une stratégie de maillage interne optimisée améliore l’exploration, renforce la pertinence thématique et participe à une meilleure visibilité des pages profondes.
Interstitial ad (Publicité interstitielle) : Annonce qui apparaît en plein écran lors du chargement ou de l’interaction avec un site. Elle peut nuire à l’expérience utilisateur, notamment sur mobile. Google pénalise les sites utilisant des interstitiels intrusifs, car ils entravent l’accès direct au contenu demandé.
Jalonnement : Le jalonnement correspond à l’établissement d’étapes ou d’objectifs précis dans le cadre d’une campagne SEA. Cette approche facilite le suivi des performances, la planification stratégique et les ajustements opérationnels, en créant des repères pour analyser la progression vers les résultats escomptés.
JavaScript : Le JavaScript est un langage de programmation permettant d’ajouter des fonctionnalités dynamiques à une page web. Il est utilisé pour les animations, les formulaires, les interactions utilisateurs et bien d’autres aspects interactifs. Toutefois, une mauvaise intégration peut freiner l’indexation SEO si les robots ne peuvent interpréter correctement les contenus générés.
Javascript SEO : Ensemble de techniques visant à rendre les sites utilisant JavaScript accessibles et indexables par les moteurs de recherche. Il s’agit de s’assurer que le contenu rendu dynamiquement est visible pour Googlebot. Cela inclut le rendu côté serveur, le pre-rendering ou l’usage de frameworks compatibles.
Keyword cannibalization (Cannibalisation de mot-clé) : Phénomène où plusieurs pages d’un même site ciblent la même requête, se concurrençant mutuellement. Cela dilue le SEO, nuit au positionnement et complique le travail d’indexation. Pour y remédier, il faut fusionner, rediriger ou repositionner les contenus concernés selon leur pertinence.
Keyword density (Densité de mot-clé) : Proportion d’un mot-clé dans le texte d’une page. Si une densité modérée peut indiquer la pertinence d’un contenu, une sur-optimisation peut être pénalisée. Il convient d’utiliser les mots-clés de manière naturelle, en veillant à leur bonne répartition dans les titres, paragraphes et balises.
Keyword difficulty (Difficulté de mot-clé) : Indice mesurant la difficulté à se positionner sur un mot-clé dans les résultats organiques. Calculé à partir de la concurrence, du nombre de backlinks nécessaires et de l’autorité des pages concurrentes. Cet indicateur aide à sélectionner les mots-clés selon la stratégie de visibilité visée.
Keyword Matching : Le keyword matching désigne le mode de correspondance entre les mots-clés choisis par l’annonceur et les requêtes des internautes. Il existe plusieurs types : correspondance large, expression exacte, ou mot-clé exact. Ce paramètre influence la diffusion, la pertinence et le contrôle des campagnes.
Keyword ranking (Positionnement de mot-clé) : Désigne la position qu’occupe une page dans les résultats de recherche pour un mot-clé donné. C’est une métrique clé pour suivre l’efficacité d’une stratégie SEO. Les variations de ranking permettent d’évaluer l’impact des optimisations, des mises à jour d’algorithmes ou de la concurrence sur la visibilité.
Keyword stemming (Simplification de mot-clé) : Procédé de traitement linguistique consistant à ramener un mot à sa racine (par exemple « fleur », « floraison », « florale » deviennent « fleur »). Google utilise ce mécanisme pour comprendre les variantes lexicales d’un même terme et enrichir la compréhension sémantique d’une requête ou d’un contenu.
Keyword stuffing (Bourrage de mot-clé) : Pratique obsolète de surutilisation excessive de mots-clés dans un contenu pour tenter de manipuler les algorithmes de classement. Désormais pénalisée par Google, cette technique nuit à la qualité du texte et à l’expérience utilisateur. Une densité équilibrée et naturelle est privilégiée pour éviter toute sanction.
Keywords (Mots-clés) : Termes ou expressions que les internautes saisissent dans les moteurs de recherche pour trouver de l’information. Les mots-clés sont au cœur de toute stratégie SEO : ils guident la création de contenu, le ciblage de pages, le maillage interne et les optimisations techniques liées au positionnement.
Knowledge Graph : Le Knowledge Graph est une base de données sémantique utilisée par Google pour enrichir les résultats de recherche avec des informations contextuelles sur des personnes, lieux, événements ou objets. Ces données apparaissent dans des encarts à droite des SERP et améliorent la qualité des réponses apportées aux internautes.
KPI (Key Performance Indicator) : Un KPI est un indicateur clé de performance servant à mesurer l’efficacité d’une action marketing ou d’un site web. En SEO, les KPI courants incluent le trafic organique, le taux de conversion, le taux de rebond ou le positionnement sur des mots-clés cibles. Ils orientent la prise de décision stratégique.
Landing Page : La landing page est la page de destination sur laquelle l’internaute atterrit après avoir cliqué sur une annonce. Sa qualité, sa pertinence par rapport à la requête, sa rapidité de chargement et sa capacité à convertir le trafic sont déterminants pour l’efficacité globale de la campagne.
Lead : Un lead est un contact qualifié qui a manifesté un intérêt pour l’offre d’une entreprise, généralement en remplissant un formulaire ou en téléchargeant un contenu. C’est une étape préalable à la conversion en client. Les leads peuvent être froids, tièdes ou chauds selon leur degré de maturité dans le parcours d’achat.
Lien externe : Un lien externe est un lien hypertexte présent sur un site web et pointant vers un autre domaine. Il peut enrichir un contenu, servir de source ou faciliter la navigation. En SEO, les liens externes peuvent également influencer la crédibilité d’un site, surtout s’ils pointent vers des sites fiables.
Lien hypertexte : Un lien hypertexte est une connexion entre deux documents ou pages web. Il permet de naviguer d’une page à une autre et joue un rôle central dans l’architecture d’un site. En référencement, les liens internes ou externes influencent la structure, la popularité et l’indexation du site.
Lien interne : Le lien interne relie deux pages du même site web. Il favorise la navigation, améliore l’accessibilité des contenus et répartit le “jus de lien” entre les pages. Un maillage interne bien conçu facilite le crawl des moteurs et renforce le référencement global du site.
Ligne de flottaison : La ligne de flottaison correspond à la limite visible de l’écran sans défilement. Les éléments situés au-dessus ont plus de chances d’être vus et cliqués. Dans le webdesign et le SEO, il est recommandé de placer les informations clés et les call-to-actions au-dessus de cette ligne pour optimiser l’engagement.
Ligne éditoriale : La ligne éditoriale est un ensemble de règles qui définissent le ton, les sujets, le format et le style des contenus produits par une marque. Elle garantit la cohérence des publications, renforce l’identité de marque et guide les rédacteurs dans la création de contenus pertinents et adaptés à leur audience.
Link bait (Appât à lien) : Contenu spécifiquement conçu pour attirer naturellement des backlinks en raison de sa valeur informative, utile ou originale. Il peut s’agir d’études, infographies, guides, ou contenus viraux. Le link bait renforce le profil de liens entrants et améliore la notoriété ainsi que la visibilité SEO du site.
Link building (Construction de lien / Netlinking) : Ensemble des techniques visant à obtenir des liens entrants de qualité depuis d’autres sites. Ces backlinks améliorent l’autorité perçue d’un site par les moteurs de recherche. Les stratégies incluent le contenu invité, les relations presse digitales, les contenus viraux ou les partenariats éditoriaux.
Link equity (Équité de lien) : Quantité d’autorité (link juice) transmise d’une page à une autre via un lien. Cette valeur dépend de la qualité, de la pertinence et de la structure du site source. Le link equity joue un rôle central dans l’algorithme de classement, notamment dans le calcul du PageRank.
Link exchange (Échange de liens) : Accord entre deux sites pour créer réciproquement des liens. Si l’échange est naturel et contextuel, il peut être bénéfique. Toutefois, les échanges artificiels ou excessifs sont contraires aux consignes de Google et peuvent entraîner une pénalité en cas d’abus manifeste.
Link farm (Ferme à liens) : Réseau de sites web créés dans le seul but de générer artificiellement des backlinks en masse. Ces pratiques, associées au black-hat SEO, sont activement pénalisées par les moteurs de recherche. Elles dégradent la qualité du web et exposent les sites ciblés à des sanctions sévères.
Link juice : Le link juice est un terme désignant la puissance SEO qu’un lien transmet à la page cible. Plus un lien provient d’une page populaire et bien positionnée, plus il apporte de valeur. Le link juice circule aussi à travers les liens internes, ce qui rend le maillage stratégique crucial pour le SEO.
Link popularity (Popularité de lien) : Mesure de la notoriété d’un site fondée sur le nombre et la qualité des liens entrants. Plus un site reçoit de backlinks de sites réputés, plus sa popularité de lien est élevée. Cette métrique influence le positionnement organique dans les moteurs de recherche.
Link profile (Profil de lien) : Ensemble des backlinks d’un site analysé selon plusieurs critères : quantité, diversité, qualité, ancres, dofollow/nofollow, etc. Un profil de lien naturel, équilibré et cohérent est essentiel pour la crédibilité SEO. À l’inverse, un profil sur-optimisé ou toxique peut entraîner une pénalité.
Link reclamation (Réclamation de liens) : Stratégie visant à récupérer des backlinks perdus ou oubliés. Cela inclut la correction de liens brisés, la récupération de mentions sans lien ou la mise à jour de redirections incorrectes. Cette technique améliore la stabilité du profil de lien et renforce la visibilité sans créer de nouveaux contenus.
Link rot (Péremption des liens) : Phénomène selon lequel certains liens deviennent obsolètes avec le temps, souvent en raison de pages supprimées ou déplacées. Le link rot dégrade l’expérience utilisateur et le SEO. Il convient de surveiller régulièrement les liens sortants pour garantir la validité et la pertinence du maillage.
Link scheme (Schéma de liens) : Ensemble de pratiques visant à manipuler les classements dans les moteurs de recherche via des backlinks non naturels. Google condamne fermement les schémas de liens, incluant les ventes de liens, les fermes à liens, les échanges excessifs ou les backlinks en masse sans contexte pertinent.
Link spam (Spam de liens) : Création ou insertion de liens non naturels dans des contenus pour manipuler les résultats de recherche. Exemples : commentaires de blogs automatisés, forums, profils, etc. Ces pratiques relèvent du black-hat SEO et sont sanctionnées par les algorithmes ou par des actions manuelles de Google.
Link velocity (Vélocité de lien) : Vitesse à laquelle un site obtient de nouveaux backlinks. Une croissance trop rapide ou suspecte peut alerter les moteurs de recherche, notamment en cas de liens non naturels. Une vélocité régulière, organique et justifiée par la qualité du contenu renforce la crédibilité du site.
Link-building : Le link-building est une stratégie visant à obtenir des liens entrants de qualité vers son site. Ces backlinks, s’ils proviennent de sources fiables et pertinentes, renforcent l’autorité du domaine et améliorent le référencement naturel. Il s’agit d’un levier clé de la stratégie off-page, complémentaire au maillage interne.
Local business schema (Schéma d’entreprise locale) : Données structurées utilisées pour informer les moteurs de recherche des détails d’une entreprise locale (nom, adresse, horaires, services). Ce balisage améliore la visibilité dans les résultats locaux, enrichit les extraits dans la SERP et facilite l’indexation de l’information pour les robots.
Local citation (Citation locale) : Mention en ligne du nom, de l’adresse et du numéro de téléphone (NAP) d’une entreprise. Elle peut figurer sur des annuaires, sites d’avis ou portails sectoriels. Les citations cohérentes et exactes renforcent la crédibilité locale et favorisent un bon classement dans les résultats géolocalisés.
Local pack (Pack local) : Bloc de résultats affiché par Google pour les requêtes à intention locale. Il inclut généralement une carte, trois fiches d’entreprise (issus de Google Business Profile), les notes, horaires et itinéraires. Être présent dans ce pack est un levier essentiel pour les établissements physiques.
Local search marketing (Marketing de recherche locale) : Stratégie de visibilité visant à améliorer la présence d’une entreprise dans les résultats de recherche locaux via SEO, Google Ads, citations et gestion de l’e-réputation. Elle est cruciale pour les commerces de proximité et les services à implantation géographique définie.
Local SEO (SEO local) : Optimisation de la visibilité d’un site ou d’un établissement pour les recherches locales. Elle s’appuie sur les profils Google Business, les backlinks locaux, les citations, les avis clients et la pertinence géographique des contenus. Le SEO local est incontournable pour les entreprises à ancrage territorial.
Log file analysis (Analyse de logs) : Technique d’analyse des fichiers journaux d’un serveur pour comprendre le comportement des robots d’indexation. Elle permet d’identifier les pages les plus explorées, les erreurs d’exploration, les ressources ignorées et d’optimiser le crawl budget. Cet outil est essentiel pour affiner les priorités d’indexation dans une stratégie SEO.
Logiciels d’optimisation web & A/B Testing : Ils permettent de tester différentes versions d’une page web pour comparer leur efficacité (taux de clic, conversion). Ces outils mesurent les performances et aident à ajuster le design, les textes ou les parcours utilisateur afin d’améliorer l’expérience globale et les résultats marketing.
Logiciels de création de formulaires : Ils facilitent la conception de formulaires personnalisés (contact, sondage, inscription) avec des champs dynamiques, des règles de validation et une intégration CRM ou email. Utilisés en marketing ou en RH, ils collectent des données utiles au pilotage ou à la qualification des prospects.
Logiciels de création de site web & CMS : Ils permettent de créer un site sans compétence en développement grâce à des éditeurs visuels. Les CMS (Content Management Systems) structurent les contenus, permettent leur mise à jour facile et intègrent des plugins pour personnaliser les fonctionnalités selon les besoins métiers.
Logiciels de growth hacking & scraping : Ces outils permettent d’automatiser la collecte de données sur le web (scraping), d’identifier des opportunités de croissance et de mener des actions marketing ciblées. Utilisés avec prudence, ils accélèrent la génération de leads et optimisent les campagnes en exploitant intelligemment les données externes.
Logiciels de landing pages : Ils permettent de créer des pages d’atterrissage optimisées pour la conversion. Utilisés dans les campagnes publicitaires ou d’emailing, ils facilitent la personnalisation du message, la collecte de leads et la mesure des performances via des tests A/B ou des intégrations CRM.
Logiciels de monitoring & sécurité de site web : Ils surveillent la disponibilité, la vitesse, la sécurité et les erreurs d’un site. Ils alertent en cas de problème (intrusion, ralentissement, contenu défectueux) et permettent une réaction rapide. Indispensables pour garantir la fiabilité et la protection des sites sensibles ou à fort trafic.
Logiciels de référencement SEO & SEA : Ils accompagnent les entreprises dans l’optimisation de leur visibilité en ligne : mots-clés, contenu, performance technique pour le SEO ; gestion des campagnes publicitaires pour le SEA. Ces outils analysent le positionnement, la concurrence et fournissent des recommandations pour améliorer la présence sur les moteurs de recherche.
Logiciels RGPD & CMP : Ils permettent de gérer la conformité au Règlement Général sur la Protection des Données, notamment via des bannières de consentement, des outils de gestion des droits des utilisateurs et des journaux de traçabilité. Les CMP (Consent Management Platforms) garantissent le respect des obligations légales sur les données personnelles.
Long-tail keyword (Mot-clé longue-traîne) : Expression de recherche spécifique et généralement plus longue, composée de trois mots ou plus. Bien que le volume de recherche soit plus faible, l’intention est souvent plus claire, ce qui augmente le taux de conversion. Les mots-clés longue-traîne permettent de capter un trafic qualifié et moins concurrentiel.
Longue traîne : La longue traîne est constituée de requêtes très spécifiques, souvent composées de plus de trois mots. Elles génèrent moins de trafic que les requêtes génériques mais sont moins concurrentielles et plus qualifiées. En SEO, elles permettent de capter une audience ciblée avec un fort potentiel de conversion.
LSI keywords (Mots-clés LSI) : Bien que les « mots-clés LSI » (Latent Semantic Indexing) soient un terme populaire en SEO, leur usage est un abus de langage. Google n’utilise pas cette technologie, mais le concept désigne plutôt des expressions sémantiquement proches. Ces mots associés améliorent la compréhension thématique d’un contenu par les moteurs de recherche.
LTV (Lifetime Value) : La Lifetime Value (LTV) représente la valeur financière totale qu’un client apportera à une entreprise pendant toute la durée de sa relation commerciale. Elle se calcule à partir du panier moyen, de la fréquence d’achat et de la durée de fidélité. C’est un indicateur stratégique pour évaluer la rentabilité d’un portefeuille clients.
Maillage externe : Le maillage externe désigne les liens sortants depuis un site vers des domaines tiers. Il permet d’enrichir le contenu, de renvoyer vers des sources fiables et de créer un écosystème de confiance. Bien géré, il montre aux moteurs que le site participe à un réseau d’information cohérent et de qualité.
Maillage interne : Le maillage interne est l’organisation des liens reliant les pages d’un même site. Il aide à structurer la navigation, à répartir l’autorité SEO entre les pages, à améliorer l’expérience utilisateur et à faciliter l’indexation par les moteurs. Il est fondamental dans toute stratégie de référencement naturel efficace.
Manual action (Action manuelle) : Sanction appliquée par un examinateur humain de Google lorsqu’un site enfreint les consignes pour webmasters. Elle peut entraîner un déclassement ou une exclusion partielle ou totale des résultats de recherche. Corriger les problèmes et soumettre une demande de réexamen est nécessaire pour lever l’action manuelle.
Manual Bidding : Le manual bidding consiste à fixer manuellement les enchères pour chaque mot-clé ou emplacement. Cette méthode donne à l’annonceur un contrôle précis sur les dépenses et la stratégie, mais nécessite une analyse régulière et une expertise avancée pour rester performant face à la concurrence.
Marketing automation : Le marketing automation regroupe les outils et techniques permettant d’automatiser les actions marketing répétitives : envoi de mails, segmentation, scoring de leads, publications. Il améliore la réactivité, la personnalisation et la productivité. Couplé au CRM, il permet de suivre le cycle de vie du prospect jusqu’à la conversion.
Marketing direct : Le marketing direct consiste à adresser un message ciblé à un individu sans intermédiaire. Il utilise des canaux comme l’email, le SMS, le publipostage ou les appels. Il repose sur la personnalisation et l’interactivité pour inciter à une réponse immédiate. Son efficacité dépend fortement de la qualité de la base de données.
Marketplace : Une marketplace est une plateforme en ligne qui met en relation vendeurs et acheteurs. Les e-commerçants y bénéficient de la visibilité et de la logistique du site hôte en échange de commissions. C’est un modèle de distribution efficace pour toucher un large public sans créer son propre canal de vente.
Meta description : La meta description est un court résumé du contenu d’une page, visible sous le lien dans les SERP. Bien qu’elle n’influence pas directement le classement, elle joue un rôle essentiel dans le taux de clic. Rédigée avec soin, elle incite les internautes à visiter le site grâce à un message convaincant.
Meta keywords (Mots-clés meta) : Ancienne balise HTML qui permettait d’indiquer les mots-clés principaux d’une page aux moteurs de recherche. Aujourd’hui obsolète pour Google, elle n’est plus utilisée pour le classement, mais peut subsister sur certains CMS ou moteurs secondaires. Elle est désormais ignorée par les principales plateformes de recherche.
Meta redirect : Type de redirection HTML ou JavaScript qui renvoie automatiquement un utilisateur vers une autre URL après un délai défini. Moins recommandé que les redirections 301 ou 302, ce mécanisme est parfois utilisé comme solution temporaire. Il peut poser des problèmes de SEO s’il est mal implémenté.
Meta robots tag (Balise meta robots) : Balise HTML permettant de donner des instructions aux moteurs de recherche concernant l’indexation et le suivi des liens sur une page. Les attributs courants incluent “index”, “noindex”, “follow” et “nofollow”. Cette balise est utile pour affiner le contrôle du crawl sans bloquer l’accès via robots.txt.
Meta tags (Balises meta) : Ensemble de balises HTML placées dans l’en-tête d’une page. Elles fournissent des informations aux moteurs de recherche : titre, description, consignes d’indexation, auteur, charset, etc. Elles ne sont pas toutes prises en compte pour le SEO mais jouent un rôle clé dans l’accessibilité et la présentation.
Meta titre : Le meta titre, ou title tag, est le titre affiché en bleu dans les résultats des moteurs de recherche. Il s’agit d’une balise HTML cruciale pour le SEO. Il doit contenir les mots-clés principaux, être unique et inciter au clic, car il impacte fortement le positionnement et l’attractivité d’une page.
Mirror site (Site miroir) : Copie exacte d’un site existant, hébergée sur un autre serveur. Utilisée pour répartir la charge ou proposer des versions localisées, cette pratique peut poser des problèmes de contenu dupliqué si elle n’est pas correctement balisée avec des balises canoniques. Elle nécessite une gestion technique rigoureuse.
Mobile-first indexing (Indexation mobile-first) : Depuis 2019, Google indexe par défaut les sites en utilisant leur version mobile. Les performances SEO dépendent donc de l’optimisation mobile (responsive design, vitesse, contenu identique à la version desktop). Cette approche reflète les usages majoritairement mobiles des internautes et incite à prioriser l’expérience mobile.
Mobinaute : Un mobinaute est un utilisateur qui navigue sur internet via un appareil mobile, principalement un smartphone ou une tablette. Cette typologie d’utilisateur représente une part croissante du trafic web. Les mobinautes exigent une expérience fluide, rapide et responsive, rendant leur satisfaction essentielle pour le référencement et la conversion mobile.
MOFU (Middle of the Funnel) : MOFU représente la phase médiane de l’entonnoir de conversion. À ce stade, les prospects ont identifié leur besoin et comparent différentes solutions. Le contenu MOFU (études de cas, webinaires, démos) vise à convaincre l’audience de la pertinence de votre solution face à la concurrence et à nourrir la relation commerciale.
Mot-clé : Un mot-clé représente le terme principal sur lequel une page souhaite être référencée. Il peut être générique ou de longue traîne. Bien choisi, il permet de capter un trafic qualifié. La stratégie autour des mots-clés inclut leur intégration pertinente, leur variété sémantique et leur cohérence avec le contenu proposé.
Moteur de recherche : Un moteur de recherche est un système qui parcourt le web, indexe les pages et affiche les résultats en fonction des requêtes utilisateurs. Google, Bing ou Qwant sont des moteurs. Leur fonctionnement repose sur des algorithmes d’analyse de pertinence, de popularité et de qualité. Optimiser son site pour eux est au cœur du SEO.
Mots-clés : Les mots-clés sont les termes ou expressions que les internautes saisissent dans les moteurs de recherche. Ils reflètent leurs intentions. En SEO, identifier et intégrer des mots-clés pertinents dans le contenu, les balises, et les URL est essentiel pour se positionner dans les résultats sur des requêtes stratégiques.
MQL (Marketing Qualified Lead) : Un MQL est un prospect qui a montré un intérêt significatif pour les produits ou services d’une entreprise (via téléchargements, interactions, navigation), mais qui n’est pas encore prêt à acheter. Il s’agit d’un lead à qualifier davantage avant de le transmettre à l’équipe commerciale, dans une logique d’alignement marketing/ventes.
Native advertising : La publicité native est un format publicitaire intégré de manière naturelle dans le contenu éditorial. Elle s’adapte au style et au ton du média hôte, ce qui la rend moins intrusive que les formats classiques. Le native advertising vise à capter l’attention tout en renforçant la crédibilité du message publicitaire.
Natural link (Lien naturel) : Lien hypertexte obtenu sans sollicitation, échange ou rémunération. Il résulte d’un contenu jugé suffisamment pertinent ou utile par un autre site. Les liens naturels sont les plus valorisés par les moteurs de recherche car ils reflètent la notoriété organique d’un site et contribuent à son autorité.
Navigational query (Requête navigationnelle) : Requête effectuée avec l’intention d’accéder à un site web ou une page spécifique, souvent en tapant le nom de marque ou d’un service connu. Exemple : “LinkedIn login” ou “Le Monde”. Les marques doivent s’assurer d’un bon référencement sur ces termes pour capter leur audience directe.
Negative Keywords : Les negative keywords permettent d’exclure certains termes des déclencheurs d’annonces. Cette pratique permet d’éviter l’affichage sur des requêtes non pertinentes, d’économiser le budget publicitaire et d’améliorer le taux de conversion en concentrant les efforts sur une audience qualifiée.
Negative SEO (SEO négatif) : Ensemble de pratiques malveillantes destinées à nuire au référencement d’un site concurrent : création de liens toxiques, copie de contenu, injection de malware, etc. Bien que rares, ces attaques existent. La surveillance régulière du profil de lien et l’utilisation d’outils comme Google Search Console permettent de s’en prémunir.
Netlinking : Le netlinking consiste à obtenir des liens entrants (backlinks) vers son site depuis des sites tiers. C’est un levier fondamental du SEO off-page. Un profil de liens qualitatif améliore l’autorité du domaine, la popularité des pages et leur positionnement. Une stratégie de netlinking demande rigueur, pertinence et vigilance.
Newsjack : Le newsjacking est une technique marketing qui consiste à rebondir rapidement sur un sujet d’actualité pour promouvoir son entreprise. Cette stratégie accroît la visibilité et génère du trafic si elle est bien exécutée. Mal utilisée, elle peut nuire à la réputation si perçue comme opportuniste ou déplacée.
NLP (Natural Language Processing) : Le NLP est un domaine de l’IA qui permet aux machines de comprendre, traiter et générer du langage humain. En SEO, le NLP est utilisé pour analyser les contenus, améliorer les résultats de recherche, adapter les chatbots et optimiser l’expérience utilisateur par une compréhension fine des intentions.
No index : La directive « noindex » signale aux moteurs de recherche de ne pas indexer une page donnée. Elle est utile pour éviter l’indexation de contenus sensibles, dupliqués ou sans valeur SEO. Elle se place généralement dans la balise meta robots ou dans les fichiers de configuration serveur.
No-code : Le no-code désigne une technologie permettant de créer des sites ou des applications sans écrire une seule ligne de code. Il repose sur des interfaces visuelles et des modules préconfigurés. Le no-code démocratise l’accès au développement web, tout en facilitant la rapidité de déploiement et l’agilité des projets digitaux.
Nofollow : L’attribut « nofollow » indique aux moteurs de recherche de ne pas suivre un lien ni de transmettre d’autorité à la page cible. Il est utilisé pour les liens sponsorisés, les contenus non fiables ou les commentaires d’utilisateurs. Bien utilisé, il contrôle la diffusion du link juice et évite les pénalités.
Noindex tag (Balise noindex) : Directive HTML insérée dans l’en-tête d’une page ou via le protocole HTTP. Elle indique aux moteurs de recherche de ne pas indexer la page concernée. C’est un outil utile pour les pages sans valeur SEO (ex : politique de confidentialité, résultats de recherche internes).
Nom de domaine : Le nom de domaine correspond à l’adresse d’un site sur internet. Il inclut le nom choisi par l’entreprise et une extension (.fr, .com, etc.). Il est crucial pour la crédibilité, la mémorisation et le référencement. Un bon nom de domaine doit être simple, identifiable, et adapté au marché visé.
Noreferrer : Attribut HTML qui empêche le navigateur de transmettre l’URL de la page d’origine (le “referer”) au site cible lors d’un clic sur un lien. Il est utilisé pour préserver la confidentialité ou pour éviter de transférer d’autorité entre deux pages.
Not provided : Terme apparaissant dans Google Analytics depuis que Google a décidé de chiffrer les requêtes effectuées par les utilisateurs connectés. Résultat : les mots-clés générateurs de trafic organique ne sont plus visibles individuellement. Cela limite l’analyse du référencement et impose l’utilisation d’outils complémentaires pour pallier ce manque.
Off-page SEO : Désigne toutes les actions menées en dehors du site web pour améliorer son positionnement dans les moteurs de recherche. Cela inclut principalement la création de backlinks, le marketing de contenu, les relations presse, les mentions de marque ou encore la présence sur les réseaux sociaux. L’objectif est de renforcer la notoriété, l’autorité et la popularité du site.
On-page SEO : Correspond à l’ensemble des techniques d’optimisation réalisées directement sur les pages du site afin d’améliorer leur visibilité dans les résultats des moteurs de recherche. Cela comprend la structure du contenu, les balises HTML (title, H1, meta), les liens internes, l’optimisation des images, la vitesse de chargement et l’expérience utilisateur.
Open Graph meta tags : Balises HTML développées par Facebook pour améliorer la présentation des liens partagés sur les réseaux sociaux. Elles définissent des éléments comme le titre, la description, l’image ou l’URL. Utilisées par d’autres plateformes sociales comme LinkedIn ou X (anciennement Twitter), elles permettent un meilleur contrôle du contenu affiché.
Opt-in : L’opt-in est un consentement explicite donné par un utilisateur pour recevoir des communications marketing. Il garantit une conformité au RGPD et assure une relation de confiance avec l’audience. Les opt-ins sont souvent récoltés via des formulaires avec case à cocher, indiquant l’acceptation des conditions de communication.
Opt-out : L’opt-out permet à un utilisateur de se désabonner ou de refuser de recevoir des messages marketing. Il répond aux obligations légales de protection des données personnelles. Chaque email commercial doit contenir un lien de désinscription clair, garantissant la possibilité de retrait à tout moment.
Optimisation : L’optimisation web, notamment SEO, consiste à améliorer différents aspects d’un site pour le rendre plus performant et mieux classé par les moteurs de recherche. Elle porte sur le contenu, la technique, les liens, l’expérience utilisateur, et doit être continue pour s’adapter aux évolutions des algorithmes et du comportement des internautes.
Optimization Score : L’Optimization Score est un indicateur fourni par Google Ads qui évalue le potentiel d’amélioration d’un compte publicitaire. Accompagné de recommandations concrètes, il aide les annonceurs à maximiser la performance de leurs campagnes en optimisant leurs paramétrages, annonces et stratégies d’enchères.
Organic search results (Résultats de recherche organiques) : Résultats naturels fournis par un moteur de recherche en réponse à une requête. Ils ne sont pas influencés par la publicité payante. Leur classement dépend de nombreux critères algorithmiques comme la pertinence du contenu, l’autorité du domaine et la qualité technique du site.
Organic traffic (Trafic organique) : Trafic généré par les résultats de recherche naturels. Contrairement au trafic payant, il ne découle pas d’une campagne publicitaire. Il constitue une source précieuse et durable de visites qualifiées, à condition d’être soutenu par une stratégie SEO efficace et continue.
Orphan page (Page orpheline) : Page web qui n’est reliée par aucun lien interne à d’autres pages du site. Elle peut être difficile à découvrir par les moteurs de recherche et les visiteurs, ce qui nuit à son indexation. Les audits SEO aident à identifier ces pages pour améliorer la structure du maillage interne.
Outbound link (Lien sortant) : Lien hypertexte présent sur une page qui redirige vers un site externe. Bien utilisé, il enrichit l’expérience utilisateur en fournissant des sources pertinentes. Cependant, il est recommandé de ne pas en abuser et de vérifier leur qualité pour éviter de transmettre de l’autorité à des sites peu fiables.
Outbound marketing : L’outbound marketing regroupe les actions publicitaires traditionnelles, où l’entreprise va vers le prospect (publicité télé, affichage, emailing, cold calling). Contrairement à l’inbound marketing, il s’adresse à une audience plus large mais moins qualifiée. Bien utilisé, il reste pertinent dans une stratégie multicanale ou pour des campagnes ciblées à fort impact.
Outreach marketing : L’outreach marketing consiste à entrer en contact avec des influenceurs, blogueurs, journalistes ou sites partenaires pour promouvoir un contenu, une marque ou un produit. Il s’agit d’une démarche proactive visant à obtenir des mentions, des liens ou de la visibilité auprès d’une audience établie.
Owned media : Les owned media sont les supports de communication détenus par une entreprise : site web, blog, newsletter, réseaux sociaux. Contrairement au paid media, ils ne nécessitent pas de dépenses publicitaires. Ils permettent de maîtriser le message, de développer une audience fidèle et d’ancrer une stratégie de contenu durable.
PAA (People Also Ask) : Les PAA sont des encarts dynamiques affichés dans les SERP par Google, regroupant des questions connexes à la requête initiale. Chaque clic ouvre une réponse concise issue d’un site web. Optimiser ses contenus pour répondre à ces questions permet d’accroître sa visibilité et de capter des positions stratégiques.
Page orpheline : Une page orpheline est une page web qui n’est liée à aucune autre page du même site. Elle est difficile à explorer par les moteurs, ce qui limite son indexation et son trafic. Identifier et intégrer ces pages dans le maillage interne est crucial pour améliorer leur visibilité.
Page Rank : Le PageRank est un algorithme historique de Google qui mesure l’importance d’une page web en fonction du nombre et de la qualité des liens reçus. Bien que son influence directe soit moindre aujourd’hui, il reste un indicateur fondamental de l’autorité d’un site dans l’évaluation SEO globale.
Page speed (Vitesse de page) : Temps nécessaire au chargement complet d’une page web. C’est un facteur de classement pris en compte par Google car il influe sur l’expérience utilisateur. Une vitesse trop lente entraîne un taux de rebond plus élevé et un taux de conversion plus faible, d’où l’importance de l’optimisation technique.
PageRank : Algorithme historique développé par Google pour évaluer l’importance d’une page web en fonction de la quantité et de la qualité des liens entrants. Bien que son fonctionnement ait évolué, la notion de popularité via les backlinks reste fondamentale dans le référencement naturel.
PageRank sculpting : Le PageRank sculpting est une technique visant à diriger le flux de popularité interne d’un site (link juice) vers les pages stratégiques. Cela implique de gérer les liens internes et les attributs nofollow pour contrôler la répartition de l’autorité SEO. Elle doit être utilisée avec finesse pour ne pas nuire au crawl.
Paid link (Lien payé) : Lien acquis contre rémunération dans un but de référencement. Google considère cette pratique comme contraire à ses directives lorsqu’elle n’est pas signalée avec l’attribut “rel=sponsored” ou “rel=nofollow”. Les liens payants non balisés peuvent entraîner des sanctions algorithmiques ou manuelles.
Paid media : Le paid media regroupe tous les canaux payants utilisés pour promouvoir une entreprise : annonces Google Ads, publicité display, posts sponsorisés, retargeting. C’est un levier efficace pour accroître la notoriété, générer du trafic rapidement ou cibler une audience spécifique. Il complète les efforts en earned et owned media.
Pay-Per-Click (PPC) : Le modèle PPC, ou coût par clic, consiste à facturer l’annonceur uniquement lorsqu’un utilisateur clique sur son annonce. Il offre une maîtrise budgétaire et une visibilité sur le retour sur investissement, particulièrement adapté aux campagnes orientées vers la performance et les conversions mesurables.
Pénalité : Une pénalité est une sanction infligée par un moteur de recherche lorsqu’un site enfreint ses consignes. Elle peut entraîner une baisse de positionnement, voire une exclusion de l’index. Les pénalités peuvent être manuelles ou algorithmiques, et résultent souvent de pratiques abusives comme le black hat SEO ou le contenu dupliqué.
People also ask (Questions fréquemment posées) : Fonctionnalité de la SERP affichant des questions connexes à une requête, avec leurs réponses issues de différentes pages web. Elle améliore la visibilité des contenus bien structurés et peut générer du trafic supplémentaire si le site figure parmi les résultats sélectionnés.
Persona : Un persona est un profil fictif représentant un segment cible. Basé sur des données réelles, il regroupe les caractéristiques démographiques, comportements, motivations et objections des prospects. Définir des personas permet de mieux personnaliser les contenus, les offres et les campagnes marketing pour chaque typologie d’utilisateur.
Phygital : Le phygital est la fusion des expériences physiques et digitales dans le commerce. Il intègre des outils numériques (tablettes, bornes interactives, réalité augmentée) dans les points de vente pour enrichir l’expérience client. À l’inverse, il humanise l’expérience en ligne via chatbots, live video ou click and collect.
Plagiat : Le plagiat sur le web consiste à copier tout ou partie d’un contenu existant sans autorisation. Il nuit à l’originalité, expose à des sanctions légales et à une pénalisation par les moteurs de recherche. Produire du contenu unique, sourcé et structuré est essentiel pour une stratégie SEO éthique et efficace.
Pogo-sticking : Comportement d’un internaute qui clique sur un résultat, revient rapidement à la SERP, puis clique sur un autre lien. Il traduit souvent une insatisfaction face au premier résultat visité. Ce signal comportemental peut être interprété négativement par les moteurs de recherche en termes de pertinence.
PPC (Pay Per Click) : Le PPC est un modèle publicitaire dans lequel un annonceur paie à chaque clic sur sa publicité. C’est le principe de Google Ads ou Bing Ads. Il permet de générer du trafic ciblé rapidement, mais requiert une bonne gestion du budget, des mots-clés et des pages de destination.
Private Blog Network (PBN) : Réseau de sites utilisés pour créer artificiellement des backlinks vers un ou plusieurs sites cibles afin d’améliorer leur positionnement. Cette technique de black-hat SEO est risquée : si elle est détectée par Google, elle peut entraîner des sanctions sévères voire une désindexation.
Prospect : Un prospect est un contact qualifié, identifié comme appartenant à la cible d’une entreprise, mais qui n’a pas encore effectué d’achat. Le prospect se situe dans les premières étapes du parcours d’achat. Les actions marketing visent à le convertir en client par un contenu pertinent et une offre adaptée.
Pure player : Un pure player est une entreprise qui exerce son activité exclusivement en ligne, sans point de vente physique. Amazon, Cdiscount ou Veepee sont des exemples. Ce modèle repose sur une stratégie digitale solide, une logistique optimisée et une forte capacité d’adaptation au comportement des internautes.
Quality Score : Le Quality Score est une note attribuée par Google à chaque mot-clé en fonction de la pertinence des annonces, du CTR attendu et de la qualité de la landing page. Ce score impacte directement le coût par clic et la position des annonces, valorisant la qualité sur la simple enchère.
RankBrain : RankBrain est un composant de l’algorithme de Google basé sur l’intelligence artificielle. Il interprète les requêtes complexes ou nouvelles en analysant leur contexte sémantique. Il permet à Google d’améliorer la pertinence de ses résultats, notamment pour les recherches conversationnelles ou en langage naturel.
Ranking (positionnement) : Le ranking désigne la position qu’occupe une page dans les résultats des moteurs de recherche pour une requête donnée. Plus la page est bien classée, plus elle génère de trafic organique. Le ranking dépend de nombreux facteurs, comme la pertinence du contenu, la popularité du site et les performances techniques.
Reach : Le reach, ou portée, mesure le nombre d’utilisateurs uniques exposés à un contenu ou une publicité. Il peut être organique (sans budget) ou payant. C’est un indicateur essentiel pour évaluer la visibilité d’une campagne sur les réseaux sociaux ou dans une stratégie de content marketing.
Recherche vocale : La recherche vocale permet aux internautes de formuler leurs requêtes à l’oral via des assistants (Google Assistant, Siri, Alexa). Elle modifie la structure des requêtes, souvent plus longues et conversationnelles. Adapter son SEO à la recherche vocale implique d’utiliser des questions naturelles, un ton familier et des réponses courtes et précises.
Reciprocal link (Lien réciproque) : Échange de liens entre deux sites dans l’objectif mutuel d’améliorer leur SEO. Cette pratique est tolérée si elle reste naturelle et ponctuelle. En revanche, un usage systématique ou abusif peut être interprété comme une tentative de manipulation du PageRank.
Reconsideration request (Demande de réexamen) : Procédure initiée par un webmaster pour demander à Google de réévaluer son site après la résolution d’un problème ayant conduit à une action manuelle. Cette demande doit être documentée et transparente pour espérer une levée rapide des sanctions.
Rédaction SEO : La rédaction SEO consiste à produire du contenu web optimisé pour les moteurs de recherche. Elle repose sur l’intégration de mots-clés, une structuration logique (titres, paragraphes, balises), une sémantique riche et un maillage interne. Elle doit aussi satisfaire les exigences des internautes en termes de clarté et d’intérêt.
Rédaction web : La rédaction web vise à produire des textes adaptés à la lecture en ligne : clairs, structurés, informatifs et attractifs. Elle intègre souvent les techniques de rédaction SEO, mais s’adresse avant tout aux internautes. Elle tient compte des spécificités du canal (blog, fiche produit, email, réseaux sociaux, etc.).
Redirection : Une redirection est une action technique visant à orienter automatiquement un utilisateur d’une URL vers une autre. Elle est utilisée pour corriger des erreurs, restructurer un site ou consolider le référencement. Les redirections 301 (permanentes) sont préférées aux 302 (temporaires) pour préserver le capital SEO d’une page.
Redirection 301 : La redirection 301 est une redirection permanente d’une URL vers une autre. Elle est utilisée pour éviter les erreurs 404 lors d’un changement d’URL, de domaine ou de suppression de page. Elle conserve le SEO acquis par l’ancienne page et permet une transition fluide pour les utilisateurs et les moteurs.
Redirection 302 : La redirection 302 est une redirection temporaire. Elle indique aux moteurs de recherche que la page de destination est provisoire. Contrairement à la 301, elle ne transmet pas le “jus SEO” à la nouvelle URL. Elle doit être utilisée uniquement pour des cas spécifiques (test, maintenance temporaire).
Référencement éditorial : Le référencement éditorial est une pratique qui consiste à structurer et enrichir les contenus textuels d’un site autour de mots-clés stratégiques. Il repose sur la qualité du fond, la richesse sémantique, la pertinence des titres et l’intention de recherche. C’est un pilier du SEO durable et qualitatif.
Référencement local : Le référencement local optimise la visibilité d’un site ou d’une entreprise dans les recherches géolocalisées. Il est essentiel pour les commerces de proximité. Il repose sur Google Business Profile, les avis clients, les citations locales et des contenus contextualisés. Il améliore la présence dans les résultats de type « près de chez moi ».
Référencement naturel : Le référencement naturel (SEO) regroupe les techniques visant à positionner un site dans les résultats organiques des moteurs de recherche. Il repose sur l’optimisation technique, le contenu, les liens et l’expérience utilisateur. Il est gratuit, durable et fondamental pour générer un trafic qualifié sur le long terme.
Related searches (Recherches associées) : Suggestions affichées en bas de la page des résultats de recherche. Elles proposent d’autres requêtes en lien avec celle effectuée. Ces expressions sont utiles pour enrichir sa stratégie de mots-clés et mieux comprendre les intentions des utilisateurs.
Remarketing : Le remarketing permet de cibler les internautes ayant déjà visité un site sans avoir réalisé l’action souhaitée. Il repose sur des cookies qui identifient ces utilisateurs et leur diffusent ultérieurement des annonces personnalisées, renforçant ainsi les chances de conversion et le retour sur investissement.
Requête : Une requête est l’expression formulée par l’internaute dans un moteur de recherche pour obtenir une réponse. Elle peut être courte, longue, sous forme de question ou vocale. L’analyse des requêtes permet d’adapter le contenu aux intentions de recherche et d’optimiser la visibilité du site dans les résultats pertinents.
Resource pages (Pages de ressources) : Pages web qui recensent des liens utiles autour d’un sujet donné. Elles jouent un rôle important dans le netlinking : en proposant un contenu de qualité, il est possible d’obtenir un lien depuis ces pages très recherchées par les internautes et les experts.
Responsive design : Le responsive design désigne la capacité d’un site à s’adapter automatiquement à tous les formats d’écran : mobile, tablette, ordinateur. C’est aujourd’hui un critère essentiel pour l’expérience utilisateur et le référencement. Un site responsive réduit le taux de rebond et favorise l’indexation par les moteurs dans une logique mobile-first.
Retargeting : Le retargeting est une technique publicitaire qui consiste à cibler à nouveau un utilisateur après une première interaction avec un site. Il repose sur les cookies et permet d’afficher des bannières personnalisées, souvent sur les réseaux sociaux ou sites partenaires. C’est un levier efficace pour relancer l’intérêt et convertir.
Rich snippet (Extrait enrichi) : Affichage visuel amélioré d’un résultat de recherche grâce aux données structurées : étoiles, prix, disponibilité, événements, recettes, etc. Ces extraits enrichis augmentent le taux de clics et offrent un avantage concurrentiel dans les pages de résultats.
Robots.txt : Fichier texte situé à la racine d’un site web. Il donne des directives aux robots des moteurs de recherche concernant les parties du site à explorer ou à ignorer. Bien utilisé, il aide à préserver le budget de crawl et à éviter l’indexation de contenus inutiles ou sensibles.
ROI (Return On Investment) : Le ROI mesure la rentabilité d’une action marketing. Il se calcule en rapportant le gain généré au coût engagé. Un ROI positif signifie que l’investissement a été bénéfique. Cet indicateur permet d’évaluer l’efficacité des campagnes et d’arbitrer les budgets en fonction des performances observées.
Schema markup (Données structurées) : Le balisage Schema est un format de données standardisé permettant d’annoter le contenu d’un site web pour faciliter la compréhension de son sens par les moteurs de recherche. Il est utilisé pour générer des extraits enrichis (rich snippets) dans les résultats de recherche et pour améliorer la visibilité d’une page.
SEA (Search Engine Advertising) : Le SEA correspond aux actions publicitaires payantes sur les moteurs de recherche. Il repose essentiellement sur l’achat de mots-clés pour diffuser des annonces sponsorisées via des plateformes comme Google Ads. Le SEA permet de générer rapidement du trafic ciblé, mais dépend étroitement du budget alloué et de la stratégie d’enchères choisie.
Search algorithm (Algorithme de recherche) : Il s’agit d’un ensemble de règles et de critères utilisés par les moteurs de recherche pour trier, évaluer et classer les pages web dans les résultats de recherche. L’algorithme prend en compte des centaines de signaux comme la pertinence, la popularité, la fraîcheur ou la qualité technique d’un site.
Search Console : Google Search Console est un outil gratuit permettant aux webmasters d’analyser les performances SEO de leur site. Il fournit des données sur l’indexation, les erreurs, le trafic organique, les mots-clés, les liens et les signaux Core Web Vitals. Il est indispensable pour surveiller et optimiser son référencement naturel.
Search engine poisoning (empoisonnement de moteur de recherche) : Technique malveillante consistant à créer de fausses pages optimisées pour apparaître dans les résultats de recherche sur des requêtes populaires, dans le but de diffuser des logiciels malveillants ou de voler des données personnelles. Elle nuit à la fiabilité des SERP et constitue une menace en cybersécurité.
Search Engine Results Pages (SERP) : Désigne les pages affichées par un moteur de recherche en réponse à une requête utilisateur. Elles peuvent contenir des résultats organiques, des annonces payantes, des extraits enrichis, des images, des cartes ou des vidéos. Comprendre la structure des SERP est essentiel pour y optimiser sa présence.
Search intent (Intention de recherche) : Désigne le but réel de l’internaute lorsqu’il saisit une requête. On distingue trois grandes catégories : informationnelle (trouver une information), navigationnelle (accéder à un site spécifique), et transactionnelle (effectuer un achat). Comprendre cette intention est fondamental pour optimiser le contenu en SEO.
Search Network : Le Search Network comprend les sites où les annonces textuelles peuvent s’afficher à la suite de requêtes, notamment sur Google et ses partenaires. Ce réseau cible les intentions de recherche explicites, en plaçant les annonces dans un contexte où l’utilisateur est actif et réceptif.
Search query (Requête) : Ensemble des mots-clés saisis par un utilisateur dans un moteur de recherche pour trouver une information ou un site. L’analyse des requêtes permet d’identifier les besoins des internautes et de construire une stratégie SEO fondée sur la pertinence et la réponse à ces recherches.
Search visibility (Visibilité de recherche) : Indicateur qui mesure dans quelle proportion un site apparaît dans les résultats naturels des moteurs de recherche. Il est souvent exprimé en pourcentage et reflète la performance globale d’une stratégie SEO. Une visibilité élevée traduit un bon positionnement sur des requêtes pertinentes.
Search volume (Volume de recherche) : Nombre moyen de fois où un mot-clé est recherché chaque mois dans une zone géographique donnée. Cet indicateur aide à évaluer la popularité d’un terme et à prioriser les mots-clés à cibler dans une stratégie SEO, en tenant compte de leur potentiel de trafic.
Secondary keywords (Mots-clés secondaires) : Termes associés au mot-clé principal, utilisés pour enrichir le contenu et capter un trafic complémentaire. Ils renforcent la sémantique d’une page, permettent de répondre à des recherches variées et améliorent les chances d’apparaître sur des requêtes de longue traîne.
Secure Sockets Layer (SSL) : Ancien protocole de sécurisation des communications en ligne, aujourd’hui remplacé par TLS (Transport Layer Security). SSL permettait de chiffrer les échanges entre un serveur web et un navigateur. Le terme SSL est toujours couramment utilisé, bien qu’il fasse référence à une technologie obsolète.
Seed keywords (Mots-clés sources) : Représentent les termes de base à partir desquels on développe une stratégie SEO. Ce sont souvent des expressions générales ou représentatives d’un secteur d’activité. Ils servent de point de départ pour identifier des variantes, des mots-clés de longue traîne et analyser la concurrence.
SEM (Search Engine Marketing) : Le SEM désigne une stratégie globale de visibilité sur les moteurs de recherche, combinant plusieurs techniques : le SEO (référencement naturel), le SEA (publicité payante) et le SMO (optimisation sociale). Il s’agit d’un levier clé du marketing digital visant à améliorer la notoriété et la performance des sites web dans les résultats de recherche.
Sémantique : La sémantique en SEO désigne l’ensemble du champ lexical et conceptuel entourant un mot-clé. Travailler la sémantique permet d’enrichir un contenu, d’augmenter sa pertinence et de mieux répondre aux intentions de recherche. Google valorise les textes bien rédigés, variés lexicalement et structurés logiquement.
SEO (Search Engine Optimization) : Le SEO regroupe l’ensemble des techniques visant à optimiser la visibilité d’un site web dans les résultats naturels des moteurs de recherche. Cela comprend l’optimisation technique, le contenu éditorial, le maillage interne et la popularité du site. L’objectif est d’améliorer le positionnement sans recourir à la publicité payante.
SEO audit (Audit SEO) : Évaluation complète de l’état d’un site du point de vue du référencement naturel. L’audit identifie les forces et faiblesses techniques, structurelles, sémantiques et de popularité. Il sert de base pour construire un plan d’action SEO cohérent et priorisé, en fonction des objectifs et de la concurrence.
SEO off page : Le SEO off page regroupe les techniques de référencement situées en dehors du site, principalement le netlinking. Il s’agit d’améliorer la popularité d’un site via des backlinks de qualité provenant d’autres domaines. Cette approche renforce l’autorité du site auprès des moteurs de recherche et améliore son positionnement global.
SEO on page : Le SEO on page concerne l’ensemble des optimisations internes d’une page web, visant à améliorer sa lisibilité et sa pertinence aux yeux des moteurs de recherche. Il s’agit notamment des balises HTML, du contenu, des titres, des images, des URLs et de la structure du texte. Ces actions influencent directement le positionnement de la page.
SEO silo (Silo SEO) : Méthode d’organisation des contenus d’un site par thématique, en les regroupant en silos logiques reliés par des liens internes. Elle améliore l’expérience utilisateur, facilite la navigation, renforce la pertinence sémantique et aide les moteurs à mieux comprendre la structure du site.
SERP (Search Engine Results Page) : Une SERP est la page de résultats affichée par un moteur suite à une requête. Elle comprend des résultats naturels, des annonces payantes, des encarts enrichis (snippets, images, vidéos). Comprendre la structure des SERP permet d’adapter ses contenus pour maximiser leur visibilité dans les différentes zones d’affichage proposées.
SERP features (Fonctionnalités de SERP) : Éléments non traditionnels qui enrichissent les pages de résultats : extraits optimisés (featured snippets), carrousels, cartes locales, encadrés « People also ask », etc. Ces fonctionnalités offrent une visibilité accrue et permettent aux sites bien optimisés de capter davantage de clics sans nécessairement être en première position.
Services Web : Ils regroupent l’ensemble des prestations en ligne : APIs, hébergement, solutions cloud, stockage, sécurité, e-commerce, communication. Ces services, souvent modulaires, permettent aux entreprises de construire leur écosystème numérique sans infrastructure interne, avec une souplesse et une évolutivité adaptées aux besoins croissants du digital.
Share of voice (Part de voix) : Indicateur qui mesure la part de visibilité d’un site ou d’une marque sur un ensemble de requêtes par rapport à ses concurrents. Plus la part de voix est élevée, plus l’entité domine le marché digital sur les termes ciblés. Elle permet d’évaluer la compétitivité SEO.
Short-tail keywords (mots-clés à traîne courte) : Mots-clés courts, souvent composés d’un ou deux termes, très compétitifs et à fort volume de recherche. Ils sont génériques (ex. : “chaussures”) et difficilement monétisables seuls. Leur usage requiert des stratégies complémentaires, notamment avec des expressions de longue traîne.
Sitelinks : Liens supplémentaires qui apparaissent sous le résultat principal d’un site dans la SERP. Ils redirigent vers des pages internes stratégiques (catégories, services, contact) et améliorent la visibilité, le taux de clics ainsi que l’expérience de navigation dès le moteur de recherche.
Sitemap : Fichier XML ou HTML qui liste l’ensemble des pages importantes d’un site web pour faciliter leur exploration par les moteurs de recherche. Il aide à structurer l’indexation, signale les contenus prioritaires et les dernières mises à jour. Il est souvent transmis via la Search Console.
Sitemap XML : Le sitemap XML est un fichier destiné aux moteurs de recherche. Il recense toutes les URLs importantes d’un site pour faciliter leur exploration et leur indexation. Il est particulièrement utile pour les sites volumineux ou les pages peu accessibles via la navigation classique. Il doit être mis à jour régulièrement.
Sitewide link (lien sur tout le site) : Lien placé systématiquement sur toutes les pages d’un site, généralement dans le pied de page ou le menu. Ces liens peuvent transférer beaucoup d’autorité, mais leur usage excessif est parfois suspect aux yeux des moteurs, surtout s’ils pointent vers un domaine externe.
SMA (Social Media Advertising) : Le SMA regroupe l’ensemble des techniques publicitaires mises en œuvre sur les réseaux sociaux comme Facebook, Instagram ou LinkedIn. Grâce à des options de ciblage avancées, les entreprises peuvent diffuser des campagnes efficaces avec un fort retour sur investissement, en utilisant des formats variés (vidéos, carrousels, visuels sponsorisés, etc.).
SMO (Social Media Optimization) : Le SMO vise à renforcer la présence d’une marque sur les réseaux sociaux à travers des actions organiques. Cela inclut la création de contenus engageants, l’animation des communautés et l’optimisation des profils sociaux. L’objectif est de développer la notoriété, d’améliorer l’image de marque et d’augmenter les interactions avec les utilisateurs.
Spamdexing : Ensemble de pratiques visant à manipuler les résultats des moteurs de recherche à l’aide de techniques abusives ou interdites, comme le bourrage de mots-clés, la duplication massive de contenu ou les fermes de liens. Cette forme de SEO black-hat expose à des pénalités sévères.
Sponsored link attribute (Attribut de lien sponsorisé) : Sponsored link attribute | Attribut de lien sponsorisé rel= »sponsored » est utilisé pour indiquer aux moteurs de recherche qu’un lien a été inséré dans un cadre publicitaire, sponsorisé ou affilié. Il permet de distinguer les liens promotionnels des liens naturels et de prévenir toute tentative de manipulation de l’algorithme.
Structure HTML : La structure HTML correspond à l’ossature d’une page web. Elle définit les balises (title, H1, H2, etc.) et hiérarchise les contenus pour qu’ils soient compréhensibles par les moteurs de recherche. Une structure claire, logique et bien codée améliore à la fois l’accessibilité du site et son référencement naturel.
Structured data (Données structurées) : Format standardisé d’annotation de contenu (souvent en JSON-LD ou microdonnées) permettant aux moteurs de recherche de mieux interpréter le sens d’une page. Les données structurées sont nécessaires pour activer les extraits enrichis dans les résultats de recherche et renforcer la visibilité sémantique d’un site.
Subdomain (Sous-domaine) : Partie distincte d’un domaine principal, utilisée pour organiser des sections spécifiques d’un site (ex. : support.exemple.com). Les sous-domaines sont traités de manière semi-indépendante par les moteurs de recherche, ce qui peut affecter le référencement et l’autorité perçue de la structure globale.
SXO (Search Experience Optimization) : Le SXO fusionne les logiques de SEO et d’expérience utilisateur (UX) afin d’optimiser le parcours de l’internaute tout en répondant aux critères des moteurs de recherche. Il s’agit de rendre la navigation fluide, intuitive et rapide pour améliorer les taux de conversion et favoriser un bon référencement naturel sur le long terme.
Targeting : Le targeting désigne l’ensemble des techniques de ciblage publicitaire permettant de définir l’audience à laquelle seront diffusées les annonces. Ce ciblage peut être démographique, géographique, comportemental ou contextuel, optimisant ainsi la pertinence des campagnes et l’efficacité des budgets alloués.
Taxonomy SEO (Taxonomie SEO) : Ensemble de bonnes pratiques visant à organiser les contenus d’un site de façon hiérarchique, logique et pertinente pour les moteurs de recherche. Cela implique une structuration efficace en catégories, balisage sémantique approprié et navigation interne optimisée pour améliorer l’exploration et la compréhension du site.
Technical SEO (SEO technique) : Branche du SEO axée sur l’optimisation des aspects techniques d’un site web : structure HTML, vitesse de chargement, balisage, sécurité, crawlabilité et indexabilité. Son objectif est de permettre aux moteurs de recherche de comprendre, explorer et indexer efficacement les contenus.
TF-IDF : Acronyme de “Term Frequency-Inverse Document Frequency”, cet indicateur mesure l’importance relative d’un mot dans un document, en le comparant à son occurrence dans un ensemble de textes. Il est utilisé pour affiner l’optimisation sémantique du contenu et évaluer la pertinence d’un mot-clé.
Thin content (Contenu mince) : Contenu jugé insuffisant par les moteurs de recherche, en raison de sa faible densité informative ou de sa faible valeur ajoutée pour l’utilisateur. Le contenu mince peut pénaliser le classement d’un site. Il doit être enrichi ou supprimé pour garantir la qualité globale.
Title tag (Balise title) : Balise HTML essentielle qui détermine le titre d’une page web tel qu’il s’affiche dans les résultats des moteurs de recherche. Elle est un facteur déterminant de positionnement SEO et doit être rédigée de façon concise, pertinente et en intégrant les mots-clés principaux.
Top level domain (TLD) : Dernière section d’un nom de domaine (ex. : .com, .org, .fr). Le choix d’un TLD peut influencer la perception d’un site par les internautes et, dans une moindre mesure, son référencement, notamment en matière de ciblage géographique ou sectoriel.
Transactional query (Requête transactionnelle) : Requête formulée par un internaute dans une intention d’achat ou d’action concrète (ex. : “acheter ordinateur portable”). Elle est à fort potentiel de conversion et doit être ciblée par des pages optimisées pour la vente, les CTA ou les fiches produits.
Transport Layer Security (TLS) : Protocole cryptographique assurant la sécurisation des données échangées sur Internet, successeur du SSL. TLS garantit l’intégrité, la confidentialité et l’authenticité des communications entre un serveur et un navigateur. Il est fondamental pour la sécurité SEO, notamment en HTTPS.
TrustRank : Indicateur de confiance développé pour différencier les sites légitimes des sites spam. Il repose sur le principe que les sites fiables ont tendance à faire des liens vers d’autres sites fiables. Le TrustRank est un signal qualitatif, non officiellement utilisé par Google mais conceptuellement reconnu.
UGC link attribute (Attribut de lien UGC) : L’attribut rel= »ugc » signale aux moteurs que le lien a été généré par un utilisateur (User Generated Content), notamment dans les commentaires ou forums. Il aide à différencier les liens éditoriaux des liens non contrôlés, limitant les risques de manipulation du SEO.
Unnatural links (Liens non naturels) : Liens créés artificiellement, sans justification éditoriale, dans le but de manipuler les résultats des moteurs de recherche. Ils sont souvent achetés, échangés ou générés en masse. Google les considère comme une infraction à ses directives et peut sanctionner les sites concernés.
URL Rating (UR) : Indice proposé par des outils SEO (comme Ahrefs) mesurant la puissance du profil de liens d’une page sur une échelle de 0 à 100. Il prend en compte la quantité, la qualité et la pertinence des backlinks pour estimer sa capacité à bien se positionner.
URL relative et absolue : Une URL absolue comprend l’intégralité de l’adresse (protocole, domaine, chemin), tandis qu’une URL relative ne contient que le chemin d’accès interne. L’usage des URL relatives est courant en développement, mais les URL absolues facilitent la gestion des liens externes et internes, notamment dans une logique SEO ou de migration.
URL slug : Partie finale d’une URL, qui décrit généralement le contenu de la page (ex. : /guide-seo). Un slug bien optimisé doit être court, lisible, pertinent et inclure le mot-clé principal. Il contribue à la lisibilité, au référencement et à l’expérience utilisateur.
URL Tracking : L’URL tracking consiste à intégrer des paramètres spécifiques dans les liens des annonces pour suivre le comportement des visiteurs après le clic. Il permet d’analyser les sources de trafic, de mesurer les conversions et d’affiner la stratégie de campagne en fonction des données collectées.
Vertical search (Recherche verticale) : Type de recherche spécialisée sur un domaine précis (ex. : Google Images, YouTube, Amazon, LinkedIn). Contrairement à une recherche généraliste, elle se concentre sur un type de contenu ou secteur défini. Elle exige des techniques SEO adaptées à chaque plateforme.
View-Through Conversion : La view-through conversion comptabilise les conversions réalisées par des internautes ayant vu une annonce sans y avoir cliqué. Cette métrique est particulièrement utile pour évaluer l’impact des campagnes display ou vidéo dans une stratégie de notoriété ou de réengagement.
Voice search (Recherche vocale) : Méthode d’interrogation des moteurs de recherche via la voix, souvent utilisée sur les assistants vocaux. Elle implique une optimisation SEO orientée vers des questions naturelles, des phrases longues et des réponses directes, en raison du format conversationnel des requêtes.
Wasted Spend : Le wasted spend correspond aux dépenses publicitaires non rentabilisées, notamment en raison de clics inefficaces ou de mauvais ciblage. Son identification permet d’ajuster les campagnes pour réduire les pertes, améliorer le taux de conversion et maximiser le retour sur investissement.
Website authority (Autorité de site) : Mesure utilisée par les outils SEO pour estimer la capacité d’un domaine à se positionner dans les moteurs de recherche. Elle repose principalement sur la qualité, la quantité et la diversité des backlinks. Une autorité élevée est généralement corrélée à un bon classement organique.
Website structure (Structure de site) : Organisation hiérarchique des pages d’un site web. Une bonne structure favorise l’exploration par les moteurs, renforce la cohérence thématique et améliore l’expérience utilisateur. Elle repose sur une arborescence logique, des URL claires et des liens internes pertinents.
Webspam : Ensemble de contenus et techniques visant à manipuler les résultats des moteurs de recherche, sans réelle valeur pour l’utilisateur. Il inclut le bourrage de mots-clés, les fermes de liens ou le contenu masqué. Le webspam est systématiquement combattu par les mises à jour de Google.
White-hat SEO (SEO white-hat) : Pratiques de référencement respectueuses des consignes des moteurs de recherche. Elles privilégient la qualité du contenu, l’optimisation technique, la pertinence des liens et l’expérience utilisateur. Cette approche garantit des résultats durables, sans risque de pénalité.
WordPress Plugins & Templates : Les plugins ajoutent des fonctionnalités à un site WordPress (formulaires, SEO, sécurité). Les templates définissent la structure visuelle du site. Ensemble, ils permettent une personnalisation avancée du site sans toucher au code. Ils sont au cœur de l’écosystème WordPress, utilisé par des millions de sites dans le monde.
X‑robots-tag : Directive envoyée dans l’en-tête HTTP d’un serveur pour contrôler l’indexation d’un contenu, de manière similaire à une balise meta robots. Elle est utilisée principalement pour les fichiers non HTML (PDF, images) et permet une gestion fine de l’indexabilité.
Yield : Le yield désigne le rendement global d’une campagne SEA, calculé en fonction des résultats obtenus (clics, conversions, revenus) rapportés aux coûts engagés. C’est un indicateur essentiel pour évaluer l’efficacité financière d’une stratégie publicitaire digitale et orienter les arbitrages budgétaires.
YMYL pages (Pages YMYL) : Acronyme de “Your Money or Your Life”, désigne les pages susceptibles d’impacter la santé, la sécurité, la stabilité financière ou le bien-être des utilisateurs. Google applique des critères de qualité très stricts à ces contenus (ex. : santé, finance, juridique) pour protéger les internautes.
Zero-Click Search : Une Zero-Click Search survient lorsqu’un internaute obtient directement sa réponse sur la page de résultats, sans cliquer sur aucun lien. Ce phénomène réduit le trafic vers les sites, complexifie les stratégies SEA et oblige les annonceurs à repenser leurs contenus pour conserver leur visibilité.
Glossaire des ressources humaines : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire ressources humaines pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier des RH . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’Accident de travail à Vivier de candidats) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
Le domaine des ressources humaines (RH) structure l’organisation, le développement et la performance du capital humain d’une entreprise. Dans ce contexte, la maîtrise du vocabulaire RH est indispensable pour garantir la clarté des échanges, sécuriser les pratiques, et assurer une gestion harmonieuse des relations de travail. Ce lexique spécialisé permet de formaliser les processus, de respecter les obligations légales et de dialoguer efficacement avec les parties prenantes internes comme externes.
Des termes comme entretien annuel, bilan de compétences, GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences), onboarding, contrat de travail, paie, turnover, sourcing, QVT (qualité de vie au travail) ou plan de formation structurent les pratiques RH quotidiennes. Ils traduisent des concepts précis, liés à l’organisation, au droit social, à la stratégie de recrutement ou à la politique de développement des talents. Leur bonne compréhension garantit la conformité des actions et leur efficacité opérationnelle.
Le vocabulaire RH joue également un rôle clé dans la communication interne. Il permet de diffuser les bonnes informations aux bons interlocuteurs, de rédiger des documents clairs (notes de service, politiques internes, fiches de poste) et de renforcer la transparence managériale. Dans les phases de transformation (restructuration, croissance, fusion…), il aide à accompagner le changement et à préserver le climat social.
Accident de travail : Un accident de travail survient lorsqu’un événement soudain, lié à l’activité professionnelle, provoque un dommage physique ou psychologique. Il doit être déclaré à l’employeur dans les 24 heures. Celui-ci fournit un formulaire dédié au salarié et signale l’incident à la CPAM pour permettre une prise en charge directe des soins.
Alternance : L’alternance combine formation théorique et pratique professionnelle. Elle permet aux jeunes et aux demandeurs d’emploi d’acquérir des compétences en entreprise tout en suivant des cours. Elle existe sous deux formes : le contrat d’apprentissage, destiné aux 16-29 ans, et le contrat de professionnalisation, ouvert à un public plus large, sous conditions.
Arrêt-maladie : L’arrêt-maladie permet à un salarié de suspendre temporairement son activité professionnelle pour raison de santé, sur avis médical. Le salarié transmet son certificat dans un délai de 48 heures. L’employeur fournit ensuite une attestation à l’Assurance maladie, qui verse des indemnités après un délai de carence de trois jours.
ATS (Applicant Tracking System) : L’ATS est un outil informatique qui assiste les recruteurs dans la gestion des candidatures. Il centralise les CV, automatise l’envoi de réponses et la diffusion d’annonces, permet l’organisation d’entretiens et d’évaluations. Il améliore l’efficacité et la réactivité du processus de recrutement, en particulier pour les entreprises gérant un volume important de candidatures.
Avantages salariaux : Les avantages salariaux regroupent divers éléments complémentaires à la rémunération : tickets restaurant, mutuelle, chèques vacances, épargne salariale, primes, etc. Proposés par l’employeur ou le CSE, ils visent à améliorer le bien-être et l’attractivité de l’entreprise. Ces dispositifs constituent un levier de fidélisation et de motivation pour les collaborateurs.
Big stay : Le « big stay » désigne la tendance des salariés à conserver leur emploi dans un contexte incertain. Observée depuis 2023, cette prudence traduit un attachement renforcé à la stabilité professionnelle, avec une diminution des mobilités volontaires et un taux accru de refus d’offres d’emploi, même attractives, de la part des talents.
Bilan de compétences : Le bilan de compétences permet à un salarié d’évaluer ses acquis professionnels et personnels en vue d’une reconversion ou d’une évolution. Réalisé par un organisme agréé, il aboutit à un plan d’action réaliste. Finançable par le CPF, il favorise la mobilité interne ou externe dans le cadre d’une démarche volontaire.
Bulletin de paie : Le bulletin de paie est un document légal remis au salarié à chaque versement de salaire. Il détaille les heures travaillées, les congés, le salaire brut, les cotisations, les indemnités et le net à payer. Ce justificatif officiel garantit la transparence de la rémunération et doit respecter une présentation conforme à la réglementation.
Burn out : Le burn out est un épuisement professionnel d’origine psychologique, physique et émotionnelle. Il résulte d’un investissement prolongé dans un environnement de travail exigeant, souvent marqué par une surcharge, un manque de reconnaissance ou un désengagement. Bien qu’il ne soit pas reconnu comme maladie professionnelle, il est pris très au sérieux en entreprise.
Candidat : Un candidat est une personne postulant à une offre d’emploi ou effectuant une candidature spontanée. Il soumet son CV et sa lettre de motivation à un recruteur ou à une entreprise. Son profil est ensuite analysé en fonction des compétences, expériences et motivations exigées par le poste visé.
Carrière : Une carrière professionnelle regroupe l’ensemble des expériences et évolutions d’un individu au cours de sa vie active. Autrefois linéaire, elle tend désormais à être plus fragmentée, marquée par des mobilités, des reconversions et une recherche accrue d’équilibre entre vie personnelle et professionnelle. Elle reflète aussi l’adaptabilité de chacun au marché de l’emploi.
Chargé de recrutement : Le chargé de recrutement identifie, sélectionne et intègre les candidats correspondant aux besoins de l’entreprise. Il mène les entretiens, analyse les candidatures, évalue les compétences et collabore avec les managers pour assurer la qualité des recrutements. Il veille également à l’expérience candidat et à la bonne intégration des nouvelles recrues.
Chargé des ressources humaines : Le chargé RH gère l’ensemble des actions liées au personnel : recrutement, suivi administratif, conditions de travail, formation, mobilité. Il est un interlocuteur privilégié entre les salariés et la direction, garant de la conformité légale des pratiques RH, tout en contribuant au développement des compétences et à la qualité de vie au travail.
Chasseur de têtes : Le chasseur de têtes est un expert du recrutement ciblé, chargé d’identifier des profils rares ou hautement qualifiés. Il intervient souvent pour des postes stratégiques, par approche directe ou via son réseau. Il travaille en lien avec les dirigeants ou les DRH, et utilise divers canaux, y compris le sourcing confidentiel.
Chief Happiness Officer (CHO) : Le Chief Happiness Officer est responsable du bien-être des collaborateurs. Sa mission consiste à améliorer la qualité de vie au travail en instaurant des actions de cohésion, de reconnaissance et d’épanouissement. En favorisant la motivation, il contribue indirectement à la performance globale et à la fidélisation des talents.
Comité social et économique (CSE) : Le CSE est l’organe représentatif du personnel, obligatoire dans les entreprises de plus de 11 salariés. Il regroupe les anciennes instances représentatives (CE, CHSCT, délégués). Il intervient sur les questions de conditions de travail, de sécurité, de santé, et relaie les réclamations des salariés à la direction.
Compétences-clés : Les compétences-clés sont les savoir-faire fondamentaux pour évoluer dans la vie professionnelle et personnelle. Elles couvrent la communication, les langues, les mathématiques, le numérique, l’apprentissage, les compétences sociales, l’esprit d’initiative et la culture. Leur maîtrise est essentielle pour s’adapter aux évolutions du travail et renforcer son employabilité.
Compte épargne-temps (CET) : Le CET permet à un salarié de capitaliser des droits à congé non utilisés ou des jours de repos. Ce temps épargné peut être converti en temps de repos différé ou en rémunération. Il nécessite un accord d’entreprise ou de branche et s’inscrit dans une logique de souplesse et d’anticipation des parcours.
Compte personnel de formation (CPF) : Le CPF est un dispositif permettant à tout actif de cumuler des droits à la formation, mobilisables à tout moment pour suivre une formation qualifiante. Alimenté automatiquement en euros chaque année, il remplace le DIF. Il est accessible même en cas de chômage et favorise l’évolution professionnelle autonome.
Congés payés : Les congés payés sont un droit acquis pour tout salarié ayant travaillé au moins 10 jours. Ils permettent de bénéficier d’un repos rémunéré à raison de 2,5 jours ouvrables par mois travaillé, soit cinq semaines annuelles. Le calcul se base sur une période de référence, et leur prise est soumise à validation de l’employeur.
Contrat de travail : Le contrat de travail formalise la relation entre un salarié et son employeur. Il précise la nature du poste, la rémunération, la durée du travail, les missions confiées et les obligations réciproques. Il peut être à durée déterminée ou indéterminée et constitue un cadre juridique essentiel de l’engagement professionnel.
Cooptation : La cooptation est une méthode de recrutement fondée sur la recommandation. Un salarié propose un candidat issu de son réseau personnel ou professionnel. Si le recrutement aboutit, une récompense peut être accordée au salarié par l’entreprise. Ce levier renforce l’implication des collaborateurs dans les recrutements et diminue le coût de sourcing.
Culture d’entreprise : La culture d’entreprise regroupe les valeurs, rites, symboles et pratiques partagés par les membres d’une organisation. Elle façonne l’identité de l’entreprise, renforce la cohésion des équipes et différencie la société sur le marché. Elle joue un rôle central dans l’attractivité employeur, l’engagement des salariés et la dynamique collective.
Curriculum vitae (CV) : Le CV est un document synthétique retraçant le parcours d’un candidat. Il présente son identité, ses diplômes, ses expériences professionnelles, ses compétences et parfois ses centres d’intérêt. Support essentiel de toute candidature, il permet au recruteur d’évaluer la pertinence d’un profil par rapport à un poste à pourvoir.
CVthèque : Une CVthèque est une base de données numérique regroupant des candidatures accessibles aux recruteurs. Elle permet de réaliser des recherches multicritères selon les profils recherchés. Cet outil facilite le sourcing de candidats qualifiés et optimise les délais de recrutement, notamment en anticipant les besoins en ressources humaines.
Démission : La démission est une rupture unilatérale du contrat de travail par le salarié. Elle concerne exclusivement les contrats à durée indéterminée. Le salarié n’a pas à motiver son départ, mais doit respecter un préavis. En principe, il ne perçoit pas d’allocation chômage, sauf exception encadrée par l’assurance chômage.
Dossier du personnel : Le dossier du personnel centralise les documents relatifs à chaque collaborateur : CV, contrat, attestations, suivi médical, relevés d’heures, congés… Il constitue un outil de suivi RH et de conformité administrative. Sa bonne tenue est essentielle pour garantir la traçabilité, la transparence et le respect des obligations légales.
DPAE (Déclaration préalable à l’embauche) : Obligatoire pour tout nouvel embauché, la DPAE permet à l’employeur de déclarer un salarié à l’Urssaf avant son premier jour de travail. Elle déclenche l’affiliation du salarié aux organismes sociaux (sécurité sociale, médecine du travail…) et marque le point de départ légal du contrat de travail.
DRH (Directeur des Ressources Humaines) : Le DRH supervise la stratégie RH de l’entreprise : développement des compétences, recrutement, gestion des carrières, relations sociales, rémunérations. Il agit à la fois comme partenaire stratégique et garant du cadre réglementaire. Il joue un rôle clé dans la transformation organisationnelle et le dialogue social.
E-réputation : L’e-réputation est l’image numérique perçue d’une entreprise sur Internet. Elle se forme à travers les avis des clients, des salariés, des médias ou des influenceurs. Bien qu’indirectement maîtrisable, elle influe fortement sur la marque employeur, la capacité d’attraction de l’entreprise et la fidélisation des talents.
Écoute active : L’écoute active consiste à écouter sans jugement, à reformuler les propos de l’interlocuteur et à manifester de l’empathie. Appliquée aux RH, elle favorise une meilleure compréhension des besoins et tensions, améliore le climat de travail et permet d’adapter les réponses managériales aux attentes des collaborateurs.
Employabilité : L’employabilité mesure la capacité d’un individu à conserver ou retrouver un emploi. Elle dépend de ses compétences, de son adaptabilité, de son réseau et du contexte économique. Elle peut être renforcée par la formation, la mobilité, la gestion de carrière et l’acquisition continue de nouvelles aptitudes professionnelles.
Employee advocacy : Cette démarche vise à transformer les salariés en ambassadeurs de leur entreprise. En les incitant à partager des contenus valorisant l’organisation sur les réseaux sociaux, l’entreprise améliore sa marque employeur, renforce sa visibilité et attire de nouveaux talents. Elle repose sur la confiance, l’engagement et la transparence.
Entretien annuel individuel : Réalisé généralement une fois par an, cet entretien entre le salarié et son manager permet de faire le point sur les objectifs atteints, les performances, les difficultés rencontrées et les perspectives d’évolution. Il peut déboucher sur des ajustements de poste, des formations ou un plan d’accompagnement individualisé.
Entretien professionnel : Obligatoire tous les deux ans, l’entretien professionnel évalue le parcours du salarié et explore ses perspectives d’évolution. Il est distinct de l’entretien annuel, car il s’oriente vers la formation, la montée en compétences ou la reconversion. Il est aussi requis après certaines absences prolongées comme un congé parental ou maladie.
Entretien structuré : L’entretien structuré repose sur une série de questions identiques posées à chaque candidat afin d’évaluer objectivement leurs compétences. Cette méthode limite les biais d’évaluation, renforce l’équité et améliore la fiabilité du processus de sélection. Elle s’appuie souvent sur une grille de score ou « scorecard ».
Expérience candidat : L’expérience candidat englobe les ressentis et impressions d’un postulant durant tout le processus de recrutement. Elle commence à la découverte de l’offre et se prolonge jusqu’à l’intégration. Une expérience fluide et bienveillante améliore la perception de l’entreprise, même en cas de non-sélection, et participe à sa réputation globale.
Fiche de poste : La fiche de poste formalise les missions, responsabilités, compétences requises et conditions d’exercice d’une fonction. Elle structure les processus RH, facilite le recrutement, la mobilité interne, l’évaluation et la GPEC. Elle constitue également une référence pour l’encadrement et la communication interne sur le périmètre des postes.
Flexibilité : La flexibilité au travail désigne la capacité d’adaptation d’une entreprise et de ses salariés face aux contraintes économiques, technologiques ou sociétales. Elle se traduit par des aménagements d’horaires, de lieux (télétravail), de formes contractuelles ou d’organisation. Elle est aujourd’hui un critère clé d’attractivité pour les employeurs comme pour les talents.
Formation professionnelle continue : La formation professionnelle continue permet aux actifs et demandeurs d’emploi d’acquérir de nouvelles compétences. Obligatoire pour les employeurs, elle comprend divers dispositifs : CPF, plan de développement des compétences, VAE, projet de transition professionnelle. Elle constitue un levier stratégique d’adaptation aux mutations du travail et d’amélioration de l’employabilité.
Générations X, Y et Z : Les générations X (1965-1979), Y (1980-2000) et Z (après 2000) se distinguent par leur rapport à la technologie et au travail. La génération X privilégie la stabilité, la Y valorise l’épanouissement personnel et l’agilité professionnelle, tandis que la Z, ultra-connectée, recherche la liberté, l’innovation et des valeurs fortes au travail.
GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) : La GPEC vise à anticiper les besoins en effectifs et compétences d’une entreprise. Elle permet d’aligner les ressources humaines sur la stratégie de l’organisation. Ce dispositif planifie les évolutions de carrière, identifie les écarts de compétences et facilite la mobilité, la formation ou le recrutement adapté aux enjeux futurs.
Guerre des talents : La guerre des talents reflète la concurrence intense entre entreprises pour attirer les profils rares et qualifiés, notamment dans les secteurs en tension. Elle oblige les employeurs à renforcer leur attractivité, à innover dans leur stratégie de recrutement, à valoriser leur marque employeur et à fidéliser les collaborateurs clés.
Haut potentiel : Un salarié à haut potentiel combine expertise technique, capacité d’apprentissage rapide et leadership. Il est identifié pour occuper à moyen terme des postes à responsabilités. Les RH mettent en place des parcours d’évolution dédiés pour ces profils, afin de les développer et de sécuriser leur engagement dans l’entreprise.
Heures supplémentaires : Les heures supplémentaires sont les heures de travail accomplies au-delà des 35 heures hebdomadaires légales. Elles doivent être rémunérées avec une majoration ou converties en repos. Leur encadrement varie selon les conventions collectives. Elles permettent une certaine souplesse mais doivent respecter les durées maximales de travail fixées par le droit du travail.
Intelligence artificielle (IA) : L’IA applique des technologies capables de simuler l’intelligence humaine. En RH, elle automatise des tâches comme le tri de CV, la rédaction d’offres ou la prévision des départs. L’essor de l’IA générative depuis 2022 transforme profondément les pratiques RH, tout en posant des enjeux éthiques et organisationnels importants.
Jobboard : Un jobboard est une plateforme en ligne de diffusion d’offres d’emploi. Il permet aux recruteurs de publier des annonces et aux candidats de postuler facilement. Généraliste ou spécialisé, il est devenu un outil incontournable du sourcing digital, souvent intégré aux ATS pour optimiser la gestion des candidatures.
KPI (indicateurs clés de performance) : Les KPI sont des indicateurs quantitatifs permettant d’évaluer l’efficacité d’une action ou d’un processus. En RH, ils mesurent notamment la durée de recrutement, le coût par embauche, le taux de rétention ou l’absentéisme. Ces données sont essentielles pour orienter les décisions et piloter les politiques RH avec rigueur.
Licenciement : Le licenciement est une rupture du contrat de travail initiée par l’employeur. Il peut être individuel ou collectif, pour motif personnel ou économique. Selon le cas, il ouvre droit à des indemnités et à l’assurance chômage. La procédure est encadrée par des obligations formelles strictes et des délais précis.
Logiciels BDESE & BDU : Ces outils centralisent les données sociales et économiques exigées par la réglementation française (BDESE : Base de Données Économiques, Sociales et Environnementales). Ils facilitent les échanges avec les représentants du personnel, garantissent la transparence et assurent la conformité aux obligations légales liées au dialogue social.
Logiciels d’analyse & création de CV : Ils aident à rédiger des CV percutants et adaptés aux recruteurs. Certains intègrent l’analyse automatique de CV pour les recruteurs, avec des scores de pertinence. Ces outils favorisent le matching entre les profils et les postes, tout en améliorant l’efficacité du tri des candidatures.
Logiciels d’onboarding & intégration des collaborateurs : Ils automatisent et encadrent les étapes d’intégration d’un nouveau salarié : documents, accès, formations, planning. Ils facilitent l’accueil, la montée en compétences et l’engagement des recrues. Ces outils réduisent les erreurs, les délais d’accès aux ressources et les risques de désorganisation interne.
Logiciels de bien-être en entreprise & diversité DEI : Ils mesurent et pilotent les politiques de qualité de vie au travail, de diversité, d’équité et d’inclusion. Ils permettent la réalisation de sondages anonymes, la mise en œuvre d’actions correctives et le suivi des indicateurs sociaux. Outils clés pour améliorer le climat social et l’image employeur.
Logiciels de gestion d’équipe & planning : Ils permettent de planifier les horaires, affecter les tâches, visualiser les disponibilités et organiser le travail d’équipe. Utilisés en restauration, commerce ou industrie, ils favorisent l’optimisation des ressources humaines, le respect du droit du travail et la gestion des imprévus.
Logiciels de gestion des compétences : Ils cartographient les compétences disponibles, identifient les besoins en formation et facilitent la mobilité interne. Ils sont essentiels pour le développement des talents, l’anticipation des évolutions métiers et le pilotage stratégique des ressources humaines.
Logiciels de gestion des interventions & tournées sur le terrain : Ces solutions organisent et optimisent les déplacements des équipes mobiles (techniciens, commerciaux). Elles planifient les missions, géolocalisent les agents, collectent les comptes rendus et assurent le lien entre terrain et siège. Elles améliorent la productivité, la réactivité et la satisfaction client.
Logiciels de gestion des temps / congés & absences : Ils permettent le suivi des horaires, des congés, des RTT, des arrêts maladie. Intégrés à la paie, ils assurent la conformité avec le droit du travail, la fluidité des validations hiérarchiques et l’optimisation des plannings.
Logiciels de gestion du CE & CSE : Ils aident les comités d’entreprise ou sociaux et économiques à gérer les budgets, les activités sociales et les relations avec les salariés. Ils intègrent des modules de communication, de réservation et de comptabilité, tout en assurant la transparence vis-à-vis des ayants droit.
Logiciels de job board : Ils permettent la publication d’offres d’emploi, la gestion des candidatures et la mise en relation entre recruteurs et candidats. Ils peuvent être généralistes ou spécialisés par secteur. Utilisés en interne ou en portail externe, ils renforcent la visibilité de l’entreprise et la rapidité de recrutement.
Logiciels de marketing RH : Ces outils appliquent les méthodes du marketing à l’attractivité employeur : campagnes de recrutement, branding RH, ciblage des candidats. Ils permettent de soigner l’image de l’entreprise, de diffuser les offres sur les bons canaux et de mieux comprendre les attentes des talents.
Logiciels de paie : Ils automatisent le calcul des bulletins de salaire, la gestion des déclarations sociales et les versements aux organismes. Ils garantissent la conformité réglementaire, limitent les erreurs et facilitent la communication avec les salariés. Essentiels à la gestion RH, ils sont souvent couplés aux logiciels SIRH.
Logiciels de recrutement & ATS : Les Applicant Tracking Systems gèrent le processus de recrutement : diffusion des offres, réception des CV, tri automatique, suivi des candidats. Ils facilitent la collaboration entre recruteurs, accélèrent les embauches et centralisent les données. Utilisés par les RH pour professionnaliser et automatiser le sourcing.
Logiciels GIRH : La Gestion Intégrée des Ressources Humaines regroupe l’ensemble des modules RH (paie, formation, carrière, temps, etc.) dans un système unique. Elle centralise les données, garantit la cohérence des processus et fournit des indicateurs stratégiques pour une gestion globale et optimisée des effectifs.
Logiciels LMS & formation e-learning : Les Learning Management Systems permettent de concevoir, héberger et suivre des parcours de formation en ligne. Ils offrent un accès autonome aux contenus pédagogiques, permettent l’évaluation des compétences et favorisent la montée en compétences continue des collaborateurs.
Logiciels QHSE : Ils permettent de gérer les politiques de Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement. Ces logiciels assurent le suivi des incidents, des audits, des plans d’action et des indicateurs réglementaires. Ils contribuent à la conformité, à la prévention des risques et à l’amélioration continue.
Logiciels RH & SIRH : Les Systèmes d’Information RH centralisent la gestion administrative, la paie, la formation, les carrières, les absences. Ils automatisent les processus, assurent la traçabilité, offrent une visibilité à la direction et un accès simplifié aux collaborateurs via des portails RH.
Maladie professionnelle : Une maladie est dite professionnelle si elle résulte directement de l’activité exercée ou de l’environnement de travail (produits toxiques, bruit, gestes répétés…). Elle est reconnue après instruction d’un dossier médical et administratif par la CPAM. Elle donne lieu à une prise en charge spécifique, parfois à une indemnisation complémentaire.
Management : Le management désigne l’ensemble des techniques visant à organiser, coordonner et motiver les équipes pour atteindre les objectifs fixés. Il englobe la gestion des ressources humaines, la conduite du changement, le pilotage de la performance et la communication. Le style managérial influe fortement sur la culture d’entreprise et l’engagement.
Marque employeur : La marque employeur désigne l’image que véhicule une entreprise en tant qu’employeur. Elle se construit par la communication interne, les valeurs affichées, les conditions de travail et les témoignages des salariés. Une marque employeur forte attire les talents, favorise leur fidélisation et améliore la réputation globale de l’entreprise.
Méthode Agile : Appliquée à la gestion RH, la méthode Agile favorise la réactivité, la collaboration et l’adaptabilité. Elle repose sur une organisation du travail en cycles courts, des interactions régulières avec les équipes, une réévaluation constante des priorités. Elle s’oppose aux approches rigides, notamment dans la conduite de projets ou les recrutements.
Mobilité internationale : La mobilité internationale désigne le déplacement professionnel d’un collaborateur à l’étranger. Elle peut prendre la forme d’expatriation, de détachement ou de missions ponctuelles. Elle renforce la coopération entre filiales, favorise le transfert de compétences et constitue un levier de développement pour les entreprises à rayonnement global.
Mobilité interne : La mobilité interne concerne les changements de poste ou de périmètre d’un salarié au sein de l’entreprise. Elle peut être volontaire ou initiée par les RH. Elle favorise l’engagement, limite le turnover et optimise la gestion des compétences. Elle nécessite des entretiens réguliers et des dispositifs de formation.
Mouton à cinq pattes : Cette expression désigne un profil idéal, cumulant toutes les compétences souhaitées pour un poste. Souvent irréaliste, cette recherche excessive peut freiner les recrutements. Les RH doivent donc adapter leurs exigences aux réalités du marché de l’emploi, en distinguant les compétences incontournables de celles pouvant être acquises.
Multidiffusion d’offres d’emploi : La multidiffusion permet à un recruteur de publier une offre d’emploi sur plusieurs supports en un seul clic. Grâce à des outils dédiés, elle élargit la visibilité d’une annonce, accélère la collecte de candidatures et réduit le temps de traitement. Elle s’intègre souvent aux logiciels ATS.
Non-discrimination à l’embauche : Le principe de non-discrimination impose aux recruteurs d’évaluer les candidats selon des critères objectifs et professionnels. Le Code pénal interdit toute distinction liée à l’âge, au sexe, à l’origine, à la religion ou à l’état de santé. Le respect de ce principe garantit l’équité et favorise la diversité dans l’entreprise.
Offboarding : L’offboarding est le processus d’accompagnement du départ d’un salarié. Il vise à assurer la continuité de l’activité, préserver la relation humaine et maintenir une image positive de l’entreprise. Il comprend des étapes comme l’annonce au service, le transfert de connaissances, l’entretien de sortie et éventuellement le maintien du lien post-départ.
Offre d’emploi : Une offre d’emploi décrit un poste à pourvoir : missions, compétences requises, type de contrat, localisation, rémunération. Elle est diffusée sur divers supports (site carrière, jobboards, presse…). Rédigée avec soin, elle constitue le premier contact entre l’entreprise et les candidats, influençant leur perception de la marque employeur.
Onboarding : L’onboarding désigne l’ensemble des actions mises en place pour intégrer un nouveau salarié dans l’entreprise. Il débute dès l’embauche et se prolonge sur les premières semaines. Son objectif est de favoriser l’adhésion, la compréhension de la culture d’entreprise et la montée en compétences, afin de fidéliser rapidement la nouvelle recrue.
Opérateurs booléens : Les opérateurs booléens sont des outils logiques utilisés pour affiner les recherches dans une base de données, un moteur de recherche ou une CVthèque. En recrutement, ils permettent de croiser plusieurs critères (et, ou, sauf…) pour identifier plus rapidement des profils précis, en réduisant le volume de résultats non pertinents.
Persona candidat : Le persona candidat est un portrait fictif du candidat idéal pour un poste donné. Il permet d’identifier les caractéristiques, motivations et attentes du profil recherché. Ce modèle guide la rédaction des offres, le choix des canaux de diffusion et la stratégie de communication RH, en ciblant efficacement les bons profils.
Personal branding : Le personal branding consiste à se promouvoir en tant que professionnel, en valorisant son parcours, ses compétences et ses valeurs personnelles. Cette stratégie est utilisée pour optimiser sa visibilité, notamment en ligne, à travers les réseaux sociaux, les événements professionnels ou la publication de contenus, et ainsi accroître son attractivité.
Plan de développement des compétences : Ce dispositif, anciennement appelé plan de formation, recense les actions de formation mises en place par l’entreprise pour adapter les compétences des salariés aux évolutions de leur poste. Il est établi par l’employeur, avec l’objectif de renforcer la performance, l’employabilité et l’adéquation entre besoins actuels et compétences internes.
Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) : Le PSE est un ensemble de mesures obligatoires destinées à accompagner les salariés dans le cadre d’un licenciement économique collectif. Il vise à limiter les ruptures de contrat par des reclassements internes, formations ou aides à la reconversion. Il doit être validé par l’administration du travail avant sa mise en œuvre.
Plateformes d’adoption numérique : Elles accompagnent les utilisateurs dans l’usage de nouveaux logiciels via des tutoriels interactifs, des messages contextuels et des parcours de formation intégrés. Elles améliorent la prise en main, accélèrent l’adoption des outils numériques et réduisent les coûts liés au support ou à la formation.
Preboarding : Le preboarding est la phase située entre la signature du contrat et l’arrivée effective du salarié. Il consiste à maintenir le lien avec la future recrue via des échanges réguliers, l’envoi d’informations utiles ou la préparation logistique. Cela limite les désistements de dernière minute et prépare une intégration plus fluide.
Projet de transition professionnelle : Ce dispositif permet à un salarié en CDI de s’absenter temporairement pour suivre une formation certifiante visant une reconversion. Il remplace le CIF et mobilise les droits du CPF. Le projet doit être cohérent avec le parcours du salarié et validé par une commission paritaire interprofessionnelle régionale (Transitions Pro).
Qualité de vie globale : La qualité de vie globale englobe la qualité de vie au travail (QVT) et la sphère privée. Elle considère l’équilibre entre exigences professionnelles et bien-être personnel. Les RH adoptent une approche élargie, intégrant le droit à la déconnexion, la flexibilité, la santé mentale, les conditions matérielles et la reconnaissance.
Rapport d’étonnement : Ce document est rédigé par un nouveau salarié après ses premiers jours dans l’entreprise. Il permet de recueillir ses impressions sur l’organisation, les pratiques ou la culture d’entreprise. Le rapport d’étonnement constitue un outil de retour d’expérience précoce, utile pour ajuster l’accueil, identifier des dysfonctionnements ou détecter des améliorations potentielles.
Reconversion professionnelle : La reconversion est un changement volontaire de métier ou de secteur d’activité. Elle s’appuie souvent sur un bilan de compétences, une formation ou un accompagnement. Les salariés peuvent mobiliser le CPF ou d’autres dispositifs pour financer leur projet. Cette démarche répond à un besoin d’évolution, de sens ou d’adaptation au marché.
Recrutement à distance : Le recrutement à distance repose sur des outils numériques permettant d’effectuer l’ensemble du processus sans contact physique. Il s’est largement démocratisé avec la crise sanitaire. Les entretiens se font par visioconférence, les tests en ligne, et la signature des contrats peut être dématérialisée. Ce mode recrute plus vite mais exige une bonne organisation.
Recrutement circulaire : Ce mode de recrutement consiste à transmettre un bon candidat non retenu par une entreprise à d’autres recruteurs partenaires. Il repose sur la coopération entre services RH et limite la perte de temps pour le candidat. Il permet aussi d’optimiser les viviers de candidatures tout en renforçant la réactivité collective.
Recrutement collaboratif : Le recrutement collaboratif implique les membres de l’équipe dans le processus de sélection. Tous participent à la définition du profil, à la rédaction de l’annonce, aux entretiens ou à l’intégration. Cette méthode favorise l’adhésion de la future recrue, réduit les erreurs de casting et renforce la culture d’entreprise partagée.
Recrutement programmatique : Appuyé sur des algorithmes, le recrutement programmatique cible les candidats les plus susceptibles de répondre à une offre. Les données de navigation, mots-clés, profils sociaux sont analysés pour diffuser les annonces au bon moment et au bon endroit. Cette méthode optimise la portée des campagnes de recrutement et leur efficacité.
Rémunération : La rémunération comprend l’ensemble des contreparties financières et en nature attribuées à un salarié. Elle intègre le salaire de base, les primes, les avantages sociaux, les frais professionnels, l’épargne salariale ou encore les éléments accessoires comme un véhicule de fonction. Elle constitue un levier stratégique d’attractivité, de reconnaissance et de performance.
Reporting RH : Le reporting RH s’appuie sur des indicateurs pour analyser les données sociales d’une entreprise : effectifs, absences, turnover, formation, rémunération… Il alimente des tableaux de bord utiles à la prise de décision et au pilotage stratégique. Ces rapports permettent d’identifier les écarts, d’optimiser les ressources et de prévenir les risques sociaux.
Réseau social professionnel : Un réseau social professionnel est une plateforme permettant aux professionnels de se connecter, partager des expériences, publier du contenu ou rechercher des opportunités. Il est également un outil de sourcing et de marque employeur. LinkedIn est l’exemple le plus répandu, utilisé tant par les candidats que les recruteurs.
Risques psychosociaux (RPS) : Les RPS regroupent les facteurs de stress affectant la santé mentale ou physique des salariés : surcharge, isolement, conflits de valeurs, incertitude… Ils influencent l’absentéisme, le turnover et la performance. La prévention repose sur une analyse fine des organisations, des entretiens, des actions correctives et une écoute attentive des collaborateurs.
RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) : Le RNCP répertorie toutes les certifications reconnues par l’État, accessibles via la formation professionnelle. Chaque fiche RNCP décrit les compétences visées et les débouchés associés. Ce registre officiel garantit la lisibilité des diplômes, facilite la reconversion et permet aux candidats comme aux entreprises de s’orienter dans l’offre de formation.
ROI (Retour sur investissement) : Le ROI RH mesure la rentabilité d’une action ou d’un recrutement. Il compare les gains économiques (productivité, performance, fidélisation) aux coûts engagés (formation, sourcing, intégration). Cet indicateur aide à justifier les décisions auprès de la direction et à prioriser les actions RH en fonction de leur impact réel.
RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) : La RSE désigne l’engagement volontaire des entreprises en matière sociale, environnementale et économique. Elle intègre les préoccupations éthiques dans la stratégie globale : inclusion, égalité, transition écologique, transparence… Elle devient un critère d’attractivité pour les candidats et renforce la confiance des parties prenantes internes et externes.
RTT (Réduction du temps de travail) : Le dispositif RTT compense les heures effectuées au-delà de 35 heures hebdomadaires, sans les rémunérer en heures supplémentaires. Ces jours de repos sont définis par un accord d’entreprise. Ils concernent surtout les salariés au forfait ou les cadres, et participent à un meilleur équilibre entre vie privée et professionnelle.
Scorecard : La scorecard est une grille d’évaluation utilisée dans les entretiens structurés. Elle permet de noter objectivement les candidats selon des critères définis à l’avance, en lien avec les exigences du poste. Elle facilite la comparaison, réduit les biais de sélection et permet de documenter les choix faits en matière de recrutement.
SEA (Search Engine Advertising) : Le SEA désigne les campagnes de publicité sur les moteurs de recherche. En RH, il permet de promouvoir des offres d’emploi en achetant des mots-clés stratégiques. Ce levier de visibilité ciblée améliore le trafic vers les annonces, notamment pour des postes urgents ou très concurrentiels.
SEO (Search Engine Optimization) : Le SEO vise à optimiser le référencement naturel d’un site dans les résultats des moteurs de recherche. Dans le contexte RH, il permet de rendre plus visibles les pages carrières ou offres d’emploi sans payer. Il s’appuie sur des mots-clés pertinents, une structure claire et un contenu adapté.
SIRH (Système d’information des ressources humaines) : Le SIRH centralise et automatise les données liées à la gestion du personnel : paie, congés, planning, formations, évaluations. Il améliore l’efficience du service RH, sécurise les processus administratifs et offre une vision globale et actualisée des effectifs. Il est souvent intégré à d’autres systèmes métiers ou ERP.
Site carrière : Le site carrière est une vitrine RH sur laquelle une entreprise publie ses offres d’emploi, présente ses valeurs, son environnement de travail et ses engagements. Il constitue un canal stratégique pour attirer les talents, promouvoir la marque employeur et centraliser les candidatures de manière professionnelle et structurée.
Soft skills : Les soft skills sont des compétences humaines, relationnelles ou émotionnelles comme la communication, l’adaptabilité, la créativité ou le leadership. De plus en plus valorisées, elles complètent les savoir-faire techniques (hard skills). Elles sont difficiles à évaluer mais essentielles dans des environnements de travail en constante mutation.
Sourcing : Le sourcing est l’ensemble des actions visant à identifier et attirer des candidats qualifiés. Il comprend la diffusion d’offres, la recherche sur CVthèques, les réseaux sociaux, la cooptation ou les bases internes. C’est une étape stratégique du recrutement, souvent pilotée en amont des entretiens, pour constituer un vivier actif.
Strategic Workforce Planning : Cette méthode RH vise à anticiper les évolutions des ressources humaines selon les objectifs stratégiques de l’entreprise. Elle consiste à analyser les écarts entre les besoins futurs et les compétences disponibles, afin d’adapter la formation, le recrutement et la mobilité. Elle repose sur une vision pluriannuelle des effectifs et des métiers.
Symétrie des attentions : Ce concept établit un lien direct entre la qualité de la relation client et celle accordée aux salariés. En d’autres termes, une entreprise qui prend soin de ses collaborateurs est plus à même d’offrir un service de qualité à ses clients. C’est un levier RH et managérial de performance durable.
Tableaux de bord RH : Les tableaux de bord RH synthétisent les indicateurs clés (KPI) de la fonction RH : turnover, absentéisme, coût salarial, formation… Outils de pilotage stratégique, ils permettent aux responsables RH et à la direction d’avoir une vision claire et chiffrée de la situation sociale de l’entreprise pour orienter leurs décisions.
Télétravail : Le télétravail permet à un salarié d’exécuter ses missions hors des locaux de l’entreprise grâce aux technologies numériques. Volontaire et encadré par accord ou charte, il offre flexibilité et autonomie. Son essor, notamment post-Covid, transforme en profondeur l’organisation du travail et les pratiques managériales.
Test de recrutement : Ce test évalue les aptitudes, les connaissances ou la personnalité des candidats. Il peut prendre la forme d’un questionnaire, d’une mise en situation, d’un test de logique ou d’un jeu de rôle. Utilisé en complément de l’entretien, il renforce l’objectivité et la qualité du processus de sélection.
Travail hybride : Le travail hybride combine présence en entreprise et travail à distance. Il offre une flexibilité accrue, favorise l’autonomie, mais nécessite une bonne organisation, des outils adaptés et une communication claire. Il répond aux nouvelles attentes des salariés en matière d’équilibre et transforme durablement les modes de collaboration.
Turnover : Le turnover désigne le renouvellement des effectifs d’une entreprise sur une période donnée. Il comprend les départs volontaires, les licenciements et les recrutements. Un taux de turnover élevé peut indiquer un problème de climat social ou de fidélisation. À l’inverse, un turnover maîtrisé permet de renouveler les compétences.
Validation des acquis de l’expérience (VAE) : La VAE permet d’obtenir une certification officielle à partir de l’expérience professionnelle. Elle valorise les savoir-faire acquis sur le terrain, sans nécessairement passer par une formation. Elle s’adresse à tout actif justifiant d’un an d’expérience, en lien direct avec le diplôme visé, et s’inscrit dans un parcours de reconnaissance professionnelle.
Visite médicale : Obligatoire à l’embauche, la visite médicale permet d’évaluer l’aptitude du salarié à occuper son poste. Elle est ensuite renouvelée périodiquement. Délivrée par la médecine du travail, elle joue un rôle préventif majeur, notamment dans la détection des risques professionnels et la préservation de la santé au travail.
Vivier de candidats : Un vivier de candidats regroupe les profils identifiés comme pertinents mais non encore recrutés. Constitué à partir de candidatures spontanées, de sourcing ou d’anciens entretiens, il permet de réagir rapidement en cas de besoin. Bien géré, il devient un levier stratégique pour accélérer les embauches et optimiser le recrutement.
Glossaire des Réseaux Sociaux : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire Réseaux Sociaux pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier des Réseaux Sociaux . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’Abonné à Web social) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
La maîtrise du vocabulaire spécifique aux réseaux sociaux est devenue indispensable pour toute organisation ou professionnel souhaitant tirer pleinement parti des opportunités offertes par ces plateformes. En constante mutation, cet écosystème repose sur des codes, des fonctionnalités et des formats propres à chaque réseau, qu’il convient de comprendre et de maîtriser pour bâtir une stratégie de communication efficace et cohérente.
Connaître les termes fondamentaux — tels que engagement, reach, impressions, story, reels, algorithme, hashtag, influenceur ou encore UGC (User Generated Content) — permet d’interpréter correctement les indicateurs de performance, d’adapter les contenus aux spécificités de chaque canal (Instagram, TikTok, LinkedIn, X, etc.) et d’interagir de manière pertinente avec les audiences. Ce lexique conditionne aussi la compréhension des outils d’analyse, des paramètres de publicité ou encore des mécanismes de modération.
Plus encore, le langage des réseaux sociaux évolue en même temps que les usages : de nouveaux formats apparaissent, les plateformes innovent, et des tendances émergent rapidement. Se tenir à jour sur la terminologie permet d’anticiper les changements, de rester agile dans sa communication et de dialoguer efficacement avec les experts du secteur (community managers, consultants, data analysts…).
Abonné : Un abonné est un utilisateur qui choisit de suivre le contenu d’un autre compte sur un réseau social afin d’en recevoir les publications. Dans une stratégie de communication, le nombre d’abonnés reflète la portée potentielle d’un message. Une communauté engagée, même restreinte, favorise les interactions et renforce la visibilité.
Ad (Advertisement) : Une ad est une publicité numérique payante diffusée sur les réseaux sociaux pour promouvoir un produit, un service ou une marque. Les ads sont intégrées aux fils d’actualité et ciblent des segments précis selon des critères comportementaux ou démographiques. Elles permettent un retour sur investissement mesurable et une visibilité accrue.
Adepte : L’adepte est un terme souvent utilisé comme synonyme d’abonné, notamment dans un contexte francophone. Il désigne une personne qui manifeste un intérêt soutenu pour une page, une marque ou une personnalité sur les réseaux sociaux, en s’y abonnant ou en interagissant de manière régulière avec ses contenus.
Algorithme : L’algorithme d’un réseau social détermine quels contenus s’affichent dans le fil d’actualité des utilisateurs. Il repose sur des critères tels que les interactions précédentes, la fréquence des publications, ou la pertinence supposée. Comprendre et s’adapter à ces mécanismes est essentiel pour maximiser la visibilité d’une marque ou d’un contenu.
Avatar : L’avatar représente l’identité visuelle d’un utilisateur dans un environnement numérique. Il peut s’agir d’une photo, d’un dessin ou d’une figure virtuelle. Il permet à l’utilisateur d’être identifié dans un espace en ligne tout en conservant une part d’anonymat. Il joue un rôle dans la construction de l’identité numérique.
Biographie : La biographie, ou bio, est un texte court situé sous la photo de profil d’un compte. Elle synthétise les informations clés sur l’utilisateur ou la marque. Bien rédigée, elle capte l’attention, donne envie de s’abonner et renforce l’image de marque. Elle doit contenir un appel à l’action clair.
Blogue : Un blogue est un site ou une section d’un site web où un individu ou une organisation publie régulièrement des articles, souvent rédigés dans un style personnel. Ces publications peuvent traiter de sujets variés et permettre l’interaction avec les lecteurs par le biais de commentaires, favorisant ainsi un échange continu.
Bloquer : Bloquer consiste à interdire à un autre utilisateur l’accès à un compte, empêchant ainsi toute interaction, y compris la consultation du profil ou l’envoi de messages. Cette fonctionnalité est utile pour gérer les comportements abusifs, limiter les spams ou préserver la sécurité numérique d’un compte ou d’une entreprise.
Carrousel : Un carrousel permet de publier plusieurs images ou vidéos dans une seule publication défilable. Ce format favorise l’engagement en incitant les utilisateurs à interagir avec chaque visuel. Il est particulièrement efficace pour présenter un produit sous différents angles ou raconter une histoire en plusieurs étapes visuelles cohérentes.
Clavardage : Le clavardage est l’équivalent francophone de « chat ». Il désigne une conversation textuelle en temps réel entre deux ou plusieurs utilisateurs connectés à un réseau. Il est utilisé sur les plateformes sociales, les sites web ou les applications pour assurer un dialogue rapide, informel ou professionnel.
Commentaire : Un commentaire est une réponse ou une réaction textuelle publiée en réaction à un contenu en ligne (article, vidéo, photo, publication sociale). Il permet aux utilisateurs d’exprimer leurs opinions, poser des questions ou interagir avec l’auteur du contenu, renforçant l’aspect participatif du web social.
Community Management : Le community management regroupe l’ensemble des actions visant à animer et gérer une communauté en ligne. Cela inclut la modération, la publication de contenus, la réponse aux commentaires ou messages et la veille concurrentielle. Son objectif principal est de développer l’image de marque et de fidéliser les utilisateurs.
Compte privé : Un compte privé est accessible uniquement aux abonnés approuvés manuellement. Il permet de restreindre la visibilité des contenus publiés. S’il est utile pour un usage personnel, il est déconseillé pour une entreprise qui souhaite accroître sa visibilité. Une page publique est plus adaptée à une communication professionnelle.
Compte utilisateur : Le compte utilisateur est un profil personnel sécurisé permettant d’accéder à une plateforme numérique. Il contient des données d’identification, un historique d’activité et parfois des préférences. Il constitue la base de l’interaction avec les services proposés, qu’ils soient informatifs, transactionnels ou communautaires.
Compte vérifié : Un compte vérifié est un profil authentifié par la plateforme, signalé par une pastille bleue. Ce label prouve l’identité du titulaire du compte (personnalité, entreprise, institution) et limite les risques d’usurpation. Il rassure les utilisateurs et confère une crédibilité supplémentaire à la marque ou à la personne concernée.
Contenu sponsorisé : Le contenu sponsorisé est un message promotionnel financé par une entreprise pour toucher un public cible. Il s’intègre aux flux classiques et nécessite d’être clairement identifié comme sponsorisé. Il permet de maîtriser sa diffusion, d’atteindre des objectifs de notoriété ou de conversion, tout en respectant la transparence vis-à-vis des utilisateurs.
Couverture : La couverture désigne le nombre de comptes uniques ayant vu une publication. Elle est un indicateur essentiel pour mesurer la portée organique ou payante d’un message. Contrairement aux impressions, qui comptent toutes les vues, la couverture permet d’estimer combien de personnes distinctes ont été réellement touchées.
Cyberespace : Le cyberespace désigne l’environnement virtuel créé par l’interconnexion mondiale des réseaux numériques. Il englobe l’ensemble des contenus, services et communications en ligne. Il s’agit d’un espace immatériel structurant de nombreuses activités humaines : échanges, travail, divertissement, commerce, éducation ou militantisme.
Diffusion en continu : La diffusion en continu, ou streaming, permet de lire un contenu multimédia (vidéo, audio) en temps réel, sans le télécharger entièrement au préalable. Ce mode de diffusion est utilisé par les plateformes de vidéo à la demande, de musique ou lors d’événements en direct sur les réseaux sociaux.
DM (Direct Message) : Le DM est un message privé envoyé via la messagerie d’un réseau social. Il permet des échanges directs, confidentiels et personnalisés entre un utilisateur et une marque. Une bonne gestion des DM est essentielle pour le service client, la fidélisation ou la conversion de prospects sur les plateformes sociales.
Données d’accès : Les données d’accès sont les informations nécessaires pour s’authentifier et accéder à un compte numérique : identifiant (souvent une adresse e-mail) et mot de passe. Elles sont sensibles et doivent être protégées pour éviter les intrusions ou le vol d’identité. Leur gestion est cruciale pour la cybersécurité.
Égoportrait (selfie) : Un égoportrait, ou selfie, est une photo prise de soi-même, généralement avec un téléphone intelligent ou une webcam. Fréquent sur les réseaux sociaux, il est utilisé pour partager son image dans un contexte personnel, événementiel ou promotionnel. Il contribue à la construction de l’identité visuelle de l’utilisateur.
Émoji : Un émoji est un pictogramme utilisé dans les messages numériques pour exprimer une émotion, une idée ou une réaction. Il enrichit le texte, compense l’absence de langage corporel et facilite l’interprétation des intentions. Les émojis sont normalisés et évoluent en fonction des tendances culturelles.
Émoticône : L’émoticône est un assemblage de caractères typographiques représentant une émotion (par exemple : « 🙂 »). Précédant l’émoji, elle était couramment utilisée dans les premiers échanges numériques pour indiquer le ton d’un message. Elle conserve aujourd’hui une dimension symbolique dans certains usages.
Enregistrement : L’enregistrement permet à un utilisateur de sauvegarder une publication pour consultation ultérieure. Plus une publication est enregistrée, plus l’algorithme considère qu’elle présente un intérêt. Cela améliore sa visibilité. Ce comportement reflète également une intention d’achat ou d’interaction future de la part de l’utilisateur.
Feed : Le feed est le fil d’actualité personnalisé où apparaissent les contenus publiés par les comptes suivis. Il est organisé par l’algorithme en fonction de l’interaction, de la pertinence et de la récence. Être présent dans le feed des abonnés est essentiel pour maintenir une visibilité régulière et une relation continue.
Fil d’actualité : Le fil d’actualité est un flux personnalisé de contenus affichés sur la page d’accueil d’un réseau social. Il regroupe les publications des comptes suivis, des suggestions ou contenus sponsorisés. Il est régi par des algorithmes qui hiérarchisent l’affichage selon les préférences, interactions passées et stratégies de visibilité des plateformes.
Filtre : Un filtre modifie l’apparence d’une photo ou d’une vidéo. Initialement utilisés pour ajuster les couleurs, les filtres incluent désormais des effets complexes de réalité augmentée. Bien utilisés, ils rendent le contenu plus attrayant. Toutefois, un usage excessif peut nuire à l’authenticité et à la crédibilité de la marque.
Follow / Follower : Suivre un compte (follow) signifie s’abonner à son contenu. Un follower est un utilisateur qui a choisi de suivre un autre profil. Le nombre de followers reflète l’influence potentielle d’un compte. Toutefois, la qualité des abonnés et leur niveau d’interaction priment sur la quantité en matière d’engagement réel.
Follow back : Le follow back désigne l’action de suivre un utilisateur en retour après qu’il se soit abonné à votre compte. Ce geste renforce les liens communautaires et peut encourager l’engagement mutuel. Toutefois, dans une stratégie professionnelle, il convient de suivre de manière ciblée pour garder la cohérence de la ligne éditoriale.
Gestionnaire de communauté : Le gestionnaire de communauté est responsable de l’animation, de la modération et du développement d’une communauté en ligne autour d’une marque ou d’un produit. Il crée du contenu, interagit avec les utilisateurs, surveille la réputation numérique et collecte les retours clients pour améliorer la communication et la fidélisation.
Groupe : Un groupe est un espace collaboratif restreint sur une plateforme sociale où les membres peuvent échanger autour d’un intérêt commun. Il peut être public, privé ou secret, selon les objectifs de partage ou de confidentialité. Les groupes favorisent l’interaction ciblée et la construction de communautés spécialisées.
Hashtag : Un hashtag est un mot-clé précédé du symbole « # » qui permet de classer et de retrouver facilement des contenus sur un thème donné. Il améliore la visibilité des publications en les rendant accessibles à un public plus large. Bien choisi, il cible efficacement des utilisateurs intéressés par la thématique.
Hyperlien : Un hyperlien est un lien cliquable intégré dans un texte ou une image, permettant d’accéder directement à une autre ressource numérique (page web, document, vidéo). Il structure la navigation sur le web, en facilitant l’accès à l’information et en reliant les contenus de manière dynamique.
Identification : L’identification consiste à associer un utilisateur à une publication ou à une photo en le mentionnant. Elle crée une notification et génère potentiellement plus de visibilité si l’utilisateur interagit ou repartage le contenu. C’est un levier efficace pour le networking, les collaborations ou les partenariats de marque.
Identiqueter : Identiqueter, ou identifier une personne sur une publication, consiste à l’associer directement à un contenu (photo, commentaire, article). Cela génère une notification et favorise la visibilité mutuelle. C’est un outil social important pour l’engagement et la reconnaissance dans les interactions numériques.
Impressions : Les impressions correspondent au nombre total d’affichages d’une publication. Elles comptabilisent toutes les vues, y compris les vues multiples par un même utilisateur. Cet indicateur permet d’évaluer la fréquence d’exposition d’un contenu, complémentaire à la couverture qui mesure le nombre de comptes distincts atteints.
Influenceur : Un influenceur est un utilisateur ayant développé une communauté active autour de son profil, capable d’influencer les comportements d’achat ou les opinions. Collaborer avec un influenceur peut accroître la notoriété et stimuler les ventes. Le choix d’un influenceur doit se baser sur la qualité de son audience et ses valeurs.
Influenceur Web : Un influenceur Web est une personne disposant d’une audience significative sur les réseaux sociaux, capable de modifier les opinions ou comportements d’achat de ses abonnés. Il ou elle collabore fréquemment avec des marques pour promouvoir des produits ou des idées, en jouant sur la confiance et l’identification du public.
Interaction : Les interactions regroupent toutes les actions des utilisateurs sur un contenu : likes, commentaires, partages, clics, enregistrements. Elles sont un indicateur central de l’intérêt suscité par un message. Un fort taux d’interaction améliore la visibilité via l’algorithme et reflète l’engagement de la communauté envers la marque ou l’entreprise.
Légende : La légende est un texte accompagnant une image ou une vidéo publiée sur un réseau social. Elle permet d’expliquer, contextualiser ou renforcer le message visuel. Une bonne légende est concise, structurée, engageante et adaptée à la cible. Elle peut inclure des hashtags, des mentions ou des appels à l’action clairs.
Like : Un like est une réaction positive à une publication, indiquant que le contenu est apprécié par l’utilisateur. Ce signal d’approbation contribue à améliorer la visibilité du post grâce aux algorithmes. Il reflète également l’implication de la communauté. Multiplier les likes favorise l’engagement global et renforce l’autorité numérique d’un compte.
Logiciels de gestion des réseaux sociaux : Ils permettent de programmer, publier, analyser et modérer les contenus sur plusieurs plateformes sociales à partir d’une interface unique. Ils facilitent le pilotage de la stratégie social media, le suivi des KPIs et la veille concurrentielle, tout en assurant la cohérence et la réactivité de la marque en ligne.
Marketing d’attraction : Le marketing d’attraction (ou inbound marketing) vise à attirer les clients potentiels par la création de contenus utiles et engageants plutôt que par des sollicitations directes. Il repose sur l’optimisation SEO, les blogs, les réseaux sociaux et le lead nurturing pour générer de l’intérêt et convertir naturellement les prospects.
Média social : Un média social désigne une plateforme numérique permettant la création, le partage et la diffusion de contenus générés par les utilisateurs. Il s’agit d’un espace d’interaction, de collaboration et de publication, structuré autour de profils, de contenus et de réseaux d’abonnés. Facebook, Twitter ou Instagram en sont des exemples typiques.
Membre : Un membre est un utilisateur inscrit à une plateforme, un groupe ou un service en ligne. Ce statut lui confère certains droits, comme publier du contenu, commenter ou accéder à des fonctionnalités spécifiques. Être membre suppose souvent l’adhésion à une charte ou à des règles communautaires fixées par la plateforme.
Mention : Mentionner consiste à intégrer le nom d’un autre utilisateur dans une publication ou un commentaire en le précédant du symbole « @ ». Cela crée une notification et génère potentiellement une interaction. Les mentions augmentent la portée d’un post et facilitent les collaborations ou les campagnes de visibilité croisée.
Message privé : Le message privé est une communication directe entre deux utilisateurs sur une plateforme sociale ou numérique. Contrairement aux publications publiques, il est visible uniquement par les parties concernées. Il permet de discuter de manière confidentielle, de régler un litige ou d’échanger des informations personnelles sans passer par les commentaires publics.
Messagerie instantanée : La messagerie instantanée permet aux utilisateurs de dialoguer en temps réel via des applications ou plateformes numériques. Elle favorise la rapidité des échanges, souvent par le biais de notifications, d’émoticônes et de pièces jointes. Très utilisée dans les contextes professionnels et personnels, elle contribue à fluidifier la communication numérique.
Mot-clic : Aussi appelé hashtag, le mot-clic est un mot ou groupe de mots précédé du symbole #. Il permet de catégoriser un contenu, de le rendre plus visible et de l’associer à des thématiques ou tendances. C’est un levier de viralité sur les réseaux sociaux, facilitant la recherche et l’indexation.
MP : Les messages privés (MP), tout comme les DM, permettent des échanges confidentiels entre utilisateurs sur une plateforme. Ils sont essentiels pour le service client, la gestion des réclamations ou la conversion de prospects. Une réponse rapide et professionnelle améliore la perception de la marque et la relation avec la communauté.
Naviguer : Naviguer désigne l’action d’explorer le Web ou une interface numérique à l’aide d’un navigateur ou d’une application. Cela comprend la consultation de sites, l’ouverture de liens ou le passage d’un contenu à un autre. Une navigation fluide est essentielle pour garantir une expérience utilisateur positive et intuitive.
Nétiquette : La nétiquette regroupe l’ensemble des règles de bonne conduite à adopter dans les échanges en ligne. Elle promeut le respect, la politesse et la clarté dans les interactions numériques, notamment sur les forums, courriels ou réseaux sociaux. Elle vise à préserver un climat sain et courtois dans le cyberespace.
Notification : Une notification est une alerte envoyée par une plateforme pour informer l’utilisateur d’une activité le concernant (nouvelle publication, commentaire, mention, message, mise à jour). Elle peut être visuelle, sonore ou mobile. Les notifications sont conçues pour maintenir l’engagement et inciter à revenir sur la plateforme.
Page Web : Une page Web est un document consultable via un navigateur Internet, codé en HTML, qui peut contenir du texte, des images, des vidéos ou des liens. Chaque page a une URL unique et fait partie d’un site Web. Elle constitue l’unité de base de l’architecture du Web.
Partager : Partager, dans un contexte numérique, signifie diffuser un contenu (article, vidéo, image, lien) à son réseau ou au public via un bouton dédié. Cela permet de relayer des informations, d’amplifier leur visibilité et de participer à la viralité. C’est un acte central dans les dynamiques d’interaction sociale en ligne.
Photo de profil : La photo de profil est l’image représentative d’un compte sur un réseau social. Pour une entreprise, il s’agit le plus souvent du logo, garantissant une identification immédiate. Elle joue un rôle majeur dans la reconnaissance de la marque et renforce la cohérence visuelle sur l’ensemble des plateformes numériques.
Portée : La portée désigne le nombre de personnes uniques exposées à une publication. Cet indicateur mesure l’efficacité de la diffusion d’un message. Il est complémentaire des impressions, qui comptent le nombre total d’affichages. Optimiser sa portée implique de travailler le contenu, les horaires de publication et la stratégie de diffusion.
Post : Un post est une publication sur un réseau social, intégrant du texte, des images, des vidéos ou des liens. Il constitue le canal principal d’expression d’un compte professionnel. La régularité, la pertinence du contenu et son adéquation avec la cible déterminent son impact sur l’engagement et la visibilité.
Profil : Le profil est la représentation numérique d’un utilisateur sur une plateforme. Il regroupe des données personnelles (nom, photo, bio, préférences), et ses activités. Il permet aux autres de le connaître, d’entrer en contact, et constitue l’unité d’identification centrale dans un réseau social ou un service en ligne.
Pseudonyme : Un pseudonyme est un nom d’emprunt utilisé par un internaute pour préserver son anonymat ou créer une identité distincte. Très courant dans les forums, jeux vidéo et réseaux sociaux, il permet d’interagir sans révéler sa véritable identité. Il joue un rôle dans la gestion de la vie privée numérique.
Publication : Une publication désigne tout contenu mis en ligne par un utilisateur sur un média social ou un site (texte, image, lien, vidéo). Elle constitue l’acte central de la participation en ligne. La fréquence, la forme et la pertinence des publications influencent directement la visibilité et l’engagement généré.
Reciblage publicitaire : Le reciblage publicitaire est une stratégie marketing qui consiste à diffuser des annonces ciblées à des internautes ayant déjà visité un site ou manifesté un intérêt pour une offre. Il repose sur des cookies et permet d’optimiser la conversion en maintenant la marque à l’esprit des prospects.
Réel : Un réel est un format vidéo court, dynamique et souvent musical, conçu pour captiver rapidement l’attention. Très populaire sur Instagram et Facebook, il permet de montrer des coulisses, des tutoriels ou des messages inspirants. Utilisé à bon escient, il augmente la portée organique grâce à l’algorithme favorisant ce format.
Réseau social : Un réseau social est une plateforme numérique conçue pour connecter des individus, partager du contenu et interagir. Il repose sur la création de profils, la mise en relation, et des algorithmes de visibilité. Les réseaux sociaux sont devenus des canaux majeurs de communication, de marketing et de veille stratégique.
Retweeter : Retweeter signifie partager un tweet publié par un autre utilisateur sur son propre fil Twitter. Cette fonction amplifie la visibilité du contenu original. Plus un tweet est retweeté, plus il gagne en portée. C’est un levier important pour faire circuler des messages, des opinions ou des actualités auprès d’une audience large.
Scroller : Scroller désigne l’action de faire défiler du contenu sur un écran, de haut en bas ou inversement. Ce geste quotidien conditionne la consommation passive d’informations. L’objectif pour les marques est de créer du contenu qui arrête ce mouvement, c’est-à-dire suffisamment impactant pour capter l’attention dans un flux dense.
Signaler : Signaler permet de rapporter un contenu ou un comportement inapproprié à une plateforme. Cela concerne les messages haineux, la désinformation, l’usurpation d’identité ou tout autre non-respect des règles. Ce mécanisme protège les utilisateurs, garantit un environnement sain et assure une modération plus rapide par les équipes de surveillance.
Social selling : Le social selling désigne l’utilisation stratégique des réseaux sociaux pour repérer, interagir et convertir des prospects. Il repose sur le partage de contenu pertinent, l’animation d’une communauté et l’interaction directe avec les cibles commerciales. C’est une méthode efficace pour développer des relations de confiance et accélérer le processus de vente.
Statut : Le statut est une courte publication utilisée pour indiquer une humeur, une activité ou un message sur un profil utilisateur. Il peut être textuel, visuel ou sonore, et est souvent temporaire. Il participe à la dynamique de partage et à la création d’une présence continue sur les réseaux sociaux.
Story : Une story est un contenu éphémère (photo ou vidéo) accessible pendant 24 heures. Elle favorise l’instantanéité et la proximité avec l’audience. Utilisée pour partager les coulisses ou des offres exclusives, la story génère des interactions rapides. Elle s’inscrit dans une logique de communication plus authentique et engageante pour les marques.
Suivre : Suivre un utilisateur, une page ou un sujet signifie s’abonner à ses publications pour en recevoir les mises à jour. C’est une manière d’exprimer un intérêt et d’entretenir un lien d’information, sans forcément interagir directement. Le nombre d’abonnés suivis ou suivant est un indicateur de popularité numérique.
Swiper : Swiper est l’action de faire glisser latéralement le doigt sur un écran tactile, notamment pour changer de story ou naviguer dans un carrousel. Ce geste est associé à des formats immersifs. Les appels à swiper (« swipe up ») permettent de rediriger l’utilisateur vers un lien, une fiche produit ou un formulaire.
Taguer : Taguer signifie identifier un utilisateur en ajoutant son nom précédé du symbole « @ » dans une publication ou un commentaire. Cela déclenche une notification. Taguer stratégiquement dans les jeux concours ou collaborations accroît la portée d’un post, incite à l’interaction et attire l’attention sur la marque ou le contenu.
Taux d’engagement : Le taux d’engagement mesure l’implication des utilisateurs vis-à-vis d’un contenu en ligne (likes, commentaires, partages, clics). Il est utilisé pour évaluer l’impact et la pertinence d’une publication, d’un profil ou d’une campagne. Cet indicateur est central en marketing digital, notamment pour les collaborations avec des influenceurs.
Tendance / Trends : Une tendance désigne un sujet très discuté en temps réel sur une plateforme comme Twitter. Être en tendance peut résulter d’un buzz positif ou d’une polémique. Il est essentiel de surveiller son e-réputation pour éviter un bad buzz, tout en capitalisant sur les occasions de visibilité positive générées par l’actualité.
Timeline : La timeline désigne l’ensemble chronologique des publications visibles sur le profil d’un utilisateur. Elle donne une vision d’ensemble de l’identité numérique, de la stratégie de contenu et de la régularité des publications. Sur Instagram, elle est aussi un espace de valorisation esthétique de l’image de marque ou personnelle.
Tweet : Un tweet est un message court publié sur X (anciennement Twitter), limité à 280 caractères. Il permet une communication concise et rapide, souvent en temps réel. C’est un outil privilégié pour la veille, la prise de parole publique ou le service client. Sa viralité dépend du ton, de la réactivité et du timing.
Unfollow : L’unfollow est l’action de se désabonner d’un compte. Il traduit un désintérêt, une lassitude ou un rejet du contenu proposé. Pour une marque, un taux élevé d’unfollows peut révéler un manque de pertinence dans la ligne éditoriale ou un mauvais ciblage. Analyser ces pertes est crucial pour ajuster sa stratégie.
Web sémantique : Le web sémantique désigne l’évolution du Web vers un environnement où les contenus sont enrichis de métadonnées permettant aux machines de mieux les comprendre, d’interpréter leur signification et de faciliter les recherches intelligentes. Il s’agit d’un Web structuré, interconnecté et interprétable par les algorithmes.
Web social : Le web social est l’ensemble des technologies, plateformes et usages qui permettent aux utilisateurs de produire, partager et commenter du contenu en ligne. Il repose sur l’interaction, la participation active et la mise en réseau des internautes. C’est l’infrastructure sur laquelle se construisent les communautés virtuelles contemporaines.
Glossaire de la Relation Client et de la Vente : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire Relation Client et de la Vente pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier de la Relation Client et de la Vente . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’Accords sur les niveaux de service à Web Call back) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
Dans les domaines de la relation client et de la vente, le vocabulaire professionnel joue un rôle stratégique. Il structure non seulement les échanges entre collaborateurs, mais influence également la perception du client, la clarté de l’offre et l’efficacité de la démarche commerciale. Maîtriser ce lexique permet de mieux qualifier les besoins, d’adopter un discours adapté et de renforcer la confiance dans chaque interaction.
Des termes comme prospect, lead qualifié, taux de transformation, cycle de vente, objection, argumentaire, closing, upselling ou fidélisation ne sont pas de simples éléments de langage. Ils reflètent des étapes clés du processus commercial et facilitent la coordination entre les fonctions marketing, vente et support. En service client, des expressions telles que SLA (Service Level Agreement), ticketing, CSAT (Customer Satisfaction Score), NPS (Net Promoter Score) ou omnicanal permettent de piloter efficacement la qualité des interactions et d’assurer la continuité du service.
Ce vocabulaire spécialisé favorise également une meilleure exploitation des outils CRM, en facilitant le suivi des opportunités, le traitement des demandes ou l’analyse des données comportementales. Dans un contexte de digitalisation des parcours d’achat et de complexification des attentes clients, disposer d’un langage partagé permet d’unifier les pratiques, de mieux segmenter les audiences et de personnaliser les discours commerciaux.
Accords sur les niveaux de service (SLA) : Les SLA définissent les engagements de qualité de service entre un prestataire et son client. Ils précisent les indicateurs de performance (KPI), les délais de réponse, de résolution et les niveaux de disponibilité attendus. Les SLA encadrent contractuellement les obligations, permettent d’assurer un suivi structuré et renforcent la transparence des prestations.
Agent du service client : L’agent du service client est le premier interlocuteur entre une entreprise et ses clients. Il répond aux demandes via téléphone, e-mail, chat ou réseaux sociaux. Sa mission consiste à assister, informer, résoudre les problèmes, traiter les réclamations et garantir la satisfaction client, en respectant les procédures internes et les objectifs de qualité.
Analyse de sentiments : L’analyse de sentiments consiste à évaluer la tonalité émotionnelle d’un contenu textuel ou symbolique (textes, avis clients, émoticônes). Elle s’appuie sur des techniques de text mining et d’analyse sémantique. Elle permet aux entreprises d’interpréter les opinions exprimées en ligne, d’identifier les émotions dominantes et d’ajuster leur stratégie relationnelle en conséquence.
Analyse des sentiments : L’analyse des sentiments vise à détecter les émotions exprimées dans des contenus textuels ou vocaux. Utilisant le traitement automatique du langage naturel et le machine learning, elle permet d’identifier des opinions, des jugements ou des humeurs. Cette analyse affine la compréhension des clients et alimente les actions marketing ou d’amélioration.
Analyse du verbatim : Cette analyse qualitative porte sur les commentaires exprimés librement par les clients, souvent lors d’enquêtes, avis ou échanges spontanés. L’objectif est d’identifier des tendances, thèmes récurrents ou signaux faibles pour enrichir la connaissance client. Elle permet aussi de prioriser les améliorations en fonction des perceptions exprimées dans le langage courant.
Analyse prédictive : L’analyse prédictive utilise les données historiques et actuelles pour anticiper des comportements futurs. Elle combine des méthodes statistiques, algorithmiques et d’intelligence artificielle afin de prévoir les tendances, les besoins ou les risques. Elle est utilisée pour optimiser la prise de décision, ajuster l’offre et personnaliser l’expérience client à grande échelle.
ARPU (Average Revenue Per User) : L’ARPU, ou revenu moyen par utilisateur, mesure le chiffre d’affaires généré par client sur une période donnée. Initialement utilisé dans les télécoms, cet indicateur est désormais appliqué à de nombreux secteurs. Il permet d’évaluer la rentabilité client, d’identifier les segments les plus profitables et d’ajuster la stratégie commerciale.
Automatic Speech Recognition (ASR) : L’ASR permet de convertir la parole humaine en texte via un traitement vocal automatisé. Intégrée aux outils de centre de contact ou aux assistants vocaux, cette technologie facilite l’analyse, l’archivage et la réponse automatique. Elle est utile pour automatiser la saisie d’informations et fluidifier les interactions vocales.
Base de connaissance : Une base de connaissance est un référentiel structuré de contenus d’assistance destiné aux agents ou aux clients. Elle contient des procédures, FAQ, guides ou solutions standardisées. En libre accès ou intégrée aux outils internes, elle améliore la réactivité, l’autonomie des utilisateurs et la cohérence des réponses fournies.
Bot : Un bot est un programme automatisé capable d’exécuter des tâches définies, comme interagir avec des utilisateurs, répondre à des questions ou effectuer des traitements répétitifs. Il peut être conversationnel (chatbot, voicebot) ou transactionnel. Les bots permettent de gagner en efficacité et de gérer un grand volume de demandes simples.
Canal de communication : Un canal de communication désigne le support utilisé pour transmettre un message entre un client et une entreprise : téléphone, e-mail, chat, SMS, réseaux sociaux, etc. Chaque canal peut être synchrone (temps réel) ou asynchrone. L’efficacité de la relation client dépend de la maîtrise et de la cohérence multicanale.
CCC – Centre de contact client : Le centre de contact client va au-delà du call center traditionnel en intégrant l’ensemble des canaux de communication utilisés par les clients : téléphone, email, chat, réseaux sociaux, SMS. Il permet une gestion fluide et cohérente des interactions clients et s’inscrit dans une approche omnicanale de la relation client.
Centre d’appels – Call center : Un centre d’appels centralise la gestion téléphonique des interactions avec les clients. Il traite les appels entrants (support, information) et sortants (télémarketing, enquêtes). Évoluant vers des centres de contacts multicanaux, il devient un pilier stratégique de la relation client, intégrant désormais des canaux digitaux comme les chats ou les réseaux sociaux.
Centre de contact : Un centre de contact centralise la gestion des interactions clients via divers canaux (voix, digital, écrit). Contrairement au centre d’appels limité à la téléphonie, il couvre l’ensemble des échanges omnicanaux. Il est structuré pour assurer la qualité de service, optimiser les flux et piloter la performance relationnelle.
Chatbot : Un chatbot est un agent conversationnel capable de simuler une discussion humaine via une messagerie, souvent intégré à un site web ou une application. Fonctionnant grâce à des scénarios ou à l’intelligence artificielle, il répond instantanément à des demandes simples ou fréquentes. Disponible en continu, il permet de désengorger le support humain, tout en garantissant une assistance réactive et personnalisée.
Churn : Le churn, ou taux d’attrition, désigne la part de clients qui cessent leur relation avec une entreprise. Il reflète une perte d’audience ou de revenus et peut résulter d’une insatisfaction, d’une offre concurrente ou d’une évolution des besoins. Analyser le churn permet de mettre en œuvre des actions de fidélisation ciblées.
Churn rate (taux d’attrition) : Le churn rate indique le pourcentage de clients qui cessent leur relation avec une entreprise. Il est particulièrement suivi dans les modèles par abonnement ou de revenus récurrents. Un taux élevé peut signaler une insatisfaction, une concurrence accrue ou un manque de différenciation. Le suivi du churn permet d’anticiper les pertes de revenus et de mettre en place des actions correctrices ciblées.
Client mystère : Le client mystère est un évaluateur mandaté pour tester incognito la qualité des services d’une entreprise. Il observe l’accueil, la conformité des procédures, la performance commerciale ou le traitement multicanal. Ses retours permettent un diagnostic objectif de l’expérience client et constituent un levier d’amélioration continue de la qualité de service.
Connaissance client : La connaissance client regroupe les données sociodémographiques, transactionnelles et comportementales collectées par l’entreprise. Elle permet d’analyser les habitudes, d’anticiper les besoins et de personnaliser les actions marketing. C’est un outil stratégique majeur dans la segmentation, la fidélisation et la construction d’une relation durable avec les différents profils de clientèle.
Conseiller augmenté : Le conseiller augmenté dispose d’outils technologiques avancés (IA, scripts intelligents, bases de connaissance, prédiction de comportement) pour améliorer son efficacité. Ces outils enrichissent l’expertise du conseiller sans le remplacer. L’objectif est de répondre plus vite, avec plus de pertinence, tout en renforçant l’expérience client et la performance individuelle.
Conseiller clients – Agent : Le conseiller client est l’interlocuteur direct chargé d’accueillir, informer et orienter les clients. Son rôle est de garantir leur satisfaction, tant en phase d’avant-vente que d’après-vente. Il agit dans une logique de service et peut intervenir sur tous les canaux, physiques et digitaux, selon les besoins exprimés.
CRM (Customer Relationship Management) : Le CRM est un système de gestion centralisée de la relation client. Il permet de stocker, organiser et analyser les interactions, les données personnelles, l’historique d’achat et les préférences clients. Grâce à cette vision unifiée, il facilite le suivi commercial, le marketing personnalisé et la fidélisation client à grande échelle.
Cross selling : Le cross selling, ou vente croisée, consiste à proposer un produit ou service complémentaire à celui initialement acheté. Cette technique permet d’augmenter le panier moyen et de renforcer l’expérience client. Elle est utilisée aussi bien en boutique qu’en ligne, notamment à l’aide d’algorithmes de recommandation ou de scénarios automatisés.
Cross-selling : Le cross-selling consiste à proposer au client un produit ou service complémentaire à celui déjà acheté. Cette technique commerciale augmente la valeur du panier moyen et améliore la satisfaction en répondant à des besoins connexes. Elle s’appuie sur la connaissance client pour formuler des recommandations pertinentes au bon moment.
CSAT (Customer Satisfaction Score) : Le CSAT est un indicateur direct de satisfaction client à la suite d’une interaction. Il repose sur une question simple, généralement notée sur une échelle de 1 à 5 ou 1 à 10. Le score obtenu permet d’évaluer la qualité perçue du service, de détecter les points d’amélioration et d’ajuster les actions.
CTI (Computer Telephony Integration) : Le CTI permet d’interconnecter le système téléphonique et les logiciels métier, notamment les CRM. Cette technologie facilite la reconnaissance de l’appelant, la remontée de sa fiche client, et le suivi de son historique. Elle optimise la productivité des agents et améliore la personnalisation et la réactivité de la relation client.
Customer centric : L’approche customer centric place le client au centre de toutes les décisions stratégiques et opérationnelles. Elle vise à aligner les produits, services et processus avec les attentes et préférences des clients. Cette orientation stratégique favorise la fidélité, l’innovation continue, et permet de différencier l’entreprise par une meilleure expérience client.
Customer Effort Score (CES) : Le CES mesure l’effort perçu par le client pour résoudre un problème ou obtenir une réponse. Un score bas signifie une expérience fluide, un score élevé indique un point de friction. Cet indicateur permet de simplifier les parcours et d’identifier les étapes trop complexes du point de vue utilisateur.
Customer journey / cycle de vie client : Le cycle de vie client décrit les étapes successives de la relation entre un client et une entreprise, depuis l’acquisition jusqu’à la fidélisation. Il se divise généralement en quatre phases : découverte, conversion, rétention et recommandation. Cartographier ce parcours permet d’optimiser les actions marketing et relationnelles à chaque moment-clé.
Customer Journey Map : La customer journey map est une représentation visuelle du parcours client, depuis la découverte d’un produit jusqu’à l’après-vente. Elle identifie les points de contact, les émotions ressenties et les obstacles rencontrés à chaque étape. Cet outil aide à comprendre le vécu client, à améliorer les processus et à concevoir des expériences fluides et engageantes, alignées sur les attentes réelles du consommateur.
Customer Lifetime Value (CLV) : Le CLV est un indicateur qui estime la valeur financière totale qu’un client apportera à une entreprise sur l’ensemble de sa relation commerciale. Il intègre les achats passés, la fréquence des transactions, le panier moyen et la durée de vie client. Utilisé pour segmenter la clientèle, il permet d’orienter les efforts marketing vers les profils les plus rentables et de maximiser le retour sur investissement à long terme.
Customer Satisfaction Score (CSAT) : Le CSAT mesure la satisfaction client à chaud, généralement à l’aide d’une question directe après une interaction ou un achat. L’évaluation est exprimée par une note ou un choix parmi des options (ex. : satisfait / insatisfait). Cet indicateur simple permet de suivre la performance du service client, d’identifier les points forts et les axes d’amélioration immédiate dans l’expérience utilisateur.
Customer success manager : Le customer success manager accompagne les clients B2B dans l’adoption et l’usage optimal d’une solution ou d’un service. Il vise à maximiser la satisfaction, la rétention et la montée en charge. Son rôle stratégique combine conseil, suivi personnalisé et identification des opportunités d’upsell ou de cross sell.
CXM – CEM (Customer Experience Management) : Le CXM ou CEM désigne l’ensemble des démarches visant à piloter et optimiser l’expérience client. Il s’appuie sur des indicateurs qualitatifs et quantitatifs pour évaluer chaque point de contact. Cette approche globale implique la culture d’entreprise, la formation des équipes et l’adaptation continue des parcours pour générer de la satisfaction durable.
Data scientist : Le data scientist analyse, structure et interprète les données massives afin d’en extraire des informations exploitables. Il maîtrise les statistiques, l’intelligence artificielle et les langages de programmation. Son rôle est central dans l’aide à la décision, la personnalisation de l’offre et la modélisation de comportements clients ou prospects.
Datamining : Le datamining, ou fouille de données, est un processus analytique visant à explorer de grands volumes de données pour en extraire des informations utiles. En combinant statistique, intelligence artificielle et traitement de données, il permet de dégager des corrélations, des modèles prédictifs et d’alimenter la prise de décision stratégique.
Débordement : Le débordement d’appels survient lorsqu’un centre d’appels reçoit plus de demandes qu’il ne peut en traiter. Cela engendre des délais d’attente excessifs et un risque élevé d’insatisfaction. Pour y remédier, des prestataires externes proposent des services de débordement, ponctuels ou permanents, afin de maintenir la qualité du service client.
Détection des émotions : La détection des émotions repose sur l’analyse des signaux vocaux ou textuels pour identifier les états émotionnels (colère, frustration, joie, etc.). Elle permet d’adapter la réponse en temps réel, d’améliorer l’empathie dans les échanges et d’anticiper des ruptures de parcours. C’est un levier croissant dans l’analyse de l’expérience client.
DM (Direct Messaging) : Le DM ou message direct désigne une communication privée entre deux utilisateurs via une plateforme de réseau social. Dans le service client, il est utilisé pour gérer des échanges personnalisés sur des canaux comme Instagram, Twitter ou LinkedIn. C’est un outil utile pour désamorcer publiquement une réclamation ou initier un contact discret.
Données personnelles : Les données personnelles désignent toute information permettant d’identifier directement ou indirectement un individu. Cela inclut des éléments comme le nom, l’adresse, un identifiant, une photo ou une adresse IP. Leur traitement est strictement encadré par le RGPD, afin de garantir la confidentialité et les droits fondamentaux des personnes concernées.
Double écoute : La double écoute permet à un superviseur d’écouter les échanges téléphoniques entre un agent et un client, en direct ou via enregistrement. Elle est utilisée à des fins de formation, de contrôle qualité ou d’analyse des retours client. Ce dispositif améliore la performance des équipes et l’uniformité du service.
Écoute client : L’écoute client, ou voix du client, regroupe l’ensemble des méthodes visant à recueillir et analyser les avis, attentes et ressentis des clients. Elle est centrale dans les démarches de qualité, de fidélisation et d’innovation. Elle s’intègre dans une logique d’amélioration continue de l’offre et des services proposés.
Enregistrement des conversations : L’enregistrement des conversations téléphoniques est une pratique encadrée, utilisée pour le contrôle qualité, la formation ou la preuve contractuelle. Elle doit être proportionnée, transparente, et respecter les droits des personnes enregistrées. Elle permet d’optimiser la traçabilité et de renforcer la conformité des échanges avec les clients.
ERP : Un ERP (Enterprise Resource Planning) est un logiciel de gestion intégrée qui couvre l’ensemble des processus d’une entreprise : comptabilité, production, RH, achats, stocks, etc. Il centralise les données et fluidifie la circulation de l’information, améliorant ainsi la productivité, la traçabilité et la prise de décision stratégique.
Expérience client – CX : L’expérience client désigne l’ensemble des perceptions et émotions ressenties par un client tout au long de sa relation avec une marque. Elle résulte de la qualité des interactions, des services fournis et de la cohérence du parcours client. Elle influence fortement la satisfaction, la fidélité et la recommandation.
Expérience client (Customer Experience / CX) : L’expérience client regroupe toutes les interactions et impressions qu’un consommateur développe à l’égard d’une marque, depuis le premier contact jusqu’au service après-vente. Elle intègre la qualité perçue des échanges, la fluidité des parcours, l’accessibilité des services et la cohérence de l’offre. Une expérience client positive favorise la satisfaction, la fidélité et la recommandation, tandis qu’une expérience dégradée peut nuire durablement à l’image de l’entreprise.
Expérience utilisateur – UX : L’UX ou expérience utilisateur désigne la qualité de l’interaction entre un utilisateur et une interface digitale. Elle repose sur l’ergonomie, l’accessibilité, la fluidité de navigation et la pertinence des contenus. L’UX conditionne l’adoption d’un outil, la rétention des utilisateurs et contribue à l’image de marque de l’entreprise.
FAQ : La FAQ (Foire Aux Questions) regroupe les réponses aux questions les plus fréquentes des utilisateurs. Elle constitue un support en libre accès, utile pour désengorger les centres de contacts et améliorer l’autonomie des clients. Elle joue aussi un rôle dans la conversion, en facilitant le parcours d’achat en ligne.
Feedback client : Le feedback client est un levier d’amélioration continue. Il regroupe toutes les formes d’expression, positives ou négatives, formulées par les clients sur un produit, un service ou une interaction. Il peut être spontané ou structuré. Il alimente les décisions marketing, la qualité produit, le pilotage de la relation client.
Fiche client : Une fiche client centralise les données personnelles, historiques d’achat, préférences, et interactions d’un client avec l’entreprise. Intégrée au CRM, elle permet aux équipes commerciales et support d’avoir une vision 360° du client. Elle facilite la personnalisation des réponses, la réactivité et la continuité du service rendu.
Fidélisation : La fidélisation regroupe l’ensemble des actions visant à conserver un client sur la durée. Elle ne se limite pas à un programme de points mais inclut la qualité de service, la personnalisation, et la relation continue. Une bonne fidélisation réduit le churn et optimise la rentabilité client à long terme.
Fidélité client : La fidélité client correspond à la propension d’un client à rester engagé auprès d’une marque dans le temps. Elle est influencée par la satisfaction, la qualité de service et la reconnaissance perçue. Elle se mesure par les achats répétés, la durée de la relation ou le NPS, et optimise la rentabilité.
First Contact Interaction : La première interaction entre un client et une entreprise est déterminante. Elle crée la première impression et conditionne la suite de la relation. Cette interaction peut se produire sur n’importe quel canal. Sa qualité (écoute, clarté, résolution) a un impact immédiat sur la confiance et la satisfaction initiale du client.
GRC (Gestion de la Relation Client) : La GRC regroupe les stratégies, processus et outils destinés à améliorer la qualité des interactions avec les clients. Elle vise à accroître la satisfaction, à fidéliser et à développer le chiffre d’affaires. Elle s’appuie sur l’analyse de données, l’automatisation des campagnes et une approche multicanale intégrée.
Heures ouvrées : Les heures ouvrées correspondent aux périodes d’activité officielles d’une entreprise, durant lesquelles elle est joignable par ses clients ou partenaires. Elles varient selon les secteurs, jours ouvrables et fuseaux horaires. Cette notion est essentielle dans la gestion des engagements contractuels, délais de traitement et fonctionnement des centres de contact.
IM (Instant Messaging) : La messagerie instantanée permet des échanges rapides et directs entre un client et une entreprise via des applications comme WhatsApp, Messenger ou LiveChat. Ce canal est apprécié pour sa réactivité et sa simplicité. Il favorise un service client accessible, informel et efficace, adapté aux nouveaux usages de communication.
Intelligence Artificielle : L’intelligence artificielle permet à des systèmes informatiques de reproduire certaines fonctions cognitives humaines (analyse, apprentissage, décision). Appliquée à la relation client, elle automatise la classification de tickets, l’analyse sémantique, la recommandation ou les réponses via chatbot. L’IA améliore la productivité et la qualité tout en personnalisant l’expérience client.
ISO 9001 – Relation Client : La norme ISO 9001 repose sur des principes de management de la qualité, incluant l’orientation client, l’amélioration continue et l’efficacité des processus. Dans le contexte de la relation client, elle garantit des services homogènes et maîtrisés. Être certifié ISO 9001 renforce la crédibilité et la compétitivité de l’entreprise.
KYB (Know Your Business) : Le KYB désigne les procédures de vérification de l’identité des entreprises partenaires ou clientes. Obligatoire dans les secteurs régulés, il permet de prévenir la fraude, le blanchiment ou les montages fictifs. Il complète les démarches KYC en s’appliquant aux entités morales dans le cadre de relations commerciales sécurisées.
KYC (Know Your Customer) : Le KYC est une procédure réglementaire visant à identifier et vérifier l’identité des clients. Elle est essentielle dans les secteurs bancaire, assurantiel ou réglementé, pour lutter contre le blanchiment, la fraude ou le financement du terrorisme. Elle implique la collecte de pièces justificatives et la mise à jour des profils.
Logiciel helpdesk : Un logiciel helpdesk permet de gérer les demandes clients via un système de tickets. Il centralise les requêtes, en suit l’évolution et facilite leur traitement par les équipes de support. Il améliore l’organisation, la réactivité et la traçabilité du service, tout en offrant des statistiques de performance en temps réel.
Logiciel SaaS : Un logiciel SaaS est hébergé sur le cloud et accessible à distance via navigateur. Il ne nécessite aucune installation locale et propose des mises à jour automatiques. Ce modèle économique flexible permet de mutualiser les coûts et d’adapter rapidement les outils aux besoins des équipes (CRM, helpdesk, analytique, etc.).
Logiciels de caisse POS & terminaux de paiement TPE : Ces outils gèrent les encaissements dans les commerces physiques. Ils enregistrent les ventes, impriment les tickets, traitent les paiements et assurent la synchronisation avec les stocks ou la comptabilité. Intégrés ou connectés à des terminaux (TPE), ils sont essentiels à la fluidité des opérations en point de vente.
Logiciels de chatbot : Ces logiciels permettent de déployer des agents conversationnels capables de répondre automatiquement aux demandes des clients. Intégrés à un site ou à une messagerie, ils assurent un service 24/7, réduisent la charge du support humain et améliorent l’expérience utilisateur par des réponses instantanées et contextuelles.
Logiciels de codes-barres & QR code : Ils permettent de générer, lire et exploiter des codes-barres ou QR codes pour l’identification, la traçabilité ou la communication. Utilisés en logistique, vente, événementiel ou marketing, ils facilitent l’automatisation des tâches, le suivi des produits et l’interaction avec les supports imprimés.
Logiciels de facturation & devis : Ces logiciels automatisent la création de devis, factures, avoirs et relances clients. Ils assurent la conformité légale, la numérotation, la gestion de la TVA et l’archivage. Utiles pour les TPE/PME, ils accélèrent le cycle de vente et facilitent le suivi comptable et commercial.
Logiciels de feedback & expérience client : Ils collectent, analysent et exploitent les retours clients (questionnaires, notations, verbatims). Ils permettent d’identifier les irritants, d’améliorer les produits ou services et de renforcer la satisfaction. Intégrés au CRM ou à des dashboards, ils constituent un levier d’amélioration continue et de fidélisation.
Logiciels de gestion clients & contacts : Ces outils permettent d’organiser les bases de contacts clients ou prospects, d’historiser les interactions et de segmenter les données pour des actions ciblées. Utilisés en marketing et en vente, ils renforcent la personnalisation, la qualité relationnelle et la conversion commerciale.
Logiciels de gestion commerciale & vente : Ils centralisent les processus de vente : création d’offres, gestion des opportunités, relances, prévisionnels, marges. Connectés à la comptabilité ou au stock, ils offrent une vision claire de l’activité commerciale, des performances des équipes et facilitent l’automatisation des tâches répétitives.
Logiciels de gestion de leads & prospects : Ces outils collectent, qualifient et suivent les prospects tout au long du cycle d’achat. Ils permettent de prioriser les opportunités, de mesurer leur engagement et d’automatiser les relances. Intégrés à un CRM ou un outil marketing, ils optimisent la prospection et la transformation commerciale.
Logiciels de gestion de produits : Ils permettent de structurer et mettre à jour un catalogue produits : descriptions, tarifs, images, caractéristiques. Utiles en e-commerce, distribution ou fabrication, ils assurent la cohérence des informations sur tous les canaux et facilitent l’intégration dans les ERP, PIM ou marketplaces.
Logiciels de prise de rendez-vous en ligne : Ces outils offrent aux clients la possibilité de réserver un créneau en autonomie via une interface web. Intégrés à un agenda professionnel, ils envoient des rappels automatiques et évitent les doubles réservations. Utilisés en santé, formation ou services, ils optimisent la gestion du temps et réduisent les annulations.
Logiciels de réservation : Ils gèrent la disponibilité et la réservation de ressources (salles, hébergements, véhicules, événements). Ils permettent un accès en ligne, une gestion des quotas, des paiements et des annulations. Utilisés dans le tourisme, l’hôtellerie ou la culture, ils améliorent la fluidité et la satisfaction client.
Logiciels de service client & Help Desk : Ces logiciels centralisent les demandes d’assistance, automatisent leur traitement (tickets, priorités, SLA) et historisent les échanges. Utilisés par les supports techniques ou après-vente, ils améliorent la réactivité, la satisfaction client et la mesure de la performance via des indicateurs précis.
Logiciels de webinar : Ils permettent l’organisation de conférences en ligne interactives (audio, vidéo, chat, sondages, partages d’écran). Utilisés pour des formations, démonstrations ou événements marketing, ils facilitent la communication à distance, la génération de leads et la valorisation de l’expertise de l’entreprise.
Messagerie instantanée : La messagerie instantanée permet des échanges textuels en temps réel entre plusieurs utilisateurs via Internet. Elle est largement utilisée en service client, notamment via les chats intégrés aux sites web ou applications mobiles. Elle offre réactivité, simplicité d’usage et s’intègre dans une logique de communication omnicanale.
Net Promoter Score (NPS) : Le NPS mesure la propension des clients à recommander une entreprise. Fondé sur une question simple, il catégorise les répondants en promoteurs, passifs et détracteurs. Le score net résulte de la différence entre promoteurs et détracteurs. Il est utilisé pour suivre la satisfaction globale et détecter les signaux d’alerte.
NF EN ISO 18295-1 : Cette norme encadre les exigences applicables aux centres de contact client. Elle garantit un haut niveau de qualité dans les prestations fournies aux clients et aux donneurs d’ordre. Elle impose des critères précis en matière de compétences, de procédures, de pilotage et d’amélioration continue des performances relationnelles.
NPS : Le NPS (Net Promoter Score) mesure la probabilité qu’un client recommande une entreprise. Il classe les clients en promoteurs, passifs ou détracteurs. Il constitue un indicateur stratégique de satisfaction et de fidélisation, permettant de suivre la perception globale et de piloter les actions correctives au sein de l’entreprise.
Omnicanal : L’omnicanal vise une gestion fluide et intégrée des interactions client sur tous les canaux (physiques et digitaux). Il garantit la continuité des échanges, quelle que soit l’origine du contact. Cette approche renforce l’expérience client, simplifie le parcours et permet un pilotage global, en synchronisant les données et les outils.
Once and done : L’approche « once and done » consiste à résoudre la demande du client dès le premier contact, sans suivi ultérieur. Elle améliore la satisfaction client, réduit les coûts opérationnels et augmente l’efficacité des équipes. Elle suppose des processus bien définis, une formation adaptée et une capacité à accéder rapidement aux bonnes ressources.
PABX : Le PABX (Private Automatic Branch Exchange) est un système téléphonique interne à une entreprise permettant la gestion automatique des appels entrants et sortants. Il assure la distribution des communications entre lignes internes et vers l’extérieur, tout en garantissant l’efficacité du routage, des transferts et des fonctionnalités de supervision.
Parcours client unifié : Le parcours client unifié vise à offrir une expérience cohérente et fluide sur l’ensemble des canaux et points de contact. Il supprime les ruptures entre interactions online et offline. Cette démarche repose sur une centralisation des données et une vision 360° du client, indispensable à une relation personnalisée et continue.
Personnalisation : La personnalisation permet d’adapter les messages, offres ou services aux préférences et au comportement de chaque client. Elle repose sur l’analyse fine des données (CRM, historique d’achat, navigation). Elle améliore l’engagement, renforce la fidélité et valorise la relation client. C’est un levier majeur dans les stratégies marketing modernes.
Phygital : Le phygital désigne la convergence entre expérience physique et digitale. Il s’applique à des dispositifs qui associent les avantages du magasin traditionnel (proximité, conseil) à ceux du digital (fluidité, personnalisation). Il reflète une évolution des parcours clients vers des environnements hybrides mêlant points de vente et interfaces numériques.
Pic d’activité : Un pic d’activité correspond à une hausse soudaine et significative du volume de demandes ou d’interactions, souvent liée à une opération commerciale, un incident ou un facteur saisonnier. Anticiper et gérer ces pics permet de maintenir la qualité de service, notamment via la planification, l’externalisation ou les outils d’automatisation.
Plateau téléphonique : Un plateau téléphonique est un espace de travail regroupant les agents d’un centre d’appels en open space. Il est conçu pour optimiser le traitement des appels entrants et sortants. L’organisation du plateau influe sur la performance opérationnelle, la coordination des équipes et la qualité des échanges avec les clients.
Réclamation client : Une réclamation client est une expression formelle d’insatisfaction, portant sur un produit, un service ou une interaction. Elle doit être traitée avec rigueur et rapidité. Bien gérée, elle devient une opportunité de fidélisation. Elle permet aussi d’identifier des dysfonctionnements structurels et d’améliorer l’offre ou l’organisation interne.
Recommandation clients : La recommandation clients repose sur le bouche-à-oreille positif émis par des clients satisfaits. Elle constitue un levier puissant de conquête, plus crédible et engageant que la publicité. Elle peut être stimulée via des programmes de parrainage ou de témoignages, renforçant la confiance et l’image de la marque.
Règles de gestion : Les règles de gestion sont des automatisations configurées dans les outils de relation client. Elles permettent d’assigner, prioriser ou traiter les tickets selon des critères précis (canal, nature, niveau d’urgence, client VIP, etc.). Elles contribuent à la fluidité des processus et garantissent un traitement homogène et efficace.
Remontée de fiche : La remontée de fiche est une fonctionnalité de CTI permettant, lors d’un appel entrant, d’afficher automatiquement les données du client à l’écran de l’agent. Cela comprend ses coordonnées, historique d’achats ou précédents échanges. Cette automatisation améliore la réactivité, la personnalisation de la réponse et l’efficacité globale du service client.
RFM : Le modèle RFM (Récence, Fréquence, Montant) est une méthode de scoring client permettant de segmenter une base de données selon trois critères comportementaux. Il identifie les clients les plus engagés et les plus rentables, et permet de mieux cibler les campagnes marketing en adaptant les messages et les offres.
RGPD (GDPR) : Le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) est le cadre juridique européen encadrant la collecte et le traitement des données personnelles. Il renforce les droits des individus, impose des obligations strictes aux entreprises et prévoit de lourdes sanctions en cas de manquement. Il structure la gouvernance des données.
Satisfaction client : La satisfaction client évalue le niveau de contentement d’un client suite à une interaction ou un achat. Elle mesure l’adéquation entre l’expérience vécue et les attentes initiales. Elle est déterminante dans la fidélisation, la recommandation et la pérennité de la relation commerciale. Des enquêtes régulières permettent d’en suivre l’évolution.
SAV (Service après-vente) : Le service après-vente regroupe les prestations assurées après l’achat : assistance, réparation, échange, remboursement. Il joue un rôle crucial dans la fidélisation client et l’image de marque. Un SAV efficace et réactif peut transformer une insatisfaction en opportunité de satisfaction et contribue directement à la rétention client.
Scoring client : Le scoring client attribue une note à chaque prospect ou client, selon des critères statistiques ou comportementaux. Il permet de prioriser les actions commerciales ou de mesurer le potentiel de conversion, d’achat ou de risque. Le scoring alimente les stratégies CRM, notamment dans le ciblage et la segmentation marketing.
Scoring comportemental : Le scoring comportemental s’appuie sur les actions réelles des utilisateurs (clics, visites, achats) pour établir un profil prédictif. Il est utilisé dans les campagnes de marketing automation ou les relances personnalisées. Il permet d’affiner les messages, d’augmenter la pertinence des offres et d’optimiser le retour sur investissement commercial.
Segmentation client : La segmentation client consiste à regrouper les clients selon des critères communs : comportement d’achat, valeur, besoins, profil démographique. Elle permet d’adapter les actions commerciales, marketing ou relationnelles à chaque segment. Elle renforce l’efficacité des campagnes, la pertinence des messages et la qualité des parcours personnalisés.
Self service téléphonique – serveur vocal : Le self-service téléphonique permet aux clients d’obtenir des réponses immédiates via un serveur vocal interactif (SVI), sans intervention humaine. Il est utilisé pour les demandes récurrentes à faible valeur ajoutée. Ce dispositif permet de fluidifier la gestion des appels, d’alléger les charges des centres de contact et d’améliorer la satisfaction.
Selfcare – Espace client : Le selfcare désigne l’ensemble des outils mis à disposition du client pour lui permettre de gérer son compte ou ses demandes de manière autonome. Il peut s’agir d’un espace client en ligne, d’un chatbot ou d’une application mobile. Il renforce l’efficacité opérationnelle tout en répondant aux attentes de réactivité.
Service client : Le service client désigne l’ensemble des dispositifs mis en œuvre pour accompagner, informer et satisfaire les consommateurs tout au long de leur parcours. Il intervient en amont (conseils), pendant (aide à l’achat) et après (SAV) la transaction. Il peut être assuré via différents canaux (magasin, téléphone, digital). Un service client performant est un levier de différenciation et de fidélisation stratégique.
SLA (Service Level Agreement) : Le SLA est un engagement contractuel entre un prestataire et un client définissant les niveaux de qualité attendus du service (temps de réponse, disponibilité, performance). Il sert de référence pour évaluer le respect des engagements. Il est essentiel dans la gestion des relations B2B, notamment en environnement informatique ou télécom.
Sollicitations externes : Les sollicitations externes sont des demandes adressées au service client par des parties prenantes hors clients finaux : partenaires, fournisseurs, distributeurs. Elles nécessitent un traitement spécifique, une coordination interservices et une bonne traçabilité pour maintenir la qualité relationnelle au-delà du périmètre strict du client final.
Support client : Le support client désigne les ressources mises à disposition pour assister les utilisateurs avant, pendant ou après un achat. Il comprend l’assistance technique, le conseil, ou la gestion des réclamations. Il s’effectue par téléphone, mail, chat ou en présentiel. Un bon support est un facteur déterminant de fidélisation.
SVI (Système Vocal Interactif) : Le SVI est un outil d’automatisation des appels entrants. Il oriente les appelants via des menus vocaux et peut gérer des demandes simples sans intervention humaine. Il optimise les ressources humaines, réduit les temps d’attente et permet un pré-traitement efficace des appels dans les centres de contact.
Tableaux de bord : Un tableau de bord est un outil visuel permettant de suivre en temps réel les indicateurs clés de performance d’un service client : volumes, délais, satisfaction, taux de résolution, etc. Il facilite la prise de décision, l’identification des écarts et le pilotage opérationnel ou stratégique des équipes.
Taux de rétention client : Cet indicateur mesure la capacité d’une entreprise à conserver sa clientèle dans le temps. Il s’exprime en pourcentage et reflète la fidélité des clients. Un bon taux de rétention signale une expérience client efficace, tandis qu’une baisse peut indiquer des lacunes dans le service, la qualité ou la concurrence.
Text mining : Le text mining consiste à extraire des informations pertinentes à partir de corpus textuels non structurés. Il utilise des techniques de traitement automatique du langage naturel (TALN) pour identifier des tendances, sentiments ou mots-clés. Il est employé dans l’analyse de verbatims clients, la veille concurrentielle ou les études de marché.
Ticket client : Un ticket client est l’enregistrement formalisé d’une demande, d’une question ou d’un incident. Chaque ticket contient les informations nécessaires à son traitement : canal, date, description, statut, historique. Il est utilisé pour assurer la traçabilité, la priorisation, et garantir la clôture satisfaisante de la demande client.
ToIP / VoIP : La VoIP (Voice over IP) et la ToIP (Telephony over IP) désignent des technologies permettant la transmission des communications téléphoniques via le protocole Internet. Elles remplacent les lignes analogiques, offrent des services unifiés, réduisent les coûts et facilitent l’intégration avec d’autres outils numériques, comme les CRM ou outils collaboratifs.
Traitement des demandes : Le traitement des demandes consiste à réceptionner, analyser et répondre aux sollicitations clients, quelle qu’en soit la nature ou le canal. Il s’inscrit dans une logique de réactivité et d’efficacité, éléments clés de la satisfaction client. Sa qualité impacte directement l’image et la performance relationnelle de l’entreprise.
Traitement des réclamations : Il s’agit de la gestion organisée et structurée des insatisfactions exprimées par les clients. Le traitement des réclamations vise à apporter des réponses adaptées, rapides et professionnelles, tout en capitalisant sur ces retours pour améliorer les processus. Il joue un rôle central dans la qualité et la fidélisation.
Traitement des sollicitations : Le traitement des sollicitations couvre toutes les demandes entrantes, qu’elles soient commerciales, techniques ou administratives. Il implique la prise en charge multicanale (téléphone, mail, chat…), la priorisation et la réponse adaptée. Une gestion efficace de ces flux est essentielle pour préserver la satisfaction et maintenir une relation client fluide.
Up selling : L’up selling consiste à proposer au client une version plus coûteuse ou plus complète du produit qu’il envisage d’acheter. Cette technique vise à augmenter le panier moyen sans recruter de nouveaux clients. Elle repose sur une connaissance fine des besoins et des préférences du client et s’intègre dans une stratégie de valeur, en favorisant des ventes qualitatives plutôt que purement quantitatives.
Up-selling : L’up-selling consiste à proposer un produit ou un service de gamme supérieure à celui initialement choisi par le client. Cette technique commerciale augmente la valeur de la commande sans nouvel effort d’acquisition. Elle repose sur une bonne connaissance client et doit être perçue comme un conseil et non une pression.
Vision 360 : La vision client 360° est une représentation unifiée et centralisée de toutes les interactions, données et historiques liés à un client. Elle permet une personnalisation optimale, une meilleure coordination des équipes et une fluidité dans la relation. Elle est essentielle pour les stratégies omnicanales et de fidélisation.
Volume des tickets : Le volume des tickets représente le nombre de demandes enregistrées sur une période. C’est un indicateur quantitatif essentiel pour planifier les ressources, identifier les pics d’activité, mesurer l’impact d’une campagne ou suivre la charge de travail. L’analyse de ce volume permet d’anticiper les besoins et d’ajuster les capacités.
Web Call back : Le web call back est un dispositif permettant à un internaute de demander à être rappelé par une entreprise. Il améliore la conversion en ligne et la qualité de service, en facilitant le contact humain. Il répond aux attentes de disponibilité immédiate et renforce la proximité dans la relation client.
Glossaire de la Productivité et de la Bureautique : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire Productivité et de la Bureautique pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier de la Productivité et de la Bureautique . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’Asap à Workshop) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
Dans l’univers professionnel moderne, la productivité et la bureautique reposent sur des outils numériques toujours plus nombreux, évolutifs et interconnectés. Maîtriser le vocabulaire associé à ces domaines est essentiel pour travailler efficacement, collaborer sans friction et exploiter tout le potentiel des solutions disponibles. Ce langage technique permet de comprendre les fonctionnalités, de paramétrer les logiciels avec précision et d’automatiser certaines tâches.
Des termes tels que workflow, tableur, macro, tableau croisé dynamique, gestion des droits, cloud computing, synchronisation, collaboration en temps réel ou encore gestion de projet sont devenus incontournables. Ils décrivent des actions, des outils ou des processus que les professionnels utilisent quotidiennement pour organiser leur travail, traiter des données ou échanger de l’information.
Une bonne connaissance de ce lexique améliore la communication entre les équipes, en particulier dans des contextes hybrides ou multisites. Elle facilite également l’apprentissage de nouveaux outils bureautiques (comme Microsoft 365, Google Workspace, Notion, Trello, ou Asana) en rendant l’interface utilisateur plus accessible et les tutoriels plus compréhensibles.
Asap : Le terme « Asap », acronyme de « As Soon As Possible », exprime une urgence opérationnelle. Utilisé en entreprise, il signale la nécessité d’exécuter une tâche immédiatement ou sans délai injustifié. Ce terme permet de hiérarchiser les priorités dans un environnement professionnel sous pression, tout en sollicitant une réactivité maximale.
Bande passante : L’expression « bande passante » transposée au monde professionnel décrit la capacité cognitive ou temporelle disponible d’un collaborateur. Lorsque cette bande est saturée, cela signifie que l’employé ne peut accepter de nouvelles tâches. Elle est souvent invoquée pour signifier une surcharge ou pour demander un réajustement des priorités.
Brainstormer (verbe) : Brainstormer désigne une méthode collaborative de génération d’idées. Cette pratique consiste à réunir plusieurs personnes autour d’un sujet donné afin de favoriser l’émergence de solutions nouvelles ou originales. Elle est fréquemment utilisée dans les phases de conception, de marketing ou d’innovation pour explorer collectivement diverses pistes créatives.
Challenger (verbe) : Challenger un collaborateur revient à lui confier une mission stimulante avec un objectif ambitieux, souvent en dehors de sa zone de confort. Ce terme traduit une approche managériale visant à motiver, tester ou évaluer les compétences d’un salarié, notamment dans les situations de montée en responsabilité ou de prise d’initiative.
Chronophage : Un élément qualifié de chronophage se caractérise par le temps excessif qu’il mobilise. Dans un contexte professionnel, cela désigne une tâche ou un processus dont la valeur ajoutée est discutable au regard du temps investi. Identifier les activités chronophages permet d’optimiser l’efficience opérationnelle et de mieux allouer les ressources.
Comité ad hoc : Un comité ad hoc est un groupe de travail temporaire constitué spécifiquement pour traiter une problématique ciblée. Il réunit des profils choisis pour leur expertise et leur complémentarité. Ce dispositif flexible permet d’apporter une réponse adaptée, sans alourdir les structures permanentes de gouvernance de l’organisation.
Conf call : Une conf call, ou conférence téléphonique, permet à plusieurs participants de se réunir à distance par l’intermédiaire d’une plateforme numérique. Elle est couramment utilisée pour les réunions interservices, les projets multi-sites ou les échanges internationaux. Elle représente un outil de communication standardisé dans les environnements de travail hybrides.
Correcteurs d’orthographe & grammaire : Ces outils analysent et corrigent les fautes linguistiques dans les textes saisis. Intégrés aux éditeurs de texte ou disponibles en ligne, ils améliorent la qualité rédactionnelle et renforcent la crédibilité des communications. Certains proposent également des suggestions stylistiques et des reformulations automatiques.
Dans le pipe : L’expression « dans le pipe » évoque des projets ou dossiers actuellement en cours de traitement. Sans préciser leur degré d’avancement, cette formule indique simplement qu’ils sont bien intégrés au flux opérationnel. Elle est utilisée pour rassurer un interlocuteur tout en soulignant une absence temporaire de livrables concrets.
Deadline : La deadline correspond à la date limite fixée pour finaliser une tâche ou un projet. Elle marque un jalon essentiel dans la planification d’activités, imposant une contrainte temporelle explicite. Le respect des deadlines est un indicateur clé de rigueur, de professionnalisme et de gestion efficace du temps en entreprise.
Drafter (verbe) : Drafter consiste à rédiger une première version, souvent incomplète ou non définitive, d’un document ou d’une présentation. Ce travail préparatoire vise à poser les bases d’un projet, avant relecture et validation. La notion de draft permet d’engager une démarche itérative dans la production de contenus professionnels.
Éditeurs PDF : Ils permettent d’ouvrir, modifier, annoter ou convertir des fichiers PDF. Utilisés dans les contextes juridiques, commerciaux ou administratifs, ils facilitent la signature électronique, l’édition collaborative et la protection des documents. Certains logiciels incluent des fonctions avancées comme l’OCR ou la fusion de fichiers.
Feedback : Le feedback désigne un retour d’information structuré émis à l’issue d’une action ou d’un projet. Il peut être positif, correctif ou constructif, et vise à améliorer la performance, corriger les écarts ou valoriser les bonnes pratiques. Il s’agit d’un outil central dans la communication managériale et l’évaluation continue.
Force de proposition : Être une force de proposition signifie adopter une posture proactive en apportant régulièrement des idées, des solutions ou des alternatives. Ce comportement est particulièrement apprécié en entreprise car il témoigne d’une implication forte, d’un esprit d’initiative et d’une volonté de contribuer activement à la dynamique collective.
Gestionnaires de mots de passe : Ces outils stockent et sécurisent les identifiants et mots de passe dans un coffre-fort chiffré. Ils génèrent des mots de passe complexes et permettent l’authentification automatique. Utiles pour les particuliers comme pour les entreprises, ils renforcent la sécurité et simplifient la gestion des accès.
Go/No Go : La décision « Go/No Go » est prise lors d’une réunion stratégique, au cours de laquelle un comité détermine si un projet peut être lancé. Elle repose sur l’analyse de risques, de ressources et d’objectifs. Cette étape marque un point de bascule critique entre phase exploratoire et exécution.
Logiciels convertisseurs de fichiers : Ils permettent de transformer un fichier d’un format à un autre (Word en PDF, MP4 en MP3, etc.). Utilisés pour des raisons de compatibilité, de diffusion ou de compression, ces logiciels sont essentiels pour manipuler des documents dans des environnements hétérogènes ou respecter des normes d’exportation.
Logiciels de bureautique & utilitaires : Ils incluent les outils de traitement de texte, tableurs, présentations, gestion de fichiers, etc. Indispensables au fonctionnement quotidien des entreprises, ils améliorent la productivité individuelle et collective. Certains sont disponibles en ligne (SaaS), d’autres installés localement, avec des fonctionnalités collaboratives ou de sécurité renforcée.
Logiciels de coffre-fort numérique : Ils permettent de stocker en ligne des documents sensibles dans un espace sécurisé et chiffré. Utilisés pour les bulletins de paie, contrats ou documents administratifs, ces logiciels assurent leur conservation légale, leur confidentialité et leur accessibilité par les ayants droit selon des règles précises.
Logiciels de dictée : Ces outils transforment la voix en texte à l’aide de la reconnaissance vocale. Utilisés pour la prise de notes, la rédaction de rapports ou l’accessibilité, ils permettent un gain de temps et améliorent la productivité, notamment dans les professions médicales, juridiques ou journalistiques.
Logiciels de présentation : Conçus pour créer des supports visuels (diaporamas) destinés à des réunions, conférences ou formations. Ils offrent des fonctionnalités de mise en page, d’animation, d’intégration média et de collaboration. Les présentations aident à structurer un discours, capter l’attention et appuyer les messages clés.
Logiciels de prise de notes : Ils permettent de capturer, organiser et synchroniser des idées, listes ou comptes rendus. Accessibles sur mobile et ordinateur, ils offrent des fonctions de recherche, de partage et de classement. Utiles au quotidien, ils favorisent la mémoire, la structuration des projets et le travail collaboratif.
Logiciels de productivité : Regroupant des outils variés (gestion des tâches, calendrier, messagerie, automatisation), ces logiciels améliorent l’efficacité du travail personnel ou en équipe. Ils permettent d’organiser ses priorités, de réduire le temps perdu et de fluidifier les processus internes grâce à des interfaces claires et synchronisées.
Logiciels de tableur : Ces outils permettent de manipuler des données sous forme de tableaux, d’effectuer des calculs, des graphiques et des analyses. Utilisés en finance, gestion ou logistique, ils sont essentiels à la prise de décision et à la modélisation d’hypothèses. Certains incluent des fonctions collaboratives ou des macros.
Logiciels de to-do list : Conçus pour planifier des tâches à court ou long terme, ces outils offrent une vue claire des actions à réaliser. Ils permettent de hiérarchiser, assigner et suivre les tâches en cours. Simples ou complexes, ils améliorent l’organisation personnelle ou d’équipe et contribuent à la gestion des priorités.
Logiciels de traduction : Ils convertissent automatiquement des textes d’une langue à une autre. Utiles pour la communication internationale ou la lecture de contenus multilingues, ils varient en précision selon les langues et les contextes. Certains intègrent l’IA pour une traduction plus fluide et adaptée au ton ou au registre.
Logiciels de traitement de texte : Outils fondamentaux de la bureautique, ils permettent de rédiger, mettre en forme et imprimer des documents écrits. Intégrant des fonctions de correction, de styles, de table des matières ou d’export, ils sont utilisés dans tous les secteurs pour la production de courriers, rapports, contrats ou notes internes.
Logiciels Torrent & P2P : Ces logiciels permettent le partage de fichiers via un réseau pair-à-pair (P2P), sans serveur centralisé. Ils sont souvent utilisés pour distribuer des fichiers volumineux. Bien qu’efficaces, leur usage peut poser des questions de légalité selon le type de contenus échangés.
Meeting : Un meeting est une réunion formelle destinée à partager des informations, suivre des projets ou prendre des décisions collectives. Organisé en présentiel ou à distance, il structure la communication interne. La variante « kick-off meeting » désigne une réunion de lancement visant à cadrer un projet dès son démarrage.
Navigateurs web : Ils permettent d’accéder à des sites internet en interprétant le code HTML. Chaque navigateur propose des fonctionnalités spécifiques (sécurité, extensions, compatibilité, vitesse). Indispensables à l’utilisation du web, ils jouent un rôle clé dans la protection des données et dans l’expérience utilisateur.
Prendre le lead : Prendre le lead signifie assumer la responsabilité opérationnelle d’un projet ou d’un dossier. Cela implique de coordonner les actions, animer les échanges et rendre compte des avancées. Cette expression est souvent associée à une posture de leadership et à une capacité à fédérer les équipes autour d’un objectif commun.
Propale : Une propale désigne une proposition commerciale formalisée, argumentée et chiffrée, généralement rédigée en réponse à un besoin client. Elle représente une étape essentielle dans le cycle de vente, mêlant offre de valeur, méthodologie et tarification. Son efficacité conditionne souvent la réussite de la contractualisation.
Reporting : Le reporting consiste à compiler et présenter de manière structurée les résultats d’une activité, à travers des indicateurs quantitatifs ou qualitatifs. Il s’agit d’un outil de pilotage essentiel pour la direction, permettant de suivre la performance, d’analyser les écarts et de soutenir la prise de décision.
REX : Le REX, ou Retour d’EXpérience, est une démarche d’analyse post-projet visant à tirer des enseignements d’événements passés. Elle permet d’identifier les succès, les erreurs ou les axes d’amélioration pour optimiser les pratiques futures. Le REX est un outil de capitalisation des connaissances et d’apprentissage organisationnel.
Slide : Une slide correspond à une diapositive d’un support de présentation visuelle. Utilisée dans des outils comme PowerPoint, elle permet de structurer l’information pour un exposé oral ou écrit. Les slides, lorsqu’elles sont bien conçues, facilitent la compréhension, soutiennent les messages clés et renforcent l’impact de la communication professionnelle.
Suites bureautiques : Regroupant traitement de texte, tableur, présentations et outils de communication, ces suites proposent un environnement complet de travail numérique. Disponibles en ligne ou en local, elles sont essentielles à la gestion quotidienne de l’activité, et offrent souvent des fonctions collaboratives, de synchronisation et de stockage dans le cloud.
Team : Le mot « team » désigne un groupe de collaborateurs formant une unité opérationnelle. Cette équipe, généralement constituée autour d’une mission ou d’un projet, fonctionne selon des objectifs communs. La cohésion, la complémentarité des compétences et la qualité des interactions internes en déterminent la performance globale.
To do : Une to-do list est une liste organisée des tâches à accomplir, utilisée comme outil de planification personnelle ou collective. Elle permet de structurer le travail, de hiérarchiser les priorités et de mesurer l’avancement. Elle est largement adoptée en gestion de projet et en organisation individuelle.
Workshop : Un workshop est un atelier collaboratif visant à résoudre un problème ou à faire émerger des idées à plusieurs. Il repose sur des méthodes participatives et une animation structurée. Ce format favorise l’intelligence collective et l’engagement des participants, tout en produisant des livrables concrets à l’issue de la session.
Glossaire du marketing : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire marketing pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier du marketing . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’A/B test à YouTube) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
Le marketing est un domaine transversal, stratégique et en constante évolution, où la maîtrise du vocabulaire professionnel constitue un levier fondamental de performance. Ce lexique technique permet de structurer les actions, d’aligner les objectifs entre équipes, et de mesurer avec précision l’impact des campagnes. Il assure une compréhension commune entre les différents acteurs : directions marketing, agences, consultants, prestataires, développeurs, commerciaux ou analystes.
Des termes tels que persona, positionnement, segmentation, branding, tunnel de conversion, taux de clic (CTR), coût d’acquisition (CPA), SEO, inbound marketing, retargeting ou marketing automation désignent des concepts-clés qui orientent la stratégie, la création et le pilotage des dispositifs. Chaque mot traduit une méthodologie, un indicateur ou un outil spécifique qui, mal compris, peut entraîner des choix erronés ou inefficaces.
Le vocabulaire marketing est également essentiel pour dialoguer avec les plateformes numériques (réseaux sociaux, moteurs de recherche, outils CRM, logiciels d’emailing, solutions d’analytics). Il permet de configurer des campagnes, d’interpréter les performances, de segmenter les audiences ou d’automatiser des parcours clients avec pertinence.
Par ailleurs, dans un environnement où la donnée occupe une place centrale, comprendre les termes associés à la mesure et à l’analyse (KPI, ROI, taux de rebond, impressions, taux d’engagement…) permet d’objectiver les résultats, d’ajuster les actions en temps réel et de démontrer la valeur des initiatives marketing auprès de la direction.
A/B test : L’A/B testing permet de comparer deux variantes d’un même élément (email, bouton, page web) auprès d’un public cible. L’objectif est d’identifier laquelle génère les meilleurs résultats en termes de clics, conversions ou engagement. Cette méthode aide à affiner les décisions marketing en s’appuyant sur des données mesurables et concrètes.
Account-Based Marketing (ABM) : L’ABM est une stratégie marketing B2B ciblée visant à personnaliser les campagnes pour quelques comptes-clés à fort potentiel. Elle repose sur une collaboration étroite entre marketing et force de vente. Cette approche améliore la pertinence des actions, réduit les cycles de vente et maximise le retour sur investissement.
AIDA : Le modèle AIDA décrit les quatre étapes d’un parcours client réussi : attirer l’Attention, susciter l’Intérêt, provoquer le Désir, inciter à l’Action. Il sert de guide pour structurer un message publicitaire efficace. Ce cadre est particulièrement utilisé en copywriting et en rédaction de pages de vente ou d’emails marketing.
Analytics : Les analytics désignent les données recueillies pour analyser le comportement des utilisateurs sur un site ou une campagne. Cela inclut les sources de trafic, les conversions, le temps passé ou les clics. Ces indicateurs permettent d’optimiser les leviers marketing, de mesurer la performance et d’orienter les décisions stratégiques.
Appel de découverte : Il s’agit du premier échange téléphonique entre un commercial et un prospect. Cet appel vise à comprendre les besoins, le budget, les contraintes et la phase dans laquelle se trouve le client potentiel. Il permet de qualifier le lead, d’établir une relation et de poser les bases d’une future vente.
ARR (Annual Recurring Revenue) : L’ARR mesure les revenus récurrents générés par les abonnements sur une base annuelle. Cet indicateur est crucial pour les entreprises en modèle SaaS ou services à facturation régulière. Il permet de suivre la croissance, d’anticiper les revenus futurs et d’évaluer la rentabilité d’un portefeuille client.
B2B (Business to Business) : Le modèle B2B correspond aux relations commerciales entre entreprises. Les cycles d’achat y sont généralement plus longs, complexes et rationnels que dans le B2C. Les stratégies marketing doivent ainsi être personnalisées, basées sur l’expertise, la confiance, la valeur ajoutée et l’adaptation aux besoins spécifiques de chaque organisation cliente.
B2C (Business to Consumer) : Le B2C désigne la vente directe aux consommateurs. L’acte d’achat y est souvent émotionnel, rapide et influencé par le prix ou la marque. Le marketing en B2C utilise largement les réseaux sociaux, la publicité digitale, les promotions et la relation client pour attirer et fidéliser des individus à grande échelle.
BANT : La méthode BANT sert à qualifier les prospects en analysant quatre éléments : Budget (ont-ils les moyens ?), Autorité (ont-ils le pouvoir de décision ?), Besoin (leur problème est-il réel ?), Délai (quand achèteront-ils ?). Cet outil aide à prioriser les leads les plus prometteurs pour les équipes commerciales.
Bas de l’entonnoir (BOFU) : Cette étape finale du parcours d’achat se concentre sur la conversion du prospect en client. Les contenus et actions BOFU incluent les essais gratuits, démonstrations, études de cas ou devis personnalisés. L’objectif est de rassurer, lever les derniers freins et inciter à une prise de décision rapide et favorable.
Blogging : Le blogging consiste à publier régulièrement du contenu éditorial sur un site, dans le but d’informer, de fidéliser ou d’améliorer la visibilité d’une marque. C’est un levier essentiel du marketing de contenu qui, bien utilisé, permet de générer du trafic organique, d’améliorer le SEO et de renforcer l’autorité d’un domaine.
Blogging professionnel : Utilisé à des fins marketing, le blogging professionnel vise à convertir les visiteurs en prospects. Il intègre des mots-clés, des appels à l’action et des sujets stratégiques. Il permet également de démontrer une expertise sectorielle, d’améliorer le positionnement sur les moteurs de recherche et d’alimenter les canaux d’acquisition comme les réseaux sociaux.
Bounce rate : Le taux de rebond mesure la proportion de visiteurs quittant un site après avoir consulté une seule page. Un taux élevé peut révéler un contenu peu pertinent, une expérience utilisateur médiocre ou un mauvais ciblage. L’analyse de ce KPI permet d’identifier des axes d’optimisation pour améliorer l’engagement.
Buyer persona : Un buyer persona est une représentation semi-fictive du client idéal. Il est élaboré à partir de données réelles (âge, profession, motivations, freins, habitudes d’achat) pour affiner les campagnes marketing et commerciales. Il aide à personnaliser les messages, choisir les bons canaux et anticiper les besoins tout au long du parcours client.
Call-to-Action (CTA) : Le CTA est un élément incitatif placé sur un site ou un contenu (bouton, lien, visuel) encourageant l’utilisateur à agir (cliquer, s’inscrire, télécharger). Il constitue un levier fondamental pour orienter les visiteurs vers la conversion. Un bon CTA est clair, visible et aligné avec l’intention de la page.
Chemin de conversion : C’est la séquence d’étapes qui mène un internaute de la découverte d’un contenu à la conversion. Il inclut en général un CTA, une landing page, un formulaire de capture de données, puis une page de remerciement. L’optimisation de ce chemin est cruciale pour transformer efficacement le trafic en leads qualifiés.
CMS (Content Management System) : Un CMS est une plateforme qui permet de créer, gérer et modifier un site web sans compétences techniques avancées. WordPress, Joomla ou HubSpot CMS sont des exemples populaires. Il facilite la gestion de contenus, le SEO et la personnalisation des pages, tout en offrant des extensions pour enrichir les fonctionnalités.
Code QR : Le QR code est un outil de marketing mobile permettant d’accéder instantanément à un contenu via un simple scan. Il est utilisé sur des supports physiques pour relier l’utilisateur à une page web, un formulaire, une vidéo ou une offre spéciale. C’est un pont entre supports traditionnels et numériques.
Commission : La commission est une part variable de la rémunération d’un commercial, proportionnelle aux ventes réalisées. Elle sert à motiver les équipes et à les inciter à dépasser leurs objectifs. Son calcul peut être forfaitaire ou progressif, et elle constitue un indicateur de performance directement corrélé à la rentabilité commerciale.
Community manager : Chargé d’animer la présence d’une entreprise sur les réseaux sociaux, le community manager crée du contenu engageant, répond aux commentaires et veille à la réputation en ligne. Il joue un rôle clé dans le dialogue avec les internautes, la fidélisation des communautés et la diffusion de l’image de marque.
Content marketing (marketing de contenu) : Cette stratégie consiste à produire et diffuser des contenus utiles, informatifs ou divertissants pour attirer et fidéliser une audience. Le content marketing repose sur la création d’articles, vidéos, infographies ou livres blancs, avec pour objectif de générer des leads qualifiés et de renforcer l’autorité de la marque.
Contenu dynamique : Le contenu dynamique est personnalisé en temps réel selon le comportement ou les données d’un visiteur (localisation, historique de navigation, statut client). Il améliore l’expérience utilisateur en affichant des informations pertinentes et augmente les taux de conversion. C’est une technique couramment utilisée en marketing automation et inbound marketing.
Coût d’acquisition client (CAC) : Le CAC mesure le coût moyen nécessaire pour acquérir un nouveau client. Il comprend les dépenses marketing, commerciales et publicitaires. Ce KPI est essentiel pour calculer la rentabilité d’une stratégie d’acquisition. Un CAC maîtrisé doit rester inférieur à la valeur vie client (LTV) pour assurer la viabilité économique.
Coût par Lead (CPL) : Le CPL correspond au coût moyen engagé pour générer un lead qualifié. Il permet de mesurer l’efficacité d’une campagne marketing dans la génération de contacts exploitables par les commerciaux. Comparé au taux de conversion final, il aide à ajuster les investissements publicitaires et à arbitrer entre différents canaux.
CRM (Customer Relationship Management) : Un CRM est un logiciel permettant de centraliser les données clients et prospects, de suivre les interactions et d’optimiser les campagnes commerciales. Il facilite la personnalisation des messages, la gestion des opportunités et le pilotage des équipes de vente. Des outils comme Salesforce, HubSpot ou Zoho CRM sont couramment utilisés.
CRO (Conversion Rate Optimization) : Le CRO regroupe les techniques d’optimisation du taux de conversion sur un site web. Il s’appuie sur l’analyse des parcours utilisateurs, l’A/B testing, l’amélioration de l’ergonomie et la clarté des CTA. Son objectif est d’augmenter le nombre de leads ou ventes sans accroître le trafic initial.
Cross selling : Le cross selling (vente croisée) consiste à proposer un produit ou service complémentaire à celui initialement choisi par le client. Il est couramment utilisé en e-commerce ou lors d’un rendez-vous commercial. Cette technique permet d’augmenter le panier moyen, de répondre à des besoins connexes et de renforcer la relation client.
CTR (Click-through rate) : Le CTR représente le ratio entre le nombre de clics sur un lien (ou une publicité) et le nombre total d’affichages. Il permet d’évaluer l’attractivité d’un contenu ou d’une annonce. Un CTR élevé est souvent le signe d’un bon ciblage, d’un message pertinent ou d’un design efficace.
Cycle d’achat : Le cycle d’achat décrit le processus suivi par un client avant de prendre une décision. Il se compose généralement de trois phases : prise de conscience, considération et décision. Comprendre chaque étape permet d’adapter les contenus et actions marketing pour répondre aux attentes spécifiques du prospect à chaque moment clé.
Cycle inbound : Le cycle inbound remplace le traditionnel entonnoir en introduisant un modèle circulaire centré sur le client. Il repose sur trois étapes : attirer (avec du contenu utile), engager (via l’interaction et la personnalisation), fidéliser (en apportant de la valeur post-achat). Ce modèle favorise une approche durable et centrée sur l’expérience.
Demand Generation : La demand generation vise à créer de l’intérêt pour une marque ou une offre, en stimulant activement la demande grâce à des campagnes de visibilité, du contenu éducatif et des stratégies multicanal. Elle intervient en amont du parcours client pour capter l’attention, générer des leads et nourrir un pipeline commercial durable.
Démarchage téléphonique : Le démarchage téléphonique consiste à contacter des prospects par téléphone sans qu’ils aient exprimé d’intérêt préalable. Longtemps utilisé en prospection B2C, il est aujourd’hui moins efficace en raison de la saturation des canaux, de la réglementation stricte (ex. : liste Bloctel) et de la préférence croissante pour des approches inbound.
Double opt-in : Le double opt-in est une méthode d’inscription à une newsletter ou une base de contacts qui demande une validation active de l’utilisateur. Après une première inscription, il reçoit un email de confirmation qu’il doit valider. Cela garantit des bases de données plus qualifiées, un meilleur engagement et une conformité RGPD renforcée.
Duplicate content : Le contenu dupliqué est une portion de texte identique présente sur plusieurs pages d’un site ou sur plusieurs sites. Google le pénalise car il nuit à l’expérience utilisateur et complique l’identification du contenu original. Éviter le duplicate content est essentiel pour préserver son référencement naturel et son autorité SEO.
E-book : L’e-book est un document téléchargeable, généralement long et informatif, utilisé pour générer des leads qualifiés en échange de coordonnées. Il permet de démontrer l’expertise d’une entreprise, de proposer un contenu à forte valeur ajoutée, et de nourrir la relation avec les prospects dans le cadre d’une stratégie inbound.
E-mail marketing : L’email marketing est une technique de communication directe consistant à envoyer des messages ciblés à une base de contacts. Utilisé pour informer, vendre ou fidéliser, il repose sur la segmentation, le bon timing et des contenus pertinents. C’est un levier puissant et rentable quand il est bien maîtrisé.
Facebook : Facebook est un réseau social généraliste très utilisé pour les campagnes marketing en B2C. Il permet de toucher des audiences larges via des publications organiques et des publicités ciblées. Son gestionnaire de publicités offre des outils puissants pour segmenter, mesurer les performances et optimiser les campagnes selon les objectifs.
Fidélisation : La fidélisation regroupe les actions destinées à entretenir une relation durable avec les clients. Elle inclut des programmes de récompense, des communications personnalisées ou un service client de qualité. Un client fidèle coûte moins cher à conserver qu’à acquérir et peut devenir un ambassadeur de la marque via le bouche-à-oreille.
Flux RSS : Le flux RSS est un format de syndication permettant de recevoir automatiquement les mises à jour d’un site web ou blog sans devoir le consulter directement. Utilisé dans les stratégies de veille ou d’information, il facilite la diffusion des contenus à une audience régulière, notamment via des lecteurs RSS.
Formulaire : Un formulaire est un outil de collecte de données, généralement intégré à une landing page. Il permet d’obtenir des informations sur les visiteurs (nom, email, fonction…) en échange d’un contenu ou d’un service. Il est essentiel dans les stratégies de génération de leads et doit équilibrer simplicité et efficacité.
Gamification : La gamification applique des mécanismes de jeu à des contextes non ludiques pour accroître l’engagement. Elle repose sur des badges, classements, défis ou récompenses pour motiver les utilisateurs à interagir avec un site, une application ou une formation. Elle est efficace pour dynamiser l’expérience client ou collaborateur.
GIF : Le GIF est un format d’image animée largement utilisé dans la communication digitale. Il permet de transmettre des émotions ou des réactions de manière visuelle et rapide. Très populaire sur les réseaux sociaux, il capte l’attention et favorise l’engagement tout en enrichissant les contenus avec une dimension plus expressive.
Google Ads : Google Ads est la régie publicitaire de Google. Elle permet de diffuser des annonces dans les résultats de recherche, sur YouTube ou sur des sites partenaires. Basée sur un système d’enchères, elle repose sur des mots-clés, le ciblage géographique, le budget et la pertinence des annonces pour générer des clics.
Hashtag : Le hashtag est un mot-clé précédé du signe # utilisé principalement sur les réseaux sociaux. Il permet de regrouper les contenus par thème, d’augmenter leur visibilité et de participer à des discussions ou tendances. Bien choisi, il améliore la portée organique et facilite la découverte des publications par de nouveaux publics.
Inbound marketing : L’inbound marketing est une stratégie centrée sur l’attraction naturelle des prospects par la création de contenu pertinent. Il repose sur les phases d’attraction, de conversion, de conclusion et de fidélisation. Contrairement au marketing intrusif (outbound), il mise sur la qualité de la relation et la permission de l’utilisateur.
Indexation : L’indexation est l’opération par laquelle les moteurs de recherche ajoutent une page web à leur base de données après l’avoir explorée. Pour être visible dans les résultats, une page doit être correctement indexée. Cela implique un bon maillage interne, un sitemap XML à jour et l’absence de blocages techniques.
Influenceur : Un influenceur est une personne disposant d’une audience significative sur les réseaux sociaux et capable d’influencer les décisions d’achat de ses abonnés. Collaborer avec un influenceur permet d’améliorer la notoriété, la crédibilité ou les ventes, en particulier dans les secteurs du lifestyle, de la beauté, de la tech ou de la mode.
Infographie : L’infographie est une représentation graphique de données ou d’informations complexes. Elle simplifie la compréhension grâce à des visuels attractifs. Très partagée sur les réseaux sociaux, elle constitue un support de contenu efficace dans les stratégies de content marketing, de vulgarisation ou de communication interne.
Instagram : Instagram est un réseau social visuel fondé sur le partage de photos, de vidéos et de stories. Il est particulièrement prisé par les jeunes générations et les marques B2C. Les entreprises y développent leur notoriété, leur storytelling visuel et leur engagement communautaire via des publications organiques et des campagnes sponsorisées.
KPI (Key Performance Indicator) : Un KPI est un indicateur mesurable permettant d’évaluer l’efficacité d’une action ou d’une stratégie. En marketing, il peut s’agir du taux de conversion, du coût d’acquisition ou du taux d’engagement. Les KPI sont essentiels pour suivre la performance, ajuster les campagnes et justifier les décisions auprès de la direction.
Landing page : Une landing page est une page web conçue pour convertir un visiteur en lead ou client. Elle contient un message ciblé, une offre claire, un formulaire et un CTA. Son efficacité repose sur la simplicité, la pertinence du contenu et l’adéquation entre l’annonce initiale et la promesse proposée.
Lead : Un lead est un contact commercial ayant manifesté un intérêt pour une entreprise, un produit ou un service. Il peut avoir rempli un formulaire, téléchargé un contenu ou demandé une démo. Le lead entre dans le tunnel de conversion et peut être qualifié par les équipes marketing ou commerciales.
Lead nurturing : Le lead nurturing désigne l’ensemble des actions marketing visant à entretenir une relation avec un lead dans la durée. À travers des emails, des contenus personnalisés ou des appels ciblés, l’objectif est de faire mûrir le prospect pour qu’il soit prêt à passer à l’achat. Cette approche augmente le taux de conversion.
Lead qualifié : Un lead qualifié est un prospect dont le profil et les actions démontrent un réel potentiel d’achat. Il a souvent rempli certains critères définis par l’entreprise : poste, secteur, budget, intérêt avéré… Il est transmis aux commerciaux pour un suivi adapté et un passage accéléré dans le pipeline de vente.
Lead scoring : Le lead scoring est une méthode de notation des prospects basée sur leurs caractéristiques et comportements (visites, téléchargements, ouverture d’emails…). Il permet de prioriser les leads les plus chauds, d’optimiser les efforts commerciaux et d’augmenter l’efficacité du suivi en adaptant le niveau d’engagement à chaque profil.
Link-building : Le link-building est une stratégie SEO visant à obtenir des liens entrants (backlinks) vers un site. Ces liens augmentent l’autorité du domaine aux yeux de Google et améliorent son positionnement. Ils peuvent être acquis via des partenariats, des contenus invités ou des campagnes RP digitales.
LinkedIn : LinkedIn est le réseau social professionnel de référence, particulièrement utilisé en B2B. Il permet de développer sa marque employeur, de diffuser du contenu expert, de recruter et de générer des leads. Les fonctionnalités publicitaires (LinkedIn Ads) offrent un ciblage précis basé sur les critères professionnels (secteur, poste, entreprise…).
Livre blanc : Un livre blanc est un contenu long et téléchargeable abordant une problématique en profondeur. Il démontre l’expertise de l’entreprise et propose des solutions concrètes. Offert en échange de données de contact, il constitue un puissant aimant à leads dans une stratégie inbound et nourrit la réflexion du prospect.
Logiciels d’emailing : Ces outils permettent de concevoir, envoyer et analyser des campagnes d’email marketing. Ils intègrent des fonctionnalités d’automatisation, de segmentation d’audience, de personnalisation et de suivi statistique (taux d’ouverture, clics, conversions). Indispensables pour la prospection, la fidélisation ou la communication commerciale, ils améliorent l’efficacité des actions marketing ciblées.
Logiciels d’enquête & questionnaire : Ils servent à créer et diffuser des sondages, formulaires et études auprès d’un public défini. Utilisés en marketing, ressources humaines ou recherche, ils permettent de collecter des données qualitatives ou quantitatives, d’analyser les réponses et d’en tirer des insights exploitables pour l’amélioration de produits, services ou processus.
Logiciels d’envoi de SMS : Ces solutions facilitent la diffusion de messages courts à des listes de contacts via une interface web. Utilisés pour les alertes, rappels ou campagnes marketing, ils garantissent un fort taux de lecture. La gestion des envois en masse, des réponses et des statistiques est intégrée à la plupart des plateformes.
Logiciels de billetterie : Outils destinés à la gestion des inscriptions et de la vente de billets pour des événements en ligne ou physiques. Ils intègrent souvent des modules de paiement, de contrôle d’accès, de CRM événementiel et d’analyse post-événement. Utiles pour les organisateurs de conférences, salons, concerts ou formations.
Logiciels de cartographie : Ces logiciels permettent de créer des représentations géographiques à des fins d’analyse, de marketing ou de visualisation de données. Ils servent à localiser des clients, optimiser des zones commerciales, suivre des itinéraires ou visualiser des territoires. Certains intègrent la géolocalisation et des outils d’analyse spatiale.
Logiciels de community management : Outils conçus pour gérer et animer les communautés sur les réseaux sociaux. Ils permettent de planifier les publications, modérer les interactions, répondre aux messages, analyser l’engagement et coordonner des campagnes multi-plateformes. Ils facilitent la gestion de l’image de marque et la relation client sur les médias sociaux.
Logiciels de gamification : Ces outils introduisent des mécanismes ludiques (badges, points, classements, récompenses) dans des contextes non ludiques pour renforcer l’engagement. Utilisés en formation, RH, marketing ou gestion de projet, ils stimulent la motivation et la participation des utilisateurs en rendant les tâches plus interactives et gratifiantes.
Logiciels de gestion d’événements : Ils permettent d’organiser toutes les étapes d’un événement : billetterie, communication, logistique, animation, suivi des participants. Ces outils centralisent les informations, automatisent les tâches répétitives et facilitent la coordination des équipes. Ils sont adaptés aux événements physiques, hybrides ou virtuels, avec des outils d’analyse en temps réel.
Logiciels de gestion de campagnes publicitaires : Ces solutions permettent de planifier, diffuser et suivre des campagnes publicitaires digitales sur divers canaux (Google Ads, Facebook Ads, display, etc.). Elles centralisent les budgets, les audiences, les visuels et les performances, afin d’optimiser le retour sur investissement (ROI) et d’ajuster les stratégies en continu.
Logiciels de marketing : Ils regroupent l’ensemble des fonctionnalités destinées à planifier, exécuter et évaluer les actions marketing : CRM, campagnes multicanales, segmentation, reporting. Ils permettent une meilleure connaissance client, une automatisation des actions et une personnalisation des messages, dans le but d’augmenter l’efficacité commerciale et la fidélisation.
Logiciels de marketing automation : Ces outils automatisent les actions marketing répétitives (emails, scoring, notifications, segmentation). Ils déclenchent des scénarios en fonction du comportement ou du profil des prospects. Le marketing automation permet de nourrir les leads, personnaliser l’expérience client et améliorer la conversion tout en réduisant la charge de travail des équipes.
LTV (Lifetime Value) : La LTV mesure la valeur totale qu’un client apportera à une entreprise sur toute la durée de sa relation. Elle est déterminée par le panier moyen, la fréquence d’achat et la fidélité. Comparée au coût d’acquisition, elle aide à estimer la rentabilité à long terme d’un client et à orienter les investissements marketing.
Marketing automation : Le marketing automation consiste à automatiser des tâches récurrentes (emails, segmentation, scoring, relances) à partir du comportement des utilisateurs. Il améliore la réactivité, la personnalisation et l’efficacité des campagnes. C’est un outil clé dans les stratégies de nurturing, de fidélisation ou de déclenchement d’actions selon des scénarios définis.
Marketing en boucle fermée : Cette méthode lie directement les efforts marketing aux résultats commerciaux, grâce à une remontée d’information continue entre CRM et outils marketing. Elle permet d’identifier les leviers les plus performants, d’optimiser le retour sur investissement et de favoriser un alignement stratégique entre marketing et vente.
Marketing mobile : Le marketing mobile regroupe les actions destinées à toucher les utilisateurs sur smartphones et tablettes. Il intègre les SMS, notifications push, publicités mobiles et applications. Avec la généralisation de l’usage mobile, il devient indispensable d’optimiser l’expérience sur ces supports pour capter l’attention, favoriser la conversion et améliorer l’accessibilité des contenus.
Meta : Meta est la maison-mère de Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger. Elle développe des technologies dans les domaines de la réalité virtuelle et du métavers. Dans une stratégie marketing, les outils publicitaires proposés par Meta permettent un ciblage très précis et une large diffusion sur les plateformes sociales les plus populaires.
Milieu de l’entonnoir (MOFU) : Le MOFU est la phase du parcours d’achat où le prospect évalue différentes solutions. Les contenus à cette étape visent à convaincre et à guider la réflexion : études de cas, démonstrations, comparatifs, webinaires. L’objectif est de positionner l’entreprise comme la réponse idéale au besoin identifié par le client.
Mot-clé : Un mot-clé est une expression tapée par un internaute dans un moteur de recherche. Son identification et son intégration dans le contenu permettent d’optimiser le référencement naturel (SEO). Choisir les bons mots-clés, à forte intention d’achat ou forte volumétrie, est essentiel pour générer un trafic qualifié sur un site.
MQL (Marketing Qualified Lead) : Un MQL est un prospect qualifié par le marketing, qui a manifesté un niveau d’intérêt suffisant pour être transmis aux équipes commerciales. Ce statut est généralement déterminé par des actions spécifiques (téléchargement, clics, visites). Identifier les MQL permet d’améliorer l’efficacité commerciale et de fluidifier le traitement des leads.
MRR (Monthly Recurring Revenue) : Le MRR est un indicateur financier utilisé dans les modèles d’abonnement. Il mesure les revenus récurrents mensuels et permet d’anticiper la croissance ou l’érosion d’un portefeuille clients. Suivre le MRR permet aussi de calculer la valeur vie client, d’estimer la stabilité des revenus et de prévoir les flux de trésorerie.
Net Promoter Score (NPS) : Le NPS est un indicateur de satisfaction mesurant la probabilité que des clients recommandent une marque. Il classe les répondants en promoteurs, passifs et détracteurs. Ce score permet d’évaluer la fidélité, d’identifier les risques de désengagement et de guider les actions d’amélioration de l’expérience client.
Netlinking : Le netlinking désigne la stratégie visant à augmenter le nombre de liens entrants (backlinks) pointant vers un site. Ces liens renforcent l’autorité d’un domaine et améliorent son positionnement SEO. Le netlinking peut être organique (contenu de qualité), ou construit via des partenariats, relations presse ou échanges de liens.
Newsjacking : Le newsjacking consiste à s’emparer d’une actualité chaude pour créer un message marketing percutant et viral. Cela permet de capter l’attention, d’associer une marque à un événement ou un sujet tendance et de générer de la visibilité. Il nécessite réactivité, créativité et pertinence contextuelle.
Nofollow : L’attribut nofollow, inséré dans un lien HTML, indique aux moteurs de recherche de ne pas transférer de jus SEO à la page ciblée. Il est utilisé pour les liens sponsorisés, les commentaires d’utilisateurs ou les contenus peu fiables. Son usage contribue à maîtriser la stratégie de linking et le référencement.
Offre : Une offre marketing est une proposition de valeur claire faite à un prospect, souvent échangée contre ses coordonnées. Elle peut prendre la forme d’un contenu premium (livre blanc, essai gratuit), d’un tarif spécial ou d’une consultation. Une offre bien ciblée augmente les chances de conversion et génère des leads qualifiés.
Optimisation off-page : L’optimisation off-page regroupe les actions SEO réalisées en dehors du site web, principalement centrées sur l’acquisition de backlinks, les signaux sociaux, les mentions et les avis. Elle complète l’optimisation on-page en renforçant la notoriété et l’autorité du domaine auprès des moteurs de recherche.
Optimisation on-page : L’optimisation on-page concerne l’ensemble des ajustements internes à une page web : structure des balises (title, h1, meta), pertinence du contenu, maillage interne, vitesse de chargement. Ces éléments améliorent le positionnement d’une page dans les résultats de recherche et l’expérience utilisateur.
Pain point : Un pain point est un problème ou une frustration que rencontre un prospect et que l’entreprise peut résoudre. Identifier ces points de douleur est essentiel pour formuler une proposition de valeur pertinente, créer du contenu ciblé et développer un discours commercial axé sur la résolution concrète des besoins.
Pinterest : Pinterest est un réseau social visuel basé sur l’organisation de contenus en tableaux thématiques. Très utilisé dans les domaines du design, de la cuisine, du DIY ou de la mode, il permet de capter une audience en phase d’inspiration. Les marques y publient des visuels optimisés pour générer du trafic.
Pipeline de vente : Le pipeline de vente est une représentation des différentes étapes par lesquelles passe un prospect avant de devenir client. Chaque étape (prise de contact, qualification, négociation, signature) est suivie pour optimiser le taux de transformation et le pilotage de l’activité commerciale. C’est un outil clé du CRM.
Podcast : Le podcast est un format audio publié en ligne, souvent en épisodes réguliers. Il permet aux marques de diffuser du contenu expert, de raconter leur histoire ou de capter l’attention sur des sujets précis. Il est apprécié pour sa flexibilité d’écoute et son potentiel de fidélisation.
Portée (reach) : La portée est le nombre de personnes uniques ayant vu une publication sur les réseaux sociaux. Elle peut être organique (naturelle) ou payante (via publicité). Analyser la portée permet d’évaluer l’efficacité de la diffusion d’un contenu et d’ajuster les formats, le ciblage ou les horaires de publication.
PPC (Pay-per-click) : Le PPC est un modèle publicitaire dans lequel l’annonceur paie à chaque clic sur son annonce, indépendamment du nombre d’impressions. Utilisé sur Google Ads ou Facebook Ads, il permet un contrôle précis du budget et un retour sur investissement mesurable. Il repose sur un ciblage précis et une optimisation continue.
Preuve sociale : La preuve sociale désigne l’influence qu’ont les comportements des autres sur les décisions d’achat. Les témoignages clients, avis, évaluations ou nombre d’abonnés renforcent la crédibilité d’une offre. Elle agit comme un levier psychologique puissant pour rassurer les prospects et inciter à l’engagement.
Proposition de valeur : La proposition de valeur décrit en quoi une offre est utile, différenciante et pertinente pour un client. Elle doit être claire, concise et directement alignée avec les attentes du marché cible. C’est un pilier de la communication commerciale, souvent résumé en une phrase dans une page d’accueil ou une publicité.
Prospection : La prospection regroupe l’ensemble des actions visant à identifier et à entrer en contact avec de nouveaux clients potentiels. Elle peut être réalisée par email, téléphone, réseaux sociaux ou événements. C’est une phase essentielle du cycle de vente, nécessitant une bonne préparation, une segmentation précise et des messages adaptés.
QR code : Le QR code est un code graphique à scanner avec un smartphone. Il permet un accès rapide à une URL, une vidéo ou une application. Couramment utilisé sur les supports physiques (flyers, affiches, packaging), il facilite la transition entre les canaux offline et online dans les campagnes marketing.
Qualification : La qualification consiste à évaluer le niveau d’intérêt, de maturité et d’adéquation d’un prospect. Elle repose sur des critères comme le besoin, le budget, l’autorité décisionnelle ou le délai d’achat. Une bonne qualification permet de prioriser les actions commerciales et d’améliorer le taux de conversion.
Quota : Un quota est un objectif chiffré imposé à un commercial ou une équipe de vente. Il peut concerner le chiffre d’affaires, le nombre de contrats signés ou les rendez-vous pris. Les quotas permettent de structurer les efforts commerciaux, de motiver les équipes et de mesurer les performances individuelles ou collectives.
Reddit : Reddit est une plateforme communautaire où les utilisateurs échangent sur des sujets variés à travers des forums appelés « subreddits ». Bien que moins utilisé en France, c’est une mine d’informations pour la veille, l’identification de tendances ou le marketing de niche. Son usage requiert authenticité et pertinence.
Relations publiques : Les relations publiques regroupent les actions destinées à gérer l’image d’une entreprise auprès de ses parties prenantes (médias, institutions, clients…). Elles incluent les communiqués de presse, les événements ou les partenariats. Elles visent à renforcer la notoriété, la confiance et la crédibilité de la marque.
Réseaux sociaux : Les réseaux sociaux sont des plateformes numériques permettant aux marques de partager du contenu, d’interagir avec leur audience et de diffuser des campagnes ciblées. Ils sont devenus essentiels dans les stratégies marketing pour générer de la visibilité, construire une communauté et favoriser l’engagement.
Responsive design : Le responsive design est une méthode de conception web qui garantit une navigation fluide sur tous les types d’écrans (ordinateurs, mobiles, tablettes). Il s’adapte automatiquement à la taille de l’appareil. Un site responsive est indispensable pour offrir une bonne expérience utilisateur et améliorer le SEO mobile.
Retargeting : Le retargeting permet de cibler les internautes ayant déjà visité un site avec des publicités personnalisées. Il repose sur l’installation de cookies et vise à ramener les visiteurs non convertis. Cette technique optimise les conversions en capitalisant sur une audience déjà engagée.
Retweet : Le retweet est une fonctionnalité de X (ex-Twitter) permettant de partager le contenu d’un autre utilisateur à sa propre audience. C’est un vecteur de viralité qui permet de relayer un message, d’amplifier sa portée et de valoriser les contenus pertinents publiés par d’autres comptes.
ROI (Return on Investment) : Le ROI est un indicateur qui mesure le rendement d’une action marketing par rapport à son coût. Il permet d’évaluer la rentabilité d’une campagne, d’un canal ou d’un projet. Un bon ROI signifie que l’investissement génère plus de revenus qu’il n’en coûte.
SaaS (Software as a Service) : Le SaaS est un modèle de distribution logicielle par abonnement, hébergé dans le cloud et accessible via un navigateur. Il permet aux entreprises de ne pas installer de logiciel localement et de bénéficier de mises à jour automatiques. Exemples : HubSpot, Canva, Dropbox.
SEO (Search Engine Optimization) : Le SEO regroupe les techniques visant à améliorer la visibilité d’un site web dans les résultats des moteurs de recherche. Il inclut l’optimisation du contenu, des balises, du maillage interne et l’acquisition de liens externes. Un bon SEO permet de générer un trafic qualifié sans coût publicitaire direct.
Site web : Un site web est un ensemble de pages liées entre elles, accessible via une adresse (URL). Il constitue la vitrine numérique d’une entreprise et joue un rôle central dans sa stratégie marketing. Il doit être ergonomique, rapide, responsive, bien référencé et orienté conversion.
Sitemap XML : Le sitemap XML est un fichier qui recense les pages d’un site afin d’en faciliter l’exploration par les moteurs de recherche. Il permet d’accélérer l’indexation, d’éviter l’oubli de pages importantes et d’optimiser le référencement naturel. Il est soumis via la Search Console.
Smarketing : Le smarketing désigne l’alignement stratégique entre les équipes marketing et commerciales. Il vise à fluidifier le traitement des leads, à harmoniser les objectifs et à améliorer le chiffre d’affaires. Cela passe par des réunions régulières, des KPI partagés et des processus de qualification cohérents.
Snapchat : Snapchat est une application de messagerie éphémère et visuelle, populaire auprès des jeunes. Les marques l’utilisent pour créer des campagnes immersives, interactives et éphémères (filtres, stories sponsorisées). C’est un canal de branding plus que de conversion directe, adapté aux campagnes virales ou événementielles.
Social selling : Le social selling consiste à utiliser les réseaux sociaux, notamment LinkedIn, pour prospecter, interagir et entretenir une relation commerciale. Il repose sur la création de contenu, l’écoute active et l’établissement de liens personnalisés avec les prospects. C’est une approche douce et moderne de la vente.
Sommet de l’entonnoir (TOFU) : Le TOFU correspond à la phase initiale du parcours d’achat, où l’objectif est d’attirer l’attention du prospect. Les contenus types sont les articles de blog, vidéos pédagogiques, infographies ou checklists. Ils doivent informer, éveiller l’intérêt et orienter le prospect vers des actions plus engageantes.
Story : La story est un format court, éphémère (24h), utilisé sur Instagram, Facebook ou LinkedIn. Elle favorise une communication spontanée, visuelle et engageante. Les stories sont efficaces pour mettre en avant un produit, partager des coulisses, créer de l’interaction ou diffuser un message urgent.
Taux d’attrition (churn rate) : Le taux d’attrition mesure la perte de clients sur une période donnée. Il est crucial dans les modèles à abonnement (SaaS) pour évaluer la satisfaction et la fidélité. Un taux élevé signale un problème de rétention ou de satisfaction, nécessitant une action corrective rapide.
Taux d’engagement : Ce taux mesure les interactions (likes, commentaires, partages, clics) générées par une publication, rapportées à sa portée. Il est un indicateur clé de la qualité et de la pertinence d’un contenu. Un bon taux d’engagement renforce la visibilité organique sur les réseaux sociaux.
TikTok : TikTok est une plateforme de vidéos courtes au format vertical. Très populaire chez les jeunes, elle permet une forte viralité via des trends, challenges et musiques. Les marques y développent leur notoriété en créant des contenus natifs, créatifs et spontanés ou en collaborant avec des influenceurs.
Twitch : Twitch est une plateforme de streaming en direct, initialement axée sur le jeu vidéo. Elle attire aujourd’hui un public varié autour de contenus live (talk-shows, événements, musique). Les marques l’exploitent pour toucher des communautés engagées via du sponsoring ou des chaînes de contenu.
UGC (User Generated Content) : Le contenu généré par les utilisateurs (avis, photos, vidéos) renforce l’authenticité et la crédibilité d’une marque. L’UGC favorise la preuve sociale, l’engagement communautaire et est souvent utilisé dans les campagnes publicitaires pour valoriser l’expérience client de manière organique.
UI (User Interface) : L’UI désigne l’interface utilisateur d’un site ou d’une application. Elle regroupe les éléments visuels avec lesquels l’utilisateur interagit : boutons, menus, formulaires… Une UI bien conçue améliore la clarté, l’accessibilité et la fluidité de l’expérience, favorisant la conversion et la fidélité.
Upselling : L’upselling consiste à proposer au client un produit ou service de gamme supérieure à celui initialement choisi. Cette technique permet d’augmenter la valeur du panier moyen tout en répondant à un besoin plus large. Elle repose sur une bonne compréhension du client et un timing approprié.
URL : L’URL est l’adresse web d’une page. Elle doit être lisible, courte et contenir des mots-clés pertinents pour le SEO. Une bonne structure d’URL améliore l’expérience utilisateur, le partage sur les réseaux sociaux et l’indexation par les moteurs de recherche.
UX (User Experience) : L’UX désigne l’expérience vécue par un utilisateur lors de la navigation sur un site ou une application. Elle intègre l’ergonomie, la fluidité, la rapidité et la clarté des contenus. Une UX soignée augmente la satisfaction, réduit le taux de rebond et améliore la conversion.
Vidéo marketing : Le marketing vidéo utilise des contenus visuels pour informer, séduire ou convertir une audience. Formats possibles : tutoriels, témoignages, démonstrations, stories. La vidéo capte l’attention, améliore l’engagement et favorise la mémorisation. Elle est aujourd’hui un pilier incontournable du content marketing et du SEO.
Viralité : La viralité désigne la capacité d’un contenu à être massivement partagé. Elle repose sur l’émotion, l’humour, la surprise ou l’utilité. Les réseaux sociaux en sont le principal vecteur. Un contenu viral peut générer une exposition exponentielle sans budget publicitaire important, mais reste difficile à maîtriser.
Webinaire : Un webinaire est une conférence en ligne, souvent interactive, utilisée pour informer, former ou convertir. Il permet d’établir un contact direct avec l’audience, de capter des leads qualifiés et de démontrer une expertise sectorielle. C’est un format de plus en plus utilisé dans les stratégies B2B.
WhatsApp : WhatsApp est une messagerie instantanée très utilisée à titre personnel et de plus en plus par les entreprises. Elle permet un contact direct, rapide et personnalisé. Dans certaines stratégies marketing, WhatsApp est intégrée au CRM pour envoyer des notifications, confirmations ou campagnes relationnelles.
Workflow : Un workflow est une séquence automatisée d’actions déclenchées en fonction du comportement d’un utilisateur (clic, téléchargement, inactivité…). Il permet de fluidifier le traitement des leads, de gagner du temps et de personnaliser la relation à grande échelle. C’est un composant central du marketing automation.
X (ex-Twitter) : X, anciennement Twitter, est une plateforme de microblogging axée sur l’actualité, le commentaire et l’interaction rapide. Elle est utilisée pour la veille, le partage de contenus, le service client ou la communication de crise. Les marques l’utilisent pour développer leur visibilité auprès de communautés engagées.
YouTube : YouTube est la première plateforme de partage de vidéos, appartenant à Google. Elle permet de diffuser des contenus variés : tutoriels, témoignages, publicités, vlogs. C’est aussi un moteur de recherche très utilisé. En marketing, YouTube combine branding, acquisition et SEO via des formats organiques et sponsorisés.
Glossaire de l’IT et de la Cybersécurité : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire IT et Cybersécurité pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier de l’IT et de la Cybersécurité . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (de 2FA à Zero-Day) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
Dans les domaines de l’informatique (IT) et de la cybersécurité, le vocabulaire technique constitue un socle fondamental pour assurer la compréhension, la cohérence et la réactivité face aux enjeux numériques. Ce langage spécialisé permet de décrire avec précision les infrastructures, les protocoles, les incidents et les solutions, tout en favorisant une communication fluide entre équipes techniques, métiers et prestataires.
Des termes comme pare-feu, authentification multifacteur (MFA), vulnérabilité zero-day, attaque DDoS, phishing, chiffrement, proxy, SIEM, endpoint ou certificat SSL sont bien plus que de simples acronymes. Ils désignent des mécanismes de défense, des menaces, ou des outils critiques pour la protection des systèmes d’information. En cybersécurité, une erreur d’interprétation due à une méconnaissance du vocabulaire peut avoir des conséquences graves, allant de la mauvaise configuration d’un réseau à l’exposition involontaire de données sensibles.
Du côté IT, la compréhension de notions comme API, serveur virtuel, conteneurisation, cloud hybride, DevOps ou résilience système est tout aussi essentielle pour administrer efficacement les infrastructures et accompagner les évolutions technologiques. Le vocabulaire sert ici à définir des architectures, décrire des processus automatisés ou encadrer les déploiements applicatifs.
Au-delà des aspects techniques, le vocabulaire commun est indispensable pour documenter, auditer, sensibiliser et former. Il permet d’élaborer des politiques de sécurité claires, de rédiger des procédures de réponse à incident, et de mener des campagnes de prévention accessibles à tous les collaborateurs.
2FA (double authentification) : La double authentification, ou 2FA, renforce la sécurité des accès en combinant deux facteurs distincts : généralement un mot de passe et un code temporaire reçu sur un appareil de confiance. Cette méthode permet de limiter considérablement les risques d’intrusion même si le mot de passe principal est compromis.
AAA (Authentification, Autorisation, Audit) : Le modèle AAA repose sur trois piliers essentiels à la cybersécurité : l’authentification pour vérifier l’identité, l’autorisation pour contrôler les accès et l’audit pour tracer les activités. Ce triptyque est largement utilisé dans les systèmes d’information pour sécuriser l’accès aux ressources et faciliter les contrôles ex post.
AAD (Azure Active Directory) : Azure Active Directory est un service d’annuaire cloud proposé par Microsoft. Il permet la gestion centralisée des identités et des accès pour les applications et ressources d’entreprise. AAD supporte l’authentification unique (SSO), le MFA et les politiques d’accès conditionnel, facilitant la sécurité dans les environnements hybrides et cloud.
ACL (Access Control List) : Une ACL est un mécanisme de filtrage qui définit quels utilisateurs ou systèmes peuvent accéder à des ressources précises, et avec quels niveaux de privilèges (lecture, écriture, exécution). Utilisée sur les réseaux, systèmes de fichiers et bases de données, elle renforce le contrôle d’accès et la traçabilité des actions.
Active Directory (AD) : Active Directory est un annuaire centralisé développé par Microsoft, utilisé pour gérer les ressources, utilisateurs et permissions dans les réseaux d’entreprise. Il permet une administration sécurisée et hiérarchisée des accès, des politiques de groupe, et une intégration avec des solutions de sécurité telles que les systèmes de détection d’intrusion.
Air gap : Un air gap est une mesure de sécurité physique consistant à isoler un système informatique du reste du réseau, y compris d’Internet. Cette séparation totale est employée pour protéger les données critiques dans les environnements sensibles (défense, énergie, finance), rendant tout accès distant ou attaque en ligne impossible.
Alerte de sécurité : Une alerte de sécurité signale une menace, une tentative d’intrusion ou une anomalie détectée par des systèmes de surveillance (SIEM, IDS, etc.). Elle permet aux équipes de cybersécurité de réagir rapidement pour contenir les incidents, renforcer les défenses et limiter les conséquences potentielles sur les données ou systèmes.
Analyse comportementale : L’analyse comportementale consiste à surveiller les habitudes d’un utilisateur ou d’un système pour identifier des écarts suspects. Cette méthode permet de détecter des comportements malveillants non repérés par des règles classiques, comme une connexion inhabituelle ou un transfert de données anormal. Elle s’appuie souvent sur des techniques d’intelligence artificielle.
Analyse de vulnérabilité : L’analyse de vulnérabilité vise à détecter, évaluer et classer les failles de sécurité dans un système informatique, un réseau ou une application. Elle repose sur l’utilisation d’outils d’analyse automatisée ou de scans manuels pour identifier les points faibles exploitables par des attaquants. Ce processus est essentiel pour prévenir les incidents de cybersécurité, en permettant de prioriser les correctifs nécessaires. Elle s’inscrit dans une démarche proactive de gestion du risque numérique et de mise en conformité réglementaire.
Analyse prédictive : L’analyse prédictive applique des algorithmes statistiques et d’apprentissage automatique pour anticiper les menaces futures en cybersécurité. En traitant des données historiques et comportementales, elle permet d’identifier des schémas à risque et d’orienter les défenses avant même qu’une attaque ne survienne. Elle s’intègre dans les outils de prévention avancée.
ANSSI : L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI) est l’autorité française en matière de cybersécurité. Elle émet des recommandations, certifie des solutions, accompagne les administrations et entreprises stratégiques, et coordonne la réponse aux cybermenaces au niveau national. Elle joue un rôle clé dans la souveraineté numérique.
Application d’authentification : Une application d’authentification génère des codes temporaires permettant la validation d’une identité dans le cadre d’une double authentification (2FA). Elle est installée sur un smartphone ou un appareil personnel, et sécurise l’accès aux comptes sensibles. Des exemples incluent Google Authenticator, Microsoft Authenticator ou Authy.
APT (Advanced Persistent Threat) : Un APT désigne une attaque longue, ciblée et sophistiquée, menée par des acteurs souvent étatiques ou très organisés. Elle implique une présence furtive dans le système de la victime, visant à collecter des informations sensibles. Ces attaques s’étalent sur des mois et échappent aux méthodes de détection traditionnelles.
Attaque de la chaîne d’approvisionnement : Ce type d’attaque cible indirectement une entreprise en compromettant un fournisseur ou un prestataire. L’attaquant exploite les relations de confiance entre les partenaires pour insérer du code malveillant ou voler des informations. Ce vecteur est redouté car il permet de contourner les défenses internes de la cible principale.
Attaques sur IA : Les attaques contre les systèmes d’intelligence artificielle visent à perturber leur fonctionnement, détourner leurs décisions ou exploiter des biais. Cela peut inclure le data poisoning, l’adversarial learning ou l’extraction de modèles. Ces menaces émergentes concernent tous les secteurs recourant à l’IA, en particulier la cybersécurité, la finance ou la défense.
Authentification unique (SSO) : Le SSO permet à un utilisateur d’accéder à plusieurs services informatiques avec un seul identifiant. Cette méthode simplifie l’expérience utilisateur et réduit les risques liés à la gestion de multiples mots de passe. Elle repose sur des protocoles tels que SAML ou OAuth, et s’intègre souvent à l’Active Directory.
Autorité nationale de cybersécurité : Une autorité nationale de cybersécurité est un organisme public chargé de la protection des systèmes d’information d’intérêt vital. Elle établit les normes, supervise les incidents majeurs, soutient les infrastructures critiques et participe à la stratégie cyber nationale. En France, ce rôle est assumé par l’ANSSI.
Brute Force : L’attaque par brute force consiste à tester de manière exhaustive ou systématique des combinaisons de mots de passe jusqu’à trouver la bonne. Si le mot de passe est faible ou trop simple, le risque de compromission est élevé. Les systèmes doivent intégrer des mécanismes de limitation (blocage, captcha) et privilégier l’usage de mots de passe complexes, renforcés par une authentification multifactorielle pour contrer cette méthode.
Chain of Custody : La « chaîne de traçabilité » garantit l’intégrité des preuves numériques lors d’enquêtes judiciaires ou de procédures internes. Chaque manipulation, transfert ou stockage d’un fichier est consigné de manière rigoureuse afin d’assurer sa fiabilité. Ce principe est fondamental pour maintenir la validité des éléments collectés, en assurant qu’ils n’ont subi aucune altération pouvant compromettre leur valeur légale ou probante dans un contexte d’investigation.
Chiffrement des données : Le chiffrement est un procédé cryptographique qui transforme des données lisibles en un format illisible sans une clé de déchiffrement. Cette technique garantit la confidentialité des données, même en cas d’interception. Elle est largement utilisée dans les communications sécurisées, le stockage de données sensibles et les transactions bancaires. Le chiffrement assure également l’intégrité et l’authenticité des échanges, devenant un pilier fondamental de la protection des données en environnement numérique.
Conditions générales d’utilisation (CGU) : Les CGU sont un cadre contractuel régissant l’utilisation d’un site web ou d’un service numérique. Elles précisent les obligations de l’utilisateur, les modalités d’accès, les responsabilités du fournisseur et les conditions de traitement des données personnelles. L’acceptation des CGU engage l’utilisateur légalement. Ces clauses sont cruciales pour garantir la conformité avec le RGPD, encadrer la relation numérique et assurer la transparence entre l’éditeur et l’internaute, notamment en matière de données collectées à des fins commerciales.
Cryptojacking (piratage cryptographique) : Le cryptojacking est l’utilisation illégale des ressources d’un appareil (processeur, électricité) pour miner des cryptomonnaies, à l’insu de son propriétaire. Ce type d’attaque se propage via des malwares ou des scripts injectés dans des sites web. Il entraîne un ralentissement des machines, une consommation excessive d’énergie et une usure matérielle.
CSP (Content Security Policy) : La CSP est une directive de sécurité web permettant de contrôler les ressources (scripts, images, styles) qu’un navigateur est autorisé à charger sur un site. Elle limite les attaques de type XSS en empêchant le chargement de contenus non autorisés. C’est une mesure préventive puissante contre les injections malveillantes.
CSRF (Cross-Site Request Forgery) : Le CSRF est une attaque qui exploite la confiance d’un site web envers l’utilisateur authentifié. L’attaquant pousse ce dernier à exécuter une action non désirée (virement, modification) via une requête falsifiée. Cette faille met en péril l’intégrité des comptes utilisateurs et nécessite des protections comme les jetons CSRF.
CTI (Cyber Threat Intelligence) : La CTI est la collecte et l’analyse de renseignements sur les menaces cyber. Elle permet d’anticiper les attaques, de comprendre les techniques adverses et d’adapter les mesures de sécurité. La CTI s’appuie sur des sources internes et externes pour produire des indicateurs exploitables par les équipes de défense.
CVE (Common Vulnerabilities and Exposures) : CVE est une nomenclature standardisée qui recense les vulnérabilités de sécurité connues. Chaque faille reçoit un identifiant unique facilitant son suivi, sa diffusion et sa correction. Le système CVE est essentiel pour les professionnels de la cybersécurité dans la gestion des vulnérabilités et la priorisation des correctifs.
CVSS (Common Vulnerability Scoring System) : Le CVSS est un système de notation qui évalue la gravité d’une vulnérabilité informatique sur une échelle de 0 à 10. Il prend en compte des critères techniques comme la complexité d’exploitation, l’impact, ou l’accessibilité. Ce score permet de hiérarchiser les correctifs selon l’urgence de traitement.
Cyberattaque : Une cyberattaque est une action malveillante menée via un réseau informatique pour compromettre la sécurité d’un système, accéder à des données ou perturber un service. Elle peut prendre de nombreuses formes : phishing, ransomware, DDoS, etc. Les cyberattaques ciblent les entreprises, les administrations et les particuliers.
Cybercriminalité : La cybercriminalité regroupe l’ensemble des actes délictueux ou criminels perpétrés à l’aide ou dans le cadre du cyberespace. Elle inclut les infractions purement numériques (piratage, infection virale, contrefaçon logicielle) et celles qui utilisent les technologies comme vecteur (diffusion de contenus illicites, harcèlement en ligne). Elle pose d’importants défis juridiques, techniques et sociétaux.
Cybercriminel : Un cybercriminel est un individu ou un groupe impliqué dans des activités illégales sur internet, telles que le vol de données, la fraude, l’extorsion ou la diffusion de malwares. Ces acteurs peuvent être motivés par le gain financier, l’espionnage ou la déstabilisation. Ils représentent une menace constante pour la cybersécurité mondiale.
Cyberdéfense : La cyberdéfense désigne les dispositifs nationaux visant à protéger les systèmes d’information stratégiques face aux menaces numériques. Elle comprend à la fois des moyens de surveillance, de détection, de réponse et de contre-attaque, relevant de la lutte informatique défensive ou offensive. Elle est une composante essentielle de la sécurité nationale à l’ère numérique.
Cyberenquêteur : Le cyberenquêteur est un professionnel spécialisé dans l’investigation numérique. Il recueille, analyse et préserve des preuves électroniques dans le cadre d’une infraction ou d’un incident cyber. Il travaille avec des méthodes de forensique et peut intervenir dans des contextes judiciaires, industriels ou de renseignement.
Cyberespace : Le cyberespace est un univers immatériel formé par l’ensemble des réseaux numériques interconnectés, notamment Internet, et des systèmes qui y échangent des données. Il constitue le cadre de toutes les interactions informatiques, qu’elles soient individuelles, organisationnelles ou étatiques. C’est à la fois un espace d’opportunité, de communication et un terrain d’affrontement stratégique.
Cyberespionnage : Le cyberespionnage désigne la collecte clandestine d’informations sensibles (brevets, secrets d’affaires, données stratégiques) par des moyens numériques. Généralement orchestré par des États ou des groupes sophistiqués, il cible des organisations gouvernementales ou privées, dans une logique d’avantage concurrentiel, militaire ou diplomatique.
Cybermenace : Une cybermenace est un danger potentiel pesant sur les systèmes d’information. Elle peut provenir d’un acteur malveillant (cybercriminel, État), d’une faille technique ou d’une négligence humaine. La cybermenace est évaluée en fonction de sa probabilité, de son impact et de sa capacité à compromettre la confidentialité, l’intégrité ou la disponibilité.
Cybersécurité : La cybersécurité représente l’ensemble des conditions, techniques et pratiques visant à garantir la résilience des systèmes informatiques face aux menaces, qu’elles soient malveillantes ou accidentelles. Elle vise à maintenir l’intégrité, la confidentialité et la disponibilité des données numériques. Elle repose sur la prévention, la détection, la réaction et la remédiation.
Data Leaks : Les fuites de données, ou data leaks, correspondent à la divulgation non autorisée d’informations confidentielles, souvent liées à des attaques, erreurs humaines ou failles de configuration. Elles compromettent l’intégrité, la confidentialité et la disponibilité des données sensibles. Leurs conséquences peuvent être lourdes : atteinte à la réputation, sanctions juridiques, exploitation par des acteurs malveillants. Pour s’en prémunir, il est essentiel de mettre en place des audits réguliers, des outils de détection de vulnérabilités et une politique rigoureuse de protection des données.
DDoS (déni de service distribué) : Une attaque DDoS vise à rendre un service ou site web indisponible en le saturant de requêtes provenant de multiples sources. Orchestrée via des botnets, elle perturbe fortement les infrastructures ciblées, causant des interruptions coûteuses. La protection passe par des outils d’atténuation, une surveillance réseau et des architectures résilientes.
Deepfake (manipulation) : Un deepfake est un contenu audio ou vidéo truqué grâce à l’intelligence artificielle pour imiter de manière réaliste une personne. Il peut servir à la désinformation, à la fraude ou au chantage. Les deepfakes représentent une menace croissante pour la confiance dans les médias et l’intégrité des identités numériques.
Défense en profondeur : La défense en profondeur est une stratégie de cybersécurité reposant sur plusieurs couches de protection (réseau, terminal, applicatif, utilisateur). Elle permet de ralentir les attaquants, de contenir les intrusions et de renforcer la résilience. Chaque couche constitue une barrière complémentaire réduisant la probabilité d’un accès complet aux systèmes critiques.
Défiguration de site (defacement) : La défiguration de site consiste à modifier l’apparence ou le contenu d’un site web, souvent à des fins politiques ou idéologiques. Elle vise à véhiculer un message ou démontrer une faille. Bien que rarement destructrice, elle nuit à l’image de l’organisation visée et révèle des vulnérabilités exploitables.
Déni de service : Une attaque par déni de service empêche l’accès à un service en l’inondant de requêtes ou en exploitant des failles logicielles. Elle peut paralyser des sites, ralentir des applications critiques ou causer des pertes financières. Une stratégie anti-DDoS et un dimensionnement adéquat sont essentiels pour atténuer ces effets.
DevSecOps (pratique de sécurité) : DevSecOps intègre la sécurité dans le processus DevOps, dès la phase de développement. Cette approche collaborative encourage les développeurs, testeurs et experts sécurité à travailler ensemble, automatisant les contrôles et les audits. Elle permet de détecter les vulnérabilités plus tôt et de produire des logiciels plus robustes et conformes.
DLP (Data Loss Prevention) : Un système DLP vise à empêcher la fuite de données sensibles, qu’elle soit accidentelle ou malveillante. Il surveille les transferts de fichiers, les impressions ou les emails pour bloquer les informations critiques. Ces outils sont utilisés pour se conformer aux réglementations (ex. RGPD) et protéger la propriété intellectuelle.
Données personnelles : Les données personnelles sont des informations identifiables concernant une personne physique : nom, adresse, numéro, données biométriques, etc. Leur traitement est encadré par des lois comme le RGPD. La protection des données personnelles est un pilier de la cybersécurité, tant pour les droits des individus que pour les entreprises.
Données sensibles : Les données sensibles incluent des informations pouvant porter atteinte à la vie privée ou à la sécurité si elles sont divulguées. Cela comprend les données de santé, d’orientation sexuelle, d’opinion politique ou financières. Leur protection requiert des mesures renforcées (chiffrement, cloisonnement) et des politiques strictes de gouvernance des données.
Double extorsion : La double extorsion est une stratégie des cybercriminels qui chiffrent les données de leur victime (rançongiciel) tout en les exfiltrant pour menacer de les divulguer. Cela met une pression supplémentaire sur l’organisation ciblée, qui doit choisir entre payer la rançon ou affronter une fuite publique de données confidentielles.
DPD / DPO (Délégué à la protection des données) : Le DPD ou DPO est le responsable désigné pour assurer la conformité d’une organisation au RGPD. Il conseille, contrôle, forme et coopère avec l’autorité de contrôle. Sa mission inclut l’analyse des risques liés aux données personnelles et la mise en œuvre de politiques de protection adéquates.
Durcissement (hardening) : Le durcissement d’un système informatique consiste à en réduire la surface d’attaque en désactivant les services inutiles, en appliquant les correctifs, en limitant les privilèges, etc. Cette démarche préventive vise à rendre le système plus résilient aux intrusions et attaques en supprimant les vulnérabilités exploitables.
EBIOS (méthode) : EBIOS (Expression des Besoins et Identification des Objectifs de Sécurité) est une méthode d’analyse des risques en cybersécurité développée en France. Elle permet d’identifier les menaces, de hiérarchiser les risques et de définir des mesures de sécurité adaptées. Elle est utilisée pour renforcer la protection des systèmes d’information critiques.
Éditeurs de code : Ces logiciels permettent d’écrire, éditer et tester du code source. Ils offrent des fonctions telles que la coloration syntaxique, l’auto-complétion, la gestion de projets ou l’intégration avec des outils de versioning. Indispensables aux développeurs, ils facilitent la lecture et la maintenance du code dans des environnements variés.
EDR (Endpoint Detection and Response) : Un EDR est une solution de sécurité installée sur les terminaux (ordinateurs, serveurs) qui détecte les comportements suspects, isole les menaces et propose une réponse automatisée. Il permet une visibilité accrue sur les incidents et complète les antivirus traditionnels par une approche comportementale et analytique.
Élévation de privilèges : L’élévation de privilèges désigne l’exploitation d’une faille pour obtenir un niveau d’accès supérieur à celui initialement autorisé. Un attaquant peut ainsi passer d’un compte utilisateur standard à des droits administrateur. Ce type d’attaque facilite la prise de contrôle d’un système ou la persistance d’un malware.
Empoisonnement des données (Data Poisoning) : Le data poisoning est une attaque visant à injecter des données malveillantes dans un système d’apprentissage automatique. L’objectif est de biaiser le modèle, de compromettre son fonctionnement ou de l’orienter vers des résultats erronés. Ce type d’attaque menace la fiabilité des systèmes d’intelligence artificielle.
Endpoint : Un endpoint est tout dispositif connecté à un réseau : poste de travail, smartphone, imprimante, serveur, etc. C’est une porte d’entrée potentielle pour les cyberattaques. La sécurisation des endpoints passe par des outils comme les EDR, le chiffrement, l’antivirus et des politiques de gestion centralisée.
Endpoint Detection & Response (EDR) : L’EDR est une technologie de sécurité dédiée à la surveillance en continu des postes de travail et serveurs. Elle combine détection comportementale, analyse des menaces et capacités de réponse automatisée. En identifiant en temps réel les activités suspectes, elle permet une réaction rapide aux attaques, via l’isolement du terminal ou la neutralisation de l’intrusion. Intégré à une stratégie de défense multicouche, l’EDR est un levier clé pour renforcer la résilience face aux menaces avancées.
Épouvanticiel (Scareware) : Un épouvanticiel est un logiciel trompeur visant à effrayer l’utilisateur pour l’inciter à effectuer une action précipitée, comme l’achat d’un faux antivirus ou l’installation d’un logiciel malveillant. Il se manifeste souvent par des fenêtres d’alerte critiques. Bien que simulé, le danger réside dans la réponse de l’utilisateur. Se protéger implique vigilance, blocage des pop-ups et usage de solutions antivirus reconnues.
Exploit (outil) : Un exploit est un programme ou un script conçu pour tirer parti d’une vulnérabilité spécifique dans un système ou une application. Il permet à un attaquant d’exécuter du code malveillant, d’élever ses privilèges ou de perturber un service. Les exploits sont classés selon leur dangerosité et leur facilité d’utilisation.
Fausses identités : Les fausses identités résultent fréquemment de fuites de données et consistent en l’usurpation de l’identité d’un individu ou d’une entité à des fins frauduleuses. Les cybercriminels s’en servent pour accéder illégalement à des services, détourner des fonds ou commettre des escroqueries. Ce phénomène, difficilement traçable, expose les victimes à des préjudices juridiques, économiques et réputationnels. Il constitue un enjeu majeur pour les dispositifs de vérification d’identité, nécessitant l’usage renforcé de solutions d’authentification forte.
Faux positif : Un faux positif est une alerte de sécurité générée par un système de détection (IDS, antivirus, EDR…) alors qu’aucune menace réelle n’est présente. Ils peuvent alourdir la charge des analystes, détourner l’attention des vraies alertes, et nécessitent un bon calibrage des outils pour améliorer leur précision et leur efficacité.
Filoutage (ou hameçonnage) : Le filoutage est une technique frauduleuse visant à inciter des internautes à divulguer des informations sensibles via des courriels, SMS ou sites contrefaits imitant des entités de confiance. Couramment appelée phishing, cette pratique exploite la crédulité des victimes et constitue l’un des vecteurs d’attaque les plus répandus dans la cybersphère.
Firewall (pare-feu) : Un pare-feu est un dispositif de sécurité réseau qui filtre les communications entrantes et sortantes selon des règles prédéfinies. Il bloque les connexions suspectes et autorise uniquement les flux légitimes. Essentiel dans toute architecture de cybersécurité, il existe en version matérielle, logicielle, et en solutions cloud de nouvelle génération.
Force brute (brute force) : L’attaque par force brute consiste à tester toutes les combinaisons possibles pour deviner un mot de passe ou une clé de chiffrement. Elle est souvent automatisée et devient efficace sur des identifiants faibles. Des protections comme le verrouillage de compte, le captchas ou le MFA permettent d’en limiter les effets.
Forensique (forensics) : La forensique numérique désigne l’ensemble des techniques utilisées pour collecter, analyser et conserver des preuves informatiques après un incident. Elle permet de retracer les actions d’un attaquant, d’identifier l’origine de l’attaque et d’appuyer des procédures judiciaires. Elle repose sur des standards stricts pour garantir l’intégrité des éléments de preuve.
Fournisseurs d’accès à Internet : Ils offrent aux particuliers et entreprises un accès au réseau Internet via différentes technologies (fibre, ADSL, 4G, satellite). Outre la connexion, ils proposent des services associés : hébergement, messagerie, sécurité. Leur fiabilité et leur rapidité de service conditionnent l’efficacité numérique des organisations modernes.
Gouvernance : En cybersécurité, la gouvernance regroupe les règles, processus, structures et responsabilités mis en place pour piloter la sécurité des systèmes d’information. Elle s’appuie sur des politiques, audits, indicateurs, et veille à la conformité réglementaire. Une gouvernance efficace est essentielle pour coordonner les efforts entre technique, direction et utilisateurs.
GPO (Group Policy Object) : Les GPO sont des objets de stratégie de groupe utilisés principalement dans les environnements Windows pour gérer de manière centralisée les configurations des utilisateurs et ordinateurs. Elles permettent de définir des règles de sécurité, des droits d’accès ou des paramètres système, garantissant l’uniformité et la conformité des postes.
Groupe APT : Un groupe APT (Advanced Persistent Threat) est une entité structurée et souvent sponsorisée par un État, qui mène des cyberattaques longues, discrètes et ciblées. Ces groupes disposent de ressources avancées et visent des objectifs stratégiques : espionnage, sabotage, vol de propriété intellectuelle. Leur activité est surveillée par les agences de renseignement.
Groupe cybercriminel : Un groupe cybercriminel est une organisation informelle ou structurée qui opère des attaques dans un but lucratif : ransomwares, fraude, vente de données, botnets, etc. Ces groupes agissent souvent depuis des pays peu coopératifs et utilisent le dark web pour échanger des outils ou des données volées, en toute discrétion.
Hacker éthique : Le hacker éthique, ou “white hat”, est un professionnel qui utilise ses compétences en sécurité pour tester les systèmes de manière légale. Il réalise des audits, des pentests, identifie des failles et propose des remédiations. Il contribue à améliorer la posture de sécurité des entreprises dans un cadre contractuel.
Hameçonnage (phishing) : Le phishing est une technique d’ingénierie sociale où l’attaquant incite la victime à fournir des informations sensibles (identifiants, coordonnées bancaires) en se faisant passer pour un tiers de confiance. Il est généralement véhiculé par email, SMS ou faux sites web. La formation et les outils de filtrage sont essentiels pour s’en prémunir.
Honeypot : Un honeypot est un leurre déployé volontairement dans un réseau pour attirer les cybercriminels. Il simule des services vulnérables et enregistre toutes les actions entreprises par l’attaquant. Cet outil permet d’observer les techniques d’intrusion, de collecter des données de renseignement et de détourner l’attention des ressources réelles. Utilisé par les équipes de cybersécurité, il contribue à l’analyse proactive et à l’anticipation des menaces.
Hyperviseur malveillant : Un hyperviseur malveillant est un logiciel qui s’insère entre le système d’exploitation et le matériel pour contrôler l’ensemble de l’activité de la machine à l’insu de l’utilisateur. Ce type de menace est très difficile à détecter car elle opère au plus bas niveau du système, sous les radars traditionnels.
IAM (Identity and Access Management) : L’IAM est un ensemble de technologies et politiques permettant de gérer les identités numériques et les droits d’accès des utilisateurs. Il couvre l’authentification, l’autorisation, la gestion des rôles et la traçabilité. L’IAM est crucial pour garantir que seules les personnes autorisées accèdent aux bonnes ressources, au bon moment.
IDS (système de détection d’intrusion) : Un IDS surveille le trafic réseau ou les journaux systèmes pour détecter des activités suspectes ou malveillantes. Il peut être basé sur des signatures ou des comportements. Il alerte les administrateurs mais n’agit pas automatiquement. L’IDS est un complément clé aux pare-feux et aux solutions EDR.
IDS / IPS : Un IDS (Intrusion Detection System) est un système qui analyse le trafic réseau à la recherche de comportements suspects. Il émet des alertes mais ne bloque pas directement l’activité. L’IPS (Intrusion Prevention System) agit en complément ou en prolongement, en bloquant automatiquement les actions malveillantes détectées. Ces outils sont essentiels pour une sécurité périmétrique efficace, notamment dans les environnements critiques ou fortement exposés.
Incident de sécurité : Un incident de sécurité est un événement affectant la confidentialité, l’intégrité ou la disponibilité des systèmes ou des données. Il peut s’agir d’une intrusion, d’un vol de données, d’un sabotage ou d’une exploitation de faille. La gestion des incidents repose sur une détection rapide, une réponse coordonnée et une communication maîtrisée. Une politique d’incident management est essentielle pour en limiter l’impact.
Ingénierie sociale (social engineering) : L’ingénierie sociale exploite les failles humaines plutôt que techniques. Elle vise à manipuler les individus pour leur faire révéler des informations ou réaliser des actions compromettantes. Cela peut inclure le phishing, le prétexte téléphonique, ou le tailgating. La sensibilisation des utilisateurs est la meilleure défense contre cette menace.
Injection : L’injection est une catégorie d’attaques qui consiste à introduire du code non prévu dans un système via une entrée utilisateur. Cela peut concerner du SQL, du code HTML (XSS), du système d’exploitation (Command Injection). Elle est due à une validation insuffisante des données entrantes et se corrige par filtrage et encodage.
Injection SQL : L’injection SQL est une faille qui permet à un attaquant d’injecter des requêtes malveillantes dans une base de données via un champ de formulaire mal protégé. Elle peut conduire au vol, à la modification ou à la suppression de données. Cette vulnérabilité critique nécessite des pratiques de codage sécurisé.
IoC (indicateur de compromission) : Un IoC est une information technique permettant d’identifier une menace ou une compromission : adresse IP malveillante, hash de fichier, nom de domaine suspect, etc. Ces indicateurs sont utilisés dans les outils de détection et d’investigation pour reconnaître les traces laissées par les cyberattaques et y réagir efficacement.
IPSec (Internet Protocol Security) : IPSec est un protocole de sécurité de niveau réseau qui assure la confidentialité, l’authenticité et l’intégrité des données échangées sur IP. Il est notamment utilisé dans les VPN pour sécuriser les communications entre deux points. IPSec repose sur des mécanismes de chiffrement et d’échange de clés robustes.
ISO 27001 : ISO 27001 est une norme internationale qui définit les exigences pour établir, mettre en œuvre et améliorer un système de management de la sécurité de l’information (SMSI). Elle permet aux organisations de gérer les risques liés à la sécurité des données et d’assurer la conformité réglementaire dans une approche certifiée.
ISO 27002 : ISO 27002 est un code de bonnes pratiques qui complète la norme ISO 27001. Elle fournit des lignes directrices pour la mise en œuvre des mesures de sécurité : contrôle d’accès, cryptographie, gestion des incidents, etc. Elle sert de référence pour l’élaboration des politiques et procédures en cybersécurité.
ISO 27005 : Cette norme fournit une méthode structurée pour l’analyse et la gestion des risques liés à la sécurité de l’information. Elle s’intègre dans l’approche ISO 27001 et permet d’identifier, d’évaluer, de traiter et de suivre les risques, selon une démarche continue. Elle est essentielle à la gouvernance sécurité d’une organisation.
ISO 31000 : ISO 31000 est une norme de gestion des risques applicable à tout type d’organisation. Elle fournit des principes et un cadre générique pour évaluer et traiter les incertitudes. Bien qu’elle ne soit pas spécifique à la cybersécurité, elle est souvent utilisée comme base dans la gestion des risques numériques.
Jumeau maléfique (evil twin) : Le jumeau maléfique est un faux point d’accès Wi-Fi configuré pour imiter un réseau légitime. Il est utilisé pour intercepter les connexions des utilisateurs et capturer leurs données (identifiants, mots de passe). Cette attaque de type « homme du milieu » est redoutable dans les lieux publics où les réseaux sont ouverts.
JWT (JSON Web Token) : Un JSON Web Token est un jeton d’authentification sécurisé qui permet de vérifier l’identité d’un utilisateur et ses droits sans stockage côté serveur. Utilisé dans les systèmes web modernes, il contient des informations encodées et signées. Il simplifie l’authentification dans les architectures distribuées tout en garantissant l’intégrité des données.
Keylogger (enregistreur de frappe) : Un keylogger est un logiciel ou dispositif matériel qui enregistre en secret toutes les frappes effectuées sur un clavier. Il est utilisé pour voler des mots de passe, messages ou informations personnelles. Les keyloggers peuvent être installés par un malware ou un individu malveillant ayant un accès physique au poste.
Kill chain (chaîne de frappe) : La kill chain décrit les différentes étapes d’une cyberattaque, de la reconnaissance à l’exfiltration des données. Ce modèle permet de comprendre le déroulement des attaques complexes et d’identifier les points d’intervention pour les contrer. Elle est largement utilisée dans la cybersécurité défensive et la planification stratégique.
Kill switch : Un kill switch est un mécanisme de sécurité permettant de désactiver un service ou un système en cas d’urgence. Utilisé pour stopper une application en cas de compromission ou pour contenir une attaque en cours, il permet de limiter les dégâts, voire d’interrompre la propagation d’un logiciel malveillant.
Liste de contrôle d’accès (ACL) : L’ACL est une méthode de gestion des droits permettant de définir, pour chaque ressource, les entités autorisées et les niveaux d’accès associés. Elle est utilisée dans les systèmes de fichiers, les réseaux et les applications. Son bon paramétrage permet de contrôler finement les autorisations et d’assurer la sécurité.
Logiciel rançonneur (rançongiciel) : Un logiciel rançonneur est un programme malveillant conçu pour bloquer l’accès aux données d’un utilisateur en les chiffrant. Il exige ensuite le versement d’une rançon, souvent en cryptomonnaie, pour restituer l’accès. Le ransomware cible aussi bien les particuliers que les entreprises et institutions, et peut causer des pertes majeures.
Logiciels anti-spam & anti-phishing : Ces outils filtrent les messages indésirables et détectent les tentatives de hameçonnage. Ils protègent les utilisateurs contre les escroqueries, les malwares ou les fuites de données. Intégrés aux messageries ou en solutions dédiées, ils renforcent la cybersécurité des communications professionnelles et personnelles.
Logiciels antivirus : Ils assurent la protection des ordinateurs et réseaux contre les virus, chevaux de Troie, ransomwares et autres logiciels malveillants. Ils analysent les fichiers en temps réel, bloquent les menaces et proposent des quarantaines sécurisées. Indispensables pour la sécurité informatique, ils évoluent face aux nouvelles formes de cyberattaques.
Logiciels bloqueurs de publicité : Ces extensions ou logiciels suppriment l’affichage des publicités sur les sites web, améliorant la navigation, réduisant les temps de chargement et limitant les risques de publicités malveillantes. Leur usage soulève toutefois des questions économiques pour les sites financés par la publicité en ligne.
Logiciels d’authentification : Ils garantissent l’accès sécurisé aux systèmes d’information via différents moyens : mot de passe, authentification à deux facteurs (2FA), biométrie. Ils sont essentiels dans la protection des données, la lutte contre les intrusions et la conformité aux normes de cybersécurité des entreprises.
Logiciels de chiffrement & cryptage : Ces outils transforment les données lisibles en données illisibles sans clé de déchiffrement. Ils protègent les communications, les fichiers sensibles ou les bases de données. Le chiffrement garantit la confidentialité, l’intégrité et la sécurité des informations échangées ou stockées, notamment dans les secteurs réglementés.
Logiciels de SaaS management : Ils permettent de gérer l’ensemble des logiciels utilisés en mode SaaS dans une organisation : supervision des abonnements, sécurité des accès, utilisation réelle, conformité. Ces outils donnent une vision centralisée de l’écosystème logiciel, optimisent les coûts et réduisent les risques liés à la multiplication des applications cloud.
Logiciels de sauvegarde & stockage de données : Ces solutions assurent la conservation et la récupération des fichiers en cas de suppression accidentelle, de panne ou d’attaque. Elles proposent des sauvegardes locales, cloud ou hybrides avec des politiques de versioning et de restauration. Essentielles à la continuité d’activité, elles sécurisent le patrimoine numérique des organisations.
Logiciels ITSM : Les logiciels de gestion des services informatiques (ITSM) structurent et automatisent la gestion des incidents, des demandes, des changements et des ressources IT. Basés sur les bonnes pratiques ITIL, ils permettent de professionnaliser la relation entre l’informatique et les utilisateurs internes, tout en optimisant les processus et coûts.
Logiciels Low Code / No Code : Ces plateformes permettent de créer des applications sans connaissances approfondies en programmation, via des interfaces visuelles ou des blocs de logique préconfigurés. Elles démocratisent le développement logiciel, accélèrent la mise en production et permettent aux équipes métiers de prototyper ou automatiser des processus.
Malware (logiciel malveillant) : Un malware est un logiciel conçu pour nuire à un système informatique. Il regroupe plusieurs familles comme les virus, vers, chevaux de Troie, ransomwares ou spyware. Il peut voler des données, détruire des fichiers ou prendre le contrôle d’un poste. Les malwares sont souvent diffusés via des emails piégés ou sites infectés.
Malware et Botnet : Les malwares sont des programmes conçus pour infiltrer, endommager ou voler des données. Ils peuvent s’introduire via des fichiers infectés, emails ou sites malveillants. Lorsqu’un appareil est compromis, il peut être enrôlé dans un botnet – un réseau contrôlé à distance par un pirate. Ces botnets servent à lancer des attaques de grande ampleur, comme les DDoS, tout en restant difficilement détectables. La prévention repose sur des outils de sécurité robustes.
Man-in-the-middle (homme du milieu) : L’attaque MITM consiste à intercepter la communication entre deux parties sans qu’elles s’en rendent compte. L’attaquant peut alors lire, modifier ou injecter des données. Elle est redoutable sur les réseaux Wi-Fi non sécurisés. Le chiffrement et les certificats numériques sont les principales protections contre ce type d’interception.
Menace interne (risque cyber) : La menace interne provient d’un collaborateur, prestataire ou partenaire ayant un accès légitime au système et en abusant, intentionnellement ou non. Elle peut résulter d’une négligence (perte d’un support, mot de passe faible) ou d’un acte malveillant. Sa détection repose sur la surveillance comportementale et des politiques strictes de sécurité.
MFA (authentification multifacteur) : Le MFA renforce la sécurité des accès en exigeant plusieurs facteurs d’authentification : quelque chose que l’on connaît (mot de passe), que l’on possède (téléphone), ou que l’on est (empreinte digitale). Il complique fortement la tâche des attaquants, même en cas de compromission d’un mot de passe.
MITRE ATT&CK : Le framework MITRE ATT&CK est une base de connaissances qui recense les tactiques, techniques et procédures (TTP) utilisées par les attaquants. Il permet de modéliser les menaces, d’évaluer la couverture des systèmes de défense, et de renforcer les capacités de détection et réponse. Il est devenu un standard du secteur.
Mode dégradé (fail-safe mode) : Le mode dégradé est une configuration permettant à un système de continuer à fonctionner partiellement en cas de défaillance. En cybersécurité, il est utilisé pour préserver la disponibilité minimale d’un service tout en limitant les risques, par exemple en désactivant des fonctionnalités non critiques ou exposées.
Mot de passe à usage unique : Un mot de passe à usage unique (OTP) est un code temporaire généré pour une authentification unique. Il est souvent envoyé par SMS ou généré via une application dédiée. Ce mécanisme réduit le risque de réutilisation des identifiants et s’inscrit dans les bonnes pratiques d’authentification renforcée.
Mouvement latéral (technique) : Le mouvement latéral est une technique utilisée par un attaquant une fois à l’intérieur du réseau. Elle consiste à se déplacer d’une machine à l’autre pour escalader les privilèges et atteindre des ressources critiques. Cette technique est caractéristique des attaques avancées, notamment dans les campagnes APT.
NIDS (Network Intrusion Detection System) : Le NIDS est un système de détection d’intrusion qui surveille le trafic réseau à la recherche de comportements suspects ou de signatures connues. Il alerte en cas d’activité anormale et peut être intégré à un SIEM. Contrairement à un IPS, il n’intervient pas activement pour bloquer l’intrusion.
NIS 2 (réglementation) : La directive NIS 2 est une évolution du cadre européen sur la sécurité des réseaux et des systèmes d’information. Elle étend les obligations de cybersécurité à de nouveaux secteurs, impose des règles de gouvernance et de notification d’incidents, et renforce les pouvoirs des autorités nationales de contrôle.
NIST Cybersecurity Framework (NIST CSF) : Le NIST CSF est un cadre de référence américain pour la gestion des risques cyber. Il repose sur cinq fonctions : identifier, protéger, détecter, répondre et récupérer. Adaptable à toutes tailles d’organisation, il aide à structurer une stratégie de cybersécurité alignée avec les meilleures pratiques internationales.
Obfuscation : L’obfuscation est une technique consistant à masquer ou complexifier le code source d’un programme afin d’en empêcher la compréhension, l’ingénierie inverse ou la détection. Elle est utilisée autant par les développeurs légitimes (protection de la propriété intellectuelle) que par les cybercriminels pour dissimuler des malwares.
OCSP (Online Certificate Status Protocol) : OCSP est un protocole utilisé pour vérifier en temps réel la validité d’un certificat numérique, notamment s’il a été révoqué. Il complète les listes de révocation (CRL) et permet de renforcer la sécurité des échanges HTTPS. Il est essentiel pour garantir la confiance dans les communications chiffrées.
Opérateur d’importance vitale (OIV) : Un OIV est une entité – publique ou privée – qui exploite des infrastructures ou systèmes essentiels à la sécurité nationale, à l’économie, à la santé ou à la défense. Leur vulnérabilité représenterait un danger majeur pour la continuité des services vitaux d’un État. Ils font l’objet d’obligations renforcées en cybersécurité.
OSINT (Open Source Intelligence) : L’OSINT désigne la collecte et l’analyse d’informations accessibles publiquement, notamment sur internet (sites, réseaux sociaux, forums, bases de données). En cybersécurité, il est utilisé pour surveiller les menaces, détecter les fuites de données, ou analyser les profils d’attaquants. Il est légalement encadré et exploité dans les cellules de renseignement.
OTP (One-Time Password) : Un OTP est un code temporaire généré automatiquement, valide une seule fois. Il est souvent utilisé dans les systèmes de double authentification pour sécuriser les accès. Contrairement à un mot de passe statique, il limite fortement les risques liés à l’interception, au phishing ou à la réutilisation frauduleuse.
OWASP (ressource de sécurité) : L’OWASP est une fondation qui fournit des ressources gratuites sur la sécurité des applications web. Son célèbre top 10 recense les principales vulnérabilités (injections, XSS, mauvaise configuration…). Ses outils, guides et formations sont largement utilisés par les développeurs et les professionnels de la cybersécurité pour sécuriser leurs applications.
Paramètres système : Les paramètres système désignent l’ensemble des réglages configurables d’un système d’exploitation ou d’un logiciel. Ils influencent la sécurité, la performance et le comportement du système. Une mauvaise configuration peut ouvrir des brèches exploitables par les attaquants. Leur gestion est essentielle dans les processus de durcissement et d’audit.
Patch (correctif) : Un patch est une mise à jour destinée à corriger une faille de sécurité, une erreur ou à améliorer une fonctionnalité. Appliquer les correctifs dès leur publication est crucial pour se prémunir des attaques exploitant les vulnérabilités connues (notamment 0-day). La gestion des patchs fait partie des obligations de sécurité informatique.
Payload (composant malveillant) : Un payload est la charge utile d’une attaque, c’est-à-dire le code exécuté après exploitation d’une vulnérabilité. Il peut s’agir d’un ransomware, d’un cheval de Troie, ou d’un script permettant la prise de contrôle à distance. Il constitue la finalité opérationnelle d’un exploit, souvent déclenchée à l’insu de la victime.
PCI DSS (norme) : La norme PCI DSS impose des exigences de sécurité pour les organisations traitant des données de cartes bancaires. Elle couvre la protection des données, la gestion des accès, le chiffrement et les tests réguliers. La conformité à cette norme est obligatoire pour les prestataires de paiement et les e-commerçants.
Pentest (test d’intrusion) : Un pentest est un test de pénétration réalisé par un expert pour évaluer la résistance d’un système face à des attaques simulées. Il permet d’identifier les failles techniques, organisationnelles ou humaines. Il s’effectue dans un cadre contractuel précis, avec rapport détaillé et recommandations de remédiation.
Pentester (métier) : Le pentester est le professionnel chargé de réaliser les tests d’intrusion. Il simule les attaques des cybercriminels pour détecter les vulnérabilités avant qu’elles ne soient exploitées. Il doit maîtriser les outils d’attaque, comprendre les architectures systèmes et rédiger des rapports clairs à destination des équipes techniques et de direction.
Phishing : Le phishing est une technique frauduleuse consistant à se faire passer pour une entité de confiance (banque, fournisseur, administration) afin de soutirer des informations confidentielles à une victime : identifiants, codes, numéros bancaires. Principalement véhiculé par courriel ou sites web falsifiés, ce procédé repose sur la tromperie psychologique et reste l’un des vecteurs les plus utilisés pour initier des cyberattaques ou des intrusions dans les systèmes d’information.
Plan de continuité d’activité (PCA) : Le PCA regroupe l’ensemble des dispositifs permettant à une organisation de maintenir ses activités critiques en cas d’incident majeur. Il inclut des procédures, ressources, sites de repli, et permet de limiter les interruptions. Il est complémentaire au plan de reprise d’activité et constitue une exigence réglementaire dans certains secteurs.
Plan de réponse aux incidents (PRI) : Le PRI est un document stratégique décrivant les étapes à suivre pour détecter, contenir, analyser, et éradiquer un incident de sécurité. Il structure la gestion de crise cyber et répartit les responsabilités. Son efficacité repose sur sa mise à jour régulière et sur des exercices pratiques de simulation.
Plan de reprise d’activité (PRA) : Le PRA est un dispositif visant à restaurer les systèmes informatiques après un incident ou sinistre. Il définit les délais, moyens, procédures, et priorités de redémarrage. Il s’appuie sur des outils de sauvegarde, des sites secondaires et des ressources humaines formées à la reprise rapide d’activité.
Politique de confidentialité : La politique de confidentialité informe les utilisateurs sur la manière dont leurs données personnelles sont collectées, utilisées, stockées et partagées. Elle est obligatoire dans de nombreuses juridictions. Elle contribue à la transparence, à la conformité RGPD et renforce la confiance entre l’organisation et ses utilisateurs ou clients.
Politique de sauvegarde : La politique de sauvegarde définit les règles relatives à la conservation, fréquence, format et localisation des copies de données. Elle garantit la possibilité de restaurer des informations en cas d’incident (attaque, erreur, panne). Une politique efficace précise les responsabilités, les tests de restauration et la durée de rétention.
Politique de sécurité : La politique de sécurité formalise les engagements d’une organisation en matière de cybersécurité. Elle encadre les comportements attendus, les niveaux de protection, les responsabilités et les procédures. Document fondamental du SMSI, elle doit être connue, appliquée et revue périodiquement pour rester adaptée à l’évolution des menaces.
Principe de moindre privilège (PoLP) : Le PoLP impose que chaque utilisateur, processus ou système ne dispose que des droits strictement nécessaires à l’accomplissement de ses fonctions. Cela limite la surface d’attaque et les dégâts en cas de compromission. Ce principe s’applique aux comptes, services, scripts et accès à distance.
Privilège : Un privilège est un droit d’accès accordé à un utilisateur ou processus pour effectuer une action spécifique. Une gestion rigoureuse des privilèges (notamment les comptes administrateurs) est essentielle pour éviter les abus, les escalades de privilèges et limiter les impacts en cas de compromission.
PSSI (politique de sécurité des systèmes d’information) : La PSSI est le document de référence encadrant les règles, obligations et pratiques en matière de sécurité des systèmes d’information. Elle couvre les aspects techniques, organisationnels et humains, et constitue le socle du management de la sécurité dans une entreprise. Elle doit être connue de tous les utilisateurs.
Quarantaine : La quarantaine est une mesure consistant à isoler un fichier, une machine ou un processus suspect pour éviter toute propagation de menace. Elle est couramment utilisée par les antivirus et EDR pour contenir les risques en attendant analyse ou suppression. Elle constitue une réponse immédiate aux comportements malveillants.
Rançongiciel (ransomware) : Le rançongiciel chiffre les données d’une organisation et exige une rançon pour en restituer l’accès. Il se propage par phishing, vulnérabilités ou RDP mal sécurisés. Les dommages sont importants : perte de données, interruption, atteinte à la réputation. Les sauvegardes et la sensibilisation sont des contre-mesures essentielles.
Ransomware : Le ransomware est un logiciel malveillant qui chiffre les données d’un système et exige une rançon pour leur restitution. Il vise aussi bien les particuliers que les entreprises, avec des conséquences potentiellement dévastatrices : perte de données, arrêt d’activité, chantage. Le paiement de la rançon n’assure pas le déblocage. Les bonnes pratiques incluent des sauvegardes régulières, une surveillance réseau continue et une formation des utilisateurs à la reconnaissance des vecteurs d’infection.
Red Team (équipe de sécurité) : La Red Team simule des attaques réelles pour tester la robustesse des défenses d’une organisation. Elle agit comme un attaquant externe, en cherchant à contourner les protections techniques et humaines. Elle est complémentaire à la Blue Team, qui défend. Ces exercices permettent d’évaluer la maturité globale en cybersécurité.
Régurgitation : La régurgitation en cybersécurité désigne le renvoi d’informations sensibles par une application non sécurisée (ex. : injection de script XSS avec affichage d’erreurs contenant des données). Elle peut permettre à un attaquant de récolter des informations sur le système, la structure ou les données de l’application.
Remédiation : La remédiation regroupe les actions prises après un incident de sécurité pour restaurer les systèmes, supprimer les causes racines, et empêcher une récidive. Elle inclut la suppression des malwares, la modification des accès, l’application de correctifs, et l’amélioration des contrôles. Elle est une phase critique du cycle de réponse aux incidents.
Résilience : La résilience désigne la capacité d’un système à résister à une attaque ou une panne, à en limiter les effets, et à se rétablir rapidement. Elle repose sur des éléments techniques (PRA, redondance), organisationnels (plans de crise) et humains (formation). C’est un objectif stratégique dans toute politique de cybersécurité.
RGPD (règlementation) : Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) est la législation européenne qui encadre le traitement des données personnelles. Il impose des obligations de transparence, de sécurité, de consentement, et de droits pour les individus. Il s’applique à toutes les organisations traitant des données de citoyens européens.
Rôle : En cybersécurité, un rôle désigne un ensemble de droits et permissions attribués à un utilisateur selon sa fonction. La gestion des rôles (RBAC) permet de standardiser les accès, de les auditer, et de limiter les excès de privilèges. Elle est essentielle dans les systèmes complexes pour assurer la sécurité.
Rootkit : Un rootkit est un logiciel conçu pour dissimuler la présence d’un autre programme malveillant ou permettre un accès furtif à un système. Il s’implante souvent au cœur du système (noyau) et échappe à la détection classique. Son éradication est complexe et nécessite souvent une réinstallation du système compromis.
RPO (Recovery Point Objective) : Le RPO définit la quantité maximale de données que l’on peut perdre entre deux sauvegardes. Il détermine la fréquence des sauvegardes requises pour répondre aux exigences de continuité d’activité. Un RPO faible signifie des sauvegardes fréquentes pour minimiser la perte de données en cas d’incident.
RSSI (Responsable de la Sécurité des Systèmes d’Information) : Le RSSI est le cadre chargé de la politique de sécurité informatique dans une organisation. Il définit les priorités, coordonne les actions techniques et organisationnelles, et veille à la conformité réglementaire. Il est l’interlocuteur privilégié en cas de crise cyber et doit maîtriser à la fois les aspects techniques et stratégiques.
RTO (Recovery Time Objective) : Le RTO est le délai maximal acceptable pour rétablir un service après un incident. Il guide les choix technologiques, les plans de reprise, et les investissements liés à la continuité d’activité. Un RTO court implique des moyens importants pour redémarrer rapidement les systèmes critiques.
Sandboxing : Le sandboxing est une technique qui consiste à exécuter un programme dans un environnement isolé, permettant d’analyser son comportement sans exposer le système principal. Ce bac à sable virtuel est utilisé pour tester des fichiers suspects, des applications ou des codes potentiellement malveillants. Il protège l’environnement de production tout en permettant une détection fine de comportements anormaux ou malveillants, renforçant la capacité d’analyse et de réponse.
SBOM (Software Bill of Materials) : Un SBOM est une liste détaillée des composants logiciels (bibliothèques, dépendances) intégrés dans une application. Il permet d’identifier les vulnérabilités connues et de suivre les mises à jour de sécurité. Recommandé par les autorités, le SBOM améliore la transparence et facilite la gestion des risques liés à la chaîne logicielle.
SecNumCloud : SecNumCloud est un référentiel de l’ANSSI certifiant les services cloud conformes aux exigences de sécurité françaises, en particulier pour les données sensibles ou souveraines. Il garantit la localisation en France, la maîtrise des accès, et une gouvernance de confiance. Il s’adresse aux acteurs publics ou aux entreprises à forts enjeux.
Secret : En cybersécurité, un secret désigne toute information sensible (clé API, mot de passe, jeton, certificat) utilisée pour sécuriser les accès ou les communications. Une mauvaise gestion des secrets peut exposer un système entier. Des outils comme les coffres-forts numériques (ex. HashiCorp Vault) permettent de les stocker et de les gérer.
Sensibilisation à la cybersécurité : La sensibilisation est un volet essentiel de toute politique de cybersécurité. Elle consiste à former les utilisateurs aux risques (phishing, mots de passe, navigation) et aux bons réflexes à adopter. Des campagnes régulières réduisent significativement les erreurs humaines, première cause d’incidents de sécurité dans les organisations.
Services IT : Il s’agit de l’ensemble des prestations techniques fournies par des experts en informatique : gestion de parc, maintenance, cybersécurité, infogérance, cloud computing. Ces services permettent aux entreprises de disposer d’une infrastructure fiable, évolutive et adaptée à leurs besoins tout en externalisant les contraintes techniques.
Shadow IA : Le shadow IA désigne l’utilisation non autorisée d’outils d’intelligence artificielle par des salariés, souvent sans validation de la direction informatique. Cela peut entraîner des fuites de données, des violations de conformité ou des dépendances non maîtrisées. La gestion des usages IA devient un enjeu de gouvernance stratégique.
Shadow IT : Le Shadow IT désigne l’usage de solutions numériques non validées par la direction informatique d’une organisation. Ce recours à des applications ou services tiers, comme des outils de transfert ou de stockage en ligne, échappe au contrôle de sécurité de l’entreprise. Il engendre des risques accrus : failles de sécurité, non-conformité réglementaire, pertes de données. Pour mitiger ces dangers, une gouvernance stricte des outils numériques, accompagnée d’une sensibilisation des collaborateurs, est indispensable.
SIEM (Security Information and Event Management) : Le SIEM centralise les journaux d’événements des systèmes d’une organisation pour détecter les incidents, produire des alertes et faciliter les enquêtes. Il corrèle les données issues des pare-feux, antivirus, serveurs, etc. Outil clé pour le SOC, il permet de renforcer la réactivité face aux menaces.
Smishing : Le smishing est une forme de phishing utilisant les SMS pour tromper l’utilisateur. Le message contient souvent un lien vers un site frauduleux ou un formulaire capturant des données sensibles. Cette technique exploite la confiance accordée aux messages mobiles, rendant les utilisateurs vulnérables à l’usurpation d’identité, au vol bancaire ou à l’installation de malwares. La prudence face aux SMS non sollicités est impérative pour éviter ces risques.
SMSI (Système de Management de la Sécurité de l’Information) : Le SMSI est une approche structurée permettant de piloter la cybersécurité selon la norme ISO 27001. Il comprend la gouvernance, l’analyse des risques, les plans d’action, les audits et l’amélioration continue. Il permet de démontrer la maîtrise des enjeux de sécurité auprès des partenaires et autorités.
SOAR (Security Orchestration, Automation, and Response) : Le SOAR est une plateforme qui automatise les tâches de détection et de réponse aux incidents. En intégrant les outils existants (SIEM, EDR…), il réduit les délais de réaction, diminue la charge des analystes et standardise les réponses. Il est devenu indispensable dans les SOC modernes.
SOC (Security Operations Center) : Le SOC est le centre opérationnel de sécurité d’une organisation. Il regroupe des analystes chargés de surveiller en temps réel les systèmes, d’analyser les alertes et de coordonner la réponse aux incidents. Il repose sur des outils comme le SIEM, le SOAR ou l’EDR, et fonctionne 24/7 dans les grandes structures.
Social Engineering : L’ingénierie sociale est un procédé de manipulation psychologique visant à tromper des personnes pour qu’elles révèlent des informations confidentielles ou permettent l’accès à des systèmes sécurisés. L’attaque repose sur la crédulité, l’autorité ou l’urgence. Les vecteurs incluent les appels, les emails, ou les interactions directes. Contrairement à une attaque technique, cette méthode cible le facteur humain, souvent maillon faible en cybersécurité.
Spyware (logiciel espion) : Un spyware est un programme malveillant conçu pour espionner les activités de l’utilisateur à son insu. Il peut enregistrer les frappes, capturer l’écran, suivre la navigation ou transmettre des données sensibles à un tiers. Il se propage souvent via des logiciels gratuits ou des pièces jointes piégées.
Surface d’attaque : La surface d’attaque représente l’ensemble des points par lesquels un attaquant peut tenter de pénétrer un système : ports ouverts, services exposés, utilisateurs mal formés, etc. Réduire cette surface (hardening, segmentation, cloisonnement) permet de limiter les opportunités d’exploitation et constitue une démarche proactive de sécurité.
Takedown (retrait) : Le takedown est une action visant à faire retirer un contenu ou une infrastructure malveillante (site de phishing, botnet, serveur de commande) via des demandes légales ou techniques. Il est mené par des autorités, éditeurs ou CERT pour limiter la portée des attaques et protéger les victimes potentielles.
Threat Intelligence : La Threat Intelligence regroupe les informations collectées, analysées et partagées sur les menaces informatiques actuelles ou émergentes. Elle permet de mieux anticiper les attaques, de comprendre les modes opératoires et d’ajuster les défenses. Elle repose sur des flux de données, des plateformes collaboratives et des experts en veille.
TLS (Transport Layer Security) : TLS est un protocole de chiffrement qui sécurise les communications entre les systèmes sur internet, notamment via HTTPS. Il garantit la confidentialité, l’intégrité et l’authenticité des données. TLS a succédé à SSL et repose sur des certificats numériques validés par des autorités de certification (CA).
Token : Un token est un jeton numérique qui authentifie un utilisateur ou autorise une transaction. Il peut être temporaire (JWT, OTP) ou lié à un dispositif physique (clé USB, badge). Il sécurise les sessions, les paiements ou les accès aux API, en remplaçant ou en renforçant l’usage du mot de passe.
TTP (Tactiques, Techniques et Procédures) : Les TTP décrivent la manière dont les attaquants opèrent : leurs objectifs (tactiques), les moyens (techniques) et leur mise en œuvre (procédures). Ce concept, central dans la Threat Intelligence, permet d’identifier les groupes APT, de détecter leurs empreintes et d’anticiper leurs actions futures grâce aux frameworks comme MITRE ATT&CK.
Two-Factor Authentication (2FA) : L’authentification à deux facteurs (2FA) est un mécanisme de sécurité consistant à vérifier l’identité d’un utilisateur au moyen de deux éléments distincts : généralement un mot de passe, combiné à un code envoyé sur un téléphone ou une application dédiée. Cette méthode réduit fortement les risques de piratage en rendant l’accès impossible sans la possession des deux facteurs requis, renforçant ainsi la protection des comptes sensibles.
UDP flood : L’UDP flood est une attaque par déni de service qui envoie un grand nombre de paquets UDP à une cible, saturant sa capacité de traitement. Elle peut entraîner la perte de connectivité ou l’épuisement des ressources. Les protections incluent le filtrage réseau, le rate-limiting et les pare-feux spécialisés.
UEBA (User and Entity Behavior Analytics) : UEBA est une technologie qui analyse le comportement des utilisateurs et entités du système pour détecter des anomalies. En se basant sur des modèles comportementaux, elle identifie les activités inhabituelles, même sans signature connue. Elle est particulièrement efficace contre les menaces internes ou les attaques furtives.
Usurpation d’identité : L’usurpation d’identité numérique consiste à utiliser les informations personnelles d’un tiers pour accéder à ses services ou commettre une fraude. Elle peut découler d’un phishing, d’une fuite de données ou d’un vol de session. Elle nécessite des mesures de prévention (MFA) et de détection (alerte d’activité suspecte).
Vecteur d’attaque : Le vecteur d’attaque désigne le chemin ou la méthode par lequel un attaquant accède à un système : email piégé, site web infecté, clé USB, RDP exposé… Identifier et cartographier ces vecteurs est essentiel pour construire une défense adaptée et réduire les points d’entrée exploitables.
Virtual Private Network (VPN) : Un VPN permet de créer un tunnel sécurisé entre l’utilisateur et un réseau distant. Il chiffre les données échangées, masque l’adresse IP et protège la navigation contre les interceptions. Utilisé pour sécuriser les connexions sur des réseaux publics ou contourner les restrictions géographiques, il est essentiel pour préserver la confidentialité en ligne, notamment dans les environnements professionnels ou les contextes de surveillance.
Virus : Un virus est un type de malware capable de se répliquer en infectant d’autres fichiers ou programmes. Il peut corrompre, supprimer ou voler des données, et se propage souvent via des supports amovibles ou des fichiers joints. Les antivirus et les bonnes pratiques utilisateurs sont essentiels pour s’en prémunir.
Vol de données : Le vol de données consiste à accéder illégalement à des informations confidentielles : fichiers clients, documents internes, brevets, etc. C’est souvent l’objectif final d’une intrusion. Il peut avoir des conséquences juridiques, financières et réputationnelles. Le chiffrement, l’audit des accès et la surveillance réseau permettent de limiter les risques.
VPN (réseau privé virtuel) : Le VPN chiffre le trafic entre un terminal et un serveur distant, créant un tunnel sécurisé. Il permet de protéger les communications sur des réseaux publics, de contourner la censure, ou d’accéder à un réseau interne à distance. Il doit être correctement configuré pour éviter des failles (fuites DNS, logs).
Vulnérabilité : Une vulnérabilité est une faille de sécurité dans un logiciel, un système ou un processus pouvant être exploitée par un attaquant. Elle peut provenir d’erreurs de codage, de configuration ou d’architecture. Sa gestion passe par le patch management, les audits réguliers et l’application de politiques de sécurité robustes.
WAF (Web Application Firewall) : Un WAF protège les applications web contre les attaques telles que les injections SQL, les XSS ou le scraping. Il filtre le trafic HTTP et applique des règles spécifiques pour bloquer les requêtes malveillantes. Il est particulièrement utile pour les applications exposées sur internet et les services publics en ligne.
War game : Un war game est un exercice simulé de cybersécurité qui reproduit une attaque réelle afin de tester la réactivité des équipes et la robustesse des dispositifs en place. Il peut impliquer les équipes Red et Blue, et inclure des scénarios de crise. Il permet d’identifier les failles organisationnelles et techniques.
Web scraping : Le web scraping est une technique automatisée de collecte de données sur les sites web. Utilisé à des fins légitimes (veille, indexation) ou malveillantes (vol de contenu, reconnaissance), il peut représenter un risque si mal encadré. Les sites peuvent s’en protéger via des règles anti-bots ou du cloisonnement.
XSS (Cross-Site Scripting) : Le XSS est une vulnérabilité web permettant à un attaquant d’injecter du code JavaScript dans une page vue par d’autres utilisateurs. Cela peut conduire au vol de cookies, à la redirection vers des sites malveillants ou à la modification de contenu. La validation des entrées est essentielle pour s’en protéger.
Yubikey : Une Yubikey est une clé de sécurité physique utilisée pour l’authentification forte. Compatible avec les protocoles FIDO2, OTP, PIV, elle remplace les codes temporaires et renforce la protection contre le phishing. Elle est particulièrement utilisée dans les environnements sensibles et pour l’accès aux comptes critiques (email, cloud, VPN…).
Zero Trust : Le modèle Zero Trust repose sur le principe « ne jamais faire confiance, toujours vérifier ». Il remet en cause la confiance implicite dans le réseau interne. Chaque accès est strictement contrôlé, authentifié et surveillé, quel que soit l’emplacement. C’est une approche stratégique contre les attaques avancées et les menaces internes.
Zero-Day (0-day) : Une vulnérabilité zero-day est une faille inconnue du fournisseur d’un logiciel, activement exploitée avant qu’un correctif ne soit publié. Ces failles sont redoutables car aucun mécanisme de défense n’existe encore à leur apparition. Les attaques zero-day nécessitent une réactivité maximale des équipes de sécurité pour limiter les dégâts. Elles sont souvent exploitées dans des campagnes ciblées, notamment contre des infrastructures stratégiques ou sensibles.
Glossaire de l’Intelligence Artificielle (IA) : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire Intelligence Artificielle (IA) pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier de l’Intelligence Artificielle (IA) . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’Algorithme à Vision par ordinateur) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
L’intelligence artificielle (IA) est un domaine en pleine expansion, qui bouleverse les pratiques professionnelles dans de nombreux secteurs. Toutefois, son accès et sa compréhension reposent fortement sur la maîtrise d’un vocabulaire spécifique. Ce langage technique est indispensable pour appréhender les concepts fondamentaux, dialoguer efficacement avec les experts et exploiter les technologies de manière éclairée.
Des notions comme machine learning, réseau de neurones, modèle entraîné, surapprentissage (overfitting), jeu de données d’apprentissage, algorithme supervisé, intelligence artificielle générative, biais algorithmique ou encore traitement automatique du langage naturel (NLP) sont aujourd’hui couramment utilisées dans les projets d’IA. Elles permettent de décrire les méthodes, les objectifs et les limites de chaque système, en posant un cadre rigoureux aux discussions techniques et stratégiques.
La maîtrise de ce lexique est également essentielle pour garantir la transparence, l’éthique et la conformité des déploiements. Elle facilite l’évaluation des risques, la rédaction de chartes d’usage ou la communication avec les autorités réglementaires. Elle est aussi un atout dans la conduite du changement, en rassurant les équipes concernées par l’intégration de l’IA dans leurs processus métiers.
strong>Algorithme : Un algorithme est une procédure formelle constituée d’étapes logiques permettant de transformer des données d’entrée en résultats précis. Présent dans toutes les disciplines informatiques, il est fondamental au fonctionnement des systèmes automatisés et sert de base à de nombreuses applications, de la simple opération arithmétique aux processus d’intelligence artificielle complexes.
Analyse prédictive : L’analyse prédictive utilise des techniques statistiques et des algorithmes d’apprentissage pour anticiper des événements futurs à partir de données historiques. Elle permet d’identifier des tendances, des comportements ou des anomalies. Cette approche est largement utilisée dans le marketing, la finance, la maintenance prédictive ou encore la gestion des risques.
Annotation (IA) : L’annotation consiste à associer des métadonnées explicites à des données brutes afin d’en faciliter l’interprétation par un système d’intelligence artificielle. Cette opération, souvent manuelle, permet d’étiqueter des images, textes ou sons selon leur contenu. L’annotation est indispensable pour entraîner des modèles supervisés avec un référentiel dit « vérité terrain ».
Apprentissage actif : L’apprentissage actif est une méthode semi-supervisée dans laquelle un algorithme sollicite l’intervention humaine pour étiqueter des exemples jugés pertinents pour sa progression. En optimisant la sélection des données à annoter, cette approche réduit le volume d’étiquetage nécessaire tout en accélérant la montée en compétence du modèle.
Apprentissage auto-supervisé : Ce type d’apprentissage repose sur l’exploitation de données non étiquetées, le système générant lui-même les tâches de supervision. L’apprentissage auto-supervisé se situe entre le non-supervisé et le supervisé et s’avère particulièrement utile lorsque l’accès à des annotations manuelles est limité. Il est utilisé dans le traitement d’images, du texte ou de la voix.
Apprentissage automatique (machine learning) : L’apprentissage automatique est une branche de l’intelligence artificielle visant à concevoir des systèmes capables de s’améliorer à partir de données, sans être explicitement programmés. Les modèles ainsi construits s’appuient sur des algorithmes statistiques pour détecter des patterns et effectuer des prédictions ou des classifications avec un degré croissant de précision.
Apprentissage continu : L’apprentissage continu permet à un système d’intégrer de nouvelles données en permanence, même après sa mise en production. Contrairement à un apprentissage figé, cette approche rend le modèle plus adaptable aux évolutions de son environnement, mais pose des défis techniques importants liés à la stabilité, la sécurité et la dérive.
Apprentissage fédéré : L’apprentissage fédéré est une approche décentralisée où plusieurs dispositifs entraînent localement un même modèle sans échanger les données. Chaque participant envoie ses paramètres mis à jour, qui sont ensuite agrégés. Cette méthode préserve la confidentialité des données tout en permettant un apprentissage collaboratif à grande échelle, notamment en santé ou finance.
Apprentissage non supervisé : Méthode d’apprentissage automatique dans laquelle le système analyse des données brutes sans étiquettes. Il détecte des structures latentes telles que des clusters, des associations ou des distributions. Couramment utilisé pour la segmentation de marché, l’analyse exploratoire ou la réduction de dimensions, cet apprentissage repose sur l’identification de similarités internes.
Apprentissage par renforcement : L’apprentissage par renforcement repose sur la notion d’environnement, d’action et de récompense. Le système apprend par essais et erreurs en recevant des signaux quantitatifs selon la pertinence de ses choix. Il est utilisé dans des domaines complexes tels que les jeux, la robotique ou la conduite autonome.
Apprentissage par renforcement et rétroaction humaine : Cette variante intègre les évaluations humaines dans le processus d’apprentissage par renforcement. Les préférences des utilisateurs sont utilisées pour guider ou corriger le modèle, notamment dans les systèmes génératifs comme les grands modèles de langage. Cette combinaison améliore la cohérence et la qualité des résultats fournis.
Apprentissage par transfert : L’apprentissage par transfert consiste à réutiliser un modèle préalablement entraîné sur une tâche pour en faciliter une autre, souvent avec moins de données. Ce procédé permet un gain d’efficacité, particulièrement utile dans les cas où les jeux de données sont limités, en transférant les connaissances inter-domaines.
Apprentissage profond (deep learning) : L’apprentissage profond désigne l’usage de réseaux de neurones artificiels composés de multiples couches intermédiaires. Ces structures hiérarchiques permettent d’extraire des représentations complexes à partir de données brutes. Cette méthode, très gourmande en données et en puissance de calcul, est à la base des avancées majeures en IA moderne.
Apprentissage supervisé : L’apprentissage supervisé s’appuie sur un jeu de données étiquetées pour entraîner un modèle à prédire une sortie à partir d’une entrée. C’est la méthode la plus courante en IA, utilisée pour des tâches de classification, de régression ou de reconnaissance d’images, avec une supervision explicite du résultat attendu.
Assistant virtuel : Un assistant virtuel est un programme informatique automatisé, conçu pour interagir avec des utilisateurs via une interface textuelle ou vocale. Il est souvent basé sur le traitement du langage naturel et peut fournir des réponses, exécuter des tâches ou proposer des recommandations. Exemples : chatbot, assistant commercial ou agent RH.
Assistant vocal : Un assistant vocal repose sur la reconnaissance vocale et le traitement du langage pour permettre une interaction naturelle entre l’utilisateur et la machine. Ces dispositifs sont intégrés à des enceintes connectées, smartphones ou logiciels, et répondent à des commandes vocales pour exécuter des tâches, poser des rappels ou fournir des informations en temps réel.
Attaque par empoisonnement (data poisoning attack) : Cette attaque vise à insérer dans les données d’entraînement du système des entrées volontairement corrompues. L’objectif est d’altérer le comportement du modèle, parfois de façon imperceptible. Ce type d’attaque cible la phase d’apprentissage et peut compromettre la fiabilité, la sécurité ou l’équité du système d’IA.
Attaque par exemples contradictoires (adversarial examples attack) : Ces attaques introduisent des modifications subtiles dans les données d’entrée pour tromper le système. Bien que quasi invisibles pour un humain, ces perturbations peuvent induire de mauvaises décisions du modèle. Les exemples contradictoires révèlent les faiblesses structurelles de nombreux algorithmes, notamment dans la reconnaissance visuelle.
Attaque par exfiltration de modèle (model evasion attack) : Cette attaque a pour but de voler un modèle d’intelligence artificielle, souvent en observant ses réponses à des requêtes ciblées. L’exfiltration peut inclure les poids, les paramètres ou même la structure du modèle. Ces attaques menacent la propriété intellectuelle et l’intégrité des solutions IA déployées.
Attaque par inférence d’appartenance (membership inference attack) : Cette attaque tente de déterminer si une donnée spécifique a été utilisée lors de l’entraînement d’un modèle. Elle soulève des enjeux importants de confidentialité, car elle permet potentiellement d’extraire des informations sensibles sur les individus, notamment dans les systèmes manipulant des données personnelles de santé ou financières.
Attaque par inversion de modèle (model inversion attack) : Elle consiste à déduire ou reconstruire approximativement les données d’entraînement d’un modèle en exploitant ses réponses. Ces attaques peuvent exposer des informations sensibles et poser un risque pour la vie privée. Elles sont particulièrement préoccupantes dans les applications biométriques ou les systèmes traitant des données nominatives.
Attaque par reconstruction : Les attaques par reconstruction visent à reconstituer les données d’apprentissage à partir d’un accès au modèle. Cela peut se faire par exploration des sorties ou manipulation du système. Ces attaques menacent la confidentialité des données et soulèvent des questions de responsabilité en cas de fuite d’informations sensibles.
Attaques sur IA : Les attaques contre les systèmes d’intelligence artificielle visent à altérer leur fonctionnement en manipulant les données d’entrée, le modèle ou son comportement en production. On distingue notamment les attaques adversariales, les empoisonnements de données et les attaques d’inférence. Elles constituent un enjeu majeur en cybersécurité algorithmique.
Augmentation de données (IA) : Ce processus génère artificiellement de nouvelles données à partir de données existantes, via des transformations comme la rotation, le recadrage ou la permutation. Très utilisée en vision par ordinateur ou traitement du langage, l’augmentation de données renforce la robustesse et la capacité de généralisation des modèles.
Bac à sable (sandbox) : Un bac à sable, ou sandbox, est un environnement sécurisé isolé du système principal, permettant d’exécuter du code ou de tester des applications sans risque pour le système hôte. Il est couramment utilisé pour analyser des fichiers suspects, expérimenter de nouveaux outils ou contenir d’éventuelles menaces en toute sécurité.
Biais : Les biais en intelligence artificielle désignent les distorsions involontaires présentes dans les données d’apprentissage ou dans la conception du modèle, susceptibles d’entraîner des décisions inéquitables. Ils peuvent être liés à des biais sociaux, historiques ou techniques et représentent un défi majeur pour garantir l’éthique et la fiabilité des systèmes.
Bot : Un bot est un programme automatisé capable d’exécuter des tâches répétitives sans intervention humaine. Dans le domaine de l’IA, certains bots sont dotés de capacités de conversation ou d’analyse. Ils sont utilisés dans des contextes variés, comme le service client, la surveillance de données, les réseaux sociaux ou la cybersécurité.
Bulle de filtre : Phénomène algorithmique limitant la diversité de l’information présentée à un utilisateur. Les systèmes de recommandation, en personnalisant les contenus selon l’historique de navigation, enferment l’utilisateur dans un écosystème informationnel homogène. Ce biais algorithmique nuit à la pluralité des opinions et renforce les comportements de confirmation.
Cafés IA : Les Cafés IA sont des rencontres ou ateliers publics, destinés à favoriser la compréhension, la vulgarisation et le débat autour de l’intelligence artificielle. Ouverts à tous, ils permettent d’explorer les impacts sociaux, éthiques et économiques de l’IA dans un cadre accessible et pédagogique, favorisant l’inclusion numérique.
Calcul multipartite sécurisé : Technique cryptographique permettant à plusieurs entités de réaliser un calcul conjoint sur leurs données respectives sans avoir à les partager. Chaque partie chiffre ses données et le résultat final est calculé de manière sécurisée. Très utilisé pour les systèmes d’IA collaboratifs nécessitant un respect strict de la confidentialité.
Caractéristique (IA) : Une caractéristique (ou feature) désigne une variable ou propriété mesurable utilisée par un algorithme pour représenter une observation. Les caractéristiques peuvent être extraites automatiquement ou sélectionnées manuellement. Leur qualité et leur pertinence sont déterminantes pour les performances des modèles d’apprentissage automatique.
Charte IA : Une charte IA est un document de référence adopté par une entreprise, une institution ou un organisme pour encadrer les usages de l’intelligence artificielle. Elle définit des principes éthiques, des engagements en matière de transparence, de sécurité, d’équité ou encore de respect des droits fondamentaux dans le déploiement de solutions IA.
Chatbot : Un chatbot est un agent conversationnel automatisé, capable d’interagir avec des utilisateurs en langage naturel, par écrit ou oralement. Il repose sur des techniques de NLP et peut répondre à des questions, fournir un service ou guider l’utilisateur. Les chatbots sont largement utilisés dans les domaines du service client ou de la santé.
Chiffrement homomorphe : Méthode de cryptographie permettant d’effectuer des calculs sur des données chiffrées sans les déchiffrer. Elle garantit la confidentialité totale durant le traitement, même pour des tiers non autorisés. Utilisé en IA pour préserver les données personnelles dans des contextes sensibles (santé, finance), ce chiffrement est encore coûteux en calcul.
Classification (IA) : La classification consiste à attribuer une étiquette prédéfinie à une observation, sur la base d’un modèle entraîné à partir de données étiquetées. Exemple : reconnaître un animal comme étant un chat ou un chien. Elle constitue l’un des piliers des systèmes d’apprentissage supervisé et de traitement de l’information.
Cobot : Un cobot, ou robot collaboratif, est un robot conçu pour interagir en sécurité et de manière complémentaire avec un humain sur un poste de travail. Contrairement aux robots industriels classiques, les cobots partagent l’espace avec l’opérateur et sont dotés de capteurs leur permettant de détecter et prévenir les collisions ou anomalies.
Confidentialité différentielle : Propriété garantissant qu’un traitement statistique sur une base de données ne permet pas d’inférer si une donnée individuelle y est présente. Elle repose sur l’ajout contrôlé de bruit aléatoire aux résultats. Fondamentale en IA éthique, cette technique protège la vie privée dans les systèmes d’analyse de données massives.
Contrôle itératif de l’apprentissage : Méthode consistant à mesurer l’impact de chaque donnée d’entraînement sur les performances du modèle. En retirant successivement les données ayant un effet négatif (méthode RONI), on améliore la robustesse du système. Cette stratégie permet de détecter les erreurs, les biais ou les exemples nuisibles au processus d’apprentissage.
Couche de neurones : Dans un réseau de neurones artificiels, les couches représentent les niveaux de traitement de l’information. Une couche est composée de neurones interconnectés avec la couche suivante. Les couches intermédiaires permettent l’abstraction progressive des données et la modélisation de relations complexes, notamment en apprentissage profond.
Critère d’arrêt (IA) : Le critère d’arrêt définit la condition sous laquelle l’algorithme d’apprentissage interrompt son entraînement. Il peut s’agir d’un nombre d’itérations, d’un seuil de perte minimale ou d’une absence d’amélioration sur un ensemble de validation. Il vise à éviter le surapprentissage ou la consommation inutile de ressources.
CTI (Cyber Threat Intelligence) : La Cyber Threat Intelligence désigne l’ensemble des pratiques consistant à recueillir, analyser et interpréter des informations sur les menaces numériques pour anticiper, détecter et prévenir les cyberattaques. Elle combine veille technique, contextualisation stratégique et outils d’analyse, jouant un rôle essentiel dans la protection des systèmes numériques sensibles.
Data center (centre de données) : Un data center est une infrastructure physique centralisée, conçue pour héberger des serveurs, systèmes de stockage et équipements réseaux nécessaires au traitement, au stockage et à la diffusion des données. Il est au cœur des services cloud, du fonctionnement des applications IA et de la continuité numérique des entreprises.
Deepfake : Un deepfake est une vidéo, image ou audio généré à l’aide de l’IA, en particulier via l’apprentissage profond, dans le but de simuler de manière convaincante une personne, souvent sans son consentement. Ces contenus posent des risques majeurs en termes de désinformation, usurpation d’identité ou manipulation politique.
Dérive de modèle (model drift) : La dérive de modèle désigne le phénomène selon lequel les performances d’un modèle d’IA diminuent avec le temps, en raison de changements dans l’environnement, les données ou les comportements. Elle nécessite des mesures de réévaluation, de surveillance et de réentraînement régulier pour maintenir la fiabilité du système en production.
Dérive des données : La dérive des données correspond à une modification significative de la distribution des données d’entrée entre la phase d’entraînement et la mise en production. Elle entraîne une dégradation des performances du modèle et nécessite un recalibrage ou une mise à jour régulière pour garantir sa pertinence dans le temps.
Dérive du modèle : Survient lorsque les performances d’un modèle diminuent en raison de l’évolution de l’environnement dans lequel il opère. Cette dérive peut être causée par un changement dans les comportements utilisateurs, les contextes d’usage ou la nature des données. Elle nécessite une surveillance continue et des ajustements périodiques.
Désapprentissage machine : Technique visant à supprimer de manière ciblée certaines informations mémorisées par un modèle, sans devoir le réentraîner entièrement. Utilisé dans le cadre du droit à l’oubli ou en réponse à des erreurs d’entraînement, le désapprentissage soulève des enjeux techniques complexes liés à la réversibilité de l’apprentissage.
Détecteurs d’IA : Ces outils permettent d’identifier si un contenu (texte, image, audio…) a été généré par une intelligence artificielle. Utilisés dans la lutte contre la désinformation ou la fraude académique, ils analysent des indices statistiques, stylistiques ou techniques pour alerter sur une éventuelle origine automatisée d’un contenu numérique.
Domaine d’emploi (IA) : Il s’agit de la définition précise de l’environnement et de la population cible pour laquelle un système d’IA est conçu et validé. Le domaine d’emploi délimite le périmètre d’utilisation acceptable du modèle. Sortir de ce cadre augmente les risques d’erreurs, de dérives ou d’effets inattendus.
Donnée brute (IA) : Une donnée brute est une information captée directement depuis la réalité sans avoir été transformée ou analysée. Elle peut provenir de capteurs, d’images, de textes ou d’interactions. Ces données constituent la matière première à partir de laquelle les systèmes d’intelligence artificielle extraient des caractéristiques ou des prédictions.
Donnée d’entrée (IA) : Information fournie au système pour qu’il puisse effectuer un traitement, une prédiction ou une décision. Les données d’entrée peuvent être structurées (tableaux) ou non structurées (textes, images, sons). Leur qualité, représentativité et prétraitement ont un impact déterminant sur les résultats du modèle.
Donnée de sortie (IA) : Résultat fourni par le modèle après traitement des données d’entrée. Elle peut être une classification, une valeur prédite, une image générée ou toute autre forme d’information dérivée. L’analyse de la donnée de sortie permet d’évaluer la performance, la cohérence et la fiabilité du système.
Données d’entraînement : Les données d’entraînement sont les ensembles d’exemples fournis à un modèle d’apprentissage automatique pour qu’il apprenne à effectuer une tâche donnée. Leur qualité, représentativité et diversité sont essentielles pour garantir la performance et la généralisation du modèle sur de nouvelles données.
DPD / DPO (Délégué à la protection des données) : Le DPD ou DPO est le responsable chargé de veiller à la conformité des traitements de données personnelles au sein d’un organisme. Son rôle, défini par le RGPD, implique conseil, audit, sensibilisation et médiation avec les autorités. Il joue un rôle stratégique dans le déploiement de l’IA en garantissant la protection des droits.
Échantillon (IA) : Un échantillon est une sélection représentative d’un ensemble de données plus vaste, utilisée pour entraîner, valider ou tester un modèle. Bien choisir son échantillon est crucial pour garantir la généralisation des résultats et éviter les biais liés à une mauvaise représentation des cas d’usage.
Empoisonnement des données (Data Poisoning) : L’empoisonnement des données est une attaque sur un système d’IA, qui consiste à injecter des données corrompues ou manipulées dans l’ensemble d’entraînement afin d’altérer le comportement du modèle. Cette menace, difficile à détecter, peut induire des décisions erronées en phase de production, mettant en péril la sécurité ou l’équité.
Ensemble d’entraînement / d’apprentissage : Regroupe les données utilisées pour l’ajustement des paramètres internes du modèle. C’est sur cet ensemble que le système construit sa compréhension du problème. Un bon ensemble d’entraînement doit être équilibré, diversifié et représentatif du domaine d’application visé pour garantir une performance robuste.
Ensemble de test (IA) : Jeu de données indépendant, non utilisé pendant l’apprentissage, servant à mesurer les performances finales d’un modèle. L’ensemble de test simule l’usage en conditions réelles. Il permet d’évaluer la capacité de généralisation et d’identifier les écarts de comportement entre entraînement et production.
Ensemble de validation (IA) : Jeu de données utilisé pendant la phase d’apprentissage pour ajuster les hyperparamètres et éviter le surapprentissage. Contrairement à l’ensemble de test, il sert au calibrage du modèle. Il permet de choisir les meilleures configurations et d’évaluer la stabilité des performances au cours du processus.
Entraînement (ou apprentissage) : Processus par lequel un modèle d’intelligence artificielle ajuste ses paramètres pour minimiser l’écart entre les prédictions et les résultats attendus. Cette phase utilise des jeux de données spécifiques, des fonctions de coût, des algorithmes d’optimisation, et peut être supervisée ou non selon les cas.
Environnement d’exécution de confiance : Espace isolé à l’intérieur d’un processeur qui exécute de manière sécurisée du code sensible. Les TEE garantissent que des données confidentielles, telles que des clés de chiffrement ou des identifiants, ne peuvent être extraites ou altérées, même en cas de compromission du reste du système.
Estimation bayésienne : Méthode d’inférence probabiliste basée sur le théorème de Bayes. Elle permet d’ajuster les probabilités d’un phénomène à partir d’observations nouvelles. En IA, elle sert à modéliser l’incertitude, à intégrer des connaissances a priori et à améliorer la précision dans des contextes dynamiques ou incertains.
Estimation de poses : Technique de vision par ordinateur permettant d’identifier la posture ou la position des articulations d’un corps humain à partir d’une image ou d’une vidéo. Elle est utilisée en biométrie, réalité augmentée, santé ou sport, et repose sur des algorithmes de détection et de modélisation du squelette.
Explicabilité (IA) : Capacité d’un système d’IA à justifier ou rendre compréhensible son comportement. Elle permet d’identifier les facteurs ayant influencé une décision. L’explicabilité est essentielle pour instaurer la confiance, détecter les biais, vérifier la conformité réglementaire et permettre un contrôle humain effectif.
Extraction de caractéristiques (feature extraction) : Étape de transformation des données brutes en variables pertinentes, compréhensibles et exploitables par un modèle d’IA. Cette opération permet de réduire la complexité, d’améliorer les performances et d’augmenter la robustesse du système. Elle peut être automatisée ou réalisée manuellement par un expert du domaine.
Few shot learning : Méthode d’apprentissage où un modèle est capable de généraliser à partir d’un très faible nombre d’exemples. Cette approche est précieuse dans les cas où les données sont rares ou coûteuses à obtenir. Elle s’appuie souvent sur des modèles pré-entraînés ou des techniques de transfert d’apprentissage.
Fonction d’activation : Fonction appliquée à la sortie d’un neurone dans un réseau de neurones artificiels. Elle détermine si le neurone est activé et dans quelle mesure. Les fonctions d’activation les plus courantes sont ReLU, sigmoïde ou tanh. Elles permettent d’introduire de la non-linéarité dans le réseau.
Fonction de perte ou de coût (loss function) : Fonction mathématique mesurant l’erreur entre les prédictions du modèle et les résultats attendus. L’algorithme d’apprentissage vise à minimiser cette fonction pour améliorer la précision. Elle joue un rôle central dans l’optimisation des modèles, notamment dans la descente de gradient.
Forêts aléatoires (random forests) : Méthode d’apprentissage ensembliste qui combine plusieurs arbres de décision, chacun entraîné sur un sous-échantillon des données. Les résultats des arbres sont agrégés pour améliorer la robustesse et la précision. Les forêts aléatoires sont réputées pour leur efficacité et leur résistance au surapprentissage.
Gabarit facial : Modèle numérique décrivant les caractéristiques d’un visage humain, extrait lors d’un processus de reconnaissance faciale. Ces gabarits sont des données biométriques sensibles, utilisées pour identifier ou authentifier une personne. Leur traitement est strictement encadré par le RGPD et soulève des enjeux éthiques majeurs.
Générateurs d’images par IA : Ces logiciels créent des images à partir de descriptions textuelles (text-to-image). Ils reposent sur des modèles de deep learning, capables d’interpréter des instructions pour générer des illustrations, visuels publicitaires ou conceptuels. Utilisés en design, marketing ou création artistique, ils accélèrent le processus créatif tout en ouvrant de nouveaux usages.
Générateurs de code par IA : Ces outils assistent les développeurs en générant automatiquement des lignes de code à partir d’instructions textuelles ou de modèles existants. Ils permettent un gain de temps important, facilitent l’apprentissage du code et améliorent la productivité des équipes techniques, notamment pour les tâches répétitives ou le prototypage rapide.
Générateurs de musique par IA : Ces solutions permettent de créer automatiquement des compositions musicales personnalisées selon des critères définis (genre, tempo, ambiance). Utilisées dans le marketing, la production vidéo ou les jeux vidéo, elles offrent des alternatives sans droits d’auteur tout en ouvrant de nouvelles perspectives pour les créateurs de contenus sonores.
Générateurs de texte par IA : Basés sur des modèles de langage, ces outils produisent automatiquement des contenus rédactionnels : articles, descriptions, synthèses, emails. Ils sont utilisés en rédaction web, marketing ou service client, et permettent un gain de temps considérable. Le contrôle humain reste essentiel pour valider la cohérence, la pertinence et l’éthique.
Générateurs de vidéo par IA : Ces logiciels créent automatiquement des vidéos à partir de textes, d’images ou de scripts. Ils intègrent souvent des voix de synthèse, des animations et des transitions prédéfinies. Utilisés pour produire du contenu explicatif, publicitaire ou institutionnel, ils simplifient l’accès à la création vidéo sans compétence technique avancée.
Générateurs de voix par IA : Ces outils transforment du texte écrit en voix de synthèse naturelle. Utilisés dans les assistants vocaux, les vidéos, ou l’accessibilité numérique, ils reproduisent des intonations humaines variées. Les voix générées peuvent être personnalisées et multilingues, avec un réalisme croissant grâce aux technologies de deep learning vocal.
Gouvernance de l’IA : La gouvernance de l’IA regroupe les politiques, normes, processus et dispositifs mis en place pour encadrer le développement, le déploiement et la supervision des systèmes d’intelligence artificielle. Elle vise à garantir l’éthique, la conformité réglementaire, la sécurité et la transparence des modèles déployés.
Gouvernance des données : La gouvernance des données est un ensemble de pratiques et de règles encadrant la gestion des données au sein d’une organisation. Elle vise à assurer leur qualité, intégrité, sécurité, traçabilité et conformité réglementaire, éléments indispensables au bon fonctionnement et à la fiabilité des systèmes d’IA.
GPU : Un GPU (Graphics Processing Unit) est un processeur graphique initialement conçu pour les calculs liés à l’affichage. Aujourd’hui, il est massivement utilisé dans l’intelligence artificielle pour l’entraînement de modèles, en raison de sa capacité à exécuter simultanément des milliers d’opérations matricielles complexes, accélérant ainsi les traitements.
Gradient : Vecteur représentant la dérivée d’une fonction de perte par rapport aux paramètres du modèle. Il indique la direction dans laquelle ajuster les paramètres pour réduire l’erreur. Le gradient est au cœur des algorithmes d’optimisation comme la descente de gradient, utilisée pour entraîner les réseaux neuronaux.
Hallucination (IA) : Dans le contexte de l’IA générative, une hallucination désigne la production de contenus erronés, incohérents ou inventés par un modèle, en particulier un modèle de langage. Elle résulte d’une mauvaise interprétation des données d’entrée ou d’une extrapolation inexacte, représentant un enjeu critique pour la fiabilité des systèmes.
Hyperparamètre : Paramètre fixé avant l’entraînement d’un modèle, influençant la structure ou le fonctionnement de l’algorithme (nombre de couches, taux d’apprentissage, taille de lot…). Contrairement aux paramètres appris, les hyperparamètres sont ajustés via validation croisée ou recherche systématique. Ils ont un impact majeur sur les performances du système.
IA agentique : Une IA agentique est une intelligence artificielle conçue pour opérer de manière autonome dans un environnement donné, en prenant des décisions et en agissant dans le but d’atteindre des objectifs spécifiques. Elle combine souvent planification, perception et interaction avec l’environnement, selon un modèle d’agent intelligent.
IA de confiance : L’IA de confiance regroupe les principes, pratiques et garanties visant à assurer que les systèmes d’intelligence artificielle soient éthiques, transparents, robustes, sécurisés, explicables et respectueux des droits fondamentaux. C’est une notion-clé dans les cadres réglementaires européens et dans les politiques de développement responsable de l’IA.
IA générative : L’IA générative désigne une catégorie d’algorithmes capables de produire de nouveaux contenus à partir d’un apprentissage préalable. Ces contenus peuvent être du texte, de l’image, du code, de l’audio ou de la vidéo. Elle repose principalement sur des modèles profonds comme les GAN ou les modèles de langage de grande taille.
IA multimodale : L’IA multimodale est une forme d’intelligence artificielle capable d’analyser et de produire simultanément plusieurs types de données (texte, image, son, etc.) afin de mieux comprendre les contextes complexes. Elle est particulièrement utilisée dans les systèmes avancés de perception, les assistants intelligents ou les plateformes de création.
IA responsable : L’IA responsable désigne une approche de développement et de déploiement de l’intelligence artificielle conforme aux valeurs éthiques, à la transparence, à la sécurité et à l’équité. Elle implique une gouvernance rigoureuse, la prévention des biais et la garantie de l’explicabilité pour éviter les dérives technologiques et sociétales.
IA souveraine : L’IA souveraine est un concept désignant la capacité d’un État ou d’un ensemble régional à développer, maîtriser et déployer des technologies d’intelligence artificielle sans dépendre d’acteurs étrangers. Elle implique un contrôle stratégique des données, des infrastructures, des algorithmes et des usages.
Intelligence artificielle : L’intelligence artificielle (IA) désigne un ensemble de techniques algorithmiques permettant à des systèmes informatiques d’exécuter des tâches habituellement réservées à l’intelligence humaine, telles que la reconnaissance d’images, le raisonnement logique ou le traitement du langage. Elle repose sur des processus d’apprentissage automatisé exploitant des données pour générer des comportements adaptés.
ISO 42001 : La norme ISO 42001 est une norme internationale en cours d’adoption visant à encadrer les systèmes de management de l’intelligence artificielle. Elle fournit un cadre pour le développement éthique, sécurisé, robuste et transparent des systèmes d’IA, en s’appuyant sur les principes de gouvernance et de conformité réglementaire.
LLM (Large Language Model) : Un LLM est un modèle de langage de très grande taille, entraîné sur d’énormes volumes de données textuelles pour prédire, générer ou compléter du langage naturel. Il repose généralement sur des architectures de type transformeur. Ces modèles, comme GPT ou BERT, sont utilisés dans la génération de texte, la traduction ou les assistants virtuels.
Logiciels d’intelligence artificielle (IA) : Ils regroupent des applications exploitant des algorithmes d’apprentissage automatique pour automatiser des tâches complexes : analyse prédictive, reconnaissance faciale, génération de contenus, etc. Ces solutions s’intègrent dans divers secteurs (finance, santé, marketing) pour améliorer les performances, réduire les coûts et prendre des décisions fondées sur les données.
Logiciels de marketing avec IA : Ces outils utilisent l’IA pour automatiser l’analyse des données clients, personnaliser les campagnes, prévoir les comportements et optimiser les conversions. Ils permettent des recommandations produits, du scoring de leads ou l’envoi ciblé de messages. L’IA transforme ainsi le marketing en renforçant la précision, la réactivité et l’efficacité commerciale.
Machine learning (apprentissage automatique) : Le machine learning désigne un champ de l’intelligence artificielle dans lequel les systèmes informatiques acquièrent des capacités à partir de données, sans être explicitement programmés pour chaque tâche. Il s’appuie sur des algorithmes qui détectent des motifs, apprennent des relations statistiques, puis effectuent des prédictions ou décisions adaptées à de nouveaux jeux de données.
Maintenance prédictive : La maintenance prédictive consiste à anticiper les pannes ou dysfonctionnements d’un équipement en exploitant des données collectées en continu (capteurs, historique, conditions de fonctionnement). Elle repose souvent sur des modèles d’IA ou de machine learning permettant d’identifier les signes avant-coureurs de défaillances, afin d’intervenir avant l’interruption de service.
Modèle (IA) : Un modèle d’intelligence artificielle est une structure algorithmique entraînée à partir de données pour effectuer une tâche spécifique : classification, prédiction, génération, etc. Il représente l’interprétation mathématique d’un phénomène, construite lors de la phase d’apprentissage, et sert de base pour la prise de décision automatisée dans des environnements réels.
Modèle d’IA : Un modèle d’intelligence artificielle est une structure mathématique ou algorithmique construite à partir d’un processus d’apprentissage automatisé sur un ensemble de données. Il peut être conçu pour accomplir des tâches variées telles que la classification, la reconnaissance, la prédiction ou la génération. Son efficacité dépend de sa structure, de ses paramètres et des données d’apprentissage.
Modèle de fondation : Un modèle de fondation est une architecture d’IA entraînée sur un vaste corpus de données généralistes, lui conférant des capacités transférables à de multiples applications. Grâce à sa polyvalence, ce type de modèle peut être affiné pour des tâches spécifiques tout en bénéficiant de sa large base de connaissances initiales.
Modèle de langage : Un modèle de langage est un outil statistique ou algorithmique qui analyse les structures linguistiques afin de prédire, générer ou interpréter des séquences de texte. Il est conçu pour traiter des unités linguistiques telles que les mots ou phrases, et est à la base des systèmes de traitement automatique du langage naturel (NLP).
Modèle discriminatif : Un modèle discriminatif vise à classer ou prédire une variable cible en distinguant explicitement les frontières entre différentes classes. Il se base sur les caractéristiques spécifiques des données observées pour attribuer une catégorie précise, et est souvent employé dans des tâches de classification supervisée.
Modèle génératif : Un modèle génératif apprend la distribution statistique des données afin de pouvoir en générer de nouvelles similaires. Contrairement aux modèles discriminatifs, il peut aussi estimer la probabilité d’une donnée donnée, et est utilisé dans des contextes comme la synthèse d’images, la génération de texte ou l’inférence probabiliste.
Modèle pré-entraîné : Un modèle pré-entraîné est un algorithme ayant déjà subi une phase d’apprentissage sur un jeu de données généraliste. Il est ensuite adapté à des cas d’usage spécifiques via une phase de fine-tuning. Cette approche permet d’économiser du temps d’entraînement tout en assurant de bonnes performances sur des tâches ciblées.
Neurone artificiel : Le neurone artificiel est une unité de base des réseaux de neurones artificiels. Inspiré du fonctionnement biologique, il reçoit plusieurs signaux en entrée, applique une pondération suivie d’une fonction d’activation, et génère une sortie. Combinés en couches, ces neurones permettent à l’IA de traiter des données complexes.
Ontologie (IA) : En intelligence artificielle, une ontologie est une représentation formelle d’un domaine de connaissance, structurée par des concepts et leurs relations. Elle facilite l’organisation, l’interprétation et l’échange de données entre systèmes en permettant un cadre commun de référence et en renforçant l’interopérabilité des applications.
Paramètre (IA) : Un paramètre est une valeur numérique ajustée lors de la phase d’apprentissage d’un modèle d’IA. Il influe directement sur le comportement du modèle. Par exemple, les poids attribués aux connexions entre neurones dans un réseau de neurones sont des paramètres déterminants pour la qualité des prédictions réalisées.
Paramètres (IA) : Les paramètres d’un modèle d’IA représentent les variables ajustées lors de l’entraînement. Dans les réseaux neuronaux, il s’agit principalement des poids qui déterminent la contribution de chaque connexion à la sortie finale. Ces paramètres sont au cœur du fonctionnement du modèle, car ils traduisent l’apprentissage effectué à partir des données.
Partitionnement de données : Le partitionnement de données, ou clustering, regroupe les éléments d’un jeu de données en sous-ensembles homogènes. Il repose sur des mesures de similarité ou de distance et permet d’identifier des structures ou tendances cachées dans les données. C’est une méthode typique d’apprentissage non supervisé.
Plateformes d’IA conversationnelle : Elles permettent de créer et déployer des agents virtuels capables de dialoguer avec les utilisateurs en langage naturel, à l’écrit ou à l’oral. Utilisées pour le service client, les chatbots ou les interfaces vocales, elles améliorent l’autonomie des usagers tout en optimisant les coûts de traitement des demandes.
Plateformes d’IA générative : Ces plateformes offrent des outils basés sur l’IA pour générer du contenu (texte, image, audio, vidéo). Elles permettent aux entreprises de créer rapidement des contenus originaux à partir de simples instructions. Utilisées dans la communication, le design ou la création artistique, elles ouvrent de nouveaux horizons à l’innovation.
PoC (Proof of Concept) : La preuve de concept, ou PoC, désigne une phase expérimentale permettant de démontrer la faisabilité technique d’un projet ou d’une solution, sans nécessairement viser une mise en production immédiate. Dans le domaine de l’IA, un PoC permet d’évaluer la pertinence d’un algorithme ou d’une architecture sur des cas d’usage réels.
Point of Delivery (POD) : Le Point of Delivery fait référence, dans une architecture technique ou logistique, au lieu où un service, une application ou une infrastructure est déployée et accessible à ses utilisateurs finaux. Dans un contexte cloud ou IA, le POD peut désigner une unité matérielle ou virtuelle permettant la mise à disposition d’un service.
RAG (Retrieval-Augmented Generation) : Le RAG est une approche hybride qui combine génération de texte (par modèle de langage) et récupération d’informations depuis une base externe. L’objectif est d’enrichir les réponses générées avec des données contextuelles factuelles. Cette méthode améliore la pertinence et la vérifiabilité des réponses fournies par des agents conversationnels ou moteurs de recherche.
Reconnaissance d’entités nommées : La reconnaissance d’entités nommées (NER) est une tâche de NLP visant à extraire et catégoriser automatiquement des éléments clés dans un texte, tels que les noms de personnes, d’organisations, de lieux ou de dates. Elle est essentielle pour structurer l’information issue de sources textuelles non formatées.
Réduction de dimension ou dimensionnalité : La réduction de dimension consiste à transformer un ensemble de variables explicatives nombreuses en un sous-ensemble représentatif. Cela optimise les performances des algorithmes d’IA en éliminant les variables redondantes ou peu informatives, tout en conservant l’essentiel de la structure des données.
Régression : La régression désigne un ensemble de techniques statistiques permettant de modéliser une relation entre une variable dépendante continue et une ou plusieurs variables explicatives. En machine learning, elle sert à prédire des valeurs numériques à partir de données observées, par opposition à la classification qui prédit des catégories.
Régurgitation : En intelligence artificielle générative, la régurgitation désigne le phénomène par lequel un modèle reproduit des contenus très similaires, voire identiques, à ceux sur lesquels il a été entraîné. Cela pose des enjeux liés à la propriété intellectuelle, à la confidentialité et à la diversité des réponses. Elle peut être involontaire ou le fruit d’une attaque.
Réseau de neurones artificiels : Un réseau de neurones artificiels est un système de neurones interconnectés répartis en couches (entrée, cachées, sortie) permettant l’apprentissage de représentations complexes à partir de données. Il constitue la base des architectures de deep learning et excelle dans les domaines de l’image, du son et du texte.
Robustesse (IA) : La robustesse d’un système d’IA désigne sa capacité à maintenir des performances fiables face à des perturbations, données aberrantes ou contextes non prévus. Elle est essentielle pour garantir la sécurité, la stabilité et la résilience des systèmes dans des environnements dynamiques ou soumis à des incertitudes.
Sandboxing (protection) : Le sandboxing est une technique de sécurité informatique qui consiste à isoler l’exécution d’un programme ou d’un processus dans un environnement contrôlé et cloisonné. En IA, cela permet de tester des modèles ou des comportements sans compromettre le système principal. Cette approche réduit les risques de propagation de code malveillant ou de fuites de données.
Segmentation des données : La segmentation des données est un procédé visant à diviser un jeu de données en plusieurs ensembles distincts, par exemple pour l’apprentissage, la validation et le test. Elle peut reposer sur des règles déterministes (âge, date, catégorie) ou aléatoires, et contribue à une évaluation rigoureuse des modèles.
Shadow IA : La shadow IA désigne l’utilisation non autorisée de solutions d’intelligence artificielle par des salariés ou des équipes, sans validation ni supervision par la direction informatique. Ces pratiques échappent aux contrôles de sécurité et de conformité, exposant l’entreprise à des risques en matière de cybersécurité, de protection des données ou de gouvernance.
Surapprentissage (overfitting) : Le surapprentissage survient lorsqu’un modèle est trop spécialisé sur son jeu de données d’entraînement, au point de perdre sa capacité de généralisation. Cela se traduit par d’excellents résultats sur les données vues, mais de mauvaises performances sur des données nouvelles. Des techniques de régularisation peuvent limiter ce phénomène.
Système d’IA : Un système d’intelligence artificielle est une solution automatisée capable de prendre des décisions ou recommandations à partir de données d’entrée. Il peut fonctionner avec divers niveaux d’autonomie et est souvent capable d’évoluer après son déploiement grâce à des mécanismes d’apprentissage ou d’adaptation continue.
Système d’IA à usage général : Un système d’IA à usage général est conçu pour être polyvalent. Il n’est pas limité à une tâche spécifique mais peut être adapté à une large gamme d’applications. Ces systèmes s’appuient généralement sur des modèles de fondation et soulèvent des enjeux majeurs de gouvernance, de sécurité et de régulation.
Taux d’apprentissage (learning rate) : Le taux d’apprentissage est un hyperparamètre essentiel dans l’optimisation des modèles d’IA. Il détermine l’amplitude des mises à jour des paramètres lors de l’entraînement. Un taux trop élevé peut conduire à une instabilité, tandis qu’un taux trop faible ralentit la convergence vers une solution optimale.
Test (IA) : Le test consiste à évaluer la capacité d’un modèle à traiter correctement des données nouvelles. Il est réalisé à l’aide d’un jeu de données distinct de celui utilisé pour l’apprentissage. L’objectif est de mesurer la généralisation, détecter les erreurs et ajuster les performances du système d’IA.
Traitement automatique de la parole : Le traitement automatique de la parole couvre l’ensemble des technologies visant à capter, comprendre, transformer ou reproduire des signaux vocaux. Il englobe des domaines tels que la reconnaissance vocale, la synthèse de parole, l’identification et la vérification du locuteur, souvent utilisés dans les assistants vocaux ou les centres d’appel.
Traitement automatique du langage naturel (NLP) : Le traitement automatique du langage naturel (NLP) est une discipline alliant IA, linguistique et informatique, dédiée à la compréhension, l’analyse et la génération de texte en langage humain. Il permet d’automatiser des tâches telles que la traduction, le résumé, l’extraction d’informations ou la classification de contenus textuels.
Traitement du langage naturel (NLP) : Le NLP est un sous-domaine de l’IA visant à permettre aux machines de comprendre, traiter et générer du langage humain. Il combine linguistique computationnelle, apprentissage automatique et modélisation statistique. Ses applications couvrent la traduction automatique, l’analyse de sentiments, la génération de texte, les assistants vocaux et les chatbots.
Transformation numérique (transformation digitale) : La transformation numérique désigne le processus par lequel les organisations intègrent les technologies digitales à leurs processus, produits et modèles économiques. Elle vise à améliorer la performance, l’expérience utilisateur et la compétitivité. L’IA en est un levier majeur, notamment pour l’automatisation, l’analyse de données et l’innovation opérationnelle.
UEBA (User and Entity Behavior Analytics) : L’UEBA est une solution de cybersécurité reposant sur l’analyse comportementale des utilisateurs et des entités informatiques pour détecter des activités anormales ou suspectes. En s’appuyant sur des modèles d’IA, l’UEBA identifie les écarts de comportement, les menaces internes ou les intrusions sophistiquées, souvent invisibles aux systèmes traditionnels.
Validation (IA) : La validation en IA est une étape cruciale consistant à ajuster les hyperparamètres d’un modèle en observant ses performances sur un jeu de validation. Elle permet de prévenir le surapprentissage, d’optimiser la généralisation et de garantir la cohérence du modèle avec son domaine d’application.
Vision par ordinateur (computer vision) : La vision par ordinateur est une branche de l’IA dont l’objectif est de permettre aux machines de percevoir et interpréter des contenus visuels comme des images ou vidéos. Elle repose sur des algorithmes capables de détecter, classifier ou segmenter des objets dans un environnement numérique. Elle est utilisée dans l’automobile, la médecine, la sécurité, etc.
Glossaire du Graphisme : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire Graphisme pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier du Graphisme . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’Accroche à Wireframe) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
Le graphisme est un domaine où la précision du vocabulaire conditionne la qualité des échanges, la compréhension des attentes et la réussite des projets. Que l’on soit graphiste, client, directeur artistique, développeur ou imprimeur, disposer d’un langage commun est indispensable pour exprimer clairement les besoins, interpréter un brief ou piloter une création visuelle cohérente.
Des termes comme typographie, kerning, charte graphique, layout, pantone, vectoriel, bitmap, gabarit, fond perdu ou résolution ne relèvent pas du jargon mais désignent des notions techniques et esthétiques précises. Ils permettent de décrire les éléments constitutifs d’un visuel, de paramétrer correctement un document ou d’anticiper les contraintes de production, notamment en impression ou en publication numérique.
Le vocabulaire graphique structure également la méthodologie de création. Il facilite la communication entre les parties prenantes à chaque étape : conception, prototypage, validation et diffusion. Un client qui maîtrise les bases du langage graphique pourra formuler des retours plus constructifs, tandis qu’un graphiste précis dans son expression pourra mieux justifier ses choix créatifs.
Dans un environnement de plus en plus numérique, où les supports visuels sont omniprésents (site web, application, réseaux sociaux, packaging, signalétique), cette terminologie permet de gagner en efficacité, en cohérence et en professionnalisme. Elle devient aussi un levier de transmission, dans les contextes de formation, de documentation ou de collaboration interdisciplinaire.
Accroche : L’accroche désigne un court texte mis en évidence dans une mise en page afin de capter immédiatement l’attention du lecteur. Elle synthétise le message principal ou l’idée forte d’un visuel ou d’un document et vise à susciter l’intérêt dès les premières secondes de lecture ou de visionnage.
Alignement : L’alignement correspond à la disposition cohérente et structurée des textes, images et éléments graphiques sur une page. Il influe sur la lisibilité, l’esthétique et la hiérarchie de l’information, garantissant un équilibre visuel et facilitant la navigation à travers le contenu pour le lecteur.
Aller / Retour : Ce terme décrit les étapes successives de modifications entre un client et un prestataire graphique. Il s’agit d’un processus collaboratif où le fichier est corrigé, renvoyé, puis éventuellement ajusté à nouveau jusqu’à validation finale. Ces échanges sont fréquents en phase de conception ou de pré-impression.
Amalgame : L’amalgame est une technique d’impression permettant de regrouper plusieurs documents différents sur une même feuille lors d’un tirage. Cette méthode optimise les coûts et réduit les pertes de papier, tout en facilitant la production en grande série pour des visuels partageant des caractéristiques techniques proches.
Aplat : Un aplat désigne une zone de couleur uniforme, sans dégradé ni variation de teinte ou de luminosité. Utilisé pour structurer ou accentuer certains éléments visuels, il requiert un soin particulier à l’impression, notamment pour éviter les irrégularités de densité ou les défauts d’encrage.
B.A.T. (Bon à Tirer) : Le Bon à Tirer est un document final transmis au client pour validation avant impression définitive. Il garantit que l’ensemble du contenu, mise en page, couleurs et visuels sont conformes aux attentes. Toute erreur après approbation du B.A.T. devient la responsabilité du client, d’où son importance.
Banque d’images : Une banque d’images est une plateforme en ligne regroupant des photographies, illustrations et visuels, souvent soumis à des droits d’auteur. Ces ressources permettent aux graphistes d’intégrer des éléments visuels variés dans leurs créations, en respectant les conditions d’utilisation commerciales ou éditoriales précisées par la licence.
Banques d’images, vidéo & musique : Ces plateformes proposent des contenus visuels et sonores libres de droits ou sous licence, à destination des professionnels du design, du marketing ou de la production. Elles offrent un accès rapide à des milliers d’illustrations, vidéos ou morceaux, facilitant la création de contenus visuels cohérents et respectueux des droits d’auteur.
Bascule : La bascule consiste à imprimer un document recto puis verso sur une même feuille. Cette opération technique courante en imprimerie exige un calage précis pour garantir l’alignement des contenus. Elle s’applique notamment aux brochures, dépliants ou plaquettes imprimés en recto-verso pour un usage professionnel.
Baseline : La baseline est une phrase courte, souvent placée sous un logo, destinée à résumer l’univers ou la promesse d’une marque. Facilement mémorisable, elle contribue à l’identité de l’entreprise et complète le logotype dans les supports de communication visuelle, en renforçant l’impact marketing et la reconnaissance.
Brochure : La brochure est un document imprimé comportant plusieurs pages reliées ou agrafées. Elle peut regrouper des informations institutionnelles, commerciales ou promotionnelles. Conçue pour être distribuée à un public cible, elle joue un rôle essentiel dans la communication d’entreprise grâce à sa présentation structurée et professionnelle.
Charte Graphique : La charte graphique est un document de référence qui regroupe l’ensemble des règles visuelles liées à l’identité d’une marque. Elle définit notamment les typographies, couleurs, logos et marges autorisées. Elle vise à assurer la cohérence de tous les supports de communication, internes comme externes.
Chasse : En typographie, la chasse représente la largeur qu’occupe un caractère, y compris ses espaces latéraux. Elle influence la densité du texte sur une ligne et joue un rôle majeur dans la lisibilité et l’esthétique d’un paragraphe. Une bonne gestion de la chasse optimise la clarté du message.
Chef de projet : Le chef de projet digital ou graphique supervise l’ensemble d’un projet, de sa conception à sa livraison. Il coordonne les intervenants, gère le planning, valide les étapes clés et veille au respect du cahier des charges. Son rôle stratégique garantit la cohérence technique, graphique et budgétaire du projet.
Chemin de fer : Le chemin de fer est un plan d’organisation des pages d’un document multipage, tel qu’une brochure. Il permet de visualiser l’emplacement des contenus, des visuels et des espaces publicitaires, facilitant ainsi la hiérarchisation des informations et la cohérence de la mise en page finale avant la production.
CMJN : Le sigle CMJN désigne les quatre couleurs de base utilisées en imprimerie : Cyan, Magenta, Jaune et Noir. Ces encres sont combinées pour reproduire la majorité des teintes imprimables. Ce mode de colorimétrie est distinct du RVB, utilisé pour l’affichage écran, et essentiel en production papier.
Communication visuelle : La communication visuelle regroupe l’ensemble des techniques visant à transmettre un message par l’image. Elle mobilise des éléments graphiques, photographiques ou typographiques pour influencer, informer ou séduire un public. Elle est fondamentale dans le marketing, la publicité et le design, en valorisant l’identité et les valeurs d’une marque.
Contraste : Le contraste désigne la différence perceptible entre deux éléments visuels, généralement en termes de luminosité, de couleur ou de forme. Il permet d’attirer l’attention, de structurer l’information ou de hiérarchiser la lecture. Un contraste maîtrisé améliore l’accessibilité et l’esthétique globale d’une composition graphique.
Coquille : Une coquille est une faute de frappe ou d’orthographe dans un texte imprimé ou mis en page. Elle résulte généralement d’une erreur humaine lors de la saisie ou de la relecture. Corriger les coquilles est une étape essentielle avant impression pour garantir la crédibilité et le professionnalisme d’un document.
Correction d’auteur : Une correction d’auteur désigne une modification demandée par le client ou l’auteur après la mise en page ou le passage en production. Elle peut concerner le texte, les visuels ou la structure. Ces ajustements peuvent entraîner des coûts supplémentaires s’ils interviennent à un stade avancé de la réalisation.
CSS (Cascading Style Sheet) : Les feuilles de style en cascade ou CSS sont des fichiers qui permettent de définir l’apparence visuelle d’un site web. Elles contrôlent la mise en page, les couleurs, la typographie et l’organisation des éléments HTML. Les CSS assurent la cohérence graphique et l’adaptabilité des interfaces web selon les appareils.
Designer graphique : Le designer graphique conçoit des éléments visuels destinés à véhiculer un message ou une identité. Il intervient sur divers supports print ou numériques, maîtrisant les logiciels spécialisés et les principes de composition. Son rôle est central dans la création d’identités visuelles, de sites web, d’affiches ou de campagnes publicitaires.
Détourage : Le détourage consiste à isoler un élément d’une image de son arrière-plan, afin de l’intégrer dans une nouvelle composition. Cette opération est couramment utilisée pour adapter visuels ou produits dans des maquettes graphiques. Elle nécessite précision et maîtrise des outils d’édition d’image, notamment les calques et les masques.
DPI (Dot Per Inch) : Le DPI désigne la résolution d’une image, exprimée en points par pouce. Une valeur élevée garantit une meilleure qualité d’impression. Pour les supports imprimés, une résolution de 300 DPI est généralement requise. En dessous, l’image peut apparaître floue ou pixelisée, compromettant la qualité du rendu professionnel.
Encart : Un encart désigne un élément inséré dans une publication principale, tel qu’un feuillet promotionnel ou un coupon réponse. Il peut être libre (jeté) ou intégré à la reliure. Utilisé à des fins marketing, l’encart attire l’attention du lecteur et permet d’ajouter une information ou une offre ciblée.
Équilibre : L’équilibre est un principe fondamental du design graphique, visant à répartir harmonieusement les éléments d’une composition. Il permet une lecture fluide et agréable, évitant toute surcharge visuelle. Un bon équilibre repose sur la gestion des espaces, des proportions et de la hiérarchie des informations visuelles et textuelles.
Façonnage : Le façonnage regroupe l’ensemble des opérations post-impression : découpe, pliage, reliure, perforation, etc. Ces étapes donnent sa forme définitive au document imprimé. Elles sont essentielles pour la qualité du rendu final et doivent être anticipées dès la conception graphique pour éviter les erreurs de format ou de coupe.
Favicon : Le favicon est une petite icône apparaissant dans l’onglet d’un navigateur ou dans la barre d’adresse. Il renforce l’identité visuelle d’un site web et facilite sa reconnaissance rapide parmi plusieurs onglets ouverts. Le format est généralement carré (16×16 ou 32×32 pixels) et il reprend souvent le logo de la marque.
Fil d’Ariane : Le fil d’Ariane est une suite de liens indiquant au visiteur sa position dans la hiérarchie d’un site web. Placé en haut de page, il améliore la navigation et l’expérience utilisateur. Il permet un retour rapide aux pages précédentes tout en affichant la structure logique du contenu visité.
Fond perdu : Le fond perdu est une marge de sécurité située en dehors du format final d’un document imprimé, destinée à être coupée au massicot. Il permet d’éviter les bords blancs indésirables. Sa présence est indispensable pour garantir un rendu professionnel, notamment pour les aplats ou images en bord de page.
Format à la française / à l’italienne : Un format à la française est un document de disposition verticale (portrait), tandis qu’un format à l’italienne adopte une orientation horizontale (paysage). Le choix de l’un ou de l’autre dépend du contenu, du support, et des objectifs de communication graphique. Il influence la lecture et la perception visuelle.
Format utile : Le format utile correspond à la surface réellement exploitable pour la mise en page d’un document, en excluant les marges techniques (fonds perdus, zones de coupe, etc.). Bien le respecter garantit que les informations importantes ne seront ni tronquées, ni trop proches des bords lors de l’impression finale.
Gabarit : Le gabarit est un modèle de mise en page prédéfini, facilitant la cohérence visuelle des documents multipages. Il comprend des zones réservées au texte, aux images, aux titres et aux marges. Il est utilisé en PAO pour gagner du temps, standardiser les productions et respecter la charte graphique.
Gaufrage : Le gaufrage est une technique d’impression en relief, réalisée par pression à chaud ou à froid. Il confère une dimension tactile et visuelle au support. Utilisé pour les cartes de visite, couvertures ou packaging, il renforce la perception qualitative du document et attire l’attention sur des éléments clés.
Grain : Le grain définit la texture visible et tactile du papier. Il influence la perception visuelle, le rendu des couleurs et la lisibilité. Certains papiers ont un grain marqué (vergé, torchon), d’autres sont lisses (couchés). Le choix du grain dépend de l’effet recherché et du type d’impression utilisé.
Graisse : La graisse désigne l’épaisseur des caractères typographiques au sein d’une même famille (light, regular, bold, black…). Elle permet de hiérarchiser le contenu, de mettre en valeur certains éléments et d’équilibrer la mise en page. Une bonne utilisation des graisses améliore la lisibilité et l’esthétique d’un document imprimé ou numérique.
Grammage : Le grammage mesure le poids d’un papier au mètre carré (g/m²). Il est déterminant pour le rendu final d’un document. Un papier léger (80 g/m²) est adapté aux documents courants, tandis qu’un papier épais (300 g/m²) convient à des supports haut de gamme, valorisant une image premium ou institutionnelle.
Grille : La grille est un système de lignes horizontales et verticales utilisé en conception graphique pour structurer l’espace. Elle guide le placement des textes, images et éléments visuels afin de garantir un alignement précis et une hiérarchie visuelle claire. Elle est essentielle à une mise en page cohérente et équilibrée.
Homothétie : L’homothétie correspond à une transformation géométrique conservant les proportions d’un élément lorsqu’il est agrandi ou réduit. En design graphique, elle garantit que le contenu ne sera ni déformé ni altéré visuellement lors des ajustements de taille, ce qui est crucial pour respecter la cohérence et la lisibilité d’un visuel.
HTML : Le HTML (HyperText Markup Language) est le langage de balisage fondamental du web. Il structure le contenu d’un site internet (titres, paragraphes, liens, images…). Associé aux CSS et JavaScript, il permet de créer des pages web interactives et visuellement cohérentes, adaptées à tous types de terminaux.
Identité graphique : L’identité graphique regroupe tous les éléments visuels permettant d’identifier une organisation : logo, couleurs, typographies, pictogrammes, etc. Elle constitue une partie essentielle de l’image de marque, assure la cohérence des supports de communication et renforce la reconnaissance de l’entreprise auprès de ses publics internes et externes.
Illustrator : Illustrator est un logiciel professionnel d’Adobe dédié à la création graphique vectorielle. Il permet de concevoir des logos, pictogrammes, illustrations ou maquettes en conservant une qualité optimale, quelle que soit la taille. C’est un outil de référence dans les métiers du graphisme, du design et de la communication visuelle.
Infographie : L’infographie est une représentation visuelle de données ou d’informations, conçue pour rendre un contenu complexe plus accessible et compréhensible. Elle combine textes, chiffres, icônes et illustrations dans une mise en page claire. Couramment utilisée dans les médias, la communication institutionnelle et le marketing, elle synthétise efficacement un message.
Intégrateur web : L’intégrateur web est un professionnel chargé d’assembler les différents éléments d’un site (HTML, CSS, images, contenus) pour le rendre fonctionnel et conforme aux maquettes. Il intervient entre le graphiste et le développeur, assurant la compatibilité entre le design et le fonctionnement technique sur les différents navigateurs et supports.
Interface utilisateur (UI) : L’interface utilisateur (UI) désigne la partie visible d’un logiciel, d’une application ou d’un site web avec laquelle l’utilisateur interagit. Elle comprend les menus, boutons, formulaires, et éléments visuels. Une UI bien conçue favorise une navigation intuitive, agréable et efficace, essentielle à l’expérience utilisateur globale.
Interlettre : L’interlettre est l’espacement entre deux lettres dans un mot. Aussi appelé crénage, il joue un rôle essentiel en typographie pour la lisibilité et l’équilibre visuel d’un texte. Un bon réglage évite les collisions ou les écarts trop marqués, garantissant une présentation harmonieuse et professionnelle.
Interlignage : L’interlignage correspond à la distance verticale entre deux lignes de texte. Il influence la lisibilité, l’aération et l’esthétique d’un bloc de texte. Un interlignage trop faible rend la lecture difficile, tandis qu’un interlignage trop grand nuit à la cohésion. Son choix doit s’adapter au support et à la cible.
Italique : L’italique est une forme inclinée d’un caractère typographique, souvent utilisée pour mettre en évidence des éléments spécifiques comme les titres d’œuvres, les citations ou les mots étrangers. Dans les polices professionnelles, elle est redessinée différemment du romain pour garantir lisibilité et cohérence stylistique dans l’ensemble de la composition.
Jpeg (jpg) : Le JPEG est un format d’image numérique compressé, largement utilisé pour le web et la photographie. Il permet de réduire la taille des fichiers tout en conservant une qualité correcte. Toutefois, cette compression est destructive et peut altérer les détails fins. Il n’est pas adapté à l’impression professionnelle.
Justifié : Le texte justifié est aligné sur les deux bords d’un bloc, remplissant uniformément l’espace de chaque ligne. Ce style offre un rendu visuel net et structuré, particulièrement adapté aux colonnes de journaux ou brochures. Il nécessite toutefois une gestion rigoureuse des césures et espaces pour éviter les « rivières » visuelles.
Kakemono : Le kakemono est un support imprimé vertical, suspendu, souvent utilisé lors de salons, expositions ou événements commerciaux. Facilement transportable et montable, il sert de panneau d’information ou de support publicitaire. Son format vertical attire l’œil et permet une forte visibilité dans un espace restreint.
Landing Page : La landing page est une page web dédiée à une action marketing spécifique, comme la promotion d’un produit ou la collecte de contacts. Elle est conçue pour inciter à une conversion (achat, inscription) avec un message clair, un design épuré et un appel à l’action stratégique.
Lecteurs vidéo & media players : Ces logiciels permettent de lire différents formats audio et vidéo sur ordinateur ou mobile. Ils prennent en charge les codecs les plus courants et proposent souvent des fonctions avancées telles que la gestion des sous-titres, des listes de lecture, ou la lecture en streaming. Indispensables pour les contenus multimédias.
Ligne de flottaison : La ligne de flottaison est la limite visible d’un site web à l’ouverture, sans défilement. Le contenu situé au-dessus bénéficie d’une exposition immédiate et doit capter l’attention. Elle influence les choix de mise en page, car les éléments essentiels doivent impérativement y figurer pour optimiser la conversion.
Logiciels CAO & CAD : Les logiciels de Conception Assistée par Ordinateur (CAD/CAO) sont utilisés pour dessiner et modéliser des objets en 2D ou 3D. Essentiels dans les secteurs de l’ingénierie, de l’architecture et du design industriel, ils permettent une conception précise, des simulations techniques, et facilitent le prototypage ou la fabrication.
Logiciels de graphisme : Ces outils servent à créer, modifier et mettre en page des éléments visuels : affiches, logos, visuels web ou print. Ils incluent des fonctionnalités de dessin vectoriel, de gestion des calques, de typographie ou de colorimétrie. Incontournables pour les graphistes, ils structurent l’identité visuelle des marques et des campagnes.
Logiciels de montage vidéo & conversion vidéo : Ces logiciels permettent d’assembler, couper et éditer des séquences vidéo, d’ajouter des effets, des transitions, de la musique et du titrage. Ils intègrent aussi des fonctions de conversion de formats pour l’export vers différentes plateformes. Outils clés pour les créateurs de contenus, vidéastes ou services communication.
Logiciels de retouche photo & édition d’image : Conçus pour améliorer, corriger ou transformer des images, ces outils intègrent des fonctions de retouche locale, d’ajustement colorimétrique, de suppression d’éléments, ou de création graphique. Utilisés par les photographes, agences ou designers, ils permettent un rendu professionnel pour tous supports, numériques ou imprimés.
Logotype : Le logotype ou logo est la représentation graphique d’une marque, d’une organisation ou d’un produit. Il peut être typographique, symbolique ou mixte. Élément central de l’identité visuelle, il doit être facilement identifiable, déclinable sur tous les supports et transmettre les valeurs fondamentales de la structure.
Lorem Ipsum : Le Lorem Ipsum est un texte factice en pseudo-latin utilisé comme remplissage dans les maquettes de mise en page. Il permet de visualiser l’aspect final d’un document sans contenu définitif. Il facilite la concentration sur le graphisme sans être influencé par le sens du texte.
Maquette : La maquette est une version préparatoire d’un document imprimé ou numérique. Elle sert à valider l’agencement des éléments graphiques, typographiques et visuels avant exécution finale. Elle peut inclure du faux texte et des images temporaires. Outil essentiel, elle permet de prévisualiser l’aspect global d’un support de communication.
Marge de sécurité : La marge de sécurité est une zone intérieure du format utile où aucun élément important ne doit apparaître. Elle permet d’éviter les coupures lors du façonnage. Elle est essentielle pour préserver l’intégrité du contenu graphique ou textuel après les opérations de découpe, pliage ou reliure.
Motion Design : Le motion design est l’art d’animer des éléments graphiques pour créer des vidéos explicatives, des génériques, ou des publicités animées. Il combine graphisme, son, typographie et narration. Outil de communication dynamique, il permet de capter l’attention, de simplifier des messages complexes et d’enrichir les contenus multimédias.
Offset : L’offset est une technique d’impression indirecte dans laquelle l’encre est transférée d’une plaque à un blanchet, puis au papier. Elle repose sur la répulsion entre eau et encre. Idéale pour les grandes quantités, elle garantit une excellente qualité d’impression et une reproduction fidèle des couleurs.
Padding : En CSS, le padding est l’espace intérieur entre le bord d’un élément et son contenu. Il influe sur l’apparence, la lisibilité et l’ergonomie des interfaces web. Bien géré, il assure un bon espacement entre textes et images, évitant les chevauchements et favorisant un rendu esthétique.
Pagination : La pagination désigne la numérotation des pages dans un document imprimé ou numérique. Elle facilite la navigation, l’organisation du contenu et le repérage dans des supports longs. Une pagination cohérente et discrète est un élément fondamental de la mise en page professionnelle.
Pantone : Le Pantone est un système de codification des couleurs utilisé pour garantir leur reproduction fidèle en impression. Chaque teinte correspond à un numéro unique. Utilisé en ton direct, il assure une homogénéité chromatique dans toutes les productions, notamment pour les identités visuelles, packaging et documents de prestige.
PAO : La Publication Assistée par Ordinateur regroupe les techniques et logiciels de mise en page numérique (InDesign, Xpress…). Elle permet de créer des supports imprimés ou numériques avec une précision professionnelle. La PAO est incontournable dans les métiers du graphisme, de l’édition et de la communication visuelle.
PDF : Le PDF (Portable Document Format) est un format de fichier universel utilisé pour échanger des documents en conservant leur mise en forme. Il est compatible avec tous les systèmes et adapté à l’impression ou à la consultation. Selon les réglages, il peut intégrer polices, images, liens, et sécurités.
PEFC : Le label PEFC garantit que le papier utilisé provient de forêts gérées durablement. Il atteste du respect de critères environnementaux, sociaux et économiques. Très prisé par les entreprises soucieuses de leur responsabilité sociétale, il valorise l’engagement écoresponsable dans les supports de communication imprimés.
Pelliculage : Le pelliculage consiste à appliquer une fine pellicule plastique mate ou brillante sur un document imprimé pour le protéger et en améliorer l’aspect. Il renforce la durabilité, résiste aux manipulations et donne un rendu qualitatif, souvent utilisé pour les cartes de visite, couvertures ou packaging.
Photoshop : Photoshop est un logiciel professionnel de retouche d’image développé par Adobe. Il permet de modifier, corriger et manipuler des photographies ou des visuels avec une précision avancée. C’est un outil incontournable pour les photographes, graphistes et professionnels de l’image, tant pour le web que l’impression.
Pixel : Le pixel est la plus petite unité d’affichage d’une image numérique. Son assemblage compose les visuels affichés sur écran. Sa densité (nombre de pixels par pouce) influence directement la qualité visuelle. Plus il y a de pixels, plus l’image est nette, ce qui est crucial en design et communication.
Pli accordéon : Le pli accordéon est un pliage en M utilisé pour les dépliants ou brochures. Il permet d’ouvrir le document par segments successifs. Fonctionnel et économique, il convient aux supports comportant plusieurs rubriques ou messages distincts, tout en offrant une lecture fluide et structurée.
Pli croisé / Pli portefeuille : Le pli croisé est un pliage symétrique en deux directions. Le pli portefeuille, quant à lui, se compose de deux volets rabattus vers le centre. Ces techniques influencent la lecture et le rythme visuel d’un support. Elles doivent être anticipées dès la conception pour éviter tout désalignement.
PLV : La Publicité sur Lieu de Vente regroupe les supports visuels destinés à promouvoir un produit sur un point de vente : présentoirs, kakémonos, affiches, bornes. Elle stimule l’achat immédiat en attirant l’attention du consommateur et en valorisant l’offre dans un espace concurrentiel.
PNG : Le PNG est un format d’image numérique non destructif, idéal pour le web. Il permet la transparence des fonds, ce qui le rend très utile pour les logos ou visuels sur arrière-plan variable. Il préserve la qualité mais peut générer des fichiers plus lourds que le JPEG.
Police : Une police est un ensemble de caractères typographiques définis par une même apparence stylistique. Elle inclut lettres, chiffres et symboles. Le choix de la police influence fortement l’identité d’un support : lisibilité, ton, hiérarchie visuelle. Une bonne utilisation améliore l’efficacité et l’esthétique du message graphique.
Prototype : Le prototype est une version avancée et réaliste d’un produit ou d’une interface, utilisée pour les tests et validations avant mise en production. En design, il permet de simuler l’usage, corriger les défauts et recueillir les retours utilisateurs, garantissant un résultat final plus fonctionnel et pertinent.
Quadrichromie : La quadrichromie est un procédé d’impression utilisant les quatre couleurs primaires CMJN. C’est la méthode standard pour l’impression couleur offset. En superposant ces encres, elle permet de reproduire une large gamme de teintes. Elle nécessite une calibration rigoureuse pour garantir fidélité et cohérence chromatique.
Résolution : La résolution indique la densité de pixels dans une image (exprimée en DPI). Plus elle est élevée, plus l’image est nette. Une résolution faible peut suffire pour le web, mais l’impression professionnelle exige généralement 300 DPI pour assurer un rendu précis et sans pixellisation.
Responsive : Un design responsive s’adapte automatiquement à la taille et au format de l’écran utilisé (mobile, tablette, ordinateur). Cette approche garantit une bonne expérience utilisateur quel que soit le terminal. Elle repose sur des grilles fluides et des règles CSS permettant un affichage optimal sur tous supports.
Rough : Le rough est une esquisse préparatoire dessinée à la main ou numériquement, représentant l’idée générale d’un visuel. Il sert à valider le concept avant réalisation finale. Utilisé en agence ou en studio, il permet de gagner du temps et d’éviter des erreurs de direction artistique.
RVB : Le mode RVB (Rouge, Vert, Bleu) est utilisé pour les écrans. Il repose sur la synthèse additive des couleurs lumineuses. Chaque pixel résulte d’un dosage de ces trois composantes. Ce mode est destiné aux supports numériques ; pour l’impression, une conversion en CMJN est nécessaire.
Saturation : La saturation mesure l’intensité d’une couleur. Une saturation élevée donne un ton vif et pur, tandis qu’une saturation faible tend vers le gris ou les pastels. Elle influence la perception émotionnelle d’un visuel et peut servir à guider le regard ou équilibrer la composition graphique.
Traits de coupe : Les traits de coupe sont des repères placés aux bords d’un document indiquant l’endroit précis où il doit être découpé après impression. Ils assurent que le format final est respecté. Leur bonne utilisation évite toute erreur de massicotage et garantit un rendu propre et professionnel.
UX : L’expérience utilisateur (UX) désigne la qualité de l’interaction entre un utilisateur et une interface numérique. Elle prend en compte l’ergonomie, l’accessibilité, la fluidité de navigation et la satisfaction globale. Une UX réussie favorise la rétention, l’engagement et la conversion sur les sites web ou applications.
Vectoriel / Vectoriser : Une image vectorielle est composée de formules mathématiques, ce qui permet de l’agrandir ou la réduire sans perte de qualité. La vectorisation transforme une image ou un texte en tracé vectoriel, notamment pour les logos ou typographies destinées à l’impression haute définition, garantissant un rendu net.
Vernis sélectif : Le vernis sélectif est une finition appliquée uniquement sur certaines zones d’un document pour créer un effet de contraste entre mat et brillant. Il attire l’œil sur un élément particulier, comme un logo ou une image, et renforce l’aspect premium du support imprimé.
Wireframe : Un wireframe est une maquette filaire représentant la structure d’une page web ou d’une application. Il montre l’emplacement des éléments sans détails graphiques. Utilisé en phase de conception, il permet de valider l’ergonomie, la hiérarchie et le parcours utilisateur avant développement ou design final.
Glossaire de la gestion d’entreprise : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire gestion d’entreprise pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier de la gestion d’entreprise . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’Acte authentique à URSSAF) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
La gestion d’entreprise repose sur une multitude de disciplines — comptabilité, finance, ressources humaines, marketing, logistique, stratégie — qui interagissent quotidiennement pour assurer la pérennité et la croissance de l’organisation. Dans ce contexte, la maîtrise du vocabulaire spécifique à chacune de ces fonctions est un levier essentiel de clarté, d’efficacité et de cohésion managériale.
Des termes comme bilan, budget prévisionnel, marge brute, fond de roulement, flux de trésorerie, KPI, tableau de bord, SWOT, plan d’action, gouvernance ou encore reporting sont utilisés pour décrire les mécanismes clés du pilotage d’une entreprise. Ils permettent de structurer les décisions, d’analyser les performances, d’anticiper les risques et de coordonner les ressources avec méthode. Un dirigeant, un cadre ou un chef de service qui maîtrise ces notions est en mesure de mieux dialoguer avec ses interlocuteurs internes comme externes (experts-comptables, banquiers, investisseurs, auditeurs, etc.).
Le vocabulaire de gestion facilite également la mise en œuvre d’outils et de processus. Il permet d’élaborer des tableaux de bord pertinents, de produire des analyses comparatives, de rédiger des procédures ou des rapports clairs et d’organiser les échanges au sein des comités de direction ou des réunions stratégiques. En situation de croissance, de restructuration ou d’audit, ce langage partagé favorise la réactivité et la cohérence des décisions.
Acte authentique : Un acte authentique est un écrit établi par un officier public habilité (notaire, huissier), qui fait foi jusqu’à preuve du contraire. Il bénéficie d’une force probante supérieure et peut être exécuté de manière forcée. Ce type d’acte garantit la sécurité juridique des engagements contractuels pris entre les parties.
Acte de notoriété : Il s’agit d’un document officiel délivré par un notaire ou un greffier attestant d’un fait reconnu publiquement, notamment dans le cadre des successions (preuve de qualité d’héritier). Il sert de justificatif pour accomplir des formalités administratives ou judiciaires lorsqu’un acte d’état civil ou juridique est insuffisant.
Actif : En comptabilité, l’actif d’une entreprise regroupe l’ensemble de ses biens, créances et droits. Il se divise entre les actifs immobilisés (durables) et les actifs circulants (stocks, créances clients, trésorerie). Il reflète la valeur économique de l’entreprise et figure au bilan dans la colonne opposée au passif.
Actionnaire : Un actionnaire est une personne physique ou morale détenant une ou plusieurs actions d’une société de capitaux (SA, SAS, SCA). Il bénéficie de droits politiques (vote, information) et financiers (dividendes, plus-values). Sa responsabilité est limitée à ses apports, et il peut participer aux assemblées générales.
Amortissement : L’amortissement est une technique comptable qui consiste à répartir le coût d’un bien immobilisé (machines, équipements, bâtiments) sur sa durée d’utilisation. Il traduit la perte de valeur économique liée à l’usure ou l’obsolescence. L’amortissement permet aussi de provisionner les investissements futurs et d’optimiser la fiscalité.
Artisan : L’artisan est un chef d’entreprise qui exerce une activité manuelle ou technique à titre principal. Il doit être inscrit au répertoire des métiers. Le titre d’artisan est attribué selon des critères de diplôme ou d’expérience professionnelle. Il incarne un savoir-faire spécifique et une reconnaissance de compétence.
Assemblée générale extraordinaire (AGE) : L’AGE est une réunion convoquée pour traiter des décisions exceptionnelles affectant la structure ou le fonctionnement d’une société : modification des statuts, augmentation de capital, fusion, etc. Les associés votent selon leur part dans le capital. Les résolutions adoptées sont consignées dans un procès-verbal signé.
Assemblée générale ordinaire (AGO) : L’AGO est la réunion annuelle des associés visant à approuver les comptes, affecter le résultat (bénéfices ou pertes) et statuer sur la gestion sociale. Elle intervient à la clôture de l’exercice comptable. Les décisions y sont prises à la majorité simple et font l’objet d’un procès-verbal officiel.
Associés : Les associés sont les personnes physiques ou morales détenant des parts sociales dans des sociétés de personnes (SARL, EURL). Ils participent aux décisions collectives et partagent les bénéfices ou pertes proportionnellement à leur participation. Dans les sociétés de capitaux, on parle d’actionnaires pour désigner un statut équivalent.
Ayant cause : L’ayant cause est une personne à laquelle les droits ou obligations d’une autre personne sont transférés, que ce soit à titre universel (succession) ou particulier (cession de créance, vente). Il peut s’agir d’un héritier ou d’un acquéreur. Il exerce les droits transmis en continuité de ceux de son auteur.
Ayant droit : L’ayant droit désigne toute personne qui tire son droit d’un lien direct ou indirect avec une autre, notamment par filiation, contrat ou héritage. Il peut faire valoir ce droit en son nom, en vertu d’une transmission légitime ou d’un intérêt propre, notamment dans les contextes successoraux ou patrimoniaux.
Banques Pro en ligne : Ces établissements bancaires 100 % numériques proposent aux professionnels des services bancaires dématérialisés : ouverture de compte rapide, cartes bancaires, virements, gestion de trésorerie, synchronisation comptable. Elles offrent gain de temps, tarification optimisée et intégration avec les outils de gestion, particulièrement adaptée aux TPE et travailleurs indépendants.
Bénéfice : Le bénéfice correspond au résultat net positif réalisé par une entreprise à l’issue d’un exercice comptable. Il est déterminé après déduction de l’ensemble des charges des produits. Les associés ou actionnaires peuvent décider de l’affecter en dividendes, en réserves ou en réinvestissement lors de l’assemblée générale ordinaire.
Bilan : Le bilan est un document comptable représentant la situation patrimoniale d’une entreprise à une date donnée. Il se compose de l’actif (biens et droits détenus) et du passif (dettes et ressources). Il permet d’évaluer la solidité financière et la structure économique de l’entreprise à un instant donné.
Centre de formalités des entreprises (CFE) : Le CFE est l’interlocuteur unique auprès duquel les entreprises effectuent l’ensemble de leurs démarches administratives liées à leur création, modification ou cessation. Il permet de centraliser les formalités et transmet les informations aux organismes compétents (URSSAF, INSEE, impôts, greffe), facilitant ainsi la gestion déclarative.
Cessation de paiements : La cessation de paiements désigne la situation dans laquelle une entreprise ne peut plus honorer ses dettes exigibles avec son actif disponible. Cet état entraîne l’ouverture obligatoire d’une procédure collective (sauvegarde, redressement, liquidation) et doit être déclaré auprès du tribunal compétent dans un délai de 45 jours.
Cession : La cession désigne l’acte par lequel un titulaire de droit transfère, volontairement ou de manière contrainte, la propriété d’un bien ou d’un droit à autrui. Elle peut intervenir à titre gratuit (don) ou onéreux (vente). En cas de cession forcée, le transfert est imposé par décision judiciaire ou administrative.
Cessionnaire : Le cessionnaire est la personne ou entité qui reçoit un droit ou un bien lors d’une cession. Il devient le nouveau titulaire légitime du droit transféré par le cédant. Cette qualité entraîne des obligations, notamment le respect des conditions contractuelles liées au droit ou bien acquis.
Chiffre d’affaires (CA) : Le chiffre d’affaires représente le total des ventes de biens ou de prestations de services réalisées par une entreprise au cours d’une période donnée. Il constitue un indicateur essentiel de l’activité économique de l’entreprise, hors taxes, et sert de base à de nombreux calculs financiers et fiscaux.
Code APE (ou code NAF) : Le code APE (Activité Principale Exercée) ou code NAF (Nomenclature des Activités Françaises) identifie l’activité principale d’une entreprise. Attribué par l’INSEE lors de l’immatriculation, il est composé de quatre chiffres et une lettre. Bien qu’il n’ait pas de valeur juridique, il sert à des fins statistiques, sociales ou fiscales.
Commerçant : Le commerçant est une personne physique ou morale exerçant des actes de commerce de manière habituelle et indépendante. Il doit s’immatriculer au Registre du commerce et des sociétés (RCS) et répondre à des obligations comptables spécifiques. Sa responsabilité est en principe illimitée, sauf dans les formes sociétaires à responsabilité limitée.
Compte de résultat : Le compte de résultat présente les produits et les charges de l’entreprise sur une période donnée. Il permet de déterminer si l’entreprise réalise un bénéfice ou une perte. Contrairement au bilan, il ne reflète pas la situation patrimoniale mais la performance économique sur l’exercice écoulé.
Comptes annuels : Les comptes annuels sont un ensemble d’états financiers obligatoires établis à la clôture de chaque exercice comptable. Ils comprennent le bilan, le compte de résultat et l’annexe. Ces documents reflètent la santé financière de l’entreprise et doivent être déposés au greffe pour les sociétés commerciales dans un délai légal.
Date d’immatriculation : La date d’immatriculation correspond au moment où une entreprise acquiert la personnalité juridique par son enregistrement au Registre du commerce et des sociétés. Elle marque le début de l’existence légale de l’entreprise et détermine l’application de ses droits et obligations en tant que personne morale.
Dénomination sociale : La dénomination sociale est le nom officiel d’une société, inscrit dans ses statuts et enregistré au RCS. Elle sert à identifier juridiquement la société dans tous les documents administratifs, commerciaux et juridiques. Elle se distingue du nom commercial et de l’enseigne, qui ont une vocation plus commerciale.
Dividendes : Les dividendes représentent la part des bénéfices distribuée aux actionnaires ou associés. Cette répartition est décidée en assemblée générale après l’approbation des comptes. Les dividendes constituent un revenu pour les actionnaires et traduisent la capacité de l’entreprise à générer des profits redistribuables.
Enseigne : L’enseigne est le nom apposé sur le local commercial ou artisanal d’une entreprise. Elle permet d’identifier l’établissement aux yeux de la clientèle. Elle peut être différente du nom commercial ou de la dénomination sociale et constitue un signe distinctif dont l’usage est protégé par le droit de la concurrence.
Entreprise : Une entreprise est une unité économique autonome constituée pour produire des biens ou fournir des services. Elle peut prendre différentes formes juridiques (entreprise individuelle, société), employer du personnel et disposer de moyens matériels. Elle constitue l’entité de base de l’activité économique et de l’organisation productive.
Entreprise de taille intermédiaire (ETI) : Les ETI regroupent les entreprises comptant entre 250 et 4 999 salariés, avec un chiffre d’affaires inférieur à 1,5 milliard d’euros ou un bilan n’excédant pas 2 milliards. Elles se situent entre les PME et les grandes entreprises et jouent un rôle stratégique dans l’économie nationale et européenne.
Entreprise individuelle (EI) : L’entreprise individuelle est une structure sans personnalité morale propre, confondue avec la personne physique qui l’exploite. Elle est simple à créer, sans capital minimum requis. Toutefois, elle implique une responsabilité illimitée de l’entrepreneur sur son patrimoine personnel, sauf protection spécifique (notamment la résidence principale).
Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL) : L’EURL est une SARL constituée d’un seul associé. Elle permet de créer une entreprise avec une responsabilité limitée au montant des apports. Ce statut combine les avantages d’une société (personnalité morale, fiscalité professionnelle) avec une gestion simplifiée, particulièrement adaptée aux entrepreneurs souhaitant débuter seuls.
Établissement : Un établissement est une entité géographique où s’exerce une activité économique. Il peut s’agir d’un siège social, d’une succursale, d’un bureau ou d’une usine. L’établissement dépend juridiquement de l’entreprise dont il relève mais peut bénéficier d’une certaine autonomie d’organisation sur le plan opérationnel.
Expert-comptable : L’expert-comptable est un professionnel libéral inscrit à l’Ordre des experts-comptables. Il intervient dans l’établissement des comptes, la gestion financière, le conseil stratégique et les obligations fiscales. Son intervention garantit la conformité comptable des entreprises et leur apporte une expertise dans la conduite de leurs opérations.
Extrait Kbis : Le Kbis est un document officiel attestant de l’existence juridique d’une entreprise immatriculée au RCS. Délivré par le greffe du tribunal de commerce, il constitue la carte d’identité de l’entreprise. Il contient des informations essentielles (raison sociale, adresse, activité, dirigeants) et fait foi auprès des tiers.
Fonds de commerce : Le fonds de commerce est un ensemble d’éléments corporels (mobilier, matériel) et incorporels (clientèle, nom commercial, droit au bail) utilisés pour l’exploitation d’une activité commerciale. Il peut être cédé ou loué et constitue un actif patrimonial distinct des murs du local où s’exerce l’activité.
GAS (Groupement d’activités similaires) : Le GAS regroupe des activités économiques proches classées selon les codes NAF. Bien qu’il n’ait pas de valeur juridique, il facilite les recherches sectorielles, notamment pour l’analyse économique ou la recherche de disponibilités de dénominations. Il est utilisé à titre indicatif par les administrations et organismes publics.
Gérant : Le gérant est le représentant légal d’une société de personnes ou d’une SARL/EURL. Il peut être associé ou non. Il engage la société vis-à-vis des tiers et assure la gestion courante. Ses pouvoirs peuvent être limités par les statuts, mais il reste responsable en cas de faute de gestion.
Grande entreprise (GE) : Une grande entreprise emploie au moins 5 000 salariés ou dépasse 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires et 2 milliards d’euros de bilan. Ces entités disposent de moyens humains, techniques et financiers importants. Elles sont soumises à des obligations renforcées en matière de gouvernance, de transparence et de reporting.
Greffe du tribunal de commerce : Le greffe est l’organe administratif du tribunal de commerce. Il assure l’enregistrement, la conservation et la diffusion des actes liés aux entreprises : immatriculations, dépôts de comptes, inscriptions modificatives, procédures collectives. Il délivre les extraits Kbis et agit comme CFE pour certaines formes juridiques spécifiques.
Groupement d’intérêt économique (GIE) : Le GIE est une structure juridique regroupant au moins deux personnes physiques ou morales souhaitant mettre en commun certains moyens sans créer une nouvelle entreprise. Il facilite la coopération commerciale ou technique tout en conservant l’indépendance juridique de ses membres. Il n’a pas vocation lucrative propre.
Huissier de justice : L’huissier de justice est un officier public ministériel chargé notamment de signifier les actes judiciaires ou extrajudiciaires, d’exécuter les décisions de justice et de dresser des constats. Il peut également intervenir dans le recouvrement amiable ou forcé de créances. Sa mission obéit à une réglementation stricte.
IMR (Immatriculations, Modifications, Radiations) : L’IMR désigne les opérations administratives enregistrées auprès des greffes : immatriculations, modifications statutaires et radiations. Ces données sont intégrées dans le Registre national du commerce et des sociétés, garantissant la transparence et la traçabilité des évolutions juridiques des entreprises tout au long de leur vie.
Liquidation judiciaire : La liquidation judiciaire est une procédure collective déclenchée lorsqu’une entreprise est en cessation de paiements et que son redressement est impossible. Elle entraîne la cessation immédiate de l’activité, la vente des actifs et la répartition du produit entre les créanciers selon l’ordre légal de priorité.
Logiciels BPM : Les logiciels de Business Process Management servent à modéliser, automatiser, surveiller et optimiser les processus métiers d’une entreprise. Ils permettent de gagner en efficacité opérationnelle, de supprimer les tâches redondantes, d’améliorer la conformité et de piloter en temps réel la performance des flux de travail internes.
Logiciels de diagramme & organigramme : Ces outils visuels facilitent la représentation de structures organisationnelles, de processus, ou de flux d’information. Ils sont utilisés pour documenter, expliquer ou planifier des systèmes complexes. Ils permettent une meilleure communication entre équipes, une compréhension partagée des responsabilités et une documentation graphique des projets ou services.
Logiciels de gestion d’entreprise : Ces solutions intégrées permettent de piloter l’ensemble des activités opérationnelles d’une société : comptabilité, facturation, gestion des stocks, RH, CRM, etc. Elles centralisent les données pour améliorer la productivité, garantir la cohérence des processus et faciliter le suivi de la performance globale à partir d’un tableau de bord unique.
Logiciels de gestion de contrats : Ces logiciels permettent de suivre le cycle de vie des contrats (rédaction, validation, signature, renouvellement). Ils assurent une meilleure visibilité sur les engagements contractuels, les échéances, les responsabilités et les risques associés. Ils réduisent les erreurs juridiques et renforcent la conformité en centralisant les documents contractuels.
Logiciels de gestion de projet : Outils essentiels à la planification, au suivi et à l’exécution des projets, ils permettent de définir des objectifs, d’assigner des tâches, de suivre les délais, le budget et les ressources. Ils favorisent la collaboration, améliorent la visibilité sur l’avancement et facilitent le respect des échéances et des livrables.
Logiciels de gestion des achats : Ils permettent de centraliser et rationaliser les processus d’approvisionnement : demande d’achat, commande, réception, facturation. Ces logiciels optimisent les relations fournisseurs, contrôlent les coûts, sécurisent les processus d’engagement de dépenses et permettent un meilleur suivi des performances achats grâce à des tableaux de bord personnalisés.
Logiciels de gestion des stocks et de l’inventaire : Ces outils assurent un suivi précis des entrées et sorties de marchandises. Ils facilitent la gestion des niveaux de stock, évitent les ruptures ou surstocks, et optimisent les commandes fournisseurs. Intégrés à la chaîne logistique, ils assurent une meilleure traçabilité et une réduction des coûts logistiques.
Logiciels de gestion des transports & flotte : Ces logiciels facilitent la gestion logistique des véhicules et des livraisons. Ils permettent de planifier les tournées, suivre la géolocalisation, gérer l’entretien et analyser la rentabilité de la flotte. Utiles pour les transporteurs ou services internes, ils réduisent les coûts et améliorent la qualité de service.
Logiciels de gestion des voyages d’affaires : Outils spécialisés pour organiser, réserver et suivre les déplacements professionnels des collaborateurs. Ils automatisent les demandes de voyage, la validation, la réservation, les notes de frais et les analyses de coûts. Ces logiciels optimisent la politique voyages de l’entreprise tout en améliorant le confort des employés en déplacement.
Logiciels de gouvernance, risque & conformité : Ils permettent de structurer et suivre les politiques internes, les obligations réglementaires et les risques opérationnels. Intégrés au pilotage stratégique, ils facilitent l’audit, la conformité (RGPD, normes ISO…), la sécurité juridique et le contrôle des activités critiques dans les secteurs réglementés ou à forte exigence de traçabilité.
Logiciels de réunion : Ces logiciels facilitent l’organisation, la tenue et le suivi des réunions : invitations, ordres du jour, comptes rendus, décisions, et plan d’actions. Ils favorisent l’efficacité des échanges, le suivi des décisions et la responsabilisation des participants, en particulier dans un environnement hybride ou en télétravail.
Logiciels ESG & RSE : Ces outils mesurent, analysent et pilotent les performances environnementales, sociales et de gouvernance d’une organisation. Ils accompagnent les entreprises dans leur stratégie RSE, la production de rapports extra-financiers et la conformité aux exigences réglementaires, en intégrant des indicateurs durables et en facilitant le suivi des engagements sociétaux.
Logiciels GPAO & GMAO : La GPAO (Gestion de Production Assistée par Ordinateur) vise à optimiser les processus de fabrication, tandis que la GMAO (Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur) concerne l’entretien des équipements. Ces outils augmentent la productivité industrielle, limitent les pannes, améliorent la traçabilité et renforcent le pilotage technique des usines.
Logiciels supply chain : Ils assurent la planification, l’exécution et le suivi des flux logistiques, depuis les fournisseurs jusqu’aux clients finaux. Ils permettent d’optimiser les approvisionnements, la production, la distribution et la gestion des entrepôts. Intégrés aux ERP, ils réduisent les coûts et augmentent la réactivité face à la demande.
Micro-entrepreneur : Le micro-entrepreneur est une personne physique exerçant une activité indépendante sous le régime simplifié de la micro-entreprise. Ce statut offre une comptabilité allégée et un calcul forfaitaire des cotisations sociales. Il est soumis à des plafonds de chiffre d’affaires et à une fiscalité simplifiée adaptée aux petites structures.
Micro-entreprise : La micro-entreprise est une catégorie d’entreprise comptant moins de 10 salariés et dont le chiffre d’affaires ou le total de bilan ne dépasse pas 2 millions d’euros. Elle bénéficie de formalités allégées et d’un cadre fiscal et social simplifié. Elle constitue une forme privilégiée de lancement d’activité.
Nom commercial : Le nom commercial est l’appellation sous laquelle une entreprise exerce son activité et se fait connaître de sa clientèle. Il peut différer de la dénomination sociale. Il s’agit d’un élément de propriété incorporelle, distinct de l’enseigne et protégé juridiquement dès lors qu’il est utilisé publiquement.
Numéro SIREN : Le SIREN est un identifiant unique à 9 chiffres attribué par l’INSEE à chaque entité juridique lors de sa création. Il permet d’identifier l’entreprise dans les bases de données publiques, administratives et fiscales. Ce numéro reste inchangé tout au long de la vie de l’entreprise.
Numéro SIRET : Le SIRET est un identifiant à 14 chiffres composé du numéro SIREN et d’un numéro interne de classement (NIC). Il permet d’identifier précisément chaque établissement d’une entreprise, notamment à des fins administratives, sociales ou fiscales. Il est délivré par l’INSEE lors de la déclaration d’activité.
Personnalité juridique : La personnalité juridique est la capacité, pour une personne physique ou morale, d’être titulaire de droits et d’obligations. Elle permet à une entité d’agir en justice, de conclure des contrats ou de posséder un patrimoine. Pour les sociétés, elle naît avec l’immatriculation au RCS et cesse avec leur dissolution.
Personne morale : Une personne morale est une entité constituée par un groupement de personnes physiques ou d’autres personnes morales. Elle possède une personnalité juridique distincte de ses membres. On distingue les personnes morales de droit public (État, collectivités) et celles de droit privé (entreprises, associations, GIE), qui peuvent exercer des droits en leur nom propre.
Personne physique : Une personne physique désigne un individu doté de la personnalité juridique dès la naissance. Elle peut exercer des droits et être tenue d’obligations, sauf en cas d’incapacité légale. En matière commerciale, elle peut agir en tant qu’entrepreneur individuel, à condition d’être majeure et juridiquement capable.
Petite et moyenne entreprise (PME) : Une PME est une entreprise comptant moins de 250 salariés et réalisant un chiffre d’affaires annuel inférieur à 50 millions d’euros ou un total de bilan inférieur à 43 millions. Les PME constituent le tissu économique dominant et bénéficient de dispositifs d’aides spécifiques à l’innovation, à l’export ou à l’emploi.
Procédure de sauvegarde : La procédure de sauvegarde est une mesure préventive ouverte à une entreprise qui connaît des difficultés, mais n’est pas encore en cessation de paiements. Elle permet de geler les dettes, d’établir un diagnostic pendant une période d’observation et, si nécessaire, de proposer un plan de continuation ou de restructuration.
Procédures collectives : Les procédures collectives désignent les mécanismes juridiques destinés à traiter les difficultés financières d’une entreprise : sauvegarde, redressement judiciaire et liquidation judiciaire. Ces procédures sont encadrées par le tribunal de commerce et visent à protéger les créanciers tout en tentant de maintenir l’activité et l’emploi lorsque cela est possible.
Redressement judiciaire : Le redressement judiciaire est une procédure visant à permettre la poursuite de l’activité, l’apurement des dettes et la sauvegarde de l’emploi d’une entreprise en cessation de paiements. Elle comprend une période d’observation, au terme de laquelle un plan de redressement peut être adopté ou, à défaut, entraîner une liquidation.
Registre des bénéficiaires effectifs (RBE) : Le RBE est un registre destiné à identifier les personnes physiques qui détiennent ou contrôlent directement ou indirectement une entreprise. Obligatoire depuis 2017, il vise à lutter contre le blanchiment, la fraude fiscale et le financement du terrorisme. Il est déclaré lors de la constitution et mis à jour en cas de changement.
Registre du commerce et des sociétés (RCS) : Le RCS est un registre tenu par les greffes des tribunaux de commerce. Il recense toutes les sociétés et commerçants exerçant une activité économique. Il permet d’identifier juridiquement les entreprises, d’assurer la transparence commerciale et de sécuriser les relations entre professionnels et tiers.
Registre national du commerce et des sociétés (RNCS) : Le RNCS centralise l’ensemble des données légales relatives aux entreprises commerciales, notamment celles issues des greffes des tribunaux de commerce. Il permet d’attribuer un numéro RCS à chaque entité immatriculée et constitue une source d’information essentielle pour les tiers sur la situation juridique et financière d’une entreprise.
Représentant légal : Le représentant légal est la personne habilitée à agir au nom d’une société. Il peut s’agir d’un gérant, d’un président ou d’un administrateur selon la forme juridique. Il engage la société dans tous les actes de la vie civile ou commerciale, dans la limite de ses pouvoirs définis par les statuts.
Siège social : Le siège social est l’adresse administrative et juridique de l’entreprise. Il détermine sa nationalité, la compétence des tribunaux en cas de litige, et les obligations fiscales et sociales applicables. Il doit figurer sur tous les documents officiels de la société et peut être distinct du lieu d’exploitation.
SIRENE : SIRENE est le système informatique national de l’INSEE regroupant toutes les entreprises et établissements actifs ou radiés en France. Il centralise les informations juridiques, géographiques et économiques, accessibles via les numéros SIREN et SIRET. Il constitue un outil essentiel pour l’analyse et le suivi du tissu économique.
Société : Une société est une entité juridique résultant d’un contrat par lequel plusieurs personnes s’associent pour exercer une activité et partager les bénéfices. Elle dispose de la personnalité morale et peut être constituée sous différentes formes selon le niveau de responsabilité, de capital ou de gouvernance souhaité.
Société à responsabilité limitée (SARL) : La SARL est une société de personnes comportant entre deux et cent associés. La responsabilité des associés est limitée à leurs apports. Ce statut est encadré et rassurant, souvent choisi par les artisans, commerçants ou professions libérales, à l’exception des professions réglementées comme les avocats ou les médecins.
Société anonyme (SA) : La SA est une société de capitaux composée d’au moins deux actionnaires (sept si elle est cotée). Elle requiert un capital minimum de 37 000 euros. Elle peut être administrée par un conseil d’administration ou un directoire. C’est une forme juridique adaptée aux grandes entreprises ou aux projets nécessitant un financement externe important.
Société en commandite simple (SCS) : La SCS est une société de personnes composée de commandités, responsables indéfiniment des dettes sociales, et de commanditaires, dont la responsabilité est limitée à leurs apports. Cette structure permet à des investisseurs de financer une activité sans en assurer la gestion ni en supporter le risque illimité.
Société en nom collectif (SNC) : La SNC est une forme de société dans laquelle tous les associés sont commerçants et responsables indéfiniment et solidairement des dettes sociales. Cette structure impose une confiance forte entre associés. Elle convient principalement aux structures familiales ou aux activités nécessitant une implication personnelle importante.
Société par Actions Simplifiée (SAS) : La SAS est une forme sociétaire flexible, adaptée aux projets entrepreneuriaux variés. Constituée d’un ou plusieurs associés, elle permet une grande liberté statutaire, notamment dans l’organisation de la direction. Elle est souvent privilégiée pour sa souplesse juridique et fiscale, ainsi que pour l’absence d’exigence de capital minimum.
Société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) : La SASU est une société constituée d’un seul associé. Elle bénéficie d’une grande liberté statutaire et de formalités allégées. Son président peut être une personne physique ou morale. Ce statut est adapté à l’entrepreneuriat individuel tout en permettant une évolution ultérieure vers une SAS en cas d’ouverture à d’autres associés.
Société unipersonnelle : Une société unipersonnelle est une structure juridique avec un seul associé. Cela peut être une EURL (SARL à associé unique) ou une SASU. Ce modèle permet de combiner la simplicité de gestion individuelle avec les avantages de la personnalité morale, tout en protégeant le patrimoine personnel de l’associé.
Statuts : Les statuts sont le contrat constitutif d’une société ou d’une association. Ils précisent les règles de fonctionnement, les modalités de gouvernance, l’objet social, la répartition du capital et les droits des associés. Ils doivent être rédigés avec soin, signés par les fondateurs et déposés au greffe lors de la création.
Stocks : Les stocks regroupent les marchandises, les matières premières ou les produits en cours de fabrication détenus par une entreprise. Leur gestion rigoureuse est essentielle à la rentabilité et à la planification de la production. Les stocks figurent à l’actif du bilan et influencent le besoin en fonds de roulement.
Titulaire de droits : Le titulaire de droits est une personne physique ou morale légalement investie d’un droit (propriété, usage, droit intellectuel) qu’elle peut faire valoir ou protéger. Dans le domaine de la propriété intellectuelle, ce titulaire peut agir en justice pour défendre ses intérêts contre toute atteinte ou usage non autorisé.
Très petites entreprises (TPE) : Les TPE emploient moins de 10 salariés et génèrent un chiffre d’affaires annuel inférieur à 2 millions d’euros. Elles forment l’essentiel du tissu économique français, notamment dans les secteurs de l’artisanat, du commerce de proximité et des services. Elles bénéficient de régimes fiscaux et sociaux simplifiés.
Trésorerie : La trésorerie désigne l’ensemble des liquidités immédiatement disponibles d’une entreprise (comptes bancaires, caisse). Elle reflète la capacité de l’entreprise à faire face à ses engagements à court terme. Une bonne gestion de trésorerie est essentielle pour maintenir la solvabilité et éviter les tensions de paiement.
URSSAF : L’URSSAF est un organisme chargé de la collecte des cotisations sociales (maladie, retraite, allocations familiales, etc.) auprès des employeurs et travailleurs indépendants. Elle veille également à la régularité des déclarations sociales et participe à la lutte contre le travail dissimulé. Elle est un acteur clé du financement de la sécurité sociale.
Glossaire du e-Commerce : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire e-Commerce pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier du e-Commerce . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (de 3PL à WWW) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
Dans un secteur en constante évolution comme le e-commerce, la maîtrise du vocabulaire spécialisé est indispensable pour structurer les actions, comprendre les mécanismes clés et optimiser les performances commerciales. Ce lexique technique permet de naviguer dans un environnement numérique dense, où les plateformes, les canaux et les outils se multiplient, chacun avec ses propres codes et indicateurs.
Des termes tels que tunnel de conversion, panier moyen, taux d’abandon, click and collect, dropshipping, UX (expérience utilisateur), référencement produit, retargeting, logistique omnicanale, ou marketplace désignent des éléments stratégiques du commerce en ligne. Les connaître permet de mieux analyser les données, de prendre des décisions éclairées et d’échanger efficacement avec les différents intervenants du projet : développeurs, webmarketeurs, logisticiens, chargés de relation client, etc.
Le vocabulaire e-commerce est également essentiel pour paramétrer les outils et plateformes (CMS, ERP, CRM, outils d’automatisation ou d’analyse) en fonction des besoins de l’activité. Il facilite la rédaction de fiches produits optimisées, la conception de campagnes publicitaires ciblées ou la gestion des flux logistiques complexes.
Dans un contexte où l’expérience client est devenue centrale, la maîtrise de cette terminologie permet de concevoir des parcours fluides, personnalisés et performants. Elle contribue également à la compréhension des enjeux techniques (responsive design, SEO, sécurité des paiements, RGPD…) et à la conformité réglementaire.
3PL (Logistique tierce) : Un prestataire 3PL prend en charge tout ou partie de la chaîne logistique d’une entreprise : entreposage, préparation de commandes, expédition. Cette externalisation permet aux entreprises de se concentrer sur leur cœur de métier, d’accroître leur flexibilité et de réduire leurs coûts fixes liés à la logistique.
4PL (Logistique de quatrième partie) : Le 4PL représente un niveau d’externalisation plus avancé, où un prestataire supervise l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement pour le compte du client. Il coordonne les 3PL, optimise les processus, gère les données logistiques et agit comme un partenaire stratégique en prenant en charge la totalité du flux opérationnel.
ACH (Automated Clearing House) : Le système ACH est un réseau électronique américain qui gère les paiements de masse, comme les virements salariaux ou les paiements de factures. Il fonctionne par lots, réduisant les coûts de traitement des transactions bancaires répétitives. Il est largement utilisé dans les processus automatisés de paiement interbancaire.
ACV : Valeur annuelle du contrat : valeur contractuelle annuelle moyenne pour un client dans les services ou abonnements. Ce KPI permet d’analyser la rentabilité d’un contrat client et d’estimer les recettes futures, facilitant la prévision des marges, la gestion des cycles de vente et l’affectation des ressources commerciales.
AML (Anti-Money Laundering) : L’AML regroupe l’ensemble des lois, réglementations et procédures visant à détecter, prévenir et signaler les activités financières illicites, notamment le blanchiment d’argent. Les institutions doivent surveiller les transactions suspectes, appliquer le KYC, et collaborer avec les autorités. Ce dispositif participe à la stabilité des systèmes financiers mondiaux.
AOV : Valeur moyenne des commandes : montant moyen dépensé à chaque commande sur un site ou une application. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux allouer leur budget publicitaire, de suivre la performance des campagnes et d’optimiser l’acquisition client de manière précise et mesurable.
AP (Accounts Payable) : Les comptes fournisseurs représentent les dettes à court terme d’une entreprise envers ses prestataires. Ces obligations financières figurent dans le passif du bilan et concernent principalement les achats non encore réglés. Une bonne gestion des AP participe à l’optimisation du fonds de roulement et à la négociation avec les fournisseurs.
API (Interface de programmation d’applications) : Une API est un ensemble de fonctions, de protocoles et de définitions permettant à différentes applications de communiquer entre elles. Elle facilite l’interopérabilité, l’automatisation des processus et le développement d’intégrations entre systèmes, contribuant à l’agilité des systèmes d’information modernes.
AR (réalité augmentée) : La réalité augmentée enrichit l’environnement réel avec des informations numériques (images, sons, textes) superposées en temps réel. Elle permet d’améliorer l’interaction avec le monde physique en offrant des données contextuelles. Couramment utilisée dans le commerce, l’industrie ou le divertissement, elle combine réel et virtuel pour une meilleure expérience utilisateur.
ARPU : Revenu moyen par utilisateur : calculé en divisant le chiffre d’affaires par le nombre total d’utilisateurs ou abonnés sur une période donnée. Cet indicateur est clé pour analyser la valeur commerciale d’un portefeuille client, optimiser la monétisation, et adapter les offres aux segments les plus rentables.
ARR : Revenus annuels récurrents : indicateur des revenus récurrents d’une entreprise sur une base annuelle. Ce modèle permet d’avoir une vision à long terme de la stabilité des revenus liés aux abonnements, utile notamment dans les modèles SaaS ou de services continus.
ASIN (Numéro d’identification standard Amazon) : L’ASIN est un code alphanumérique unique assigné par Amazon à chaque produit listé sur sa plateforme. Il permet d’organiser le catalogue, d’indexer les produits, d’en assurer le référencement interne, et de centraliser les informations produits pour faciliter la gestion des stocks, la recherche et la logistique.
ASO (App Store Optimization) : L’ASO désigne l’optimisation des fiches d’applications mobiles dans les stores (App Store, Google Play) afin de les rendre plus visibles et attractives. Il repose sur les mots-clés, les visuels, les évaluations et la description de l’application pour améliorer le classement et inciter au téléchargement.
B2B (Business to Business) : Le modèle B2B désigne les transactions commerciales entre entreprises, par opposition au commerce destiné aux particuliers. Il concerne des fournisseurs, grossistes, distributeurs ou prestataires de services. Les cycles de vente y sont souvent plus longs, les volumes plus importants, et les relations axées sur la qualité, la fiabilité et la négociation.
B2C (Business to Consumer) : Le modèle B2C désigne la vente directe de produits ou services par une entreprise à des consommateurs finaux. C’est le modèle dominant du commerce de détail, tant physique qu’en ligne. Il repose sur des stratégies de marketing ciblées, des volumes de transactions plus faibles, mais des cycles de décision généralement rapides.
B2E (Business to Employee) : Le modèle B2E consiste pour une entreprise à proposer directement des services ou avantages à ses collaborateurs. Cela peut inclure des portails internes de formation, des plateformes de gestion des ressources humaines, des offres spécifiques (billetterie, services à prix réduits) ou encore des outils de communication et de collaboration.
B2G (Business to Government) : Le modèle B2G regroupe les échanges entre entreprises privées et administrations publiques. Il peut s’agir de marchés publics, de prestations de services, de fournitures ou de travaux. Ce modèle est régi par des appels d’offres, des règles de transparence et des obligations de conformité strictes pour garantir l’équité entre fournisseurs.
BANT (Budget, Autorité, Besoin, Calendrier) : Le cadre BANT est un outil de qualification commerciale permettant d’évaluer le potentiel d’un prospect selon quatre critères : le budget disponible, la capacité à décider (autorité), l’existence d’un besoin concret et l’échéance prévue. Il aide à hiérarchiser les opportunités commerciales pour optimiser le cycle de vente.
BOPAC (Achat en ligne, retrait en bordure de rue) : Similaire au BOPIS, le BOPAC (Buy Online, Pick-up At Curbside) offre aux clients la possibilité de récupérer leur commande sans entrer dans le magasin. Il s’agit d’un service particulièrement développé depuis la pandémie, alliant praticité, rapidité et sécurité sanitaire dans la distribution physique.
BOPIS (Achat en ligne, retrait en magasin) : Le BOPIS (Buy Online, Pick-up In Store) est une stratégie omnicanale permettant aux clients de commander en ligne et de retirer leur commande en boutique. Elle combine l’efficacité du commerce en ligne avec la rapidité de mise à disposition locale, tout en réduisant les coûts logistiques.
BR : Le taux de rebond exprime la part d’utilisateurs quittant un site après avoir consulté une seule page. Un taux élevé peut signaler un contenu peu pertinent, une mauvaise ergonomie ou un problème de ciblage. Cet indicateur guide les ajustements d’UX et de contenu.
BRM (Brand Reputation Management) : Le BRM est une branche spécifique de l’ORM, centrée sur la réputation d’une marque. Il combine analyse de l’image perçue, gestion proactive des retours clients, influenceurs et médias, et communication stratégique pour renforcer ou restaurer la confiance du public envers une entreprise ou un produit.
C2B (Consumer to Business) : Le modèle C2B inverse les rôles traditionnels : des particuliers offrent des produits, services ou données à des entreprises. Cela peut prendre la forme d’avis, de contenu généré par l’utilisateur ou de services freelance. Les entreprises achètent ensuite cette valeur selon leurs besoins commerciaux ou marketing.
C2C (Consumer to Consumer) : Le modèle C2C désigne les échanges commerciaux entre particuliers, souvent facilités par des plateformes numériques (ex. : marketplaces, sites d’annonces). Ces plateformes fournissent un cadre technique et juridique permettant la mise en relation, la transaction, la livraison et parfois même le paiement entre utilisateurs finaux.
CAC : Coût d’acquisition client : coût total d’acquisition d’un nouveau client incluant marketing et publicité. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux allouer leur budget publicitaire, de suivre la performance des campagnes et d’optimiser l’acquisition client de manière précise et mesurable.
CCPA (California Consumer Privacy Act) : La CCPA est une loi californienne entrée en vigueur en 2020, conçue pour renforcer les droits des consommateurs sur leurs données personnelles. Elle oblige les entreprises à divulguer quelles données sont collectées, à permettre leur suppression, et à offrir un droit d’opposition à la vente de ces informations à des tiers.
CDN (Réseau de diffusion de contenu) : Un CDN est une infrastructure répartie de serveurs conçue pour optimiser la diffusion de contenus web (images, vidéos, pages HTML) à travers le monde. Il réduit le temps de chargement des sites, améliore la disponibilité des ressources et renforce la sécurité contre les attaques de type DDoS.
CIF (Coût, assurance, fret) : Le terme CIF désigne une modalité de contrat de transport maritime dans laquelle le vendeur prend à sa charge les frais jusqu’au port d’arrivée, y compris l’assurance et le fret. L’acheteur devient responsable après le déchargement au port convenu. Il s’agit d’une clause fréquemment utilisée dans les échanges internationaux.
CLV : La valeur à vie du client (Customer Lifetime Value) estime la rentabilité qu’un client peut générer sur toute la durée de sa relation avec l’entreprise. Cet indicateur stratégique permet d’orienter les efforts marketing vers les profils les plus profitables à long terme.
CMS (Content Management System) : Un CMS est un système permettant de créer, gérer et publier facilement du contenu Web. Il offre une interface intuitive sans besoin de compétences techniques poussées. Les CMS comme WordPress, Drupal ou Joomla sont utilisés pour administrer des blogs, sites d’entreprise, boutiques e-commerce ou intranets.
COD (Paiement à la livraison) : Le paiement à la livraison (Cash on Delivery) est un mode de règlement permettant au client de payer directement lors de la réception de la marchandise. Cette méthode est fréquemment utilisée dans les zones où la confiance envers les systèmes de paiement en ligne est limitée ou peu développée.
COGS (Cost of Goods Sold) : Le COGS représente les coûts directement liés à la fabrication ou à l’acquisition des biens vendus par une entreprise, tels que les matières premières et la main-d’œuvre. Il est essentiel pour évaluer la marge brute. Une bonne maîtrise du COGS permet de piloter la rentabilité et d’optimiser la stratégie de production.
COPPA (Children’s Online Privacy Protection Act) : La COPPA est une loi fédérale américaine qui encadre la collecte de données personnelles auprès d’enfants de moins de 13 ans sur Internet. Elle impose aux opérateurs de sites et applications des obligations spécifiques, telles que l’obtention du consentement parental préalable et la mise en place de mesures de protection renforcées.
CPA : Coût par acquisition : facturation par un éditeur de publicité pour chaque nouveau client acquis. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux allouer leur budget publicitaire, de suivre la performance des campagnes et d’optimiser l’acquisition client de manière précise et mesurable.
CPC : Coût par clic : prix réel payé pour chaque clic dans vos campagnes marketing au paiement par clic. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux allouer leur budget publicitaire, de suivre la performance des campagnes et d’optimiser l’acquisition client de manière précise et mesurable.
CPL : Coût par prospect : coût d’acquisition d’un contact commercial qualifié pour l’entreprise. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux allouer leur budget publicitaire, de suivre la performance des campagnes et d’optimiser l’acquisition client de manière précise et mesurable.
CPM : Coût par mille : prix de 1 000 impressions publicitaires sur une page web. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux allouer leur budget publicitaire, de suivre la performance des campagnes et d’optimiser l’acquisition client de manière précise et mesurable.
CR : Le taux de conversion mesure la proportion de visiteurs atteignant un objectif défini sur un site web, tel qu’un achat ou une inscription. Il est crucial pour évaluer la performance d’un site et permet d’optimiser les leviers de conversion dans le cadre d’une stratégie digitale.
CRM : La gestion de la relation client consiste à centraliser les données clients pour améliorer le suivi, la personnalisation et la fidélisation. Les CRM permettent de mieux comprendre le parcours client, d’automatiser certaines interactions et de renforcer l’efficacité des actions commerciales et marketing.
CRO : L’optimisation du taux de conversion regroupe les méthodes destinées à améliorer le pourcentage de visiteurs effectuant une action déterminée. Elle repose sur l’analyse des comportements utilisateurs, les tests A/B et l’amélioration de l’expérience globale pour accroître les performances commerciales.
CSAT : Satisfaction de la clientèle : indicateur mesurant la satisfaction perçue des clients à l’égard d’un produit ou service. Calculé via des enquêtes, il permet d’évaluer la qualité de l’expérience client et d’identifier les axes d’amélioration pour renforcer la fidélité et réduire le churn (taux d’attrition).
CSS : Le CSS (Cascading Style Sheets) est un langage de style utilisé pour définir l’apparence visuelle des documents HTML. Il permet de contrôler la mise en page, les couleurs, les polices, les marges et autres éléments graphiques. En dissociant le fond et la forme, il facilite la maintenance et l’homogénéité des sites web.
CTA : L’appel à l’action est un dispositif marketing essentiel conçu pour inciter l’utilisateur à agir immédiatement, comme cliquer, acheter ou s’inscrire. Il guide le comportement du visiteur et conditionne souvent le succès d’une campagne en orientant le trafic vers les conversions souhaitées.
CTR : Taux de clics : ratio d’utilisateurs qui cliquent sur un lien spécifique par rapport au nombre total d’utilisateurs. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux allouer leur budget publicitaire, de suivre la performance des campagnes et d’optimiser l’acquisition client de manière précise et mesurable.
CVV (Card Verification Value) : Le CVV est un code de sécurité imprimé sur les cartes bancaires (généralement au dos), utilisé pour valider les transactions en ligne. Il permet de vérifier que l’acheteur possède physiquement la carte. C’est une mesure de protection contre les fraudes en l’absence de présentation physique du moyen de paiement.
D2C (Direct to Consumer) : Le modèle D2C implique que l’entreprise vende ses produits directement au consommateur, sans intermédiaires (distributeurs, grossistes ou détaillants). Cela permet de mieux maîtriser les marges, la relation client et l’image de marque. Ce modèle est souvent adopté par des marques digitales ou des DNVB.
DA (Domain Authority) : L’autorité de domaine (DA), score développé par Moz, mesure la probabilité qu’un site soit bien positionné dans les résultats de recherche. Évalué de 1 à 100, ce score se base sur la qualité des liens entrants, la popularité et l’ancienneté du domaine. Plus le score est élevé, meilleur est le potentiel SEO.
DFA (Data Flow Analysis) : La DFA permet d’analyser et de structurer les flux de données produits pour les rendre exploitables dans la publicité, le e-commerce ou les comparateurs. Elle garantit la cohérence, la fiabilité et la conformité des données diffusées sur les supports digitaux, en facilitant leur mise à jour automatique.
DMCA (Digital Millennium Copyright Act) : La DMCA est une loi américaine de 1998 visant à protéger les droits d’auteur sur Internet. Elle interdit la contournement des mesures techniques de protection, responsabilise les plateformes en ligne quant aux contenus hébergés, et instaure un processus de notification et de retrait en cas d’infraction présumée aux droits d’auteur.
DNVB (Digital Native Vertical Brand) : Une DNVB est une entreprise née en ligne qui maîtrise l’intégralité de sa chaîne de valeur, de la production à la vente directe aux consommateurs via les canaux numériques. Ce modèle permet un contrôle renforcé sur l’expérience client, des marges optimisées, une adaptation rapide au marché et une communication ciblée.
E2E (End to End) : Une solution E2E couvre l’ensemble d’un processus, de la première étape à la livraison finale. Elle évite les interventions multiples de prestataires différents. Appliqué aux systèmes informatiques, à la logistique ou au service client, ce modèle améliore la cohérence, réduit les délais et facilite la supervision globale.
EDI (Échange de données informatisé) : L’EDI permet l’échange standardisé de documents commerciaux (commandes, factures, avis d’expédition) entre systèmes informatiques sans intervention humaine. Il réduit les délais de traitement, élimine les erreurs de saisie manuelle et améliore la fluidité des opérations interentreprises, en s’intégrant aux systèmes de gestion existants.
EFT (Electronic Funds Transfer) : L’EFT désigne tout transfert électronique de fonds entre comptes bancaires, y compris les paiements en ligne, les virements ou les paiements de factures. Il élimine l’usage du papier, accélère les transactions et réduit les coûts. C’est une infrastructure clé pour les paiements modernes dans les secteurs public et privé.
EMV (Europay, MasterCard, Visa) : EMV est une norme internationale qui régit l’interopérabilité des cartes bancaires à puce et des terminaux de paiement. Elle renforce la sécurité des transactions en intégrant un code dynamique propre à chaque opération. Ce système a largement remplacé la bande magnétique, réduisant fortement les fraudes liées aux paiements physiques.
ERP : L’ERP (Enterprise Resource Planning) est un système logiciel intégré qui permet de gérer l’ensemble des processus métiers d’une entreprise, comme la comptabilité, la production, les ressources humaines ou la logistique. Il favorise la coordination entre services, améliore la visibilité sur les opérations et optimise la prise de décision à l’échelle de l’organisation.
ETA (Heure d’arrivée estimée) : L’ETA correspond à l’heure prévue d’arrivée d’un transport ou d’une marchandise à destination. Elle est cruciale pour la planification logistique, le suivi des livraisons et la gestion des ressources. Les entreprises s’appuient sur cette estimation pour coordonner les flux et prévenir les ruptures d’approvisionnement.
ETD (Heure de départ estimée) : L’ETD indique l’heure à laquelle un véhicule (camion, bateau, avion) doit quitter un site. Elle est essentielle pour organiser les opérations de chargement, anticiper les délais de livraison et assurer une bonne coordination entre les différents acteurs de la chaîne logistique, du fournisseur au client.
EULA (End User License Agreement) : Un EULA est un contrat juridique liant l’utilisateur final à l’éditeur d’un logiciel. Il définit les conditions d’utilisation, les droits, les restrictions, la propriété intellectuelle, et les responsabilités. L’acceptation du EULA est souvent requise avant l’installation ou l’utilisation du logiciel, garantissant un cadre légal clair pour les deux parties.
FBA (Expédition par Amazon) : Le service FBA (Fulfilled by Amazon) permet aux vendeurs tiers de déléguer la logistique à Amazon. Les produits sont stockés dans les entrepôts du géant américain, qui assure la préparation, l’envoi et le service après-vente. Ce modèle améliore la rapidité de livraison et l’expérience client globale.
FCPA (Foreign Corrupt Practices Act) : La FCPA est une loi américaine interdisant aux entreprises et à leurs représentants de verser des pots-de-vin à des responsables étrangers pour obtenir ou conserver des marchés. Elle impose également des exigences comptables strictes. Cette loi s’applique même hors des États-Unis aux entreprises cotées ou opérant en lien avec ce pays.
FCR (Résolution au premier contact) : La résolution au premier contact mesure l’efficacité du service client à traiter une demande dès le premier échange, sans nécessiter de suivi. Elle constitue un indicateur de performance crucial pour évaluer la satisfaction client et l’efficience des processus internes de traitement et d’assistance.
FIFO (Premier entré, premier sorti) : La méthode FIFO désigne une gestion des stocks où les produits les plus anciens sont utilisés ou vendus en premier. Ce principe limite les pertes dues à la péremption ou à l’obsolescence, tout en garantissant une meilleure rotation des stocks et une gestion rigoureuse de la marchandise.
FOB (Free on Board / Franco à bord) : FOB est une clause de commerce international définissant le point de transfert de responsabilité et de frais du vendeur à l’acheteur, généralement à bord du navire dans le port d’expédition. Elle détermine qui prend en charge le transport, les assurances et les risques à partir d’un point précis.
FOMO (Fear Of Missing Out) : Le FOMO désigne l’angoisse de manquer une expérience ou une opportunité. Ce phénomène est amplifié par les réseaux sociaux et influence les comportements d’achat ou de participation. Les marques l’exploitent via l’urgence, les exclusivités ou les éditions limitées pour stimuler l’engagement ou les conversions.
FTL (Chargement complet du camion) : Le FTL (Full Truck Load) consiste à louer un camion entier pour transporter une cargaison unique. Ce mode est souvent plus rapide, car il évite les arrêts multiples. Il est utilisé pour les expéditions volumineuses ou urgentes nécessitant une livraison directe et sans rupture de charge.
FX (Foreign Exchange) : Le FX correspond à l’échange d’une monnaie contre une autre sur les marchés de change. Il est essentiel pour les entreprises opérant à l’international, les investisseurs ou les gouvernements. Le taux de change fluctue en fonction de l’offre, de la demande, des politiques monétaires et des événements géopolitiques, influençant les coûts commerciaux.
G2C (Government to Citizen) : Le G2C regroupe les services numériques proposés par les institutions publiques aux citoyens. Cela inclut les démarches administratives en ligne (déclarations, paiements, renouvellements de documents), la diffusion d’informations officielles ou encore les plateformes participatives. Il vise à simplifier l’accès aux services et améliorer la relation administration-usager.
GA (Google Analytics) : Google Analytics est un outil gratuit de mesure d’audience Web proposé par Google. Il permet de suivre le comportement des visiteurs, les sources de trafic, les conversions, et d’analyser la performance des pages. Il est indispensable pour piloter une stratégie digitale fondée sur les données (data-driven).
HIPAA (Health Insurance Portability and Accountability Act) : HIPAA est une loi américaine encadrant la confidentialité et la sécurité des données de santé. Elle impose des règles strictes aux professionnels de santé et assure une portabilité des droits des patients. Elle garantit également le droit d’accès aux informations médicales tout en protégeant contre l’usage abusif des données sensibles.
HTML : Le HTML (HyperText Markup Language) est le langage de balisage standard utilisé pour structurer les contenus des pages web. Il permet d’organiser textes, images, vidéos ou liens hypertextes pour une lecture sur navigateur. C’est la base de toute page Internet, souvent couplé avec CSS et JavaScript pour enrichir la présentation et l’interactivité.
IA (intelligence artificielle) : L’intelligence artificielle regroupe les technologies visant à simuler l’intelligence humaine. Elle permet à des systèmes informatiques de comprendre, apprendre, raisonner et prendre des décisions. Présente dans les assistants vocaux, les recommandations, ou les diagnostics, l’IA révolutionne les usages en automatisant des tâches auparavant exclusivement humaines.
IaaS (Infrastructure as a Service) : L’IaaS propose aux entreprises des ressources informatiques virtualisées (serveurs, stockage, réseaux) via Internet. Elle permet de louer une infrastructure évolutive sans investissement lourd en matériel. Les utilisateurs gardent le contrôle sur les systèmes d’exploitation, applications et données, tout en déléguant l’infrastructure au fournisseur de service.
IoT (Internet des objets) : L’Internet des objets désigne l’ensemble des objets connectés capables de collecter, transmettre et recevoir des données via Internet. Ces dispositifs interagissent sans intervention humaine directe. Ils transforment de nombreux secteurs, de la logistique à la santé, en automatisant les processus et en fournissant des informations exploitables en temps réel.
IP (protocole Internet) : Le protocole Internet (IP) est un standard fondamental permettant de transmettre des paquets de données d’un hôte à un autre via des réseaux interconnectés. Il structure les adresses IP nécessaires à l’identification des appareils et assure la livraison correcte des messages, indépendamment de leur taille ou du type de données transmises.
ISP (fournisseur de services Internet) : Un fournisseur d’accès à Internet (ISP) est une entité qui permet aux particuliers et entreprises de se connecter au réseau Internet. Outre la connectivité, ces fournisseurs peuvent offrir des services complémentaires tels que l’hébergement de sites web, la messagerie électronique, la sécurité en ligne ou l’accès à des réseaux privés.
JIT (Juste à temps) : Le Juste à temps est une méthode de gestion des stocks visant à réduire les coûts en ne produisant ou ne recevant les biens qu’en fonction des besoins immédiats. Elle nécessite une grande réactivité dans la chaîne logistique et une coordination parfaite entre fournisseurs et producteurs pour éviter les ruptures.
JS : JavaScript est un langage de programmation qui permet de rendre les pages web interactives. Il est utilisé pour créer des animations, valider des formulaires, gérer des événements ou charger dynamiquement du contenu sans recharger la page. JavaScript fonctionne côté client et fait partie intégrante des technologies web avec HTML et CSS.
JSON : Le JSON (JavaScript Object Notation) est un format de données léger et structuré, utilisé pour échanger des informations entre serveurs et applications web. Lisible par l’homme et facilement interprétable par les machines, il est largement utilisé dans les API modernes pour le transfert rapide et efficace de données structurées.
KISS (Keep It Simple, Stupid) : Le principe KISS est une règle de conception visant la simplicité. Il suggère que les systèmes fonctionnent mieux lorsqu’ils sont simples et compréhensibles. Cette approche est couramment appliquée dans le design, le développement logiciel, la rédaction et le marketing pour favoriser l’efficacité et l’ergonomie.
KPI (Key Performance Indicator) : Les KPI sont des indicateurs chiffrés servant à mesurer l’atteinte des objectifs stratégiques ou opérationnels d’une entreprise. Ils varient selon les secteurs : taux de conversion, panier moyen, ROI, taux de rétention, etc. Suivre les bons KPI permet d’orienter les décisions et d’optimiser la performance.
KYC (Know Your Customer) : KYC désigne le processus d’identification des clients exigé dans les secteurs financier et réglementé. Les entreprises collectent et vérifient des documents d’identité pour lutter contre la fraude, le financement du terrorisme ou le blanchiment. Ce dispositif est essentiel pour la conformité légale et pour maintenir des relations commerciales sécurisées.
LIFO (Dernier entré, premier sorti) : La méthode LIFO, à l’opposé du FIFO, consiste à utiliser en priorité les produits les plus récents. Elle est parfois utilisée en comptabilité dans des contextes d’inflation, mais peu adaptée à la gestion physique des stocks, notamment pour les denrées périssables ou les produits à durée de vie limitée.
Logiciels de création de site e-Commerce : Ces solutions facilitent la conception, le lancement et la gestion d’un site marchand sans compétences techniques avancées. Elles incluent des modèles de pages, des modules de paiement, de gestion de stocks et de livraison. Elles permettent aux entreprises de vendre en ligne avec une expérience utilisateur fluide et sécurisée.
Logiciels e-Commerce : Ils regroupent des fonctionnalités avancées pour gérer une boutique en ligne : catalogue produits, tunnel d’achat, gestion des clients, suivi des commandes, promotions, intégration CRM et ERP. Ils visent à maximiser les ventes, améliorer la conversion et offrir un service après-vente efficace, tout en assurant la conformité juridique.
LTL (Moins qu’un chargement de camion) : Le LTL (Less Than Truckload) est une méthode d’expédition où plusieurs expéditeurs partagent l’espace d’un même camion. Elle est adaptée aux envois de taille intermédiaire, permettant de réduire les coûts logistiques tout en offrant un bon niveau de service, bien que les délais puissent être plus longs.
LTV : Valeur à vie : prévision du bénéfice net attribué à une relation client sur sa durée. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux allouer leur budget publicitaire, de suivre la performance des campagnes et d’optimiser l’acquisition client de manière précise et mesurable.
ML (apprentissage automatique) : L’apprentissage automatique est un domaine de l’intelligence artificielle fondé sur la capacité des machines à apprendre à partir de données. Grâce à des algorithmes évolutifs, le système améliore ses performances sans être explicitement programmé pour chaque tâche. Il est utilisé pour la reconnaissance faciale, la prédiction ou l’analyse comportementale.
MOQ (Quantité minimale de commande) : Le MOQ est le seuil minimal imposé par un fournisseur pour valider une commande. Il permet au fabricant d’assurer une rentabilité logistique ou de production. Les petites structures peuvent être pénalisées par un MOQ élevé, d’où la nécessité de négociation ou d’achats groupés pour y répondre.
MRR : Revenus mensuels récurrents : mesure d’un flux de revenus régulier généré par les abonnements mensuels. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux planifier leur chiffre d’affaires et d’anticiper leur croissance avec fiabilité.
MVP (Minimum Viable Product) : Le MVP est une version simplifiée d’un produit, contenant uniquement ses fonctionnalités essentielles. Il permet de le tester rapidement sur un marché cible, recueillir des retours d’utilisateurs, valider les hypothèses et ajuster le développement ultérieur. C’est une méthode phare du lean startup.
NFC (Near Field Communication) : La technologie NFC permet une communication sans fil entre deux appareils à très courte distance, généralement moins de 4 centimètres. Utilisée principalement pour les paiements sans contact, les transports ou l’accès sécurisé, elle offre une solution rapide, pratique et sécurisée pour échanger des données en rapprochant simplement deux dispositifs compatibles.
NFT (jeton non fongible) : Un NFT est un certificat numérique unique enregistré sur une blockchain, garantissant l’authenticité d’un actif numérique (œuvre, musique, objet virtuel). Contrairement aux cryptomonnaies, ils ne sont pas interchangeables. Les NFT sont utilisés dans l’art, le gaming, ou le métavers, et suscitent des débats sur la valeur, la propriété et l’usage.
NPS : Net Promoter Score : mesure de la fidélité client fondée sur une question simple : « Recommanderiez-vous ce produit ? ». Il classe les clients en promoteurs, passifs ou détracteurs, permettant de calculer un score global. Cet outil est utilisé pour suivre la satisfaction, prévenir les insatisfactions et améliorer l’expérience client.
O2O (Online to Offline) : Le modèle O2O désigne les stratégies qui utilisent les canaux numériques pour attirer les consommateurs vers des points de vente physiques. Cela inclut la prise de rendez-vous en ligne, le click-and-collect, ou les campagnes web-to-store. Ce modèle favorise la synergie entre e-commerce et commerce traditionnel.
OPEX (Operating Expenses) : Les OPEX englobent les dépenses quotidiennes engagées pour le fonctionnement régulier d’une entreprise : loyers, salaires, énergie, fournitures, entretien, etc. Elles s’opposent aux CAPEX, qui concernent les investissements à long terme. Leur gestion rigoureuse permet de contrôler les coûts, d’augmenter la marge opérationnelle et d’améliorer la compétitivité de l’entreprise.
ORM (Online Reputation Management) : L’ORM consiste à surveiller, gérer et améliorer l’image en ligne d’une marque, entreprise ou individu. Il s’appuie sur la gestion des avis, la veille sur les médias sociaux, la publication de contenus positifs et la réaction en cas de crise pour préserver la réputation numérique.
OTT (Over The Top) : Les services OTT désignent la diffusion de contenus (vidéo, audio, messagerie) via Internet sans passer par les infrastructures traditionnelles comme la télévision ou la radio. Ils incluent des plateformes comme Netflix ou Spotify. Ce modèle déstabilise les acteurs historiques en offrant des contenus accessibles sur tout type d’appareil connecté.
P&L (Profit and Loss) : Le compte de profits et pertes est un document comptable synthétisant les revenus et charges d’une entreprise sur une période. Il permet de dégager un résultat net (bénéfice ou perte) et d’évaluer la performance économique. Il est central pour les bilans, la gestion budgétaire et la communication financière.
PA (Page Authority) : L’autorité de page (PA) est un indicateur de performance SEO attribué à une page Web spécifique. Ce score, de 1 à 100, prédit sa capacité à se positionner favorablement dans les moteurs de recherche. Il se fonde sur la qualité des liens, le contenu, et l’indexation de la page concernée.
PaaS (Platform as a Service) : Le PaaS fournit une infrastructure complète en ligne pour le développement, le test, le déploiement et la gestion d’applications. Les développeurs peuvent se concentrer sur la création de solutions sans gérer les aspects matériels ou logiciels sous-jacents. C’est une solution prisée pour sa rapidité et son évolutivité.
PCI DSS (Payment Card Industry Data Security Standard) : Le PCI DSS est un ensemble de normes internationales visant à sécuriser les données bancaires lors des transactions par carte. Obligatoire pour les entreprises manipulant des informations de paiement, il encadre le traitement, le stockage et la transmission des données, garantissant ainsi la confidentialité et la protection contre les fraudes.
PII (Informations personnelles identifiables) : Les PII désignent toute information pouvant être utilisée, seule ou en combinaison, pour identifier une personne. Il peut s’agir de données directes (nom, numéro de sécurité sociale) ou indirectes (adresse IP, localisation). La protection des PII est cruciale dans les réglementations sur la vie privée et dans la gestion des données numériques.
PIM (Product Information Management) : Le PIM est un système centralisé permettant de collecter, enrichir, gérer et diffuser toutes les données produits (descriptions, visuels, prix, spécifications) sur les canaux e-commerce, marketplaces, catalogues. Il garantit la cohérence, la qualité des informations et accélère la mise sur le marché des produits.
POD (Preuve de livraison) : La preuve de livraison est un document ou une signature électronique confirmant que le destinataire a bien reçu les marchandises. Elle garantit la traçabilité de l’expédition et protège les vendeurs contre les contestations. Elle peut inclure la date, l’heure, l’identité du réceptionnaire et la condition du colis.
POS (Point of Sale) : Le point de vente désigne l’endroit ou le système où une transaction entre le commerçant et le client est finalisée. Il comprend à la fois le matériel (caisse, terminal) et les logiciels utilisés. Le POS collecte les paiements, émet les reçus et facilite la gestion des stocks et des ventes.
PPC : Paiement par clic : modèle publicitaire dans lequel les annonceurs paient des frais chaque fois que l’on clique sur l’une de leurs annonces. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux allouer leur budget publicitaire, de suivre la performance des campagnes et d’optimiser l’acquisition client de manière précise et mesurable.
PPS (Pay Per Sale) : Le modèle PPS est une forme de rémunération à la performance utilisée notamment en marketing d’affiliation. Le partenaire perçoit une commission uniquement lorsqu’une vente qualifiée est générée grâce à son action. Cela permet à l’entreprise de maîtriser ses coûts d’acquisition tout en incitant les affiliés à l’efficacité.
PV : Les pages vues désignent le nombre total de pages chargées sur un site web durant une période donnée. Cet indicateur reflète l’activité générale d’un site, sa capacité à retenir l’attention, mais doit être croisé avec d’autres métriques pour en tirer des conclusions qualitatives.
REST : REST (Representational State Transfer) est un ensemble de principes architecturaux permettant de concevoir des services web. Basé sur le protocole HTTP, il facilite l’interaction entre différents systèmes grâce à des appels stateless. REST est souvent utilisé dans les API pour permettre l’accès, la création ou la modification de ressources à distance.
RFI (Demande d’informations) : La demande d’informations (Request for Information) précède généralement une RFP ou RFQ. Elle vise à recueillir des renseignements auprès de fournisseurs potentiels sur leurs offres, capacités ou innovations. L’objectif est de préparer le terrain décisionnel avant de lancer un processus d’achat structuré.
RFID (identification par radiofréquence) : La RFID permet l’identification automatique d’objets via des ondes radio et des puces électroniques. Ce système, utilisé en logistique, commerce ou santé, facilite le suivi des stocks, la traçabilité des produits ou le contrôle d’accès. Les étiquettes RFID peuvent être passives ou actives selon leur source d’alimentation.
RFM (Récence, Fréquence, Montant) : La segmentation RFM classe les clients selon trois critères : la date de leur dernier achat (récence), la fréquence d’achat, et le montant dépensé. Cet outil marketing identifie les clients les plus rentables et adapte les campagnes pour améliorer la fidélisation et les ventes.
RFP (Demande de proposition) : Une demande de proposition (Request for Proposal) est un document émis pour inviter des prestataires à soumettre des offres détaillées en réponse à un besoin complexe. Elle intervient souvent dans le cadre d’appels d’offres, notamment pour des projets à forte valeur ajoutée ou des prestations sur mesure.
RFQ (Demande de devis) : La demande de devis (Request for Quotation) est une procédure formalisée par laquelle une entreprise sollicite plusieurs fournisseurs afin d’obtenir une proposition de prix pour un produit ou un service spécifique. Elle permet de comparer les offres commerciales en vue d’une sélection fondée sur des critères définis.
RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) : Le RGPD est un règlement européen entré en vigueur en 2018 visant à encadrer la collecte, le traitement et le stockage des données personnelles. Il impose des obligations strictes en matière de transparence, de consentement, de sécurité et de droit à l’oubli. Son respect est essentiel pour les entreprises traitant des données.
RMA : L’autorisation de retour de marchandise est une procédure encadrée permettant aux clients de retourner des produits. Elle constitue un levier de satisfaction client et un élément clé de la logistique inverse, tout en impliquant un suivi précis pour limiter les impacts financiers.
ROAS : Retour sur les dépenses publicitaires : indicateur mesurant l’efficacité d’une campagne publicitaire numérique. Ce modèle ou indicateur est essentiel pour évaluer la rentabilité ou le coût d’une stratégie marketing. Il permet aux entreprises de mieux allouer leur budget publicitaire, de suivre la performance des campagnes et d’optimiser l’acquisition client de manière précise et mesurable.
ROI : Retour sur investissement : mesure de rentabilité d’une dépense ou d’un projet. Il se calcule comme le rapport entre le gain net généré et le coût initial. Utilisé en gestion, finance et marketing, le ROI permet de comparer différentes stratégies et de guider les décisions d’allocation budgétaire.
RSS (Really Simple Syndication) : Le RSS est un protocole permettant de suivre les mises à jour de contenus en ligne de manière automatisée. Grâce à ce flux, les utilisateurs reçoivent directement les nouveaux articles ou publications sans visiter les sites concernés. Il s’agit d’un outil de veille essentiel pour l’information, les blogs ou la presse spécialisée.
RTP (Real-Time Processing) : Le traitement en temps réel désigne la capacité d’un système à exécuter une transaction instantanément dès sa réception. Dans le e-commerce et les services financiers, cette fonctionnalité est cruciale pour les paiements, la gestion des stocks ou la relation client. Elle améliore la réactivité, la fiabilité et l’expérience utilisateur.
SaaS (Software as a Service) : Le SaaS est un modèle de distribution dans lequel un logiciel est hébergé sur le cloud et accessible via Internet. L’utilisateur paie un abonnement pour accéder aux fonctionnalités sans avoir à installer le programme. Ce modèle favorise la flexibilité, la maintenance centralisée et la mise à jour continue.
SCM (Gestion de la chaîne d’approvisionnement) : La SCM (Supply Chain Management) désigne l’ensemble des activités visant à gérer les flux de matières, d’informations et de finances depuis le fournisseur jusqu’au client final. Elle couvre la planification, l’approvisionnement, la production, la logistique et la distribution. Son efficacité conditionne la compétitivité des entreprises.
SEM (Search Engine Marketing) : Le SEM englobe l’ensemble des techniques visant à accroître la visibilité d’un site dans les moteurs de recherche, incluant le SEO et les campagnes de publicité payante (PPC). Cette stratégie combine référencement naturel et annonces sponsorisées pour capter différents types de trafic et améliorer la notoriété numérique.
SEO (Search Engine Optimization) : Le SEO désigne l’ensemble des techniques utilisées pour améliorer la visibilité d’un site dans les résultats organiques des moteurs de recherche (SERP). Cela comprend l’optimisation du contenu, de la structure, des balises, de la performance technique et de la notoriété (backlinks), afin d’attirer un trafic qualifié durablement.
SERP (Search Engine Results Page) : La SERP est la page affichée par un moteur de recherche après une requête utilisateur. Elle contient des résultats organiques, des annonces payantes (SEA), des snippets enrichis ou des cartes locales. Elle reflète les critères de pertinence, d’autorité et d’optimisation SEO liés aux mots-clés recherchés.
SKU (Unité de gestion des stocks) : Le SKU (Stock Keeping Unit) est un identifiant unique attribué à chaque produit ou variante de produit dans un système de gestion des stocks. Ce code facilite le suivi, la gestion logistique, la planification des approvisionnements et la traçabilité des articles tout au long de leur cycle de vie.
SLA (Accord de niveau de service) : L’accord de niveau de service définit les engagements contractuels entre un fournisseur de services et son client. Il spécifie les niveaux de qualité attendus en matière de disponibilité, performance, assistance, et établit des obligations mutuelles. Le SLA permet de formaliser les attentes et de garantir un niveau de service mesurable.
SMM (Social Media Marketing) : Le SMM regroupe les actions de promotion et de communication réalisées sur les réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn, Instagram, etc.). Il vise à renforcer la notoriété, interagir avec les communautés, générer du trafic et stimuler les conversions. Il combine contenus organiques, campagnes sponsorisées et gestion de l’e-réputation.
SOAP : Le protocole SOAP (Simple Object Access Protocol) est une norme de communication qui permet d’échanger des messages structurés entre applications, souvent dans un contexte de services web. Il repose sur XML et est indépendant du langage ou du système. SOAP est adapté aux environnements nécessitant sécurité, robustesse et validation stricte.
SOX (Sarbanes-Oxley Act) : La loi SOX, adoptée aux États-Unis en 2002, vise à restaurer la confiance des investisseurs après des scandales financiers. Elle impose des règles strictes en matière de transparence, de contrôle interne et de responsabilité des dirigeants. Elle s’applique aux sociétés cotées et à leurs auditeurs, renforçant l’intégrité de l’information financière.
SQL : Le SQL (Structured Query Language) est un langage informatique utilisé pour interroger, manipuler et gérer les bases de données relationnelles. Il permet de sélectionner, insérer, modifier ou supprimer des données à travers des requêtes. SQL est indispensable pour exploiter efficacement les informations stockées dans les systèmes de gestion de données.
SSL : Le SSL (Secure Sockets Layer) est une technologie de sécurité standard utilisée pour chiffrer les communications entre un serveur et un client. Elle garantit l’intégrité et la confidentialité des données échangées, notamment lors des transactions en ligne. Le SSL est essentiel pour sécuriser les sites web et instaurer la confiance des utilisateurs.
SWOT (Strengths, Weaknesses, Opportunities, Threats) : La matrice SWOT est une méthode d’analyse stratégique qui identifie les forces, faiblesses internes, ainsi que les opportunités et menaces externes d’un projet ou d’une entreprise. Elle permet de positionner l’organisation face à son environnement et d’orienter les décisions selon ses atouts et risques.
TCO (Total Cost of Ownership) : Le TCO représente le coût total d’un actif tout au long de son cycle de vie, incluant le prix d’achat, les frais de maintenance, les coûts d’exploitation et de mise à jour. Cette approche est utilisée pour évaluer les investissements stratégiques, notamment en matière de logiciels, d’équipements ou d’infrastructures.
TMS (Système de gestion des transports) : Le TMS (Transport Management System) est une solution logicielle qui permet de planifier, exécuter et optimiser le transport des marchandises. Il gère les itinéraires, les transporteurs, les coûts, les documents d’expédition et offre une traçabilité. Il est indispensable pour coordonner les opérations de logistique et réduire les coûts.
TOS (Terms of Service) : Les TOS sont des conditions contractuelles régissant l’utilisation d’un service numérique, site web ou application. Ils précisent les droits et devoirs des utilisateurs, les limitations de responsabilité, les règles de conduite et les procédures de résiliation. Leur acceptation est un préalable à l’accès légal aux services concernés.
TVA (Taxe sur la valeur ajoutée) : La TVA est une taxe indirecte sur la consommation, collectée par les entreprises à chaque étape de la chaîne de production ou de distribution. Elle est reversée à l’administration fiscale, avec compensation entre TVA collectée et déductible. Sa gestion correcte est un enjeu comptable et fiscal pour toute entreprise.
UI (User Interface) : L’interface utilisateur désigne les éléments visuels et interactifs (boutons, menus, formulaires) par lesquels l’utilisateur interagit avec un système ou une application. Son ergonomie, sa lisibilité et sa cohérence sont essentielles pour une navigation intuitive. Elle est complémentaire à l’UX et joue un rôle crucial dans l’adoption d’un produit.
USP (Unique Selling Proposition) : L’USP est la promesse unique qui distingue un produit ou service de ses concurrents. Elle met en avant un avantage concurrentiel déterminant (prix, innovation, qualité, service, etc.) et sert de socle aux messages marketing pour convaincre les consommateurs et guider leur choix.
UV : Les visiteurs uniques représentent le nombre d’individus distincts ayant accédé à un site sur une période donnée. Ce chiffre permet d’évaluer l’audience réelle et la portée d’un site, à la différence des pages vues qui comptent les interactions multiples d’un même visiteur.
UX (User Experience) : L’expérience utilisateur désigne la qualité du ressenti global d’un utilisateur lors de l’utilisation d’un produit ou d’un service, notamment numérique. Elle englobe la fluidité, l’esthétique, la facilité d’usage et la satisfaction globale. Une bonne UX améliore l’engagement, la fidélisation et les taux de conversion.
VOD (Video on Demand) : La VOD permet aux utilisateurs d’accéder à des contenus vidéo à la demande, sans horaire fixe de diffusion. Ces services sont disponibles en ligne via abonnement (SVOD), achat ou location. Ils ont profondément modifié la consommation audiovisuelle en offrant liberté, personnalisation et accessibilité depuis différents supports numériques.
VR (réalité virtuelle) : La réalité virtuelle propose une simulation interactive d’un environnement entièrement numérique. Grâce à un casque immersif, elle plonge l’utilisateur dans un univers artificiel, utilisé dans les jeux vidéo, la formation professionnelle, l’architecture ou la médecine. Elle permet d’expérimenter des situations complexes sans contrainte physique ou matérielle réelle.
WMS (Système de gestion d’entrepôt) : Un WMS (Warehouse Management System) est un logiciel permettant de gérer efficacement les flux logistiques au sein d’un entrepôt. Il assure la traçabilité des marchandises, optimise le stockage, facilite la préparation des commandes, contrôle les stocks en temps réel et contribue à réduire les erreurs et délais d’exécution.
WWW : Le World Wide Web (WWW) est un système hypertexte public fonctionnant sur Internet, qui permet d’accéder à des documents interconnectés par des liens. Chaque ressource est identifiée par une URL. Le Web constitue l’un des principaux services d’Internet, rendant possible la navigation à travers des contenus multimédias accessibles mondialement
Glossaire de la comptabilité : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire comptabilité pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier de la comptabilité . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’Achats à TVA) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
La comptabilité est une discipline structurée par des règles, des normes et des obligations légales strictes. Dans ce cadre, la maîtrise du vocabulaire comptable est essentielle pour assurer la fiabilité des enregistrements, la clarté des états financiers et la conformité aux exigences fiscales. Chaque terme utilisé possède une signification précise qui conditionne l’interprétation des chiffres et la qualité des décisions économiques qui en découlent.
Des notions telles que actif, passif, bilan, compte de résultat, amortissement, provision, produits, charges, journal, grand livre ou plan comptable constituent la base du langage professionnel utilisé au quotidien par les comptables, les experts-comptables, les contrôleurs de gestion et les auditeurs. Une mauvaise compréhension ou une utilisation imprécise de ces termes peut entraîner des erreurs d’enregistrement, des déclarations erronées ou des décisions inappropriées.
Ce vocabulaire facilite également le dialogue entre les différents services de l’entreprise (direction, finance, fiscalité, juridique) et les tiers externes (administration fiscale, commissaires aux comptes, partenaires financiers). Il permet de produire des documents lisibles, structurés et auditables, essentiels à la transparence financière et à la crédibilité de l’entreprise.
Achats : Les achats désignent les acquisitions de biens ou services nécessaires à l’activité de l’entreprise. Ils concernent aussi bien les matières premières que les prestations externes et sont consommés ou transformés pour générer du chiffre d’affaires. Ils figurent parmi les charges d’exploitation et leur maîtrise est essentielle pour la rentabilité.
Actif : L’actif représente tout ce que possède une entreprise et qui est susceptible de générer des avantages économiques futurs. Il inclut les immobilisations (corporelles, incorporelles, financières), les créances, les stocks et la trésorerie. Un actif doit être identifiable, contrôlé par l’entreprise et valorisable de manière fiable dans les comptes.
Actif circulant : Cet actif à court terme comprend les éléments destinés à être utilisés, consommés ou transformés dans le cycle normal d’exploitation, comme les stocks, les créances clients ou la trésorerie. Sa rotation rapide permet à l’entreprise de financer son activité et d’assurer la liquidité nécessaire au fonctionnement quotidien.
Actif courant : Un actif est qualifié de courant s’il est censé être vendu, utilisé ou converti en trésorerie dans l’année suivant sa comptabilisation. Cela comprend notamment les créances clients, les stocks et les liquidités. Il s’oppose à l’actif non courant destiné à rester durablement dans le patrimoine.
Actif d’impôt différé : Il s’agit d’un avantage fiscal futur inscrit à l’actif, généralement issu de décalages entre les règles comptables et fiscales. Il représente une économie d’impôt probable dans les années à venir et reflète des pertes reportables ou des déductions fiscales à venir inscrites de manière anticipée.
Actif économique : L’actif économique correspond aux ressources productives d’une entreprise, mobilisées pour générer de la valeur. Il regroupe les immobilisations et le besoin en fonds de roulement. Cet actif est financé par les capitaux propres et les dettes financières, et sert souvent de base à l’évaluation de la performance.
Actif immobilisé : Les actifs immobilisés sont des biens destinés à être utilisés de manière durable dans l’activité, sans être revendus rapidement. Ils se divisent en immobilisations corporelles (matériel, immeubles), incorporelles (brevets, licences) et financières (titres de participation, prêts). Leur amortissement répartit leur coût sur leur durée d’usage.
Actionnaire : Un actionnaire est une personne physique ou morale détentrice de parts dans une société par actions. Il participe à la vie de l’entreprise via les assemblées générales, reçoit des dividendes et bénéficie d’une part du patrimoine en cas de liquidation. Sa responsabilité est limitée à son apport.
Activité de nature civile : Les activités civiles regroupent les professions libérales, agricoles ou artisanales, excluant tout acte de commerce. Elles sont régies par le droit civil et non par le code de commerce. Elles impliquent un régime juridique et fiscal spécifique, souvent plus souple en termes d’obligations comptables.
Activité de nature commerciale : Une activité commerciale implique l’exercice d’actes de commerce (achat-revente, intermédiaire, production, transport…). Elle relève du droit commercial, avec des obligations spécifiques comme l’immatriculation au registre du commerce, la tenue d’une comptabilité commerciale et l’application des règles du Code de commerce.
Actualisation : L’actualisation est une méthode d’évaluation consistant à convertir des flux futurs en valeur présente en appliquant un taux d’actualisation. Elle permet de comparer des projets d’investissement ou de calculer la valeur actuelle nette (VAN) et ainsi déterminer la rentabilité d’une opération dans le temps.
Amortissement : L’amortissement comptabilise la perte de valeur d’un actif immobilisé sur sa durée d’utilisation. Il traduit une consommation progressive de l’actif dans l’activité de l’entreprise. Cette écriture est non décaissable mais réduit le résultat imposable. Plusieurs méthodes existent : linéaire, dégressif, ou selon l’usage.
Amortissement dégressif : Cette méthode permet une déduction accélérée de la valeur d’un bien en comptabilisant des charges d’amortissement plus élevées en début de vie. Cela reflète souvent une obsolescence rapide. Elle est fiscalement avantageuse pour les entreprises ayant un besoin de réduction de leur résultat imposable à court terme.
Amortissement linéaire : L’amortissement linéaire répartit de manière constante la valeur d’un actif sur sa durée de vie utile. Chaque exercice comptabilise une charge équivalente. Cette méthode, la plus couramment utilisée, convient aux biens dont l’utilisation est stable dans le temps et permet une visibilité sur les charges futures.
Analyse financière : L’analyse financière évalue la santé d’une entreprise à travers l’étude de ses états financiers. Elle examine sa rentabilité, sa structure de financement, sa solvabilité et sa capacité à générer du cash. Elle sert aux dirigeants, investisseurs et prêteurs pour orienter les décisions stratégiques et financières.
Annuité de remboursement des dettes financières : Elle représente la somme annuelle à verser pour rembourser un emprunt, incluant capital et intérêts. L’annuité peut être constante ou variable selon les modalités du contrat. Elle impacte directement la trésorerie de l’entreprise et doit être intégrée dans l’évaluation de sa capacité d’endettement.
Apport : L’apport constitue la contribution d’un associé ou actionnaire à une société. Il peut être réalisé en numéraire (argent), en nature (biens) ou en industrie (compétences). En échange, il confère des droits sociaux et détermine la part de capital détenue, influençant les droits financiers et décisionnels.
Assemblée Générale Ordinaire (AGO) : L’AGO est une réunion annuelle obligatoire des associés ou actionnaires pour approuver les comptes, décider de l’affectation du résultat et examiner la gestion. Elle est encadrée par la loi et constitue un moment clé dans la gouvernance d’une entreprise, garantissant la transparence et l’information.
Associé : Un associé détient une part du capital social d’une société et participe à sa gestion selon les statuts. Il a droit aux bénéfices (dividendes) et à l’information financière. Dans les sociétés de personnes, sa responsabilité peut être étendue. Il exerce son pouvoir lors des assemblées.
Autofinancement : L’autofinancement désigne la capacité de l’entreprise à investir grâce à ses ressources propres, issues des bénéfices non distribués. Il renforce son indépendance financière, limite le recours à la dette et améliore sa solvabilité. C’est un indicateur clé de la solidité financière et de la rentabilité opérationnelle.
Autonomie financière (Ratio de) : Ce ratio mesure la proportion des capitaux propres dans le financement global de l’entreprise. Il permet d’évaluer la dépendance aux financements extérieurs. Un ratio élevé indique une bonne autonomie financière et une solidité vis-à-vis des créanciers, ce qui rassure investisseurs et banques.
Autoressource : Terme parfois utilisé pour désigner les ressources propres d’une entreprise, comme le résultat net ou la capacité d’autofinancement. Ces ressources permettent à l’entreprise de couvrir ses investissements ou son exploitation sans recourir à des sources externes. Elles sont essentielles à la pérennité financière.
Autres charges externes : Ces charges regroupent les dépenses liées au fonctionnement de l’entreprise hors production directe : sous-traitance, entretien, assurances, frais de déplacement, etc. Elles figurent au compte de résultat et reflètent l’importance des prestations et services utilisés. Leur maîtrise est essentielle à la rentabilité.
Balance : La balance comptable est un tableau récapitulatif listant tous les comptes utilisés par l’entreprise avec leur solde débiteur ou créditeur. Elle permet de vérifier l’équilibre des écritures et sert de base à l’établissement des états financiers, notamment le bilan et le compte de résultat. C’est un outil central de contrôle.
Banque : Une banque est un établissement financier qui gère les comptes courants des entreprises, propose des services de paiement, de crédit et de placement. En comptabilité, les opérations bancaires sont enregistrées dans les comptes de trésorerie et influencent directement la liquidité de l’entreprise. Elle est un partenaire clé pour le financement.
Base amortissable : La base amortissable est la valeur d’un actif à répartir sur sa durée d’utilisation. Elle est généralement égale au prix d’acquisition diminué de la valeur résiduelle estimée. Cette base détermine le montant annuel de l’amortissement, influençant le résultat comptable de l’entreprise sur plusieurs exercices.
Bénéfice : Le bénéfice est le solde positif résultant de l’activité d’une entreprise sur une période donnée, calculé comme la différence entre les produits et les charges. Il peut être affecté à l’autofinancement, distribué en dividendes ou mis en réserve. Il constitue un indicateur central de performance économique.
Bénéfice comptable : Le bénéfice comptable est le résultat net avant impôt tel qu’il ressort des comptes. Il inclut les produits et charges d’exploitation, financiers et exceptionnels. Il ne tient pas compte des retraitements fiscaux. C’est la première mesure de performance financière disponible à la clôture d’un exercice.
Bénéfice fiscal : Le bénéfice fiscal est la base de calcul de l’impôt sur les sociétés. Il est déterminé à partir du bénéfice comptable, après retraitement des éléments non déductibles ou non imposables. Ce résultat est encadré par la réglementation fiscale et peut différer significativement du résultat comptable.
Besoin en fonds de roulement (BFR) : Le BFR mesure les ressources nécessaires à l’entreprise pour financer son cycle d’exploitation, en comparant les actifs et les passifs à court terme. Un BFR élevé indique que l’entreprise doit mobiliser plus de trésorerie pour fonctionner. Son pilotage est crucial pour éviter les tensions de trésorerie.
BFR négatif : Un BFR négatif signifie que l’entreprise dispose de ressources d’exploitation supérieures à ses besoins, ce qui améliore sa trésorerie. Cela peut être le cas des sociétés encaissant avant de livrer. Ce positionnement confère une marge de sécurité financière appréciable, mais doit être analysé en lien avec l’activité.
BFRE (d’exploitation) : Le besoin en fonds de roulement d’exploitation correspond à la partie du BFR directement liée à l’activité (stocks, créances, dettes fournisseurs). Il exclut les éléments exceptionnels. Une bonne gestion du BFRE permet d’optimiser les flux opérationnels et de préserver la santé financière de l’entreprise.
BFRHE (hors exploitation) : Le BFR hors exploitation est constitué d’éléments exceptionnels ou non récurrents (créances fiscales, charges exceptionnelles). Il peut varier fortement d’un exercice à l’autre. Il est utile pour isoler les éléments non directement liés à l’exploitation courante dans l’analyse de la structure financière.
Bien : Un bien est un élément économique, matériel ou immatériel, susceptible d’être possédé, utilisé ou échangé. Dans l’entreprise, il peut s’agir de biens de production, de vente ou d’investissement. Les biens sont au cœur de l’activité productive et de la valorisation du patrimoine.
Bien d’équipement : Un bien d’équipement est un actif immobilisé utilisé durablement dans le processus de production. Il s’agit de machines, outils, véhicules, bâtiments industriels, etc. Ces investissements sont amortis sur plusieurs années. Ils représentent un levier de productivité et un indicateur de la politique industrielle de l’entreprise.
Bilan : Le bilan est un document de synthèse qui présente à un instant donné l’état du patrimoine de l’entreprise : à l’actif ce qu’elle possède, au passif ce qu’elle doit. Il reflète la structure financière, la solvabilité et l’équilibre entre emplois et ressources. Il est obligatoire en fin d’exercice.
Business angel : Un business angel est un investisseur privé qui apporte des fonds propres à une start-up en phase de création ou de développement. Il s’implique souvent dans la gouvernance et offre un accompagnement stratégique. Il prend un risque important en échange d’un potentiel de plus-value à moyen terme.
Business model : Le business model décrit la manière dont une entreprise crée, délivre et capture de la valeur. Il précise l’offre, la clientèle cible, les canaux de distribution, les ressources clés, les partenaires, les coûts et les sources de revenus. Il constitue un socle stratégique pour le pilotage de l’activité.
Business plan : Le business plan est un document de projection synthétisant la stratégie, les objectifs, les prévisions financières et les besoins en financement d’une entreprise. Il sert à convaincre investisseurs, banques ou partenaires. Il contient généralement une étude de marché, un plan d’action, un compte de résultat prévisionnel et un plan de financement.
Capacité d’autofinancement (CAF) : La CAF mesure les ressources internes générées par l’activité, capables de financer les investissements et le remboursement des dettes. Elle se calcule à partir du résultat net, en réintégrant les charges non décaissables (amortissements, provisions). Elle est un indicateur clé de rentabilité et d’indépendance financière.
Capacité de remboursement : Ce ratio évalue la faculté de l’entreprise à rembourser ses dettes financières grâce à ses flux de trésorerie. Il est exprimé en nombre d’années. Plus il est faible, meilleure est la solvabilité. Il est scruté par les prêteurs et les analystes dans l’appréciation du risque de crédit.
Capital éclaté : Un capital éclaté est un capital social détenu par une multiplicité d’actionnaires sans qu’aucun ne détienne une majorité de contrôle. Cela peut limiter la prise de décisions stratégiques, rendre l’entreprise vulnérable à des OPA et accroître les tensions en assemblée générale.
Capital social : Le capital social représente l’ensemble des apports réalisés par les associés lors de la création ou de l’augmentation du capital d’une société. Il constitue une ressource stable et figure au passif du bilan. Il garantit les créanciers et détermine les droits des associés.
Capitaux permanents : Les capitaux permanents regroupent les capitaux propres et les dettes à moyen et long terme. Ils financent les investissements durables de l’entreprise. Leur analyse permet d’apprécier la stabilité du financement, l’équilibre financier global et la couverture des immobilisations.
Capitaux propres : Les capitaux propres sont les ressources propres de l’entreprise, issues des apports initiaux, des résultats non distribués et des réserves. Ils représentent la valeur nette de l’entreprise pour les actionnaires. Un niveau élevé de capitaux propres renforce la solidité financière et la capacité d’investissement.
Caution personnelle : La caution personnelle est un engagement pris par une personne physique de rembourser une dette d’entreprise en cas de défaillance de cette dernière. Très fréquente dans les prêts bancaires aux petites entreprises, elle engage le patrimoine personnel du dirigeant cautionnaire et accroît les risques.
Charges : Les charges sont les consommations de ressources nécessaires à l’activité de l’entreprise. Elles peuvent être d’exploitation (achats, salaires), financières (intérêts) ou exceptionnelles (sinistres). Elles diminuent le résultat et doivent être maîtrisées pour assurer la rentabilité. Elles figurent au compte de résultat.
Charges calculées : Les charges calculées sont des charges comptables sans sortie de trésorerie immédiate. Elles incluent notamment les dotations aux amortissements ou aux provisions. Leur objectif est de refléter fidèlement la consommation des actifs ou les risques futurs dans les comptes. Elles impactent le résultat mais non la trésorerie.
Charges d’exploitation : Ce sont toutes les charges liées à l’activité normale et courante de l’entreprise : achats, salaires, loyers, impôts, etc. Elles sont enregistrées dans le compte de résultat. Leur suivi permet d’évaluer la performance opérationnelle. Réduire les charges d’exploitation est un levier classique d’amélioration de la rentabilité.
Charges de personnel : Elles comprennent les salaires bruts, les charges sociales et fiscales afférentes, ainsi que les avantages en nature. Ces charges représentent souvent un poste important pour l’entreprise et doivent être maîtrisées. Elles ont un impact direct sur le résultat et reflètent aussi la politique sociale de l’entreprise.
Charges exceptionnelles : Ces charges correspondent à des événements inhabituels, non récurrents et distincts de l’activité normale, comme une amende, une perte liée à un sinistre ou des restructurations. Elles sont isolées dans les comptes pour ne pas biaiser l’analyse de la performance récurrente de l’entreprise.
Charges financières : Les charges financières regroupent les intérêts sur emprunts, les pertes de change, les dépréciations d’actifs financiers et les autres coûts liés au financement. Elles figurent dans le compte de résultat et influencent directement le résultat net. Une entreprise trop endettée peut voir ses charges financières peser lourdement.
Charges salariales : Les charges salariales sont l’ensemble des contributions sociales et fiscales supportées par l’entreprise en lien avec les rémunérations. Elles incluent les cotisations patronales et les prélèvements sur les salaires. Elles constituent un coût du travail important à prendre en compte dans la gestion des ressources humaines.
Chiffre d’affaires (CA) : Le chiffre d’affaires correspond au total des ventes de biens ou de services réalisées par une entreprise sur une période donnée. Il mesure l’activité commerciale et constitue la principale source de revenus. Le CA est un indicateur fondamental suivi de près pour évaluer la dynamique de croissance.
Coefficient d’actualisation : Le coefficient d’actualisation permet de convertir une valeur future en valeur actuelle. Il dépend du taux d’actualisation et de la durée. Il est utilisé dans les analyses financières pour évaluer la rentabilité des investissements (VAN, TRI) et la pertinence des projets à long terme.
Commissaire aux comptes (CAC) : Le commissaire aux comptes est un auditeur indépendant chargé de certifier la régularité et la sincérité des comptes annuels. Il vérifie les procédures, la cohérence des états financiers et alerte sur toute anomalie. Sa présence est obligatoire pour les sociétés dépassant certains seuils légaux.
Comptabilité : La comptabilité est un système d’enregistrement des opérations financières d’une entreprise. Elle permet de suivre l’activité, d’établir les comptes annuels, d’informer les parties prenantes et de satisfaire aux obligations légales. Elle est organisée autour du plan comptable et suit des règles précises de classement et de présentation.
Compte : Un compte est une unité de classement des flux comptables. Chaque opération financière est enregistrée dans un ou plusieurs comptes selon sa nature (produit, charge, actif, passif). L’ensemble des comptes constitue le plan comptable. Le solde d’un compte reflète sa situation à un moment donné.
Compte courant d’associé : Il s’agit d’un prêt à court terme consenti par un associé à la société, souvent utilisé pour financer l’exploitation. Il génère une dette de l’entreprise envers l’associé et peut être rémunéré. Il est remboursable sur demande ou selon les clauses définies dans les statuts ou une convention.
Compte de résultat : Le compte de résultat présente l’ensemble des produits et des charges de l’entreprise sur une période donnée. Il permet de déterminer le résultat net de l’exercice (bénéfice ou perte). Il est structuré par grandes catégories : exploitation, financier, exceptionnel, avant impôt et après impôt.
Concours bancaire courant : Ce sont les facilités de trésorerie accordées à court terme par les banques : découvert autorisé, ligne de crédit, escompte, etc. Ils permettent de couvrir les besoins de financement ponctuels. Ils figurent au passif du bilan, parmi les dettes financières à court terme.
Consolidation : La consolidation regroupe les comptes de plusieurs sociétés d’un même groupe pour présenter une image unifiée. Elle élimine les opérations internes et permet d’analyser la situation financière globale. Elle est obligatoire pour les groupes dépassant certains seuils et suit des normes spécifiques (IFRS ou françaises).
Contrat de location : Un contrat de location donne à une entreprise le droit d’utiliser un bien contre paiement d’un loyer. Il peut être simple (location classique) ou avec option d’achat (leasing). Les implications comptables varient selon le type de contrat, notamment avec les normes IFRS qui imposent leur inscription au bilan.
Contrat de location simple : Il s’agit d’un contrat où le loueur conserve la propriété du bien, tandis que le locataire paie un loyer pour l’usage temporaire. Aucun transfert de risque ni d’avantage économique n’est opéré. En comptabilité, les loyers sont enregistrés en charges d’exploitation.
Contrat de location-financement : Ce contrat, souvent appelé leasing, transfère au locataire les risques et avantages liés au bien loué. Il est assimilé à un achat à crédit et implique une comptabilisation à l’actif, avec en contrepartie une dette au passif. Il est courant pour les véhicules ou matériels professionnels.
Court terme : En finance et comptabilité, le court terme désigne une échéance inférieure à 12 mois. Cela concerne les actifs et passifs liquides ou exigibles rapidement, comme les créances clients ou les dettes fournisseurs. La gestion du court terme est cruciale pour assurer la solvabilité immédiate.
Coût de la dette : Le coût de la dette est le taux moyen d’intérêt payé sur les emprunts. Il peut être brut ou net d’impôt. Un bon pilotage du coût de la dette permet d’optimiser la structure financière et de maximiser la rentabilité des capitaux propres grâce à l’effet de levier.
Coût moyen pondéré du capital (CMPC) : Le CMPC est un taux représentant le coût global du financement d’une entreprise, en prenant en compte la part du capital propre et de la dette. Il est utilisé comme taux d’actualisation dans les projets d’investissement. Il reflète le rendement exigé par les investisseurs et créanciers.
Créance : Une créance est un droit de recevoir un paiement de la part d’un tiers. Elle est inscrite à l’actif du bilan et peut concerner des clients, l’administration fiscale ou d’autres débiteurs. Sa gestion est essentielle pour préserver la trésorerie et réduire le risque d’impayé.
Créance client : Il s’agit d’un montant dû par un client à l’entreprise à la suite d’une vente. Elle est inscrite à l’actif et représente une part importante de la liquidité future. Le suivi des délais de règlement et le recouvrement sont des enjeux de gestion cruciaux.
Créance d’exploitation : Les créances d’exploitation regroupent les sommes dues dans le cadre de l’activité normale : ventes à crédit, TVA récupérable, etc. Elles sont distinguées des créances financières ou exceptionnelles. Leur rotation rapide est souhaitable pour assurer un bon cycle de trésorerie.
Création de valeur : La création de valeur mesure l’aptitude d’une entreprise à générer un rendement supérieur au coût de ses ressources. Elle repose sur la rentabilité économique, l’innovation, l’optimisation des coûts et la qualité du management. C’est un objectif clé pour les actionnaires et la stratégie à long terme.
Crédit : Le crédit est une avance de fonds consentie par un prêteur à une entreprise, remboursable avec intérêts. Il peut être bancaire, obligataire ou commercial. Il constitue une source de financement externe permettant d’investir ou de couvrir les besoins de trésorerie à condition d’en maîtriser le coût.
Crédit de TVA : Ce crédit résulte d’un excès de TVA déductible sur les achats par rapport à la TVA collectée sur les ventes. Il peut être reporté ou remboursé par l’administration fiscale. Il est inscrit à l’actif du bilan et améliore la trésorerie à court terme.
Crédit-bail : Le crédit-bail permet à une entreprise de louer un bien (souvent un équipement) avec une option d’achat en fin de contrat. Il combine les avantages de la location (flexibilité) et ceux de la propriété différée. Il est comptabilisé en immobilisation avec une dette correspondante dans certains cas.
Cycle d’exploitation : Le cycle d’exploitation comprend l’ensemble des opérations liées à l’activité : approvisionnement, production, commercialisation et encaissement. Sa durée influence le besoin en fonds de roulement et la trésorerie. Un cycle court permet une meilleure rotation du capital et une moindre dépendance au financement externe.
Décaissement : Un décaissement est une sortie effective de trésorerie. Il concerne le paiement de fournisseurs, de salaires, de dettes financières ou d’impôts. Il est enregistré dans les flux de trésorerie et doit être anticipé pour éviter les tensions de liquidité.
Délai de récupération (Payback) : Ce délai mesure le temps nécessaire pour que les flux nets générés par un investissement égalent le montant investi. C’est un indicateur de rentabilité simple, utilisé pour évaluer les projets. Plus le délai est court, plus l’investissement est jugé sûr.
Dette : La dette représente une obligation financière contractée par l’entreprise envers des tiers, tels que des fournisseurs, des établissements bancaires ou l’administration fiscale. Elle figure au passif du bilan et traduit l’engagement de l’entreprise à rembourser des montants dus selon des conditions convenues.
Dette d’exploitation : Il s’agit des dettes issues de l’activité courante de l’entreprise. Elles incluent principalement les montants dus aux fournisseurs, les charges sociales ou fiscales non encore payées. Ces dettes sont généralement à court terme et directement liées au fonctionnement quotidien de l’entité.
Dette financière : Cette catégorie regroupe les sommes empruntées auprès d’institutions financières ou par émission obligataire. Elles sont assorties d’intérêts et remboursables à moyen ou long terme. La dette financière reflète la politique de financement externe de l’entreprise et influence sa structure de capital.
Dette fournisseur : La dette fournisseur correspond aux achats de biens ou services réalisés par l’entreprise et non encore réglés. Elle constitue un passif à court terme et est utilisée pour évaluer le crédit fournisseur, soit le délai moyen de paiement accordé par les fournisseurs.
Dirigeant : Le dirigeant est la personne physique ou morale légalement habilitée à représenter, administrer et engager la société. Il peut être gérant, président ou administrateur selon la forme juridique de l’entreprise. Il est responsable de la gestion stratégique et opérationnelle de l’organisation.
Disponibilité : Les disponibilités désignent les liquidités immédiatement accessibles par l’entreprise. Elles incluent les soldes de caisse et de comptes bancaires. Ces ressources financières permettent de faire face aux engagements immédiats et constituent un indicateur clé de la trésorerie disponible.
Dividende : Le dividende est une part du bénéfice distribuée aux actionnaires. Son versement est décidé en assemblée générale et proportionnel à la détention du capital. Il constitue une rémunération du risque pris par les actionnaires et reflète la performance financière de l’entreprise.
Dotation aux amortissements : Cette écriture comptable traduit la perte de valeur d’un actif immobilisé liée à son usage ou à son obsolescence. Elle est étalée sur la durée d’utilisation de l’actif et permet d’ajuster sa valeur comptable tout en respectant le principe de prudence.
Dotation aux provisions pour dépréciation : Cette écriture comptable permet d’anticiper une baisse de valeur probable mais non définitive d’un actif. Elle reflète un risque identifié, comme une créance douteuse, et permet d’ajuster la valeur comptable de l’actif tout en respectant les principes de prudence et de sincérité des comptes.
Durée d’utilité : Il s’agit de la période pendant laquelle un actif immobilisé est censé générer des avantages économiques pour l’entreprise. Cette estimation est essentielle pour déterminer la durée d’amortissement applicable à l’actif concerné. Elle repose sur des critères techniques, économiques ou contractuels.
EBE (Excédent Brut d’Exploitation) : L’EBE représente la richesse générée par l’activité de l’entreprise, avant les dotations aux amortissements, les charges financières et les impôts. Il constitue un indicateur clé de la performance opérationnelle et de la rentabilité brute du modèle économique sans tenir compte de la structure financière.
EBITDA : L’EBITDA, ou excédent brut d’exploitation avant amortissements, intérêts et impôts, mesure la performance opérationnelle d’une entreprise sans tenir compte de sa politique d’investissement ou de financement. Cet indicateur est très utilisé pour évaluer la rentabilité brute et la capacité de génération de cash.
EENE : L’effet escompté non échu est un effet de commerce déjà remis à une banque pour escompte, mais dont la date d’échéance n’est pas encore atteinte. Il figure parmi les engagements hors bilan, car l’entreprise reste responsable en cas de non-paiement à l’échéance.
Effet de levier financier : Ce mécanisme vise à augmenter la rentabilité des capitaux propres en recourant à l’endettement. Lorsque la rentabilité économique de l’entreprise dépasse le coût de la dette, le levier amplifie les gains des actionnaires. À l’inverse, un effet de levier mal maîtrisé peut accroître les pertes.
Effets de commerce : Ce sont des titres représentatifs d’une créance commerciale, comme les lettres de change ou les billets à ordre. Utilisés comme instruments de paiement ou de financement, ils facilitent le recouvrement de créances à échéance et peuvent être escomptés auprès d’une banque.
Emploi circulant : Les emplois circulants désignent les actifs à court terme intervenant dans le cycle d’exploitation, tels que les stocks, les créances clients et la trésorerie. Contrairement aux immobilisations, ces éléments sont en perpétuelle rotation et participent directement au fonctionnement opérationnel de l’entreprise.
Emprunt : Un emprunt est une dette contractée par l’entreprise auprès d’un établissement financier, remboursable sur une durée déterminée avec intérêts. Il permet de financer des investissements ou d’assurer la trésorerie, en contrepartie d’un coût du capital et d’un engagement de remboursement structuré.
Encaissement : L’encaissement correspond à une entrée d’argent dans l’entreprise, qu’elle provienne d’une vente, d’un règlement client ou d’un financement externe. Il s’agit d’un flux positif de trésorerie qui améliore la liquidité et reflète le bon fonctionnement du recouvrement et des circuits financiers.
Endettement net : Cet indicateur mesure l’endettement financier réel de l’entreprise, en soustrayant les disponibilités de ses dettes financières. Il reflète la capacité de remboursement à court et moyen terme, et sert de critère d’évaluation de la solidité financière et de la dépendance aux financements extérieurs.
Entité mère : L’entité mère est une société qui détient une participation majoritaire dans une ou plusieurs autres sociétés, appelées filiales. Elle exerce un contrôle sur leur stratégie et leur gestion, et consolide leurs comptes dans le cadre d’un groupe selon les normes comptables applicables.
Escompte : L’escompte est une opération de financement à court terme par laquelle une entreprise cède une créance commerciale à une banque avant son échéance, moyennant un coût (intérêts et commissions). Cette technique permet d’améliorer la trésorerie sans attendre le règlement client.
EURL : L’Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée est une forme de SARL ne comportant qu’un seul associé. Elle permet de concilier gestion simplifiée et responsabilité limitée au montant des apports. L’associé unique peut opter pour l’imposition à l’impôt sur le revenu ou sur les sociétés.
Exercice : Un exercice comptable correspond à une période de référence (souvent de 12 mois) au cours de laquelle l’entreprise mesure ses résultats financiers. À l’issue de l’exercice, les comptes sont arrêtés, les bilans établis et les résultats analysés pour prise de décision et obligations fiscales.
Experts-comptables en ligne : Ces plateformes proposent des services comptables dématérialisés aux entreprises via internet. Elles permettent de centraliser la comptabilité, les déclarations fiscales et sociales, et d’accéder à un accompagnement professionnel à distance. Elles offrent flexibilité, gain de temps et réduction des coûts pour les TPE/PME tout en assurant la conformité légale.
Faute de gestion : La faute de gestion résulte d’un comportement inadapté, négligent ou abusif du dirigeant dans l’administration de la société. Si elle cause un préjudice à l’entreprise ou à ses créanciers, elle peut engager la responsabilité civile voire pénale du dirigeant, notamment en cas de redressement judiciaire.
FCP (Fonds Commun de Placement) : Un FCP est un organisme de placement collectif permettant à des investisseurs de détenir collectivement un portefeuille de valeurs mobilières. Il est géré par une société de gestion agréée. Le FCP n’a pas de personnalité morale mais fonctionne comme une copropriété de titres.
Filiale : Une filiale est une société contrôlée majoritairement par une autre entreprise, appelée maison mère. Cette dernière détient plus de 50 % de son capital et peut influer sur ses décisions stratégiques et financières. Les filiales peuvent être consolidées dans les comptes du groupe.
Flux de trésorerie : Les flux de trésorerie, ou cash flows, retracent toutes les entrées et sorties d’argent effectives. Ils permettent de suivre la capacité d’une entreprise à financer ses opérations, ses investissements et à rembourser ses dettes. Une gestion rigoureuse de ces flux garantit la stabilité financière.
Fonds de roulement (FDR) : Le fonds de roulement correspond à l’excédent des ressources durables (capitaux propres et dettes à long terme) sur les emplois durables (immobilisations). Il permet de financer le cycle d’exploitation et garantit la stabilité financière de l’entreprise face à ses besoins à court terme.
Fonds propres : Les fonds propres, ou capitaux propres, représentent les ressources stables appartenant aux actionnaires de l’entreprise. Ils incluent le capital social, les réserves et le résultat non distribué. Ils servent à financer l’activité et à absorber les pertes éventuelles, assurant la pérennité.
Frais d’établissement : Il s’agit des dépenses engagées lors de la constitution ou du développement de l’entreprise (frais de constitution, publicité légale, honoraires). Selon leur nature et les règles comptables, ces frais peuvent être activés à l’actif ou comptabilisés en charges sur l’exercice.
Frais de R&D : Les frais de recherche et développement désignent les dépenses engagées dans la conception de nouveaux produits ou procédés. Selon les normes comptables, ils peuvent être comptabilisés en charges ou inscrits à l’actif s’ils remplissent certains critères de valorisation et d’utilité future.
Free Cash Flow : Le free cash flow représente la trésorerie nette générée par l’entreprise après déduction des investissements nécessaires au maintien ou au développement de son activité. Il peut être utilisé pour rémunérer les actionnaires, rembourser la dette ou être réinvesti. Il reflète la solidité financière de l’entreprise.
Grand livre des comptes : Le grand livre est un registre comptable où sont reportées l’ensemble des écritures ventilées par comptes (clients, fournisseurs, banque…). Il permet de suivre l’historique détaillé de chaque compte et constitue une base essentielle pour établir les états financiers de fin d’exercice.
Haut de bilan : Le haut de bilan regroupe les éléments stables du passif (capitaux propres, dettes financières à long terme) et les actifs immobilisés. Il reflète la structure financière de long terme de l’entreprise, son capital investi, et les ressources mobilisées pour financer les immobilisations.
Holding : Une holding est une société dont l’objet principal est de détenir des participations dans d’autres entreprises. Elle peut avoir une fonction purement financière ou jouer un rôle actif dans la stratégie du groupe. Elle permet aussi des optimisations fiscales ou patrimoniales.
IFRS : Les normes IFRS (International Financial Reporting Standards) sont des normes comptables internationales qui visent à harmoniser la présentation des états financiers. Elles reposent sur une approche économique plutôt que juridique. Obligatoires pour les groupes cotés en Europe, elles favorisent la comparabilité des comptes.
Illicite : Est considéré comme illicite tout acte, contrat ou comportement contraire à la législation en vigueur. Cela peut entraîner sa nullité juridique, des sanctions civiles ou pénales. En droit des affaires, cela concerne notamment les pratiques anticoncurrentielles, les fraudes ou la corruption.
Immobilisation : Les immobilisations regroupent les biens durables acquis ou produits par l’entreprise pour son activité (corporelles, incorporelles ou financières). Elles sont inscrites à l’actif du bilan et amorties selon leur durée d’utilisation. Elles se distinguent des charges de l’exercice.
Immobilisation corporelle : Il s’agit d’un bien matériel utilisé durablement dans l’activité de l’entreprise, comme un terrain, un bâtiment, du matériel industriel ou du mobilier. Ces actifs sont amortis sur leur durée d’utilité, sauf pour les terrains, non amortissables car non sujets à dépréciation.
Immobilisation financière : Ces immobilisations comprennent les participations dans d’autres sociétés, les prêts à long terme ou les dépôts de garantie. Elles sont destinées à être conservées durablement et figurent à l’actif du bilan. Elles traduisent une stratégie de placement ou de contrôle.
Immobilisation incorporelle : Les immobilisations incorporelles sont des actifs immatériels comme les brevets, logiciels, marques ou fonds de commerce. Elles génèrent des avantages économiques futurs pour l’entreprise. Leur valorisation et leur amortissement obéissent à des règles spécifiques, souvent complexes à évaluer.
Impôt différé : L’impôt différé correspond à une charge ou une économie d’impôt qui se manifestera dans le futur en raison d’écarts temporaires entre résultat comptable et fiscal. Il permet de lisser les effets fiscaux sur plusieurs exercices. Il est inscrit au bilan, en actif ou en passif.
Impôt sur le revenu (IR) : L’IR est un impôt progressif payé par les personnes physiques sur leurs revenus (salaires, bénéfices, pensions…). Certaines entreprises, comme les EURL ou les sociétés de personnes, peuvent être soumises à cet impôt si elles n’optent pas pour l’impôt sur les sociétés.
Impôt sur les sociétés (IS) : L’IS est un impôt prélevé sur les bénéfices réalisés par les sociétés. Il se base sur le résultat fiscal, qui peut différer du résultat comptable. Les taux peuvent varier selon le montant du bénéfice ou la taille de l’entreprise. C’est un impôt direct.
Indicateurs de pilotage : Ces indicateurs servent à suivre la performance globale de l’entreprise dans ses dimensions économique, opérationnelle, humaine ou environnementale. Ils sont indispensables au contrôle de gestion et à l’aide à la décision. Exemples : taux de marge, productivité, turnover, taux de satisfaction client.
Intensité capitalistique : Ce ratio mesure le montant de capitaux investis nécessaire pour générer un euro de chiffre d’affaires. Il renseigne sur la lourdeur de l’outil de production et sur le besoin en financement. Une forte intensité traduit une activité industrielle ; une faible, un secteur de service.
Investissement : Un investissement est une dépense engagée par l’entreprise pour acquérir ou améliorer un actif dans le but d’en tirer un avantage futur. Il peut être matériel, immatériel ou financier. L’investissement est souvent analysé en termes de rentabilité, de durée d’amortissement et de risque.
Juste valeur : La juste valeur désigne le prix auquel un actif ou un passif pourrait être échangé entre deux parties informées et consentantes dans une transaction normale. Elle reflète la valeur de marché et non la valeur historique. C’est une base d’évaluation utilisée dans les normes IFRS.
Licéité : La licéité désigne le caractère conforme à la loi d’un acte juridique, d’un contrat ou d’une opération. Un acte illicite peut être annulé, voire sanctionné. La licéité est une condition indispensable à la validité d’un contrat selon le droit civil et commercial.
Liquidité : La liquidité mesure la capacité d’une entreprise à faire face à ses dettes à court terme grâce à ses ressources disponibles. Elle reflète la solvabilité immédiate et repose sur la trésorerie, les créances rapidement recouvrables et les actifs facilement mobilisables.
Liquidité du bilan : Ce concept désigne l’aptitude des actifs de l’entreprise à être transformés en liquidités à court terme, en lien avec l’échéance des passifs. Un bilan équilibré sur le plan de la liquidité garantit que les dettes exigibles à court terme pourront être honorées.
Logiciels de comptabilité : Ces logiciels permettent d’automatiser l’enregistrement des opérations comptables, la production des états financiers et les déclarations fiscales. Ils simplifient la gestion quotidienne des entreprises, assurent la conformité réglementaire et facilitent le pilotage grâce à des tableaux de bord et des rapports de gestion adaptés à chaque activité.
Logiciels de gestion des finances personnelles : Ces outils sont conçus pour aider les particuliers à suivre leurs dépenses, établir un budget, planifier leur épargne ou analyser leurs habitudes financières. Ils permettent une meilleure visibilité sur les flux financiers individuels ou familiaux, favorisent la maîtrise du budget et facilitent la préparation de projets à moyen terme.
Logiciels de notes de frais & dépenses : Ces logiciels permettent de gérer, enregistrer et rembourser les frais professionnels engagés par les salariés. Ils automatisent la saisie des justificatifs, la validation hiérarchique et l’intégration comptable. Ils facilitent la transparence des dépenses, réduisent les erreurs manuelles et accélèrent le traitement des remboursements dans un cadre fiscal conforme.
Logiciels de trésorerie & gestion budgétaire : Ces outils permettent aux entreprises de suivre leurs flux de trésorerie, d’élaborer des prévisions financières et de piloter leur budget. Ils offrent une vision claire de la situation financière, aident à anticiper les besoins de financement et à optimiser les ressources disponibles pour assurer la pérennité économique.
Long terme : Le long terme, en gestion financière, désigne une période supérieure à cinq ans. C’est l’horizon typique des investissements stratégiques, des financements d’infrastructure ou des immobilisations importantes. Il suppose une stabilité économique et un engagement durable des ressources.
Marge brute : La marge brute est la différence entre le chiffre d’affaires et le coût des marchandises vendues ou des matières premières consommées. Elle mesure la rentabilité immédiate des ventes et permet d’évaluer l’efficacité de la politique d’approvisionnement et de tarification.
Marge commerciale : La marge commerciale est la différence entre le prix de vente des marchandises et leur coût d’achat hors taxes. Elle est utilisée principalement dans les entreprises de négoce. Elle constitue un indicateur clé pour fixer les prix et suivre la rentabilité des ventes.
Marge de production : Elle représente l’excédent entre la valeur de la production réalisée (biens et services) et les consommations de production (matières, énergie, sous-traitance). Elle permet d’apprécier la contribution productive de l’activité industrielle ou artisanale hors charges fixes.
Moyen terme : Le moyen terme correspond à un horizon de gestion ou de financement compris entre un et cinq ans. Il est souvent utilisé pour planifier les projets de développement, financer les investissements productifs ou évaluer la viabilité de projets à durée limitée.
Normes IFRS : Les normes IFRS sont des règles comptables internationales permettant de produire des états financiers reflétant la réalité économique. Elles favorisent la comparabilité, la transparence et l’analyse des comptes consolidés des groupes cotés à l’échelle mondiale. Elles remplacent les référentiels nationaux dans certains cas.
Obligation convertible : Une obligation convertible est un titre de créance qui peut être transformé en actions de la société émettrice selon des conditions prévues. Elle combine le rendement d’un emprunt et la possibilité de profiter d’une hausse du capital. C’est un instrument de financement hybride.
Organisation IASC : L’International Accounting Standards Committee (IASC) est l’organisme précurseur de l’IASB, chargé de l’élaboration des normes comptables internationales. Fondé pour harmoniser les règles comptables à l’échelle mondiale, il a posé les bases des normes IFRS aujourd’hui en vigueur.
Participation des salariés : La participation est un mécanisme de redistribution d’une part des bénéfices aux salariés dans les entreprises de plus de 50 personnes. Elle est obligatoire et calculée selon une formule réglementaire. Elle peut être versée ou placée dans des dispositifs d’épargne salariale.
Passif : Le passif regroupe l’ensemble des ressources dont dispose une entreprise pour financer ses actifs. Il comprend les capitaux propres et les dettes (financières, fournisseurs, fiscales…). Le passif traduit l’origine des financements mobilisés et reflète les engagements de l’entreprise.
Passif courant : Le passif courant comprend les dettes exigibles à court terme (moins d’un an), comme les dettes fournisseurs, fiscales, sociales ou bancaires. Il permet d’évaluer les obligations immédiates de l’entreprise et nécessite un bon suivi de la trésorerie.
Passif d’impôt différé : Ce passif correspond à des charges fiscales futures liées à des écarts temporaires entre résultat comptable et fiscal. Il traduit un engagement à verser un impôt ultérieurement, selon la réversion de ces écarts. Il est reconnu selon les règles fiscales et comptables en vigueur.
Patrimoine : Le patrimoine d’une entreprise ou d’un individu est constitué de l’ensemble de ses actifs. En net, il correspond à la valeur des biens moins l’ensemble des dettes. Il représente la richesse réelle disponible et est un indicateur de solidité financière.
Rentabilité : La rentabilité exprime la capacité d’une entreprise à générer un bénéfice par rapport à ses ressources. Elle peut être économique (résultat d’exploitation sur actifs) ou financière (résultat net sur capitaux propres). Elle est centrale pour évaluer la performance d’un investissement.
Résultat : Le résultat est la différence entre les produits et les charges d’un exercice. Il est positif (bénéfice) ou négatif (perte) et permet de mesurer la performance globale de l’entreprise sur la période. Il sert de base à la distribution de dividendes.
Résultat d’exploitation : Ce solde reflète la performance opérationnelle de l’entreprise hors éléments financiers et exceptionnels. Il est issu de l’activité courante, après déduction des charges d’exploitation. Il permet d’apprécier la rentabilité intrinsèque du modèle économique.
Résultat net : Le résultat net est le bénéfice ou la perte dégagé à la clôture de l’exercice, après intégration de l’ensemble des produits et charges, y compris financiers et exceptionnels, et déduction des impôts. C’est un indicateur central pour les actionnaires et les tiers.
SARL, SA, SAS, SASU, SNC, SCP, SELARL : Ces sigles désignent différentes formes juridiques de sociétés françaises. Chacune implique un mode de fonctionnement, un régime de responsabilité, un régime fiscal et des obligations comptables spécifiques. Le choix dépend de la taille, des objectifs et de la structure de l’activité.
SICAV : Les SICAV (Sociétés d’Investissement à Capital Variable) sont des structures de gestion collective de portefeuille. Elles permettent aux investisseurs d’acquérir des parts d’un fonds diversifié. Gérées par des professionnels, elles offrent une mutualisation des risques et une liquidité encadrée.
Solde d’un compte : Le solde d’un compte comptable correspond à la différence entre le total des débits et le total des crédits. Il peut être débiteur ou créditeur et permet d’évaluer la situation financière d’un poste donné à un moment donné.
Solvabilité : La solvabilité désigne la capacité d’une entreprise à faire face à l’ensemble de ses dettes en cas de liquidation. Elle se mesure par des ratios financiers et constitue un critère clé pour les partenaires financiers, les investisseurs et les créanciers.
Stock : Les stocks regroupent les biens détenus en vue d’être consommés ou vendus : matières premières, marchandises, en-cours de production et produits finis. Ils sont valorisés à l’inventaire et influencent directement le besoin en fonds de roulement et la trésorerie.
Trésorerie : La trésorerie représente l’ensemble des liquidités disponibles immédiatement (caisse, comptes bancaires). Elle reflète la capacité de l’entreprise à honorer ses engagements à court terme. Une trésorerie saine est essentielle pour assurer la continuité d’exploitation et éviter les difficultés financières.
TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée) : La TVA est un impôt indirect sur la consommation, collecté par les entreprises sur leurs ventes de biens ou services et reversé à l’État. Elle est neutre pour les entreprises, qui la déduisent sur leurs achats et la collectent sur leurs ventes.
Valeur actuelle / VAN / VMP / Valeur résiduelle : La valeur actuelle nette (VAN) permet d’évaluer la rentabilité d’un investissement en actualisant les flux futurs. La valeur résiduelle correspond à la valeur estimée d’un actif en fin d’usage. Les VMP sont des titres à court terme. Tous ces outils aident à la décision financière.
Viable : Un projet ou une entreprise est dit viable lorsqu’il peut fonctionner durablement avec un équilibre entre ressources, charges et revenus. La viabilité s’apprécie sur les plans économique, financier et organisationnel, et conditionne la survie à moyen et long terme de l’activité.
Glossaire de la collaboration & du travail collaboratif : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire collaboration pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier de la collaboration . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’Agenda partagé à Wiki) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
Dans tout environnement professionnel, la collaboration repose sur une communication claire, structurée et efficace. La maîtrise du vocabulaire associé aux pratiques collaboratives est donc essentielle pour assurer la cohérence des échanges, fluidifier les interactions et garantir la réussite collective des projets. En l’absence d’un langage commun, les incompréhensions se multiplient, les délais s’allongent, et la productivité s’en trouve compromise.
Le vocabulaire de la collaboration comprend des notions comme gestion de projet, copilotage, réunion de synchronisation, partage de documents, workflow, coédition, feedback, roadmap, tableau Kanban, sprint ou encore rétrospective. Ces termes décrivent des outils, des méthodes ou des étapes clés dans la coordination des équipes. Ils permettent d’unifier les pratiques, de mieux répartir les rôles et de structurer les cycles de travail.
Avec la montée en puissance du travail hybride et des outils numériques (Microsoft Teams, Slack, Notion, Trello, Google Workspace…), ce lexique s’est enrichi de nouvelles expressions liées à la gestion à distance, à la communication asynchrone ou au partage d’informations en temps réel. Le vocabulaire collaboratif devient ainsi un facteur clé d’adoption des technologies, de gestion du changement et d’engagement des équipes.
Agenda partagé : L’agenda partagé permet de planifier efficacement les réunions sans échanges préalables fastidieux. Il vérifie les disponibilités, envoie les invitations, réserve les salles et envoie des rappels. Il centralise les informations utiles à la réunion et améliore la coordination des membres d’une même équipe.
Agrégateur de contenu : Un agrégateur permet de suivre en temps réel plusieurs sources d’information via les flux RSS. Il centralise les nouveautés sur une interface unique, comme une boîte mail. Il offre une vue synthétique de l’actualité choisie sans navigation sur les sites sources, facilitant la veille.
Annuaire électronique : Un annuaire électronique est une base de données accessible en ligne, recensant des individus, services ou entités. Il facilite la recherche de contacts dans une organisation via des critères (nom, fonction, service). Il améliore la communication interne et soutient la mise en réseau d’expertises.
Bibliothèques électroniques : Une bibliothèque électronique rassemble des ressources numériques (textes, images, sons) accessibles au sein d’un groupe. Elle dépasse la simple conservation documentaire pour devenir un espace interactif d’analyse et de valorisation des contenus. Elle favorise la collaboration autour de documents utiles à des travaux communs.
Blog : Un blog est un site web structuré en articles, ou billets, classés du plus récent au plus ancien. Il permet à un auteur de publier du contenu textuel enrichi (hyperliens, médias) et d’interagir via des commentaires. Il sert de journal personnel, de veille ou de plateforme éditoriale.
CAO (Conception Assistée par Ordinateur) : La CAO désigne l’utilisation de logiciels pour modéliser, tester et produire des objets industriels. Ces outils virtuels facilitent la création, la simulation et la fabrication de produits dans des secteurs comme l’automobile. Elle optimise les processus de conception et permet des économies de coûts et de délais.
Capitalisation des connaissances : Ce processus vise à collecter, structurer et diffuser les savoirs détenus par les collaborateurs. Elle permet de pérenniser les expertises, de les valoriser et de les rendre accessibles à l’ensemble de l’organisation. Elle s’appuie souvent sur des outils de gestion de connaissances et d’expérience.
Collaboration : La collaboration désigne la capacité de plusieurs personnes à travailler ensemble de manière fluide et coordonnée autour d’objectifs communs. Elle repose sur des outils, des méthodes et une culture d’échange visant à favoriser la productivité collective, l’innovation et la cohérence entre les actions individuelles dans un cadre professionnel ou organisationnel.
Communauté de pratique : Une communauté de pratique regroupe des professionnels partageant un domaine d’expertise. Ils échangent sur leurs pratiques, construisent ensemble des référentiels et enrichissent leurs compétences. Elle est un levier de créativité, de transmission informelle du savoir et de développement professionnel collaboratif.
Compétences collaboratives : Les compétences collaboratives désignent les aptitudes à interagir efficacement dans un cadre collectif : communication, écoute, gestion des conflits, co-décision. Elles sont à la fois individuelles et partagées, mobilisées dans les situations de coopération. Elles renforcent la performance collective et la qualité relationnelle.
Conscience de groupe : Ce concept désigne la perception qu’a chaque membre du groupe de l’activité collective : qui fait quoi, où, quand et comment. Elle conditionne la coordination. Dans les espaces numériques, elle est soutenue par des outils qui rendent visibles les actions des autres, facilitant l’intégration des contributions.
Diagramme de Gantt : Le diagramme de Gantt est un outil de planification visuelle d’un projet. Il affiche les tâches, leurs durées et leur enchaînement sur une ligne de temps. Il permet d’anticiper les délais, suivre l’avancement et ajuster les ressources. C’est un outil clé de pilotage projet.
E-learning : L’e-learning regroupe les outils et méthodes d’apprentissage à distance via Internet. Il s’adresse à des publics autonomes, en formation continue, initiale ou professionnelle. Cette modalité pédagogique flexible permet un accès personnalisé à des contenus variés, renforçant l’individualisation des parcours de formation et la capitalisation des savoirs.
Flux RSS : Les flux RSS permettent de recevoir automatiquement les dernières publications d’un site web (actualités, blogs, etc.). Grâce à ce format XML, l’utilisateur accède rapidement aux titres ou résumés sans consulter les sites. Il facilite la veille et l’agrégation d’informations à jour, sans surcharge de navigation.
Forums : Les forums sont des espaces en ligne où les utilisateurs échangent librement sur des thématiques précises. Les messages sont consultables à tout moment, et chacun peut publier ou répondre. Ces plateformes favorisent la mutualisation des connaissances et alimentent parfois des bases de questions fréquentes (FAQ).
Gestion de contenu : La gestion de contenu consiste à organiser les contenus électroniques (textes, images, documents) de manière cohérente. Elle facilite la création, le classement, la publication et le partage d’informations. Elle structure les flux d’information et soutient la performance documentaire dans l’entreprise ou sur le web.
Gestion Électronique des Documents (GED) : La GED permet de gérer l’ensemble du cycle de vie d’un document numérique (création, classement, accès, archivage). Elle assure la sécurité, l’indexation et l’accessibilité des fichiers. En entreprise, elle optimise les processus, réduit l’usage du papier et structure la circulation documentaire selon les normes internes.
Gestionnaire de tâches : Le gestionnaire de tâches permet de lister, assigner et suivre les actions à mener dans un projet. Couplé à un agenda ou un Gantt, il facilite le suivi des responsabilités, l’échéancier et la coordination. Il structure les actions et améliore la répartition du travail.
Hyperlien : Un hyperlien est un élément cliquable dans un document qui redirige vers une autre page ou un autre contenu. Il connecte l’information, qu’elle soit interne ou externe au site. Il structure la navigation, enrichit l’expérience utilisateur et relie les connaissances de manière dynamique.
Intelligence collective : L’intelligence collective émerge des interactions entre membres d’un groupe. Elle produit des idées, décisions ou solutions supérieures à celles issues d’individus isolés. Elle repose sur la mise en commun des savoirs, la coopération et la synergie. Elle est au cœur des dynamiques de groupe innovantes.
Intelligence pratique : L’intelligence pratique est la capacité d’un individu à agir de façon efficace dans une situation réelle. Elle se manifeste dans l’action, par des décisions adaptées, une compréhension du contexte et une mise en œuvre pertinente des ressources disponibles. Elle est essentielle en environnement professionnel complexe.
Interopérabilité : L’interopérabilité est la capacité de systèmes informatiques hétérogènes à fonctionner ensemble et partager des données. Elle repose sur des standards ouverts. Elle permet la communication fluide entre logiciels, favorisant la cohérence des systèmes d’information et la compatibilité entre applications, outils et plateformes.
Intranet : L’intranet est un réseau privé interne à une organisation, utilisant les technologies Internet. Il sécurise les échanges, centralise les documents, les procédures, et facilite la communication entre collaborateurs. Il permet un accès contrôlé à l’information et favorise la cohésion et la réactivité de l’entreprise.
Liste de diffusion : Contrairement à la liste de discussion, la liste de diffusion envoie des messages d’un expéditeur unique vers plusieurs destinataires. Elle ne permet pas de réponse groupée. Utilisée pour des newsletters ou annonces, elle vise à informer sans interactivité. Elle est souvent un outil de communication descendante.
Liste de discussion : Une liste de discussion est un outil de communication par e-mail permettant à un groupe de partager des messages autour d’un thème commun. Chaque membre envoie un message à l’adresse de la liste, automatiquement redistribué à tous les abonnés. L’abonnement est nécessaire pour participer aux échanges.
Logiciel libre : Un logiciel libre est un programme que tout utilisateur peut utiliser, modifier et redistribuer sans frais. Il repose sur une licence ouverte, garantissant la transparence du code source. Il est une alternative aux logiciels propriétaires, favorisant l’innovation partagée et l’autonomie des utilisateurs.
Logiciels collaboratifs : Les logiciels collaboratifs facilitent le travail en équipe en centralisant les informations, les échanges et les documents. Ils permettent une gestion partagée des tâches, des calendriers, des fichiers ou des communications, même à distance. Ces outils sont essentiels à la coordination, à la réactivité et à l’efficacité des groupes de travail.
Logiciels de brainstorming & mind mapping : Ces outils numériques permettent de structurer visuellement les idées, de favoriser la créativité collective et de représenter graphiquement des concepts ou des projets. Utilisés lors de sessions de brainstorming, ils aident à organiser la pensée, à identifier les priorités et à mieux communiquer les idées au sein d’une équipe.
Logiciels de calendrier & agenda : Ces logiciels offrent des fonctionnalités avancées pour planifier, organiser et partager des événements, des rendez-vous ou des échéances professionnelles. Ils permettent la synchronisation avec différents appareils et outils collaboratifs, facilitant la coordination des emplois du temps et la gestion du temps au sein d’une organisation ou d’un projet.
Logiciels de gestion des connaissances : Ils permettent de structurer, stocker et partager les savoirs internes d’une organisation. Ces outils assurent la capitalisation des expertises, facilitent l’onboarding, réduisent les pertes d’information et améliorent la productivité. Ils peuvent intégrer des wikis, des bases de données documentaires ou des FAQ internes accessibles aux collaborateurs autorisés.
Logiciels de gestion des tâches : Ces logiciels permettent de planifier, affecter et suivre l’avancement des tâches au sein d’une équipe ou d’un projet. Ils offrent une vue claire des priorités, des délais et des responsabilités. Ils contribuent à l’organisation du travail, à la responsabilisation des équipes et à la bonne exécution des objectifs définis.
Logiciels de messagerie instantanée & chat : Ces outils favorisent la communication en temps réel entre collaborateurs, équipes ou départements. Ils permettent de réduire les délais de réponse, d’améliorer la fluidité des échanges et de maintenir la continuité des interactions, même en télétravail. Ils intègrent souvent des fonctionnalités de groupes, mentions et partages de fichiers.
Logiciels de partage & transfert de fichiers : Ils offrent des solutions sécurisées pour envoyer, recevoir et stocker des documents numériques entre collaborateurs ou avec des partenaires externes. Ces logiciels garantissent l’accessibilité, la confidentialité et la traçabilité des échanges de fichiers, tout en facilitant le travail collaboratif sur des documents partagés en ligne.
Logiciels de signature électronique : Ces logiciels permettent de signer numériquement des documents avec une valeur légale équivalente à celle d’une signature manuscrite. Ils simplifient les processus contractuels, accélèrent les délais de validation et garantissent l’intégrité et l’authenticité des documents grâce à un horodatage sécurisé et à un certificat numérique.
Logiciels de tableau blanc virtuels : Ils reproduisent un espace de travail graphique collaboratif sur lequel les utilisateurs peuvent dessiner, écrire, annoter et organiser des idées. Utilisés en réunion, en formation ou en ateliers, ces tableaux blancs numériques favorisent la créativité collective, la prise de décision visuelle et l’interaction à distance.
Logiciels de téléphonie d’entreprise & VoIP : Ces solutions permettent aux entreprises de gérer leurs appels professionnels via internet, en remplaçant ou complétant la téléphonie traditionnelle. Elles offrent des fonctionnalités avancées (SIP, transfert d’appel, messagerie vocale, conférences audio) et réduisent les coûts de communication tout en facilitant la mobilité des collaborateurs.
Logiciels de visioconférence : Ces outils permettent d’organiser des réunions audio-vidéo à distance avec partage d’écran, enregistrement et interaction en temps réel. Ils sont devenus essentiels dans les contextes de télétravail ou de collaboration inter-sites. Ils favorisent la communication directe tout en réduisant les déplacements et les coûts logistiques associés.
Logiciels de Workflow : Ces logiciels structurent les processus d’entreprise en modélisant les tâches, les responsables, les délais et les circuits de validation. Ils assurent une traçabilité complète du déroulement des opérations. Le workflow optimise la productivité, réduit les erreurs humaines et facilite le suivi en temps réel.
Logiciels GED & dématérialisation : Les logiciels de Gestion Électronique de Documents (GED) permettent d’archiver, classer, rechercher et partager des documents numériques de manière sécurisée. Ils s’inscrivent dans une démarche de dématérialisation des processus documentaires, améliorant la traçabilité, réduisant les coûts papier et facilitant l’accès à l’information au sein de l’entreprise.
Messagerie instantanée : La messagerie instantanée permet des échanges textuels rapides entre utilisateurs connectés au même réseau. Les messages s’affichent en temps réel et offrent un dialogue interactif. D’autres fonctionnalités incluent le transfert de fichiers, la communication vocale et la gestion de contacts en ligne pour favoriser la réactivité professionnelle.
Messageries électroniques & webmail : Ces outils permettent l’envoi et la réception d’e-mails professionnels via une interface web ou un client de messagerie. Ils intègrent généralement des fonctions de tri, de filtrage, de stockage ou d’antispam. Ils sont essentiels à la communication professionnelle quotidienne, tant en interne qu’avec les interlocuteurs externes.
Microblog : Le microblog est un format court de publication (ex. Twitter) permettant de partager rapidement des informations textuelles, souvent sans titre. Il autorise des interactions rapides sous forme de commentaires. Il combine des éléments du blog et de la messagerie, et favorise la communication instantanée.
Moteur de recherche : Un moteur de recherche est un logiciel qui indexe et permet de retrouver des contenus (pages, fichiers, vidéos) via des mots-clés. Il s’appuie sur des algorithmes d’exploration et de pertinence. Certains sont spécialisés (vidéos, images) ou regroupés dans des métamoteurs pour une recherche élargie.
Outils d’écriture collaborative : Ces outils permettent à plusieurs utilisateurs de rédiger, modifier et commenter un même document en ligne. Chaque intervention est conservée via un système de versions, favorisant un travail simultané, transparent et structuré. Ils sont utilisés pour la rédaction collective de contenus, souvent en environnement professionnel ou académique.
Outils de cartographie des compétences : Ces outils identifient et classifient les savoir-faire des collaborateurs. Ils servent à localiser rapidement une expertise au sein d’une organisation. Indispensables pour les projets collaboratifs, ils soutiennent la gestion des talents, la mobilité interne et la constitution efficace des équipes projet.
Outils de synchronisation : Ces outils maintiennent la cohérence des fichiers entre plusieurs emplacements. Lorsqu’un fichier est modifié à un endroit, la synchronisation le met automatiquement à jour ailleurs. Ils assurent un accès uniforme aux données pour tous les collaborateurs, essentiels en travail nomade ou multi-site.
Outils Peer-to-Peer (P2P) : Les outils P2P facilitent l’échange direct de fichiers entre ordinateurs d’un même réseau, sans passer par un serveur central. Chaque poste devient à la fois client et serveur. Ce modèle favorise le partage de documents, multimédia ou de travail collaboratif, avec des architectures décentralisées et sécurisées.
Portail : Un portail est une interface centralisée d’accès à des ressources internes et externes. Il regroupe informations, outils métier, actualités et liens utiles selon les besoins des utilisateurs. Il constitue la porte d’entrée vers l’environnement numérique de l’entreprise et personnalise l’accès selon les profils et autorisations.
Serveur : Un serveur est un ordinateur ou programme fournissant des services à d’autres ordinateurs, appelés clients. Il peut héberger des sites, gérer des courriels ou partager des fichiers. La communication s’effectue via des protocoles (ex : TCP/IP). Un poste peut être client et serveur simultanément.
Système de Gestion de Contenu (CMS) : Un CMS permet de créer, gérer et publier du contenu sur un site web sans connaissances techniques avancées. Il centralise l’ensemble du processus éditorial (rédaction, validation, mise en ligne). Utilisé en intranet ou sur Internet, il facilite la gestion dynamique de l’information d’entreprise.
Système de localisation d’expertise : Ce système logiciel aide à identifier les collaborateurs compétents pour une tâche donnée. Il va au-delà de la simple recherche, en mettant en relation les personnes concernées. Il permet de capitaliser les interactions et d’optimiser la mobilisation des ressources humaines au sein d’une organisation.
Système expert : Un système expert est un logiciel imitant le raisonnement d’un spécialiste pour résoudre des problèmes spécifiques. Il s’appuie sur une base de connaissances et des règles logiques. Il est utilisé dans l’aide à la décision, notamment dans les domaines techniques, médicaux ou juridiques, où l’expertise est cruciale.
Tableau blanc interactif : Dispositif mêlant vidéoprojection et écran tactile, le tableau blanc interactif permet de partager et d’annoter en direct des documents durant une réunion. Il facilite les échanges en présentiel ou à distance, favorisant ainsi la collaboration visuelle et la captation en temps réel des contributions du groupe.
Visioconférence : La visioconférence combine la vidéo et l’audio pour organiser des réunions à distance. Elle permet à plusieurs participants situés en différents lieux de dialoguer en simultané. Elle inclut aussi des fonctions de conférence multipoints pour réunir plusieurs terminaux, assurant des échanges fluides et productifs sans déplacement.
Wiki : Un wiki est un site collaboratif modifiable par ses utilisateurs. Il permet d’écrire et de structurer collectivement des contenus. Simple d’utilisation, il favorise la co-construction des savoirs. Chaque utilisateur peut créer ou modifier les pages, contribuant à une mémoire commune organisée et évolutive.
Glossaire de la Business Intelligence : lexique des définitions à connaitre
Consultez notre glossaire Business Intelligence pour connaitre tous les termes techniques, acronymes, abréviations et expressions utilisés dans le métier de la Business Intelligence . Ce lexique comprend toutes les définitions des termes clés (d’Analyse comportementale à Visualisation des Données) ainsi que des exemples pour améliorer votre vocabulaire ainsi que votre compréhension de ce domaine.
Dans un contexte économique où la donnée est devenue un actif stratégique, la Business Intelligence (BI) s’impose comme un levier fondamental de performance pour les organisations. Elle regroupe un ensemble de méthodes, d’outils et de processus destinés à collecter, structurer, analyser et restituer les données d’entreprise dans le but d’éclairer la prise de décision. Grâce à des technologies toujours plus accessibles et puissantes, la BI s’est démocratisée : aujourd’hui, les directions générales comme les services opérationnels peuvent s’appuyer sur des indicateurs fiables, visualisés en temps réel, pour piloter avec agilité leur activité.
Ce glossaire a pour ambition de fournir une vue d’ensemble des notions-clés qui composent l’écosystème de la Business Intelligence. Il rassemble les principaux termes techniques, les concepts d’analyse, les outils courants, ainsi que les méthodologies associées à la transformation des données en information utile. De l’analyse comportementale à la visualisation interactive, en passant par le data mining, les tableaux de bord ou encore les requêtes SQL, chaque définition est pensée pour apporter une compréhension claire, opérationnelle et contextualisée.
Analyse comportementale : L’analyse comportementale vise à prédire les intentions ou les futurs comportements d’un utilisateur à partir de ses actions passées ou de son profil. Très utilisée en marketing, elle permet de personnaliser les offres, anticiper les besoins ou détecter les risques (fraude, désabonnement, etc.).
Analyse multidimensionnelle : Elle permet de naviguer dans les données à travers plusieurs axes d’analyse hiérarchisés (par exemple : région > pays > ville). On utilise des opérations comme le drill down (vers le détail) ou le drill up (vers la synthèse) pour explorer les indicateurs selon différents niveaux de granularité.
Analyse Statistique : L’analyse statistique approfondit les premiers constats descriptifs en mobilisant des techniques de calcul probabiliste et d’inférence. Elle permet de comprendre pourquoi une tendance apparaît, de tester des hypothèses, d’identifier des relations causales ou d’évaluer la fiabilité des résultats. Elle constitue un fondement des analyses prédictives et décisionnelles fondées sur la donnée.
Analyse Visuelle : L’analyse visuelle combine exploration de données et narration en temps réel. Grâce à des interfaces interactives, l’utilisateur peut manipuler les données et observer les résultats immédiatement sous forme visuelle. Elle favorise l’interprétation intuitive et rapide, permet d’identifier des anomalies ou corrélations, et soutient la prise de décision agile dans les environnements dynamiques.
Analyses multipolaires : Ce type d’analyse permet une approche décentralisée du big data. Les données sont collectées et analysées dans différents points de l’entreprise, offrant ainsi une meilleure réactivité locale tout en maintenant une cohérence globale. Cela favorise l’agilité des équipes tout en enrichissant les analyses de perspectives diversifiées.
Analytique Descriptive : L’analytique descriptive se concentre sur la compréhension des faits passés à travers une première exploration des données. Elle répond à des questions telles que « que s’est-il passé ? », en s’appuyant sur des moyennes, totaux, fréquences ou agrégats. Cette approche constitue souvent le point de départ de toute analyse avancée, pour identifier les tendances et comportements récurrents.
Anonymisation : L’anonymisation est un processus visant à protéger la vie privée en supprimant ou modifiant les éléments permettant d’identifier une personne dans un jeu de données. C’est une mesure essentielle de conformité au RGPD et un moyen de concilier analyse de données et respect de la confidentialité.
Balanced Scorecard (Tableau de bord prospectif) : Le balanced scorecard est un outil stratégique de gestion de la performance reliant les objectifs financiers et opérationnels à des indicateurs spécifiques. Il intègre différentes dimensions comme les finances, les clients, les processus internes et l’apprentissage organisationnel pour une vision équilibrée de la performance.
Base de données : Une base de données est une structure organisée de stockage d’informations, accessible via des systèmes informatiques. Elle permet l’enregistrement, la recherche et la mise à jour de données structurées (clients, ventes, stocks…), nécessaires à la gestion quotidienne et à l’analyse de l’activité.
BI en libre-service : La BI en libre-service permet aux utilisateurs métier d’explorer et d’analyser les données sans dépendre de l’IT. À l’aide d’outils conviviaux, les utilisateurs peuvent créer leurs propres rapports et tableaux de bord, à condition de disposer de données fiables et validées en amont.
Big Data : Le Big Data désigne les volumes massifs de données générées à grande vitesse et en provenance de multiples sources. Exploité par des technologies avancées, il permet d’identifier des tendances, automatiser certaines décisions ou personnaliser des services. Il s’appuie sur les « 7 V » : volume, variété, vitesse, véracité, valeur, visualisation et variabilité.
Business Intelligence (BI) : La Business Intelligence désigne l’ensemble des technologies, processus et outils permettant de collecter, structurer, analyser et visualiser les données d’une entreprise afin d’orienter les décisions stratégiques. Grâce à des tableaux de bord interactifs et à des rapports dynamiques, elle permet aux décideurs d’exploiter des indicateurs fiables pour piloter leur activité en temps réel et améliorer la performance globale.
CRM (Customer Relationship Management) : Un CRM regroupe les outils et méthodes destinés à gérer efficacement la relation client. Il centralise les informations clients (historique, préférences, interactions) afin d’optimiser la prospection, la fidélisation et le service client, tout en renforçant la coordination entre les équipes commerciales et marketing.
Cube de données (Base OLAP) : Un cube de données est une structure OLAP permettant de stocker des mesures chiffrées selon plusieurs dimensions (temps, produits, régions…). Il facilite l’analyse rapide et flexible des données via des croisements dynamiques, pour répondre à des questions précises sur la performance ou les tendances.
Data Broker : Un data broker est une entreprise spécialisée dans la collecte, l’agrégation, l’analyse et la vente de données personnelles. Ces acteurs interviennent dans des domaines comme le marketing ciblé, l’évaluation de crédit ou la segmentation de marché, souvent sans relation directe avec les individus concernés.
Data Cleansing : Le data cleansing est le processus de détection et de correction des erreurs, doublons ou incohérences dans un jeu de données. Il s’agit d’une étape indispensable avant l’analyse, garantissant la fiabilité et la pertinence des résultats obtenus à partir des données nettoyées.
Data Mart : Le data mart est un sous-ensemble orienté métier du data warehouse. Il regroupe des données spécifiques à une fonction (marketing, RH, finance…) dans un but d’analyse ciblée. Il facilite l’accès rapide à des informations pertinentes pour un domaine précis, tout en allégeant la complexité d’un entrepôt de données global.
Data Mining : Le data mining est un ensemble de techniques statistiques et algorithmiques appliquées à de grands volumes de données dans le but d’identifier des corrélations, modèles ou tendances jusqu’alors insoupçonnés. Utilisé en marketing, finance ou gestion des risques, il permet d’extraire des connaissances décisionnelles à forte valeur ajoutée à partir d’informations brutes.
Data Point : Un data point représente une unité élémentaire de donnée dans un graphique ou tableau, correspondant à une observation unique (ex. : une vente effectuée un jour donné). Il constitue la brique de base des analyses statistiques, permettant de visualiser les tendances et les variations à travers différentes dimensions.
Data Quality : La qualité des données est la capacité à disposer de données précises, complètes, cohérentes et à jour. Elle conditionne la fiabilité des analyses décisionnelles. Les entreprises doivent mettre en place des processus de contrôle rigoureux pour éviter les erreurs, les doublons ou les incohérences.
Data Storytelling : Le data storytelling consiste à mettre en récit les données pour en faciliter la compréhension. En contextualisant les chiffres par des graphiques narratifs ou des scénarios parlants, il aide à captiver l’auditoire et à renforcer l’impact des messages décisionnels ou marketing.
Data Warehouse : Le data warehouse est une base de données centralisée spécifiquement conçue pour l’analyse décisionnelle. Il consolide des données issues des systèmes opérationnels, les historise et les structure de manière optimisée pour l’exploration via des outils analytiques comme l’OLAP ou le data mining. Ce dispositif permet une analyse transverse sur des périodes longues, facilitant la prise de décisions stratégiques.
Datavisualisation : La datavisualisation désigne l’art de transformer des données complexes en représentations graphiques claires (camemberts, histogrammes, cartes…). Cette discipline permet de rendre l’analyse plus intuitive et accessible, en facilitant la lecture, la compréhension et la communication des résultats, même pour les non-spécialistes des données.
Dimension : En analyse multidimensionnelle, une dimension est un axe de lecture des données structuré hiérarchiquement (ex. : temps, géographie, produit). Elle permet de regrouper, filtrer ou comparer les données selon différents niveaux (ex. : année > trimestre > mois), facilitant les vues détaillées ou synthétiques.
Données contextuelles : Les données contextuelles enrichissent les bases traditionnelles en reliant chaque information à un cadre ou une situation spécifique (heure, lieu, comportement…). Elles permettent d’interpréter les données de manière plus fine, notamment dans les analyses comportementales ou la personnalisation de l’expérience utilisateur.
ERP (Enterprise Resource Planning) : Un ERP est un progiciel de gestion intégré qui centralise l’ensemble des processus d’une entreprise (comptabilité, logistique, RH, production…) dans un système unique. Il favorise la cohérence des données, optimise les flux internes et améliore le pilotage global de l’organisation.
ETL (version étendue) : L’ETL dans sa version complète récupère des données de sources variées (bases, fichiers, API), les nettoie, transforme et enrichit (création de formats, vérifications, rejets) avant de les charger dans des bases décisionnelles. Ce processus garantit la qualité, la pertinence et la structuration des données pour l’analyse.
Export : L’export de données consiste à extraire des informations depuis un système pour les utiliser dans un autre format ou logiciel (CSV, Excel, PDF, etc.). Cette fonctionnalité facilite l’échange, l’archivage ou la réutilisation des données en dehors de l’environnement applicatif d’origine.
Filtre : Le filtre est un mécanisme d’analyse permettant d’inclure ou d’exclure certaines données dans un rapport ou un tableau de bord, selon des critères définis. Il sert à personnaliser les vues, isoler des segments précis ou affiner les résultats en fonction de besoins spécifiques.
Fonctions MDX (MultiDimensional eXpressions) : Les fonctions MDX sont des expressions de langage utilisées dans les bases OLAP pour interroger, calculer ou structurer des données multidimensionnelles. Elles permettent de créer des indicateurs complexes, des filtres avancés et des vues hiérarchiques adaptées aux besoins analytiques spécifiques.
Forecasting : Le forecasting est un processus de prévision basé sur l’analyse historique des données, combinée à des modèles statistiques ou algorithmiques. Il est utilisé pour anticiper les ventes, la demande, les charges ou toute variable clé, et constitue un levier stratégique pour la planification.
Gap Analyse : La gap analyse est une méthode d’évaluation qui mesure l’écart entre les performances réelles et les objectifs fixés. Elle identifie les manques en termes de données, de processus ou de ressources, afin de mettre en œuvre des actions correctrices ou d’amélioration continue.
In-Memory : La technologie in-memory permet de stocker et traiter les données directement en mémoire vive, au lieu des disques classiques. Elle offre ainsi des vitesses de traitement considérablement supérieures, indispensables aux analyses en temps réel. Elle est particulièrement utile pour les applications critiques ou embarquées nécessitant des réponses instantanées.
Indicateur : Un indicateur est une combinaison de mesures servant à évaluer une situation ou un processus. Il peut porter sur la qualité, la productivité, la rentabilité ou la satisfaction. C’est un outil de pilotage indispensable pour suivre les performances à différents niveaux de l’organisation.
Indicateur clé de performance (ICP / KPI) : Un KPI est un indicateur quantitatif qui permet de mesurer la progression d’un objectif stratégique ou opérationnel. Il est utilisé pour suivre la performance de l’entreprise, piloter l’activité et prendre des décisions fondées. Les KPI doivent être pertinents, mesurables, atteignables et temporellement définis.
Indicateurs de performance et Benchmarking : Cette pratique consiste à comparer les résultats actuels d’une organisation avec ses performances passées ou celles de concurrents pour évaluer l’efficacité et détecter les axes d’amélioration. Elle s’appuie sur des indicateurs clés et des tableaux de bord, permettant de mesurer les écarts, d’objectiver les réussites ou retards, et de mieux piloter les objectifs stratégiques.
Infocentre : L’infocentre est une base intermédiaire qui duplique les données opérationnelles afin d’alléger les systèmes de production et de fournir aux analystes un accès dédié à l’information. Précurseur du data warehouse, il a facilité l’émergence des premières pratiques d’analyse décisionnelle.
Interface de programmation applicative (API) : Une API est un ensemble de règles et de protocoles qui permet à différents logiciels de communiquer entre eux. Elle offre une intégration fluide des applications, autorise l’automatisation des échanges de données et facilite l’interopérabilité entre systèmes d’information.
Lead Generation : La génération de leads est une stratégie visant à capter des contacts qualifiés (prospects) pour les convertir en clients. Elle repose sur des actions marketing, des outils CRM ou des bases de données ciblées. C’est un levier fondamental dans la croissance commerciale.
Logiciels de business intelligence : Ces logiciels permettent d’extraire, transformer et visualiser les données d’une organisation pour faciliter leur interprétation. Grâce à des fonctions de reporting, d’analyse prédictive et de visualisation dynamique, ils aident les dirigeants à anticiper les évolutions du marché, optimiser les performances et piloter l’activité à l’aide d’indicateurs actualisés en temps réel.
Mesure : La mesure est une donnée chiffrée calculée selon une règle déterminée (ex. : chiffre d’affaires, nombre de commandes). Elle constitue l’élément de base des analyses quantitatives, que l’on retrouve dans les rapports, tableaux de bord et systèmes décisionnels.
Métadonnées : Les métadonnées sont des données servant à décrire d’autres données. Elles précisent des attributs tels que la date de création, l’auteur, le format, ou les droits d’accès d’un fichier. Elles sont essentielles pour l’indexation, la recherche, l’archivage ou la gouvernance des données.
Metrics : Les metrics désignent des mesures précises utilisées pour quantifier les performances ou les activités. Elles peuvent être des volumes (ventes, visiteurs, appels), des taux (conversion, rebond), ou des temps (réponse, chargement). Elles sont indispensables dans le suivi de toute stratégie data-driven.
Modèle de données : Le modèle de données définit la structure logique des données dans un système, précisant les entités, leurs relations et les règles de gestion associées. Il assure la cohérence des bases et facilite l’interopérabilité des applications au sein de l’organisation.
ODBC (Open Database Connectivity) : L’ODBC est une API standardisée qui permet aux applications d’accéder à différentes bases de données quel que soit le système de gestion sous-jacent. Elle facilite l’interconnexion entre outils de BI, tableurs et moteurs de bases relationnelles dans un environnement hétérogène.
OLAP (Online Analytical Processing) : L’OLAP regroupe un ensemble de technologies permettant l’analyse multidimensionnelle des données. Il facilite la navigation dynamique dans différents axes d’analyse (temps, géographie, produit…) par des opérations de drill down ou slice and dice. Il s’adresse aux utilisateurs souhaitant croiser plusieurs indicateurs de manière rapide et intuitive.
Outil de restitution : Un outil de restitution est un logiciel permettant de générer des rapports, des visualisations et des exports de données à destination des utilisateurs finaux. Il traduit les résultats des analyses en supports compréhensibles et exploitables, souvent via des interfaces interactives.
Outil décisionnel : Un outil décisionnel regroupe les solutions logicielles permettant de transformer les données en indicateurs exploitables. Il comprend des fonctions d’agrégation, de visualisation et d’analyse, facilitant la prise de décision stratégique ou opérationnelle. Il est au cœur de toute solution de Business Intelligence.
Préparation des Données : La préparation des données désigne l’ensemble des étapes nécessaires avant toute analyse : collecte, nettoyage, normalisation, enrichissement et structuration des données issues de sources hétérogènes. Elle permet de garantir la qualité, la cohérence et la pertinence des données à analyser, en identifiant les dimensions (axes d’analyse) et mesures (valeurs numériques) nécessaires à la BI.
Rapport : Un rapport est un document de synthèse structurant les données analysées selon un format défini. Il peut contenir des tableaux, graphiques, indicateurs ou textes d’interprétation. Destiné aux parties prenantes, il facilite la communication des résultats et le suivi des performances.
Rapport ad hoc : Le rapport ad hoc est un rapport créé ponctuellement par un utilisateur en fonction d’un besoin spécifique. Contrairement aux rapports standardisés, il est librement conçu à partir des données disponibles et répond à des demandes non anticipées ou urgentes.
Reporting : Le reporting regroupe les processus et outils permettant de diffuser les résultats d’analyse de données auprès des parties prenantes internes ou externes. Il peut s’agir de rapports standards, de synthèses interactives ou de tableaux de bord. L’objectif est de rendre les données exploitables par tous les acteurs décisionnels, afin d’éclairer leurs choix en s’appuyant sur des indicateurs objectifs et actualisés.
Requête ad hoc : Une requête ad hoc est une interrogation ponctuelle et non prédéfinie adressée à une base de données, en réponse à un besoin spécifique d’information. Elle permet une flexibilité d’analyse, en s’écartant des rapports standards pour produire des vues sur mesure.
Requêtes : Les requêtes sont des instructions formulées pour extraire des informations spécifiques à partir d’un jeu de données. En Business Intelligence, elles permettent d’interroger les bases selon des critères ciblés, afin de répondre à une problématique métier. Les requêtes peuvent être simples ou complexes, ad hoc ou automatisées, et sont fondamentales pour l’analyse personnalisée.
Schéma : Un schéma de base de données décrit l’organisation des tables, colonnes, relations et contraintes. Il structure l’architecture d’un entrepôt de données ou d’un modèle analytique, garantissant la lisibilité, la cohérence et l’efficacité des requêtes.
Slice and Dice : Cette méthode consiste à fractionner les données en segments pour les analyser sous différentes perspectives. Elle est couramment utilisée dans les outils OLAP pour explorer finement les corrélations ou isoler des groupes spécifiques selon divers critères.
Snapshot : Un snapshot est une capture figée d’un état de données à un instant donné. Il permet de garder une trace d’une situation historique (stock, performance, solde…), utile pour les comparaisons, audits ou archivages.
Software as a Service (SaaS) : Le SaaS est un modèle de distribution d’applications hébergées dans le cloud, accessibles via internet. Il permet à l’utilisateur d’utiliser des logiciels sans installation locale, avec une mise à jour automatique et un abonnement flexible.
Source de données : Une source de données est l’origine des données utilisées dans un système d’analyse. Elle peut être un fichier, une base relationnelle, un flux en temps réel ou un service web. L’identification et la qualification des sources sont cruciales pour garantir la fiabilité des analyses.
Structured Query Language (SQL) : Le SQL est le langage de requête standardisé permettant d’interroger, manipuler et structurer les données dans les bases relationnelles. Il est utilisé dans la majorité des systèmes BI pour construire des requêtes, créer des tables ou générer des rapports.
Supply Chain Management (SCM) : Le SCM regroupe les outils et méthodes de gestion de la chaîne logistique, depuis l’approvisionnement jusqu’à la distribution. Il permet d’optimiser les flux, d’anticiper les besoins et de réduire les coûts en assurant une coordination efficace entre tous les maillons.
Tableau de bord (rappel) : Outil de visualisation regroupant des indicateurs clés sous forme de graphiques ou tableaux dynamiques. Il permet un suivi en temps réel de l’activité, facilite l’interprétation des résultats et oriente les actions. Il peut être personnalisé selon les besoins de chaque utilisateur ou service.
Visualisation des Données : La visualisation des données traduit les résultats d’analyse sous une forme graphique (diagrammes, camemberts, courbes, cartes). Elle facilite la compréhension des informations, même complexes, et accélère la prise de décision en rendant les insights plus lisibles et mémorisables. C’est un outil essentiel en Business Intelligence pour communiquer efficacement.