Dans le monde du sport, le mental fait partie intégrante de la performance. On attribue volontiers une victoire à un mental exceptionnel et une défaite à un “manque de mental” ou un “craquage mental”.
Mais pourquoi alors la “santé mentale” reste-t-elle si tabou ? Pourquoi les propos de Naomi Osaka ou de Simon Biles détonnent-ils à ce point ? Pourquoi Michael Phelps en fait-il son cheval de bataille ?
Les plus belles réussites ne sont pas linéaires. Derrière chaque victoire, chaque performance, chaque accomplissement, il y a des faux départs et des accrocs dont on ne parle pas.
Les secrets du mental, c’est le premier podcast qui donne la parole à des athlètes de haut niveau, qu’on a vu briller sur le terrain ou à l’écran. Footballeurs, tennismen, rugbymen…que ce soit seul ou en équipe, ces athlètes font face à une pression et des enjeux qui, parfois, les dépassent.
Au micro de Guillaume d’Ayguesvives, co-fondateur de moka.care, ils et elles brisent les tabous. Sans détour ni mélodrame, ils nous partagent les plus belles comme les plus douloureuses étapes de leur parcours, les non-dits de leur réussite, les clés de leur résilience.
Parmi les premiers épisodes : Blaise Matuidi, footballeur international français et champion du monde 2018, Mamadou Sakho, Alizé Cornet (championne de tennis, recordwoman du nombre de participations (63) consécutives à des tournois du grand chelem), Antoine Dupont …
Le premier épisode sera disponible dès le 18 octobre sur https://www.moka.care/podcast et sur les plateformes d’écoute (Spotify / Itunes / Deezer)
“Nous sommes convaincus que les témoignages sans tabou de sportifs de haut niveau vont permettre de prendre conscience que le sujet de la santé mentale est essentiel et qu’il n’y a pas de santé sans santé mentale. En donnant la parole à ceux qui incarnent la performance, nous souhaitons mettre en lumière que vulnérabilité et performance ne doivent plus être opposés. Dans cette logique, nous pensons que chaque entreprise devrait considérer la santé mentale comme le pilier majeur d’une organisation saine, comme c’est le cas dans le sport de haut niveau” explique Guillaume d’Ayguesvives.